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[Lieu-RP] Auberge "A la Belle d'Angoulème"

Damagnac
Damagnac eut à cet instant l'impression d'être de quelque part ...de s'intégrer dans une communauté de vie...ces amitiés naissantes, une esquisse de confort, la promesse d'une alimentation plus saine, tout cela , il y a bien longtemps qu'il ne l'avait connu. Oh ! Il aimait les chemins, le trimard, la gambade, il aimait sa condition d'aspirant, son apprentissage prenait sens sur le tour qu'il effectuait...
Mais pour l'heure il souhaitait savourer cette esquisse de stabilité, d'enracinement. le désir de rouler, le reprendrait bien assez tôt...
La proposition de MissJones le ravissait. Il savait, du moins se doutait il que son ami Arnor n'y était pas pour rien dans cette offre.

MissJones, pardon Miss...nul besoin de réflexion pour vous répondre positivement. J'accepte avec plaisir de m'occuper de l'entretien des lieux et de l'écurie. Votre demeure est grande, je m'emploierais à remettre en état le nécessaire et à créer le possible. Comptez sur moi !
Miss acquiesça avec un contentement non feint au propos du gascon et l'invita à rejoindre Arnor à la table déjà dressée.
Ami Arnor!Cette soirée démarre sous les meilleurs hospices !
Sur l'invitation d'Arnor, il prit place près de lui. Comme si la question lui brulait les lèvres, Lyselon lui parla aussitôt du poème que Damagnac avait déposé pour le concours... il resta un instant sur la réserve, mais la confiance en Arnor prenant le dessus sur la pudeur du coeur, Damagnac lui sourit, se pencha à son oreille et lui dit à mi voix:

satisfaisons nos estomacs, goutons de ce vin généreux, ces vapeurs délieront nos langues et ouvriront nos cœurs sur les belles qui les habitent. Je vous crois aussi sous certains charmes, allons ne vous en cachez pas ! N'est ce pas là nos destins naturels ?

Pour appuyer ces propos, Damagnac emplit deux gobelets de ce même petit vin blanc des coteaux, qu'il avait déjà pu apprécié.
Il en tendit un à Arnor , et les compères, se regardant rieur, trinquèrent bruillamment.
---fromFRMissJones
Citation:
nul besoin de réflexion pour vous répondre positivement. J'accepte avec plaisir de m'occuper de l'entretien des lieux et de l'écurie. Votre demeure est grande, je m'emploierais à remettre en état le nécessaire et à créer le possible. Comptez sur moi !


Eh bien vous m'en voyez ravie Messire, vous m'ôtez une épine du pied car j'ai vraiment besoin d'aide.

Le jeune gascon plaisait beaucoup à Miss bien que leurs débuts ne présageaient rien de bon. Miss avait eu le temps de se rendre compte que le jeune homme était plus maladroit que désobligeant.

Damagnac emplit deux gobelets de ce même petit vin blanc des coteaux, qu'il avait déjà pu apprécié. Il en tendit un à Arnor, et les compères, se regardant rieur, trinquèrent bruyamment.

Miss s'amusait de la complicité des deux hommes


Merci de vous occuper de remplir les gobelets Messire mais n'oubliez pas ceux des Dames. Nous les femmes apprécions également un peu de vin pendant les repas lui dit Miss en riant de le voir rougir, elle aimait bien taquiner le jeune homme.

Damagnac remplit le gobelet de Lyu et de Miss et tous commencèrent à manger de bon appétit.
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Membre de la Garde Territoriale
Conseillère Filière Fruits
Heureuse propriétaire du Pigeonnier et de L'Auberge A la Belle Angoulême
Damagnac
Voilà Miss ! Votre palissade est comme neuve ! A oui ! Je voulais vous dire, demain je viendrais un peu plus tôt, si ça ne vous dérange pas, la porte de l'écurie à bien besoin d'être revue, plusieurs planches sont trop disjointe, il me faut la déposer, et si j'ai du temps il faudrait aussi ...

Damagnac depuis qu'il travaillait pour Miss se donnait sans compter à l'ouvrage. Il aimait bien cette auberge. Il avait ,envers Miss, une certaine forme de tendresse très respectueuse, il l'a considérait un peu, comme une soeur, comme celle qu'il avait laissé quatre ans plus tôt , à la demeure familiale, celle qui était responsable de la mort de lors m...
Non ! il chassa aussitôt cette idée, il savait que c'était faux,que la petite n'y était pour rien, mais le père leur avait tellement dit, dit et redit, que des fois il y avait presque cru...
De ce fait,il faut bien tirer le positif des choses.... Damagnac était assez naturellement protecteur envers la gent féminine. S'en être pesant et dirigiste, il savait prendre ses responsabilités, et pensant à Miss il se demandait pour quoi une aussi agréable personne, n'avait pas trouver homme pour partager ces jours. Il ne lui connaissait pas de galant, cela la regardait après tout !
Reste qu' une femme seule , même aidée, avait de très lourdes charges à mener cette auberge, plus l'entretien du pigeonnier, plus les cueillettes, plus la garde territoriale...la garde territoriale, son esprit s'évada un instant...
---fromFRMissJones
Voilà Miss ! Votre palissade est comme neuve ! A oui ! Je voulais vous dire, demain je viendrais un peu plus tôt, si ça ne vous dérange pas, la porte de l'écurie à bien besoin d'être revue, plusieurs planches sont trop disjointe, il me faut la déposer, et si j'ai du temps il faudrait aussi ...

Eh du calme mon ami, vous allez vous tuer à la tâche à cette allure. Un peu chaque jour est largement suffisant et puis vous avez votre travail à la carrière je présume. Ne vous inquiétez pas pour la porte de l'écurie. De toute façon les planches ne seront pas livrées avant vendredi

Damagnac avait le don de mettre Miss de bonne humeur. Il est vrai que depuis que ses amis étaient en retraite elle ne s'amusait guère. Peut être le verrait-elle en taverne un de ces soirs
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Conseillère Filière Fruits
Heureuse propriétaire du Pigeonnier et de L'Auberge A la Belle Angoulême
Missjones
C’est la faim qui la tira de son sommeil. Elle se leva, enleva ce qu’elle put de brins de paille de ses vêtements et de sa chevelure et sans bruit regarda à travers les planches de la porte de la grange. Il faisait nuit noire et personne en vue.

Elle regarda autour d’elle mais pas de nourriture dans la grange, il allait falloir sortir. Elle ouvrit la porte très doucement s’assurant de ne faire aucun bruit afin de ne pas alerter les occupants de la maison.

Au dessus de la porte elle vit une enseigne et lut « Auberge à la Belle Angoulême ». Ce fut une grande révélation pour elle. ELLE SAVAIT LIRE. Enfin elle venait d'apprendre quelque chose sur elle-même.

Elle fit le tour de l’auberge, la porte de derrière était mal fermée. Elle s’en approcha et vit qu’elle donnait sur une cuisine donc sur de la nourriture. Elle entra sans faire de bruit et avisa sur la table deux assiettes avec du poulet et des légumes. Prenant un torchon elle y mit le poulet, pris du pain et un morceau de fromage et s’en fut aussi silencieusement qu’elle était entrée.

Malgré la faim qui la tenaillait, elle attendit d’être très loin des habitations pour manger.
---fromFRMissJones
Miss avait une sensation étrange, elle avait froid et en même temps elle sentait la chaleur du soleil sur sa joue. Ouvrant doucement les yeux, elle mit un certain temps à réaliser où elle se trouvait.

Allongée au pied d’un arbre au bord de la Charente ?!!! Mais que faisait-elle là ? Elle se redressa, s’étira quand elle se souvint.


*Ah oui la fin du bal, la promenade et ……. dodo*

Réalisant cela, elle se leva d’un bond et courut en direction de l’auberge espérant que personne (c’est à dire Lyu) n’était réveillé. Passant par derrière elle entra par la cuisine en s’étonnant de trouver la porte ouverte. Quelque chose lui semblait bizarre mais elle n’arrivait pas à mettre le doigt dessus.

Haussant les épaules, elle monta l’escalier et regagna sa chambre, elle retira ses vêtements mouillés et se glissa dans son lit quand quelques minutes plus tard Lyu avec sa bonne humeur habituelle frappa à sa porte
.

Debout Miss il est l’heure !!!
Déjàaaaa !!! Nooooonnnnnn !!!

Miss n’avait pas le choix si elle ne voulait pas que l’on sache qu’elle avait passé la nuit dehors aussi s’extirpa t-elle de son lit, se coula un bain espérant que cela allait détendre ses muscles engourdis et descendit rejoindre Lyu devant un bon petit-déjeuner.

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Conseillère Filière Fruits
Heureuse propriétaire du Pigeonnier et de L'Auberge A la Belle Angoulême
---fromFRHeimdall Hémon Hyacinthe
Après avoir franchi le poste de gardes, Heimdall et le sale mioche pénétrèrent dans la cité.

*Pouah ! Que c’est moche ici ! Me demande comment ils font pour vivre toute leur vie ici. Doivent être tous aveugles ! A moins que ce soit que des crèves la faim qu’ont pas le fric pour se permettre de voyager.*

Heimdall se racla la gorge et cracha. Mais, par chance ou malchance, son crachat toucha un homme allonger dans le caniveau plutôt que l’un des pavés de la rue. L‘homme se redressa avec un cadavre de bouteille en main, prêt à frapper.


Hey ! Ch.…

Le reste mourut dans la gorge de l’homme lorsque son regard tomba sur le visage d’Heimdall qui souriait à pleines dents malgré la menace de l’homme. D’ailleurs l’homme ne resta pas après un signe de la croix il partit en courant pour le grand regret d’Heimdall.

Non mais, sont tous lâches ici ?!?! Ils font tous dans leur froc rien qu’en se disant qu’il risque d’y avoir bagarre ?

Tout en prononçant ces mots Heimdall balayait la rue du regard. Puis il se tourna vers le gosse.

Mets ta capuche. Et je ne veux pas t’entendre ou te voir parler à qui que ce soit. Si tu désobéis tu reverras pas tes parents, et eux te verront entre quatre planches, pigé ?

Comme toujours Heimdall parla en fixant le gamin droit dans les yeux, afin que le gosse voit qu’il serait tué sans hésitation. Une fois qu’il eut récolté sa réponse affirmative, Heimdall donna un léger coup de talon à sa monture qui se mit à avancer. L’homme et le gamin traversèrent plusieurs rues et ruelles à la recherche d’une écurie.

*Non mais c’est pas vrai ! Y’a pas une écurie ici ! Et y’a pas une trace de cette Draupnir. Le jour où on se verra elle va m’entendre ! Et elle va sacrément morfler ! Parole d’Heimdall Hémon Hyacinthe d’Olenius ! Que je me face arracher les c***ll*s si je manque à ma parole.*

Finalement la chance pointa le bout de son nez et Heimdall trouva une écurie. Il détacha la hache à double tranchant accroché à la selle du cheval et commença à arpenter la ville à la recherche d’un autre lieu d’hébergement, mais pour homme cette fois.

*Tu vas pas m’dire qu’il va falloir faire comme l’autre gars là ?!? Ah non ! J’dors pas dans l’caniveau moi ! J’te préviens ! *

Après quelques minutes de marche et toujours la hache à double tranchant en main. Heimdall et le gosse finir par arriver à une auberge.

*La belle d’Angoulême qui disent ? Zont intérêt à être plus belle qu’Angoulême et à avoir un service impeccable sinon ça va mal se passer !*

Il poussa la porte de l’auberge et marcha droit vers le comptoir. Ses yeux fous détaillèrent un instant la pièce avant de se rivés droit vers la personne se tenant devant lui.


Deux chambres pour une durée indéterminée.

Pas de bonjour ni aucune formule de politesse. Pire ses yeux se faisaient menaçant, semblant vouloir dire à son interlocuteur d’être docile, sinon y’aurait de la casse…
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Description physique : Homme bien bâti de deux mètres de haut. Long cheveux blonds. Des yeux bleus pétillant si fort que souvent on se demande s'il y a toujours une once de lucidité chez lui. Et pour finir une longue balafre sillone de son front jusqu'au bas de sa joue droite.
---fromFRVegoku Jr
Junior pensait déjà à tout ce qu’il allait pouvoir dire à Lysi lorsqu’il la croiserait. Il savait qu’il la croiserait, ils n’avaient tout de même pas fait tout ce chemin pour rien ? On ne lui avait pas laisser lire la lettre, mais, il savait que c’était son père qui avait commandé son rapatriement cela voulait logiquement dire qu’il verrait ses parents. Junior fut sorti de ses profondes réflexions par la voix de son oncle. L’enfant leva les yeux vers l’adulte le temps de comprendre ce qu’il lui avait dit.

Oui, je garderai le silence.

Sans faire plus attention à son oncle, Junior se tourna et regarda derrière. Il apperçu un bout de la Charente… S’il remontait le fleuve il serait vite de retour chez lui… Le problème était le cheval de son oncle, beaucoup plus rapide qu’un poney… Si jamais il tentait de fuir il serait sans doute rattrapé en moins de deux… Non, il fallait trouver beaucoup mieux…

Deux voix inconnues sortirent Junior de ses projets d’évasions. Des gardes mobiles ! Junior étouffa un éclat de rire en se souvenant comme Lysi et lui s’amusait à rendre chèvre certain de ces gardes. Malheureusement les deux qui contrôlaient les entrées étaient inconnus à Junior. Ce n’est pas par eux qu’il pourrait faire passer un message…

Une fois que son oncle eu prononcé son mensonge et qu’une femme entra dans Angoulême en courant, les gardes mobiles laissèrent les deux cavaliers entrés en ville… Une fois qu’il eut franchit les portes d’Angoulême, Junior se sentit beaucoup mieux. Il allait forcément rencontrer son père ou sa mère. Dans le cas contraire ce ne serait plus de la malchance !

Suivant son oncle, Junior ne cessait de regarder tout autour de lui. Il était de retour chez lui ! Depuis sa naissance il avait voyagé encore et encore, mais Angoulême était la première ville où il avait eu une maison. Et à cause d’un gros malabar il ne pouvait même pas retrouver son lit !

Junior fit une grimace en voyant son oncle cracher sur un autre homme. Dégouttant. Dire que lui on lui disait qu’il fallait pas cracher n’importe où… A moins que sur un homme ne soit pas n’importe où… Sans plus y réfléchir Junior regarda autour de lui espérant que quelqu’un relève le défi de son oncle et le combatte. Comme ça il pourrait filer…

Mais personne ne dit ou ne fit rien… Sauf son oncle qui se tourna vers lui pour le menacer. Junior déglutit difficilement en se disant qu’il était bien trop jeune pour finir entre quatre planche. Il mit donc sa capuche et suivit son oncle dans ses déambulations dans la ville. Junior aurait certainement pu se rendre utile, mais, il n’en avait pas envie. Il voulait laisser son oncle se débrouiller pour chercher et l’écurie et l’auberge.

Ils finirent par trouver les deux. Junior s’arrêta un moment et se dit qu’il pourrait peut être fuir… Mais, il remarqua que son oncle l’observait attentivement. Non pas tout de suite… Junior suivit son oncle jusqu’au comptoir de l’auberge qui était bien plus grand que lui… Il se recula donc jusqu’à pouvoir voir la personne qui était derrière le comptoir puis abaissa sa tête afin d’être bien caché sous sa capuche…
Damagnac
Damagnac était comptant de ce rendre à l'auberge. Depuis le bal, il n'y avait mis les pieds. Il savait que Miss ne lui en tiendrait pas rigueur. De toutes façons , les planches pour la porte de grange, n'avaient théoriquement pas étaient livrées avant vendredi dans l'après midi, il n'était pas en retard.
Toujours aussi joyeux, blagueur et plein d'énergie, sa longue nuit , l'ayant remis sur pied, il poussa la porte et farceur dit en faisant une révérence appuyée:


Gente damoiselles , je vous salue bien bas !

Il ne s'était pas encore redressé, qu'il sentit comme un vent glacial recouvrir la pièce...
Lentement , il se releva et la ...géante et blonde ''damoiselle", accompagné d'un nain encapuchonné, qui se trouvait devant lui, n'était pas celles qu'il pensait distraire...
---fromFRMissJones
Miss se préparait à aller se coucher, la journée avait été longue après une nuit très courte passée sur les bords de la Charente quand elle vit la porte s'ouvrir bruyamment.

Un homme suivit d'un enfant entrèrent. Miss prête à accueillir les visiteurs avec toute l'amabilité qui la caractérisait fut arrêté dans son élan. Miss n'était pas spécialement petite mais l'homme la toisait de toute sa hauteur et sans même une marque de politesse lui dit avec un regard menaçant


Deux chambres pour une durée indéterminée


Miss n'était pas le genre de femme à se laisser intimider et le regard de l'homme lui faisait ni chaud ni froid. Voulant le lui faire comprendre Miss avec un beau sourire s'adressa à lui avec une extrême politesse

Bonnsoiiir !! Messire, deux chambres dites vous, mais bien sur.

Miss présenta le registre de l'Auberge afin que son visiteur le signe.

Pendant qu'il le remplissait, Miss jeta un coup d'œil au garçon et bien qu'il fit tout ce qu'il pouvait pour cacher son visage, Miss l'entra perçut. Ce visage lui était familier mais elle n'aurait su dire à qui il lui faisait penser. Quelque chose gênait Miss dans l'attitude de l'enfant. Il ne disait mot, se tenant en retrait.

A ce moment Damagnac entra dans l'auberge et avec sa fougue habituelle pensait saluer Miss et Lyu quand il se rendit compte qu'il s'agissait d'étranger.


Miss lui sourit Bonsoir Damagnac, je suis à vous dans un instant

Miss pris deux clés sur le panneau derrière elle et invita les deux personnes à la suivre. Elle gravit l'escalier, sur le palier elle ouvrit une première porte et se tournant vers l'enfant lui dit.

Cette chambre sera la tienne, installes toi et si tu as faim fait le moi savoir, il y a toujours un petit quelque chose à manger dans la cuisine.

Laissant l'enfant s'installer, Miss conduisit l'homme vers sa chambre deux portes plus loin et se tournant vers lui, lui remit sa clé et lui fit la même proposition qu'à l'enfant.

Si vous avez des chevaux Messire, vous pouvez les installer dans l'écurie mais vous devrez vous en occuper. Le petit déjeuner est compris dans le prix de la chambre, il est servit à partir de 6h00 jusqu'à 8h00.

Et avec un grand sourire histoire de lui montrer qu'il ne l'intimidait toujours pas elle lui souhaita une bonne nuitée.

Miss redescendit l'escalier rejoindre Damagnac qui avait subit par la même le regard glacial du visiteur.

Eh bien quel mal embouché ce visiteur !!!! et le pauvre enfant, ça ne doit pas être drôle tous les jours pour lui

Merci d'être passé Damagnac, pouvez vous venir demain pour réparer la porte de l'écurie, les planches ont été livrées, elles sont remisées dans l'écurie.


Le jeune gascon acquiesçât et l'ayant salué s'apprêtait à quitter l'auberge quand Miss le rappela

Damagnac faites moi une faveur, je vous prie, laissez tomber le vouvoiement, je vous considère comme un ami et j'espère qu'il en ait de même pour vous.
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Damagnac
*Sale bon homme!* se dit le gascon.
Il avait suivis toute la scène et pensa que Miss faisait preuve de cran ou de diplomatie. En fait le nain était un enfant, qui d'après son air effacé, n'avait pas l'air très heureux...

Les planches était arrivée, Miss le lui confirma. A sa demande il viendrait donc demain.
Il salua, s'apprêtât à partir, mais Miss lui dit:


Citation:
Damagnac faites moi une faveur, je vous prie, laissez tomber le vouvoiement, je vous considère comme un ami et j'espère qu'il en ait de même pour vous.


Bien sur vous ...tu es mon amie... bien qu'elle fut véritable et qu'il le pensa bien évidement , cette parole prononcée fit drôle au gascon, qui y voyait peut être trop de proximité affirmée d'un coup.
et puisque v... tu me le demande se sera avec plaisir ! Alors à demain Miss, et méfie toi quand même de cette énergumène

dit il en pointant l'escalier du menton...
Il sortit dans la nuit.
---fromFRMissJones
Miss se rendit compte que Damagnac était gêné par sa proposition, pourtant il n'y avait aucune ambigüité dans son esprit. Elle ne nourrissait pas d'autre sentiment qu'une simple affection qu'aurait une sœur pour son frère. Par un fait étrange quand elle voyait Damagnac, Miss pensait à ses frères massacrés des années plus tôt et se disait qu'ils auraient peut être été comme lui s'ils avaient survécus.

Miss vérifia que les portes de l'auberge étaient bien fermées et gagna sa chambre, et pour la première fois, ferma sa porte à clé en repensant à la mise en garde de Damagnac

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---fromFRHeimdall Hémon Hyacinthe
A peine Heimdall passa-t-il sa commande auprès de l’aubergiste que la porte s’ouvrit derrière lui. Il ne se retourna pas pour voir qui s’était, il serra juste un peu plus le manche de la hache qu’il tenait en main.

*Faîtes que ce soit enfin celui qui m’attaquera. Allez je demande pas la lune quand même !*

Malheureusement, l’homme qui était entré ne semblait pas être la pour se battre. Il devait plutôt être là pour faire la cour à l’aubergiste ou autre chose du genre, mais rien qui n’intéressait Heimdall. Il porta son regard sur la femme et eut envie de lui écraser la tête sous sa botte. Elle avait sur le visage un sourire qui ne plaisait pas du tout à Heimdall qui prenait ça comme un défi.

Mais, d’après les instructions qu’il avait reçues tant qu’on ne l’attaquait pas il devait attendre… Il émit un imperceptible grognement. Il attrapa la plume qu’elle lui tendait afin de remplir le registre et écrivit juste trois fois le chiffre huit. Il fit ensuite glisser le registre avec la plume en direction de l’aubergiste sans prononcer un mot.

*A la moindre incartade elle va le regretter. Je me ferai un de ces plaisir en m’occupant d’elle… *

Tandis qu’il pensait une lueur mauvaise fit son apparition sur son visage tandis qu’un sourire tout aussi mauvais fendait son visage.

*Le premier qui lèvera la main contre moi le regrettera amèrement, si bien que je suis sûr que d’autres auront envie de l’imiter et donc mourront à leur tour…*

Il fit un signe de la main au gosse et tout deux emboîtèrent le pas de l’aubergiste. Ils montèrent et la jeune femme ouvrit une première porte. Heimdall laissa l’aubergiste prendre un peu d’avance et en profita pour se pencher vers le gamin et lui murmurer.


Je serai là dans moins de dix minutes, si tu manques à l’appel tu le regretteras amèrement.

Puis Heimdall se redressa et rejoignit l’aubergiste qui était déjà deux portes plus loin. Il écouta ce qu’elle avait à lui dire puis lança quand elle commença à s’éloigner :

Merci, mais faîtes attention j’ai vu de drôles de types en venant ici… Ils semblaient être du genre dangereux…

Il ponctua ces quelques mots par un éclat de rire à donner froid dans le dos. Une fois que l’aubergiste eut disparu de son champ de vision Heimdall se dirigea vers la chambre du gosse. Il ouvrit la porte et prit la clef qui était toujours sur la serrure.

Interdiction de tenter quoique ce soit. Mes oreilles sont plus fines que tu ne le crois.

Sans un mot de plus il ferma la porte de la chambre du gamin et tourna la clef dans la serrure avant de s’en aller en la glissant dans sa poche. Heimdall alla dans sa chambre et posa sa hache proche de la tête du lit afin de l’avoir à portée de main.
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---fromFRMissJones
Miss avait mal dormi et se réveilla très tôt, beaucoup plus tôt qu'à l'habitude. La maisonnée était encore endormie alors sans bruit elle descendit l'escalier en évitant soigneusement la marche craquelant. Elle avait bien avancé le ménage du rez de chaussée. La salle à manger, le salon et la réception brillaient comme un écu neuf, pas un grain de poussière, le sol était tellement propre que l'on pouvait s'y voir dedans.
Deux heures plus tard, Lyu fit son apparition et fut surprise de trouver Miss dans l'arrière cuisine rangeant les ustensiles ayant servis au ménage.


Bonjour Miss Eh bien tu es tombée de ton lit ce matin
Bonjour Lyu Oh non je n'arrivais pas à dormir alors autant m'occuper et puis tu n'auras que l'étage à faire et ensuite tu pourras disposer de ta journée à ta guise

Toutes deux s'installèrent pour prendre leur petit déjeuner alors Miss l'informa de l'arrivée des pensionnaires de la soirée.

Méfie toi de l'homme à la balafre, il n'a pas l'air commode, il est inutile de le provoquer lui dit Miss connaissant le tempérament enflammée de son amie.

Miss se rendit compte qu'elle ne connaissait pas le nom de cet homme, sur le registre il avait simplement inscrit trois fois le chiffre 8. Peut être ne savait-il pas écrire pensa t-elle.

Ayant rapidement avalée son bol de lait et son gruau Miss informa Lyu qu'elle se rendait au pigeonnier.

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Rubiconde
"A la belle Angoulème"
Encore hésitante ; Rubiconde s'approcha de l'auberge. Son panier, chargé de fruits, reposait sur sa hanche, accentuant sa démarche. Elle se rendait sur la place du marché, mais avait grand espoir d’apercevoir Damagnac.
Malgré sa timidité, et ses doutes encore pressants, elle avait prit sa décision. L’auberge était l’endroit le plus convenable pour le rencontrer, après ce bal.


Rubi heurta à la porte,
TOC...TOC...TOC... doucement d’abord...
puis un peu plus fort
.TOC...TOC...TOC...
A l’étage les battants de deux fenêtres n’avaient pas encore été ôtés, signe que des clients dormaient encore.
*Il est encore tôt !*

Elle n’osa insister et fit le tour de la bâtisse afin d’essayer d’apercevoir Miss par une fenêtre.Elle lui avait apporté des cassis cueillis dans son jardin derrière la maison.

Il lui avait fallu tant de courage pour arriver jusqu’ici, qu’elle refusa d’abandonner tout espoir. Sous prétexte de reprendre son souffle, elle posa son panier sur la margelle du puits, plongea ses mains en coupe dans le seau de bois sombre, et but. L’eau claire était fraîche, et désaltérante. Un petit caillou glissa au fond du trou noir et le son caverneux qu’il produit, ravi les oreilles de Rubi.


PLOC !!!...
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