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Archive église Forcalquier

---fromFRZarco
Zarco attendit qu'elle ferme les portes et ils partirent les trois ensemble pour une promenade en forêt
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Prouvencao
Parti quelques temps en retraite, pour prier au calme dans les vallées profondes des Alpes, Prouvencao n'avait pu venir à la messe du dimanche... Et c'était avec une certaine émotion qu'il gravit les marches du parvis, et entra dans l'église de Forcalquier !
Il se dirigea vers un banc pour s'y assoir et méditer sur sa condition... les jours ne sont pas les plus heureux en tant que paysan, mais l'on sait vivre et s'amuser avec ses amis ! Ai-je tant besoin d'une réponse divine ?!?
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Uno avulso non deficit alter
---fromFRAnonymous
Caudelence arriva en ce Mercredi soir en retard, il avait été retenu par une affaire importante.

A son arrivé, il vit messire Prouvencao, assit en pleine méditation, le père Caudelence, s'avançat donc lentement, pour faire le moins de bruit possible et ne pas le gener.

Puis il prépara les lieux pour la cérémonie de ce soir.

Il alluma les bougies.



Il se dirigea ensuite vers la corde afin de faire sonner les cloches, annonciatrice d'un office.


Prouvencao
Ses yeux s'entrouvrirent lorsqu'il vit les flammes des bougies que venaient d'allumer sire Caudelence danser, cela le sortit de sa torpeur ! Il observa attentivement le manège du curé, il en était très intéressé, car dans sa terre natale, point de rite de cette manière... Il se souvient juste la nuit qui précéda l'assaut finale des Turcs sur sa ville... La messe qui vit se rassembler les pieux aristotéliciens génois, et les Grégeois (byzantins) dans la Basilique Sainte-Sophie pour un rite semblable...
Une larme perla, il se souvint de ses amis, de la dernière fois où il les vit vivant... Ces pensées lui étaient insoutenables, et il commença à réciter le crédo pour les oublier dans la ferveur de la prière...
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Uno avulso non deficit alter
---fromFRAnonymous
Caudelence, voyant que Prouvencao, avait été sorti de ses pensées par ses allés et venus, lui fit un signe amical de la tête, il était heureux de le voir présent ce soir.

Un certain nombre de fidèles étaient déjà présent dans la paroisse, mais n'avaient pas osé prendre la parole et se faisait discret. Caudelence se plaça derriere l'autel afin de commencer l'office.


Mes enfants, mes amis.

Je suis content de voir que vous êtes venus ce soir pour assister à l’office.

J’espère que ce début de semaine a été bon.

Mais malgré vos bonnes actions, je suis intimement persuadé, que par maladresse ou erreur, vous avez tous péché depuis dimanche dernier.

Je vous rappel que si votre âme est par trop souillée par le remord, vous avez possibilité de confesse. Je reste à votre disposition pour cela.

Avant de continuer, vidons notre esprit de toutes ces mauvaises idées, de tout ce qui hante nos esprits.

Veuillez repeter ces quelques mots après moi


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Prouvencao
Prouvencao éleva la voix pour répéter les propos de Sire Caudelence :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Uno avulso non deficit alter
---fromFRAnonymous
Caudelence poursuivit son office.

Le Tout Puissant nous a pardonné car il nous aime et nous nous devons de l’aimer en retour. Je vous rappel que sans Lui, nous n’existerions pas. Il nous a créés alors que rien ne lui obligeait et nous nous devons de l’aimer pour Le remercier de ce geste.

Je vous invite donc maintenant à reciter le credo

Prouvencao
Prouvencao récita la monotone litanie :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Uno avulso non deficit alter
---fromFRAnonymous
Laissez moi vous lire un passage du livre I des vertus, la deuxième partie, au chapitre 2 – Le travail. Cet extrait nous parle, comme son titre l’indique du travail de chacun pour produire de quoi survivre tout en étant en communion avec la nature, mais le passage que je souhaite partager avec vous ce soir, concerne un rappel sur la nécessité de venir aux offices afin de prier pour remercier Dieu.

Citation:
Le temps faisant son travail, les hommes et les femmes devinrent de plus en plus nombreux, maintenant leur amour pour Dieu et rejetant dans l’ombre La Créature Sans Nom. Celle-ci nourrissait chaque jour un peu plus son amertume et sa colère envers ce peuple tant aimé de Dieu qui lui avait pris sa place de reine de la Création. Les hommes et les femmes vivaient insouciants alors que dans l’ombre, leur ennemi préparait sa vengeance.

Dieu avait ordonné aux hommes et aux femmes de travailler pour assurer leur subsistance. Ce dur labeur les éloignait ainsi de l’acédie. Et les hommes et les femmes savaient être inventifs, car Dieu les avait conçus ainsi. Ils récoltaient ce qu’Il avait placé pour eux dans la nature. Ils se mirent à contrôler ces ressources afin d’assurer leur subsistance et leur vie n’en fut que meilleure.

Ils prirent le blé qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Le meunier transforma le blé en farine dans son moulin. Le boulanger la cuisit dans son four pour faire le pain. Ils prirent le maïs qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Ils prirent les légumes qui poussaient dans la nature et les cultivèrent dans leurs potagers. Ils cueillirent les fruits qui se trouvaient dans certains arbres et purent ainsi s’en nourrir. Le plaisir apporté par les légumes et les fruits les rendait plus agréables à côtoyer.

De la mer, des rivières et des lacs, ils pêchèrent du poisson. Et leur intelligence s’en trouva grandie. Ils inventèrent la barque et les poissons se firent plus nombreux encore entre leurs mains. Parfois, certains d’entre eux se réveillaient un matin sous une barque. Ils priaient alors Dieu de ce cadeau. Ils élevèrent des vaches, des cochons et des moutons dans leur pâturage, prenant soin de ces créatures qui leur avait été confiées par Dieu. Ils les nourrirent et ces créatures devinrent plus grasses.

Le boucher prépara la viande à partir des carcasses de ces créatures. Pour cela, ils inventèrent le couteau, instrument permettant de séparer les chairs les unes des autres. La viande qu’ils en tirèrent les nourrissait, mais ils se sentaient surtout plus forts après en avoir consommé. Des vaches, ils prirent également le lait, doux nectar sans égal.

Ils tondirent les moutons et en prélevèrent la laine. Ils en récupérèrent la peau pour en faire du cuir. Le tisserand lia la laine et le cuir pour en faire des vêtements, qui les protégeaient du vent et assuraient la décence de leur apparence. La nature leur donnant accès à tout ce qu’ils pouvaient espérer, ils durent inventer des tonneaux, où ils purent entreposer les fruits de leur labeur.

Pour se protéger lorsque les fenêtres du ciel s’ouvraient, ils créèrent les maisons et y habitèrent. Ils les aménagèrent avec des lits, des bougies, des tables, des chaises... et tout ce qui pouvait améliorer le confort de leur vie. Pour cela, le mineur préleva la pierre et le fer dans les mines. Et le bûcheron coupa le bois des arbres. Pour faciliter ce travail, le forgeron modela le fer et le bois pour en forger des outils, tels que les haches ou les couteaux.

Parfois, Dieu contribuait à cet âge de bonheur en donnant à ceux qui savaient aimer le monde de la nourriture, qu’ils n’avaient alors pas à produire. Parfois également, ils les encourageaient en les rendant temporairement plus forts, plus intelligents ou plus charismatique. Et le dimanche, avant le repas, ils se réunissaient au milieu de leurs habitats, autour de la tombe d’Oane, pour prier ensemble Celui qui les aimait tant. En effet, ils n’avaient pas encore de clercs, car n’en avaient pas encore l’utilité, étant en communion directe avec Dieu.
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Mes enfants,

Comme vous avez pu l’entendre, le livre des vertus, nous invite à nous réunir chaque Dimanche, et Mercredi soir, afin de prier celui qui nous aimes tant, Dieu, de part notre présence lors de nos prières, nous montrons à Dieu, que nous sommes reconnaissant des bienfaits de notre vie et que nous l’en remercions.

Mais demandez-vous également, pourquoi vous venez en ces lieux !

Est-ce simplement pour vous montrer ?

Est-ce uniquement pour vous donner bonne conscience ?

Est-ce pour me faire plaisir ?

Non, il s’agit surtout de renouveler vos engagements du baptême et dès lors, cela vous rapprochera de Dieu et vous en serez renforcer dans les difficultés que vous pourrez rencontrer. Cela vous permet également de pouvoir soulager vos maux et de vous en remettre à Dieu. C’est une chance que nous avons de pouvoir afficher librement notre culte, rappelons-nous que dans certain pays, des fidèles meurt pour avoir affiché leur foi.

Alors je vous exhorte, à partager ces instants de bonheur et de joies avec vos amis, vos relations de ceux que vous aimez, appeler les à venir avec vous lors du prochaine office, faite partager cet instant de communion, et soyez fier d’être des fidèles de notre Eglise, afficher la médaille qui vous a été remise lors de votre baptême avec fierté, trop peu de fidèle la porte.

Qu'aristote et Christos soient votre guide chaque jour de votre vie.


Puis Caudelence se dirigea vers la porte de l'église afin de remercier et de saluer les fidèles.
Prouvencao
Prouvencao avait écouté le sermon de Sire Caudelence, il se leva péniblement, les courbatures du travail de la journée se faisant ressentir après être resté trop longtemps sur les bancs de cette église... Il se dirigea vers la sortie, il croisa le curé attendant ses fidèles, il le salua respectueusement d'un léger inclinement sans dire mot, puis disparut dans les sombres ruelles de Forcalquier !
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Uno avulso non deficit alter
---fromFRAnonymous
Caudelence, se hâta de descendre les marches du parvis de l'église pour rejoindre Prouvencao, il l'appela et lui dit

Mon fils,

Déjà, j'ai été content de vous voir ce soir, mais, je vous sens crispé, tendu, rappelez vous que si je peux faire quelque chose pour vous, ne vous gêner pas, venez me voir.
---fromFRNadhas
Nadhas pénétra dans l'Eglise. Depuis ces derniers voyages, elle n'a pu assister à une messe car il n'y avait pas de curé à Aix ni à Marseille. Elle se sentait toujours sereine lorsqu'elle rentra dans la maison du Très Haut. Elle s'installa comme à ses habitudes à la premières rangée et pria le Très Haut pour Ylenia, pour son homme, pour l'amitié...
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Nadhas de Forcmalango

Résidente de Forcalquier
Cultivatrice de maïs
Membre de l'ordre du Phoenix
---fromFRAnonymous
Caudelence arriva à l'église de Forcalquier afin de praparer la messe de ce dimanche, en arrivant, il aperçut Dame Nadhas, qui était déjà, présente.

Il la saluat, alluma les cierges, puis fit sonner les cloches.




---fromFRNadhas
Nadhas salua discrètement Sir caud et patienta en priant
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Nadhas de Forcmalango

Résidente de Forcalquier
Cultivatrice de maïs
Membre de l'ordre du Phoenix
---fromFRAnonymous
Un certain nombre de fidèles étaient déjà présent dans la paroisse, mais n'avaient pas osé prendre la parole et se faisait discret. Caudelence se plaça derriere l'autel afin de commencer l'office.

Mes enfants, mes amis.

Je suis content de voir que vous êtes venus en ce dimanche assister à l’office.

J’espère que cette semaine a été bonne pour vous.

Mais malgré vos bonnes actions, je suis intimement persuadé, que par maladresse ou erreur, vous avez tous péché depuis mercredi dernier.

Je vous rappel que si votre âme est par trop souillée par le remord, vous avez possibilité de confesse. Je reste à votre disposition pour cela.

Avant de continuer, vidons notre esprit de toutes ces mauvaises idées, de tout ce qui hante nos esprits.

Veuillez repeter ces quelques mots après moi


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
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