Luaine
Elucubrations de la brune qui se dandinait comme une pintade en tirant sur son corset qui semblait, non! pas qui semblait, qui LUI compressait la poitrine. Ses seins étaient à deux doigts de virer au violet. Tirant au niveau de sa taille, Luaine tenta de trouver quelques inspirations supplémentaires. Sa taille d'ordinaire déjà menue, était devenue aussi fine que celle d'une guêpe. Des mains d'homme aurait pu en faire le tour. Si tant est qu'un homme aurait pu la toucher.
Des bruits de pas se firent entendre en direction du vestibule et levant son visage, elle vit sa cousine, resplendissante et si naturelle. Son aisance était un miracle. On aurait dit qu'elle ne portait rien d'autre qu'une simple robe, sans aucun corset ni jupons rigides. Luaine la regarda la bouche ouverte, béate d'admiration.
C'est ce qu'on appelle le charisme, le maintien, le savoir être, l'élégance, la prestance et d'avantage encore. Elle avait encore tant à apprendre l'oie blanche venu de la campagne lyonnaise.
Luaine arrêta de gigoter et se tortiller comme un ver pour faire honneur à sa cousine. Essayant de ne pas perdre la face, elle lissa le devant de sa robe nerveusement.
Cousine, vous êtes à couper le souffle.
Le sien était déjà pas mal réduit.
Il me faudra des années avant de pouvoir rivaliser avec votre beauté et votre aisance. Si un jour cela était possible bien sûr.
Entendre son nom dans son intégralité, arracha un radieux sourire à la brune. Pas encore très habituée à porter le nom de son père et de sa famille.
Je suis prête ma cousine, Blanche de Walsh-Serrant.
Un énorme soupir faillait la plonger en pâmoison. Elle comprenait enfin pourquoi les dames tombaient si vite en malaise lors de grande et vive émotion. Elle n'aurait jamais du commettre un acte aussi dangereux que respirer fort.
Oulaa! Je vais éviter de respirer trop fort sous peine de défaillir.
Elle posa la paume de sa main sur le haut de sa poitrine.
Enfin le grand jour chère Cousine. Il me tarde vraiment d'être au près de lui. De toucher ce père si longtemps rêvé. J'espère lui faire bonne impression, on ne peut dire que je n'y ai pas mis du mien pour cela.
Un regard accentué d'un léger sourire vers la blonde.
Un carrosse nous attend dehors je pense?
Elle ne pensait pas mais espérait plutôt. Il n'était pas concevable qu'elle monta à cheval dans ces conditions extrême. La situation toute féminine lui fit comprendre bien des choses à l'égard des dames qu'elle pensait guindées et mondaines avec leur carrosse et leur étourdissement.
Blanche arriva à sa hauteur et Luaine lui fit une bise sur la joue en gage d'amitié.
Vous êtes là et je sais que ça va bien se passer.
Un attelage les attendait pour les mener au domaine de son père.
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Des bruits de pas se firent entendre en direction du vestibule et levant son visage, elle vit sa cousine, resplendissante et si naturelle. Son aisance était un miracle. On aurait dit qu'elle ne portait rien d'autre qu'une simple robe, sans aucun corset ni jupons rigides. Luaine la regarda la bouche ouverte, béate d'admiration.
C'est ce qu'on appelle le charisme, le maintien, le savoir être, l'élégance, la prestance et d'avantage encore. Elle avait encore tant à apprendre l'oie blanche venu de la campagne lyonnaise.
Luaine arrêta de gigoter et se tortiller comme un ver pour faire honneur à sa cousine. Essayant de ne pas perdre la face, elle lissa le devant de sa robe nerveusement.
Cousine, vous êtes à couper le souffle.
Le sien était déjà pas mal réduit.
Il me faudra des années avant de pouvoir rivaliser avec votre beauté et votre aisance. Si un jour cela était possible bien sûr.
Entendre son nom dans son intégralité, arracha un radieux sourire à la brune. Pas encore très habituée à porter le nom de son père et de sa famille.
Je suis prête ma cousine, Blanche de Walsh-Serrant.
Un énorme soupir faillait la plonger en pâmoison. Elle comprenait enfin pourquoi les dames tombaient si vite en malaise lors de grande et vive émotion. Elle n'aurait jamais du commettre un acte aussi dangereux que respirer fort.
Oulaa! Je vais éviter de respirer trop fort sous peine de défaillir.
Elle posa la paume de sa main sur le haut de sa poitrine.
Enfin le grand jour chère Cousine. Il me tarde vraiment d'être au près de lui. De toucher ce père si longtemps rêvé. J'espère lui faire bonne impression, on ne peut dire que je n'y ai pas mis du mien pour cela.
Un regard accentué d'un léger sourire vers la blonde.
Un carrosse nous attend dehors je pense?
Elle ne pensait pas mais espérait plutôt. Il n'était pas concevable qu'elle monta à cheval dans ces conditions extrême. La situation toute féminine lui fit comprendre bien des choses à l'égard des dames qu'elle pensait guindées et mondaines avec leur carrosse et leur étourdissement.
Blanche arriva à sa hauteur et Luaine lui fit une bise sur la joue en gage d'amitié.
Vous êtes là et je sais que ça va bien se passer.
Un attelage les attendait pour les mener au domaine de son père.
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