Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >>

[RP] Ainsi va la vie ... ou la mort

Nefi


les soins achevé nefi avait laissé stella veiller sur nabel, la sachant en de bonne mains elle s'était éclipsé dans la salle attenante pour préparer un cataplasme pour le dos de la blessé. elle entendit soudain tousser et des cris l'appelant. sortant vite de la pièce elle se trouva nez à nez avec stella.

chutttt stella calme toi, tout iras bien,.
..

s'approchant elle vit loulou faire préssion sur les plaies du dos, les draps autour était rougeoyant de sang.

parfait loulou bon reflexe,

regardant la bouche de nabel elle s'assura que cette dernière ne toussait pas du sang et fut soulagé de constater que non.

prenant une cisaille elle t attaqua à couper les bandages point le temps de s'en soucier. puis elle constata qu'une des sutures c'était rompu.

loulou il va falloir m'aider à la maintenir bien droite. que je refasse les points. la pression quand elle a toussé à fait lâcher le fil.

se rinçant soigneusement les mains dans de l'eau clair elle reprit fil et aiguille pour rectifier. puis s'éclipsa dans l'autre pièce pour chercher sa préparation dont elle enduisit le dos de la jeune femme, avant de refaire un pansement, et de changer le bras souillé.

voilà on va pouvoir l'étendre de nouveau... merci de ton aide loulou.

installant au mieux la jeune femme elle passa une main fraîche sur son front brûlant.

repose toi ma belle je vais te donner de quoi soulager ta douleur je reviens. nous sommes la et veillons sur toi.

_________________
Nabel7


Comme elle aurait voulu s'endormir pour ne pas sentir l'odeur du sang, pour ne pas voir Thierry fuir comme si c'était une lépreuse.
La jeune fille fut bien soulagée de voir arrivée sa Stella, même si au fond d'elle, Nabel aurait aimer prendre la main du bel inconnu et être rassurée.

Le temps passer bien trop lentement... Loulou, Stella, et collé contre le mur Thierry tenant la petite Johanna. Quelle beau tableau ...
Une pression sur le dos, lui indiquant que Loulou essayer d'empêcher le sang de s'écouler ... et une Stella à la recherche de Nefi.

La doctoresse arrivait, les soins se firent. Nabel sentie l'aiguille, et bientôt la blessure fut refermée, le bandage refait.
Les paroles de Néfi étaient douces, rassurante, pourtant la blondinette avait froid... des bouffées de chaleurs aussi. Elle était fatiguée, et aurait aimée s'endormir, pour se réveiller et se rendre compte que tout cela n'était qu'un mauvais rêve.
Mais rien à faire, ses yeux, même s'ils se fermaient, ne laissaient son esprit en paix, et le sommeil ne voulait venir.
Regardant la pièce, sans trop rien voir au final, Nabel laissa le temps s'écouler... puis exténuée, finie par s'endormir.

_________________
Leportel62


Chou revint rapidement accompagnée de la Doc. Lou effectué toujours une compression sur la plaie et Nefi l'en félicita.

Elle coupa les bandages et constata qu'un point de suture avait lâché. Il l'aida à la maintenir assise pendant qu'elle refaisait ce point et qu'elle lui refit un nouveau bandage.

Ils allongérent tranquillement Nabel laquelle aprés quelques regards hagards finit par trouver le sommeil.

Lou se lava les mains et alla récupérer son ange qui souriait à l'inconnu. Elle était ravissante et gracieuse. Si elle devenait aussi jolie que sa maman, de nombreux coeurs allaient saigner.

Merci. Vous allez bien? Vous êtes bien pâle l'ami. Au fait, je suis loulou et vous?
Malgré sa souffrance, j'ai bien remarqué que Nabel vous cherchait du regard. Rapprochez-vous, tenez lui la main et essayez de la réconforter en lui parlant.
A moins que la doc n'y voit une contr'indication
.......
]
_________________
Stella...


Stella se calma en écoutant les paroles de Nefi... Elle s'isola un instant dans un coin de la pièce laissant sa fille dans les bras de l'inconnu.
Une fois que Chou et Nefi eurent finit avec Nabel, elle s'en alla à ses côtés et lui fit un doux bisou en lui murmurant...


Repose toi ma Belle... Je vais te laisser avec le Messire... Je sais que tu seras entre de bonnes mains... Je viendrais te voir quand tu auras pris des forces... Je ne veux pas t'épuiser davantage...

Elle lui sourit tendrement et se dirigea vers Chou qui parlait à l'inconnu :


J'ai besoin d'aller faire un tour... Tu reste ici ou tu m'accompagnes ?

Elle le regarda prendre son petit Trésor et sourit... Leur petite étoile devenait chaque jour de plus en plus jolie... C'est qu'elle allait en faire des ravages d'ici quelques années...
Un soupire se laissa entendre... Elle repensait aux hommes qu'elle avait fait souffrir et s'en voulait quelque peu... Mouarf, Stella reprit ses esprits en se disant qu'elle avait encore bien des années devant elle avant qu'elle ne rencontre ce genre de problème avec sa fille...
Elle posa un petit regard triste sur Chou et attendit sa réponse...

_________________
Nabel7


Le sommeil ... qu'est ce que cela pouvait être bénéfique et surtout une façon de ne plus rien sentir, de ne penser à rien d'autre qu'aux songes qui hante son sommeil.
Cela faisait quelques jours à peine que la blondinette avait laisser le monde réel derrière elle. Ses rêves étaient souvent agités, d'autres étaient tout simplement un soulagement pour elle.
Toutes sortes de choses défilaient dans sa tête ... mais elle s'accrocha aux figures familières... Tsampa... et d'autres qu'elle aurait souhaiter oublier ...

Les rayons du soleil vinrent caresser son visage, et ses yeux, collés par quelques larmes qui s'en étaient échappés, finirent par s'ouvrirent.
Un coup d'œil un peu partout, personne... elle avait eu besoin de repos, on le lui avait accordé, elle était contente ! Nabel devait avoir une tête affreuse !

S'appuyant sur ses coudes, la jeune fille se leva, tant bien que mal, et après quelques rictus de douleur, elle arriva finalement à se mettre en position assise.
Seule, elle posa sa main sur une table qui était couverte de parchemin.
Cela faisait plus de vingt jours maintenant qu'elle avait était poutrer, les nouvelles, elles, traversaient facilement les frontières.
Les vélins se succédèrent, les écritures lui étaient familières.

Sourire aux lèvres, la blondinette était simplement heureuse. Dernière lettre, une autre, une nouvelle de Tsampa.
Le seau, l'écriture qu'elle aime tant lire. Nabel sourit, Nabel lit.
Une larme, deux, et bientôt, bouche ouverte, et yeux clos, la blondinette laisse le parchemin tombé.
Les mots sont pourtant doux, même si en les écrivant, Tsampa savait ...
Mais comment est ce possible ... Tout aller pourtant très bien quand elle c'était décider de revenir en Artois ... il aller bien.
Et aujourd'hui, par ce vélin, elle apprenait que le seul homme qui est vraiment compter pour elle avait confié son âme au Très Haut après avoir souffert d'une maladie bien inconnue.
Son oncle, elle avait perdu son oncle, celui qui l'avait recueilli, celui qui lui avait tout appris.

Un besoin urgent de sortir de cette pièce, un besoin de voir les quelques rayons qui traversent les nuages, de respirer l'air frai.
Comme par mécanisme, ses jambes se libèrent du draps, et ses pieds se posent doucement sur le sol, écrasant la lettre qu'elle avait laissé choir quelques minutes plus tôt.
Une chemise, une paire de braies... et voila la Nabnab dans les couloirs du fort, qu'elle reconnaîtrait les yeux fermés.
Mais ses yeux son ouvert et les larmes coulent, alors que longeant les couloirs, la jeune fille arrivent finalement devant une grande porte.

S'approchant du puits, où avec Stela elle ont tant rit, la jeune fille s'assoie.
La pluie tombe doucement d'abord puis plus rapidement et plus fort, mais elle reste là ...


_________________
Thierry_honore


Thierry Honoré est sur la place, en train de chercher au marché des livres reliés, un Livre des vertus. Comment vivre sans ce livre, c'était tout bonnement impossible. La pluie s'était mise à tomber, lente et langoureuse au début. Rageuse quelque minutes plus tard... Il aperçut une tête qu'il connaissait, assise sur le rebord de la fontaine. Nabel, elle qui était encore si faible ! Il songea un instant à l'interpeller, mais se rendit compte alors que la jeune femme pensait.

A quoi ? A la mort ? Certainement. Comment ne pas y penser quand on vient de la frôler, et qu'un a un, les membres de sa famille trépassent ? Il y avait songé, lui aussi, au père qu'il ne connaîtrait jamais, à l'amour d'ailleurs qu'il ne connaîtrait pas, et au plaisir des sens, chose bien futiles mais tellement revigorante... Cela non plus il ne le connaîtrait plus. Il s'avança, la pluie désormais battait les murs, comme une folle. Thierry traversa la place, et s'assit à côté de sa cousine.

Dans un geste de tendresse, mêlé de tristesse et dénué de tout intérêt sordide, il lui prit la main.

Et il serra très fort.
Nabel7


Elle venait d'apprendre la mort de cet oncle tant aimé, cet oncle qui pour elle était comme son père, qu'elle avait peu connu.

Il avait était là, quand abandonnée, elle c'était retrouvé seule au domaine familial, et lui, l'avait pris sous son aile, direction l'Artois.
Là bas, elle avait trouvée sa vie, ici elle avait était heureuse.
Alors le savoir mort, loin d'elle, qui bloquée ici, ne pourrait même pas assister à l'enterrement, cela lui déchirait le cœur.

La pluie se faisait de plus en plus forte, et ses larmes de plus en plus nombreuse à couler sur ses joues rosies par le vent frai. La tête baissé, elle ne vit pas Thierry s'installer à ses côtés. C'est seulement quand elle vit sa main se poser sur la sienne, et quand elle sentie cette dernière serrée dans celle de l'homme qu'elle compris la présence amicale de l'homme qu'elle connaissait si peu.
Pourtant, et sans trop savoir pourquoi elle était heureuse qu'il soit là. Relevant la tête, elle essuya les larmes de sa main libre.

Son regard plongea dans celui de Thierry. Ces yeux, elle les connaissaient, et ils lui rappelait tant un être tant aimé... mais comment est ce possible ? Arrêtant de penser, elle sourit à l'homme, simplement, les yeux toujours remplient de larmes. Dans un murmure quelques mots s'échappèrent


Bonjour .... je suis désolée pour l'autre jour ....

Elle ne savait pas trop quoi dire, pourtant la blondinette avait envie de parler à cet homme qui lui rappelait tant de choses. Même inconnu, Nabel savait que leurs destins étaient liés.
Alors que ses pensées défilaient dans l'esprit troublé de Nabel, ses yeux se posèrent sur un bijoux pendant autour du coup de Thierry.
Comment? comment est ce possible que ce bijoux soit ici en Artois.
Une chaine en argent, épaisse, dont le pendentif en forme de croix et serti de plusieurs saphirs... bijou qui appartenait à Th!


Quand elle n'était encore qu'une enfant, Thomas, qui après l'avoir confiée au couvent de Bertincourt était parti en Italie pour rencontrer quelques personnes haut placée. A son retour, il porter à son cou cette croix de saphirs.
La blondinette se souvint de cette soirée où au coin du feu, il lui avait expliquer l'importance et l'histoire de ce joyau. Pièce unique, fabriquée en Italie, symbole du Très Haut et surtout très onéreux.
La gamine qu'elle était n'avait cessée de fixer cette croix alors que son oncle lui parler de son voyage.
Bijou tellement beau et si représentatif des ambition de son oncle...
Alors comment une pièce si spéciale pouvait désormais être entre les mains de cet homme qu'elle ne connaissait pas ?
Deux réponses vinrent à son esprit... soit le bougre était un voleur, soit on le lui avait donné....

La colère laissa place à la peine. Cette croix lui revenait, elle le savait, elle était Sa nièce. Alors il n'était pas possible autrement, c'était son bien. Point.

Dégageant sa main de l'emprise du bougre, Nabel, après avoir décroché son regard du pendentif, ne put contenir sa colère


Comment avez vous eu ce bijou ? comment ce fait il que cette œuvre unique soit autour de votre cou à vous ? qui êtes vous, un brigand qui a dépouillé un simple homme d'église ?

Les réponses, la jeune fille les auraient et ce bien elle le récupérait même si pour cela elle devait se battre.

_________________
Thierry_honore



Elle s'était jeté sur lui, et tenait désormais à deux mains le lourd pendentif qu'il avait reçu à la mort de sa mère. Et, alors qu'il était secoué, et qu'il ne voyait Nabel qu'à travers un nuage flou, il se souvint...

C'était dans l'imposant Palais du Cardinal, un bordel près de la place Saint Titus, où chaque jour un prélat ou plusieurs venaient chercher des plaisirs interdits. Dans une chambre au premier étage, il était déjà un homme, et les femmes en tenue de satin qui l'entouraient pouvaient se réjouir de lui avoir fait passer le cap. L'une après l'autre. Mais l'ambiance était loin d'être grivoise. C'était une fin d'après midi et le ciel de Rome était couvert. Margarita, la "perle", était en train de mourir dans les bras tremblants de son fils. Une belle vie, bien remplie. De bons clients, mais des abrutis parfois. Et puis ça... cette chose magnifique qui désormais, du haut de ses vingt la regardait comme une vieille femme. Mais son regard était plein d'amour, qu'il ait six ans, dix sept ou vingt. Le jeune Theodorico Honorius ne se lasserait pas de regarder sa mère avec amour. Et même les yeux pleins de larmes, il ne pouvait s'en empêcher.Sa mère mourrait, et il était dévasté.

Pourtant quoi de plus prévisible ? Une prostituée ne dure jamais longtemps, et la mère de Thierry pouvait s'estimer être une exception. Un exemple pour toutes les filles qui entouraient la couche. Elle semblait fatiguée de ne pouvoir parler distinctement, mais Thierry n'avait pas besoin d'entendre ses dernières volonté. Trop tôt. Pourtant c'est avec une force surhumaine qu'elle rapprocha son oreille et murmura en italien :

Ton père est toujours en vie, c'est un prêtre, mais il n'est pas d'ici !


Il lui jeta une regard paniqué, paralysé par ces paroles; Elle poursuivit en français :

Bertincourt. Bertincourt ! Prends la croix ! Prends la croix ! Ton père me l'a offert en excuse, mais aussi en signe d'amour... Elle est à toi Theodorico !

Et c'était une croix, une vraie croix composée d'argent et de saphirs , qu'elle tenait dans sa main droite et qu'elle tendait vers lui...

La même croix sur laquelle les mains de Nabel s'étaient refermées..

Elle est à moi, dit il calmement. Et j'y tiens tout particulièrement, car il s'agit du dernier souvenir de mon père...

Il lui jeta un regard franc, mais rempli de panique et de tristesse. Allait elle enfin comprendre ?
Nabel7


Elle est à moi, dit il calmement. Et j'y tiens tout particulièrement, car il s'agit du dernier souvenir de mon père...

Nabel ne comprenait plus rien. Que voulez donc dire cet inconnu qui se tenait à ses côtés, que signifiait donc tout ceci.
La jeune fille ne savait plus trop quoi penser... le bijoutier avait surement réalisé ce bijoux en plusieurs exemplaires, il n'en pouvait être autrement, sinon comment Thierry aurait en sa possession ce trésor?
Alors que les mains de la blondinette lâchèrent la lourde croix, son regard transperça l'âme du jeune homme.

En lui, elle le vit lui, son oncle, son Th tant aimé, ce homme qu'elle estimé tant. Les même yeux, la même forme et la même couleur. Alors devant elle apparut Thomas de Volvent. Ce n'était plus Thierry Honoré, non c'était bien lui, Thomas...
Elle se revit, gamine, ne pouvant lâcher du regard son oncle, puis plus grande, les yeux toujours aussi remplient de loyauté pour cet homme, et désormais elle l'imaginait dans les bras d'une femme.
Lui homme d'église, comment avait il pu... Cela n'était pas si étonnant que cela au final, Thomas était quelqu'un de spécial, et elle ne pu douter qu'un jour il pêcha. Mais est il seulement au courant de cela... et lui, ce Thierry, cet homme qu'elle avait aimé au premier regard n'était en faite que son ... cousin.

Non, rien de cela n'était possible, la blondinette n'y croyait pas, elle ne voulait pas y croire.


Mon oncle avait la même croix, exactement la même que la votre. Et c'est ... c'est une pièce unique d'après ses dires.... alors je suis étonnait de la voir autour de votre cou alors qu'il y a quelques semaines de cela je l'ai vu à son cou à lui ...

Elle reprit dans ses mains la croix de saphirs , Nabel la tourna et vit au dos une écriture, dans une langue qu'elle ne connaissait pas... ce n'était donc pas celle de son oncle... où alors elle n'avait jamais remarqué.


Que signifie ces écrits ?

La blonde avait du mal à parler, elle était prisonnière d'un mélange de sentiments. La colère, la peine, l'incompréhension ...




_________________
Nabel7


Nabel attendait une réponse, mais le jeune homme, n'avait aps l'air décider. Que pouvait donc t-il cachait, que signifiait ce regard perdu ?

Ses pensées furent interrompu par un pigeon, qui gracieusement, ou presque vint se poser tout prêt d'elle. Attrapant le parchemin qui était attaché à sa patte, la blondinette reconnu l'écriture.

Citation:
Ma chère Nabel,


Un marchand ambulant venant du nord m'a dit que tu allais mieux et que tu serais en mesure de lire ce courrier...
Alors je prends ma plume et je t'écris.
Mais j'aurais tellement de choses à te dire, que je me retrouve sans inspiration devant mon parchemin...


J'espère que cet homme disait vrai et que bientôt tu pourras reprendre la route pour rentrer chez nous.
Ton absence à mes cotés commence à me devenir lourde, même si mon voyage au travers du Duché est bien agréable je dois l'avouer.

Dis moi quand tu rentres, que je puisse voir avec Cid, (et oui, j'ai fini par céder, et l'appeler par son prénom. Il n'y a que quand il m'agace que je l'appelle encore Votre Grâsce!) pour ton laisser-passer. Je n'ai pas envie que tu te fasses de nouveau attaquer par les Normands.

Je suis à Mortagne, là. Mon frère Col y est aussi ainsi que sa femme, Sorianne et leurs enfants.
Je ne l'ai point vu encore, nous nous cherchons sans nous chercher je crois...


Réponds moi vite si tu peux ma belle, tu me manques.

Tsampa


Larmes aux yeux, la choupinette éprouva un soulagement et il lui fallait désormais s'occuper de son départ, mais avant elle aurait sa réponse.

_________________


Nabel7


Les jours avaient passé, et la jeune fille n'avait plus de nouvelle du Thierry.
Leur entretien avait été coupé par une douleur insupportable et c'est difficilement que Nabel avait rejoint sa chambre.

Le lit n'était pas de plus confortable mais allongé, la blondinette ne sentait pas trop sa cicatrice dorsale qui la faisait tant souffrir.
Plusieurs jours, elle était resté là, alitée.
La nuit elle faisait des cauchemars, imaginant son retour, et encore une attaque des normands. Y arriverait-elle ? elle n'en était point sur. Pourtant, elle était heureuse, elle ne partirait pas seule, Tolaine était là, et elle rejoindrait un ami à Honfleur.

Tsampa lui avait écrit, lui expliquant que Cid s'occuper de lui trouver un Lp et qu'elle pourrait faire le voyage sereine. cependant les battements de son cœur ne cessaient d'accélérer lorsqu'elle y pensait.

Demain, était le grand jour, demain elle prendrait la route.
La blondinette avait récupérer un vieux balluchon. Elle n'avait pas grand chose à mettre dedans, à peine quelques chemises et braies, qu'une none lui avait apporter.
Elle avait tout perdue, arme et vêtements.


Un mot, quelques lignes, pour Nefi
Citation:

Nefi,
Je suis désolée de partir ainsi mais je dois retourner en Alençon.
Je voulais te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi, je ne l'oublierait jamais.

Nabel



Le parchemin posé sur le lit, elle se dirigea vers la porte. Un dernier coup d'œil à la salle qui l'avait accueillit pendant 45 jours, et voilà la choupinette en route pour les écuries.
Artois était là, dans le box que la gamine lui avait attribué. Trop faible pour le monter, après l'avoir préparé, elle y attacha son balluchon et attrapa les rênes.
Aux côté de son étalon, la Nabnab prit la route du village pour essayer de trouver Tolaine.


_________________






See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)