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Archive église Forcalquier

Sarada
Il se faisait tard et le sommeil ne venait point ,sortant de sa taverne ,Sarada passa par l eglise .

Elle penetra sans faire un bruit et s avança au plus pres de autel .
Elle se mit a genoux et pria aristote de l aider et de la soutenir dans ses choix ,aucuns doute au sujet de son mariage ,non ,elle etait sur et certaine que celui la etait bon ,meme si elle douté en ses capacités a rendre heureux tommy .
Elle pria longuement pour que son mariage soit parfait et aussi pour que sa famille arrive a temps ,saine et sauve .
Elle leva la tete et fixa un instant devant elle pensant que demain a cette heure elle serai unis a celui qu elle aime et ce pour toute la vie ,cela la fit sourire .

Est ce sa le bonheur ? cette sensation que l on ressent au fond de soi et qui nous apaise le coeur !
Elle se releva non sans difficultés et marcha en direction de la sortie . Presque arrivait aux portes ,elle se retourna sachant que c etait la derniere fois que sarada Mamio sortait de cette eglise demain elle serai autrement .

Elle quitta l eglise un peu nostalgique de ses debuts a forc et aussi de ses amis de l epoque (Duc ,Cast Peré, et bien d autres ) encore une page qui se tourne dans le livre de sa vie . Elle pressa un peu le pas pour rentré chez elle.
Ysabelle


Guirre et Ysabelle alla rejoindre Zarco & Calli pour qu'ils se rendent ensemble à l'Église.

Chloé tenait la main d'Y. et de Calli et trotinait en chantant des contines. Les hommes discutaient ensemble de projet pour Zarco.

Ils montèrent les marches de l'Église et ils furent surpris de constater qu'ils étaient les premiers. Ils entrèrent dans l'Église et attendire les invités.
pnj
Allez! Il est temps!

Voici les mots que l'on aurait pu entendre si on se trouvait à l'arrière de l'église, partie normalement interdite aux civils. Ce n'était Karl qui avait parlé, lui, il se reposait encore, mais bien un bedeau, dégarni et défiguré il y avait de cela trois ans par une gerbe de flamme que la chute de sa bouteille d'alcool dans la cheminée avait provoquée. Ce même bedeau tentait désespérément de réveiller le diacre qui sommeillait sur la paillasse depuis déjà quinze bonnes minutes.

Allez mon frère, debout, vous allez être en retard! Mon frère!

Rien à faire, le corps de Karl réagissait comme celui d'un cadavre et ce malgré le fait qu'il respirait. Le bedeau dut donc renoncer de peur de secouer tellement fort qu'il casserait les os qui maintenaient encore difficilement seuls le dos du diacre et partit en se disant qu'il userait de nouveaux moyens pour réveiller cet homme. Cependant, au moment même où partit le bedeau, le croate ouvrit un oeil, il ne dormait pas, même un boeuf n'aurait pu rester endormi avec quelqu'un qui le secouait de telle manière. Karl, lui, avait appris à faire le mort pour éviter les rendez vous oppressants et pénibles et peu de gens avaient assez d'opiniâtreté pour secouer quelqu'un continuellement en voyant qu'il ne se réveille pas.
Le diacre fit se lever sa seconde paupière et se redressa de manière à maintenant être en position assise, il regarda autour de lui, le bedeau était parti. Parfait! Il se leva et se dirigea vers la porte à pas de loup. Il n'avait plus qu'à...


Mon frère! Attendez!

...Et misère! Il s'était encore fait prendre! Décidément, on ne pouvait plus bailler aux corneilles tranquille. Le croate eut un instant l'envie d'étourdir le bedeau pour ensuite s'enfuir prendre un peu de repos, mais cela n'aurait pas été très charitable, après tout, il l'avait accueilli et lui avait confié une chambre. Le croate se retourna donc en adressant un sourire cordial au bedeau, bien que derrière se sourire se cachaient bien des noms d'oiseaux qui pourraient choquer bien des gens.

Ouiii?

Le bedeau n'eut pas l'air de comprendre le problème de Karl, il fallait dire que le critère de recrutement des bedeaux n'était pas vraiment l'intelligence. Surtout celui là...

Et bien, vous avez un mariage à célébrer. Des fidèles vous attendent.

Il n'était peut être pas intelligent mais avait une sacrée mémoire le débile! Comment pouvait-on dormir tranquille avec une telle calamité qui nous nous empêchait de nous "ressourcer". Peuah... Karl était bien content d'être à Marseille tiens. Enfin bon, il s'était engagé, donc bon, autant y aller. Le diacre se dirigea donc vers la salle principale.

Bien, va donc sonner les cloches.

Le diacre entra dans la salle principale, sans canne cette fois. Il se mouvait certes avec un peu de difficulté, mais Karl était certain que cela s'arrangerait d'ici peu, après tout, il en avait connu d'autres. En avançant, il salua les quelques fidèles d'un signe de la tête sans véritablement s'arrêter sur leur tête, à vrai dire, le diacre n'aurait même pas pu dire s'il connaissait des personnes présentes, cela l'intéressait si peu pour le moment. Puis, une fois sur le parvis, il se planta droit à côté de l'entrée et put entendre distinctement les cloches résonner dans le village, ce qui annonçait qu'un sacrement allait s'y dérouler.

Kylah
Kylah savait que des noces étaient célébrées ce jour; elle avait croisé les futurs mariés la veille et l'avant-veille en taverne. Après avoir pris soin de brosser ses vêtements et d'endosser un châle vert de très belle facture, elle prit la direction de l'église de Forcalquier...

La porte était ouverte; elle entra et ôta son couvre chef vert..Peu de gens étaient déjà là, mais elle opta pour une place sur un banc au dernier rang. Elle voulait laisser meilleures places aux proches des mariés avant tout. Et puis...Elle attendit tout simplement, chapeau sur les genoux.

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Tommyheinrich
Tommy était encore chez lui. Il s'habillait, se mettait devant le miroir, se regardant un peu, ajustant son costume. Il sourit, prenant une pause assez bizarre. Il trouvait que ce costume lui allait plutôt bien. Il avait laissé la fenêtre ouverte, écoutant les quelques oiseaux, d'un un arbre proche, chanter tranquillement. C'était une belle journée ensoleillée ce qui le fit encore plus sourire. Ca n'était pas tout les jours en automne qu'il faisait si beau... Ils étaient vraiment bien tombés ! Après quelques minutes passées assis au bord de la fenêtre, il entendit les cloches de l'église sonner... C'était l'heure ! Il ne savait pas où se trouvait sa compagne mais il avait hâte de la voir dans sa belle robe... Il réfléchit quelques secondes, allant à l'entrée de leur maison, et se dit qu'en faite, c'était la première fois qu'il voyait Sarada en robe... Il n'avait pas de souvenirs d'elles en longue robe. Ca allait donc être une première. Il sourit, se mettant au pas de sa porte, attendant un peu...
Après quelques minutes, il se leva, prit une bonne oufée d'air et commenca à marcher en direction de l'église. Lorsqu'il arriva à la porte, il fit demi-tour et attendit un peu dans l'ombre...
Damearwen
Dès qu'elle entendit les cloches Arwen marcha en direction de l'Eglise, depuis qu'elle avait croisé Sarada cette nuit et Tommy le matin elle ne risquait pas de rater l'évènement qui lui avait fait faire le détour par Forcalquier. Elle avait sortie une de ses plus belles toilettes, une robe dans les tons rouges foncés ornés de broderies dorées. Elle avait trop peu l'occasion de s'apprêter pour ne pas être élégante un jour si important.

Elle savait que c'était un ami qui officiait ce qui la rassurait un peu dans cette ville où elle ne connaissait plus grand monde. Elle pénétra silencieusement dans le lieu sacré et salua de la tête les gens qu'elle croisait avant d'aller se placer vers le milieu de l'Eglise. Elle s'assit et resta méditante le temps que la Cérémonie débute

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pnj
Jadounet2 arriva devant l'église avec ses trois enfants plus Thomas et Maelys, elle sourit en regardant les cinq enfants bien vêtu et veilla a ce que les enfants soit quasiment parfait et qu'ils restent sage .


Les enfants soyer sages , et attendez calmement , ne vous salisser pas !

elle attendit en gardant les enfants près d'elle .
pnj
Après un long voyage, éreinté par la fatigue, Cocciante arriva enfin à destination.
L'église était vide ,mais il ne put s'empêcher d'y pénétrer afin de s'y recueillir et remercier Aristote de l'avoir guider et mener à destination.
Il prit sa coiffe des deux mains, avança près de l'autel lentement et s'agenouilla pour aller prier.
pnj
Il y régnait une atmosphère de calme et de tranquillité, Cocciante pensa à ses amis qu'il allait retrouver, il pensa à Sarada et Tommy qui allaient s'unir dans ce lieu saint et son coeur fut rempli de joie.
Il se releva en faisant le signe de la croix et rejoignit le fond de l'église pour attendre ses amis.
Tommyheinrich
Tommy s'avanca enfin vers la lumière voyant quelques personnes rentrer. Il se mit devant la grande porte de l'église, sourit et s'avanca dans l'église, marchant droit vers l'autel où y était déjà posté Necro...
Il arriva à sa hauteur et sourit.

Bonjour diacre ! Comment allez-vous ?

Il lui fit un grand sourire, hésitant à aller lui faire une petite accolade...
pnj
Cocciante vit ses amis arriver les uns après les autres, il se leva pour aller s'assoir près d'eux
pnj
Voyant quelques personnes entrer, le diacre les salua d'un signe de la tête, sans plus de cérémonie, le diacre voulait se concentrer sur l'arrivée des principaux intéressés. Puis, il vit le futur marié, l'une des 4 personnes attendues, enfin! Finalement, Karl se dit qu'il aurait bien pu rester couché un peu plus, enfin bon...

Bonjour Tommy, et bien, cela peut aller, même si je suis inquiet du peu de présence actuel dans l'église, je pensais qu'il y aurait tout de même un certain monde... Je ne vous retourne pas la question, je me doute que c'est un très beau jour pour vous, l'un des plus beaux probablement, celui où vous pourrez célébrer l'amour réciproque que vous vous portez avec votre épouse et l'officialiser devant le Très Haut.
Prouvencao
Prouvencao pénétra dans la nef, et avança d'un pas nonchalant vers son ami Tommy, et le diacre qui devait faire la cérémonie... Il s'inclina courtoisement devant le clerc, et fit une chaleureuse accolade au marié, avant d'aller se mettre à l'écart pour méditer en attendant la cérémonie !
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Uno avulso non deficit alter
Calentot
Sur la place du village :

Calentot avait passé la plus part de son temps assis sur un vieux banc où régnait fiente de pigeon, comme à son habitude pour ne pas se salir, il s’y était installé sur le haut de celui-ci, les pieds sur le bois craquelé par les méandres du temps. Bien souvent, il passé son temps à siffler les filles et à filer quelques écus aux têtes blondes pour qu’ils aillent soulever leurs jupes de sa part mais en ce quatrième jour d’octobre, toutes ses pensées se tournaient vers ses sœurs et plus particulièrement vers Sarada.
Les yeux dans le vide, le visage démonté, il pouvait sentir un stress l’envahir peu à peu … En effet, c’était lui l’aîné des Mamio, le plus vieux et le seul homme de la famille. C’était à lui de conduire sa sœur à l’autel et de représenter la famille. Tant de questions et de doutes tournaient et tourbillonnaient dans sa tête que quelques goutte de sueur naissaient sur son front. Chassant ses craintes d’un revers de main, il se frotta le menton et fronça les sourcils. Il savait bien qu’il était capable d’avoir ce charisme et la fierté, il l’avait déjà en lui. Faut dire que dans la famille, la fierté était comme leur égo… surdimensionnée et leurs caractères bien trempés leurs donnaient l’assurance que d’autres n’avaient pas.
Il pensa aussi au futur époux de sa sœur, son beau-frère dans quelques heures. Il reconnut ne pas avoir était des plus juste ni des plus tendre avec lui mais il se devait de protéger sa sœur et de s’assurer qu’elle aurait un bon mari.
Il se leva d’un bond quand il entendit le clocher de l’église raisonner, plus le temps de rêvasser ou de se poser des questions. C’était l’heure d’aller chercher sa sœur à sa taverne.

A la taverne :

Calentot arriva d’un pas pressé vers la taverne et s’arrêta juste devant la fenêtre de celle-ci après avoir vu la silhouette de Sarada au travers. Elle se trouvait là, belle comme un cœur, son ventre arrondi par la venu d’un petit bonheur pour les parents. Il prit le temps de l’observer, de l’admirer et des larmes virent couler le long de ses joues. Elle ressemblait énormément à leur défunte sœur Lalami. Calentot eu un coup au cœur en pensant à toutes ces personnes qui manquaient en ce jour. Mais il le savait bien, elles se trouvaient là haut et seraient dans leurs cœurs.
Il prit une grande respiration et se frotta les joues pour effacer toute trace de tristesse, c’était le plus beau jour de sa sœur et pas question que quoique ce soit vienne gâcher ça. Il se passa la main dans les cheveux et enfonça ses mains dans ses poches. Prit un air décontracté et se posta devant la porte de la taverne. Il poussa la porte avec son pied et entra l’air de rien en sifflotant un air de musique grivoise qu’il avait entendu chanter par les gniards du village.
Il rit en voyant Sarada sursauter les mains dans les cheveux pour ajuster son voile et se dirigea vers elle. Il lui prit le visage dans les mains et l’embrassa tendrement sur le front en lui disant qu’elle était superbe. Il plaça lui-même son voile et lui offrît son bras pour l’emmener à l’église.

A l’église :

Le chemin avait était long et difficile bien qu’il soit court. Tous les gens présent dans les rues et ruelles se retournaient sur eux et les gamins les plus polissons s’amusaient à leurs courir après. Calentot se devait d’avoir des bonnes manières mais intérieurement, il pestait de ne pas pouvoir distribuer quelques coups de pieds dans les instruments à vent de ces garnements. Lui et sa sœur n’avait pas décroché un mot ou que très peu mais Calentot lui glissa qu’il était fier d’elle et qu’il l’aimait.
Les portes de l’église devenaient de plus en plus grandes au fur et à mesure de leurs avancés. Quelques personnes se trouvaient devant et sur les marches. Calentot sentit son cœur accélérer et ses jambes tremblèrent si faiblement que Sarada ne pouvait pas le ressentir. Il bomba le torse, releva le menton et d’un signe de tête fier salua l’assemblée avant de pénétrer dans le lieu saint.
Il s’arrêta un moment et regarda Sarada dans les yeux comme pour lui demander si elle était sûre de son choix…
Sarada
Dans sa taverne

Sarada la peur au ventre se préparait, elle ne cessait de ce regarder, tantôt pour ajuster sa robe ,tantôt pour fixer son voile sur ses cheveux. Rien n allait, le stress lui faisait faire des bêtises et l émotion la gagner de plus en plus. La main dans les cheveux en train de replacer son voile.
Elle fût surprise par l arrivée de calentot. Elle le regarda, ils n avaient pas besoin de mots, ils se comprenaient sans même parler, cal lui prit le visage et l embrassa sur le front sachant que ce geste était ce dont elle avait besoin. Par ce baiser, il l avait rassurée sur ses craintes. Elle senti son cœur s apaiser et l émotion s envoler. A présent elle était sereine, son frère veillait sur elle. Elle se regarda encore une fois et prit le bras de Cal.


Sur le chemin de l église

Elle avançait la tête haute, le corps bien droit, bien que son ventre penchait un peu en avant. Perdue dans ses pensées, elle marchait tout en fixant droit devant elle. Le regard fixé sur les portes de l église qui se rapprochaient de plus en plus, elle n’entendait rien autour d elle, juste la voix de cal et les brefs mots qu’ils échangèrent.
Devant les portes, Sarada serra un peu plus le bras de son frère. Ils s arrêtèrent un court instant, un échange de regard, Sarada fit un léger signe de tête pour le rassurer. Elle était prête. Ensemble ils entrèrent dans l église…
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