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Cellule de Farnor

Zabouvski
Mon fils voici votre cellule où vous pourrez prier et vous reposer après les activités de la journée.
je vous laisse le soin de la décorer le plus simplement pour agrémenter votre quotidien.

N'oubliez pas de venir aux offices et d'aider vos frères aux champs pendant vos temps libres, entre les leçons.


Puis, l'abbé repartt vaguer à ses occupations.
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Archevêque de Bourges - Abbé Cistercien de La Bussière sur Ouche - Biblihomélie
Farnor
La pièce n’était pas très grande : c’était une cellule de moine. Néanmoins, elle était suffisamment spacieuse pour qu’un lit, une table, une armoire et deux chaises y prennent place.

Sur la table en bois se trouvaient un petit chandelier de cuivre d’une grande simplicité, une statuette d’Aristote ainsi qu’un écritoire comprenant tout le nécessaire : penne, cornet à encre, grattoir, compas, coutel. A côté, se trouvaient quelques feuilles de papier bien rangées les unes sur les autres. Devant la table, une chaise simplement empaillée pour être plus confortable. Sur le lit, simple paillasse mais qui était bien rembourrée, étaient posés un drap de chanvre ainsi qu’une couverture plus épaisse pour les nuits d’hiver. Dans un angle de la pièce, un prie-Dieu des plus simples avait été placé. Au-dessus, un crucifix était accroché au mur.

La pièce était éclairée grâce une fenêtre qui donnait sur le petit jardin de Abbaye. Tout cela respirait le confort rustique et monacal permettant une sérénité propice à l’étude.
Bardieu
Bardieu passa par là pour saluer un voisin qu'il n'avait pas eu l'occasion de voir

Bonjour mon frère, je vois que vous découvrez votre nouvel habitat. Je sais, ça change des palais, c'est plus... spartiate.
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En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?
Farnor
- Bonjour mon frère, je ne connais pas la vis des palais, je vis a Moulins en BA et je dirais que la cellule est beaucoup mieux que dormir a la belle etoile les soirs de pluis.

Farnor sers un verre eau a sont hote et lui presente une chaise pour s'assoire.
Bardieu
Bardieu prend le verre d'eau que lui tend le frère Farnor et s'ssoit sur la chaise.

Pour ma part, lorque j'étais encore à Constantinople, je vivais au milieu de la caserne du palais et c'était très confortable. Mais je ne regrette rien.
En ce moment, je suis à Blaye où je tente de precher les interets de notre ordre

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En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?
Malicia Chiabrena
Chiabrena faisait le tour des cellules, déposant sous la porte de chacune une feuille :
Citation:

Bonjour,

Askavian, Maitre herboriste, commencera ses cours lundi 14 avril dans la remise du jardin botanique.

Vous pouvez participer aux cours.

Pour cela pourriez-vous m'adresser votre nom, et votre niveau (ce peut être débutant).

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MORTE courant octobre 1456, dans un incendie à la commanderie de l'Ordre des Dames Blanches
Farnor
Farnor retrouve sa cellule, après de long mois a voyager a travers le Royaumes.
Le moine commence le nettoyages de sa chambre car la poussière était partout, après avoir astique tout , le prêtre commence a faire sont lit puis vas prier a la chapelle
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Farnor
Farnor qui est le nouveau curé de Castres , dioscese de Rodez regarde par la fenetre de sa cellule les feuilles morte qui se posé tranquillement dans la grande cours de Abbaye.

- Vais allez donnez un bon coup de balais dans la cours, une personne pourais glisse et se blesse a cause des feuilles
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Enosch
Enosch parcourait les chambres des moines et moniales afin de les avertir de son départ vers l’ouest…

-Bonjour Frère, Sœur, Je pars dès aujourd’hui, en compagnie de notre sœur SafranneLafiole, en pèlerinage à l’abbaye de Vallbona de les Monges afin d’assister à la grande cérémonie Cistercienne de l’ouverture de cette annexe en pays Castillan ! Tous les volontaires pour le voyage sont attendus d’ici une heure pour le départ. Nous traverserons les Pyrénées, nous chanterons des chants religieux sur la route, nous jeunerons, ceci afin d’éprouver notre foi. Arrivée prévu dans quelques jours à Vallbona de les Monges !

Puis faisant demi tour, il claqua la porte dans une grande energie et deja une autre s'ouvrait...
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Titca
Une porte s'ouvrit, puis une ombre discrète traîna dans les couloirs, sa robe foulant le sol froid, rapidement et à l'aide de la silhouette plutôt fine elle se glissa entre les groupes, une main sur la plume petite et discrètement attachée à sa ceinture. Enfin après quelques secondes elle trouva son but et poussa la porte de la cellule sans frapper, de toutes façons son parrain ne serait pas présent et puis la politesse dans la famille c'était secondaire ! Regardant la pièce elle repoussa une toile d'araignée en frissonnant et s'assit sur le lit froid et fait à la perfection, preuve que Farnor n'avait pas dormi ici depuis quelques longs mois.

Parrain...

Un geste de désespoir ou un appel au secoure, lors de leur dernière conversation il lui avait demandé : '' Tu as fait quoi comme bêtise encore ? !'' c'était le bon coter de Farnor il savait tout, dans les moindres détails et pourtant au lieu de se mettre en colère, s'en amusait et la taquinait souvent en douceur, une façon comme une autre de lui dire qu'il l'aimait bien quand même ! Se couchant sur le lit, ses yeux fixant le plafond de la cellule la jeune femme repensa à son passé auprès de lui.

C'était l'hiver à Cosne en Bourgonne, elle venait de fuir le Domaine Royal et de reprendre sa liberté de femme ou d'enfant plutôt, du haut de ses dix-huit ans perdus dans les bras d'un homme assoiffé de sang et de femme surtout ! Quand entra dans sa vie le père Farnor, bon danseur pour un curé, proche de tout et de rien libre et gentil. Titca l'écoutait et le regardait faire sans dire le moindre mot. Voyagent ensemble découvrant taverne après taverne ville après ville et coup de bâton après rire amusé. C'était lui un peu étrange, mais adorable avec une façon d'éduquer et d'aimer la petite femme qui la rendait fraîche et rassurez la rencontre de l'homme de foy et la femme de guerre étrange comment moment.


Tu étais le premier à me tendre la main....


Elle changea de position et cacha son visage dans le drap blanc. La deuxième rencontre ou la troisième plutôt vu que la deuxième fois elle lui a envoyé une baffe et c'est enfui -longue histoire, mauvais souvenir tracer de sa mémoire.- la troisième rencontre était à Gien le 28 mai 1456 date de son baptême par le primat de l'époque, un merveilleux moment ou Farnor accepta d'être son parrain, il ne devait pas encore se douter du rôle qui jouerait dans sa vie plus tard.

Gien n'a pas été la seule ville du duché Orléans à les voir ensemble, son mariage à Orléans enfin mariage c'était vite dit... le chaotique mariage n'a jamais eu lieu et là encore Farnor était présent pour la soutenir et lui permettre d'avoir confiance en une seule personne : elle-même et ses choix surtout.


Oui...mais sans toi... comment être certaine d'être encore la même ? !

Soupir, puis une larme coula sur sa joue, elle n'était pas méchante dans le fond, seulement maladroite à souhait et vraiment pas douée dans les relations humaines, trop innocente, trop gamine, ne voyant pas le mal... idiote était le mot correct au final ! Continuant a fouillé dans ses souvenirs elle se rappela l'hiver de Rodez 1457, Farnor le curé et ses bouteilles de vins, les jours agréables et les moments à rire de tout, surtout de cet homme en taverne qui pleurait la mort de ses femmes deux ? Ou trois ? Le souvenirs était vagues... Noirlac aussi au détour d'un couloir, devant les portes ou dans sa cellule.

Puis cette conversation '' Tu as fait quoi comme bêtise encore ?!'' moment de réflexion '' Je suis une mauvaise soeur c'est...grave ?'' le curé de Rodez devenu évêque du Puy répondit simplement : '' Ont m'a dit mauvais évêque'' et Tit du tact au tact avait répondu d'une voix certaine de son jugement : '' Des idiots ! Tu as fait de moi qui je suis aujourd'hui ! ! !''.


Ma vie pour ma famille...

Encore une fois Farnor a été très clair ! Personne n'est vraiment parfait ! Et tout le monde un jour vous jugera sur un mauvais choix, mais ne diras rien sur une bonne action faite avec soin, c'était le monde... la façon de faire des gens, reproché plutôt que remercier ! Oui mais... quand on déçoi une personne aimée et qui nous aime en retour, ne sommes-nous pas idiot d'avoir faillit à notre devoir d'ami ? ! Secouant la tête, Titca regarda la cellule et attrapa de quoi écrire.

Citation:

Tu resteras le meilleur parrain du monde, unique et indélébile. Tu n'es pas parfait... Mais je suis comme toi, tu n'es pas le plus grand des hommes, mais là encore... je suis comme toi ! Et si un jour tu doutes de toi de tes choix ou de ton travail... Pense à moi et tu verras que même dans la douleur tu auras une place de choix de mon coeur. Nous ne sommes pas proches géographiquement, mais l'amour est libre et franchise les frontières et les chemins.

Je t'aime parrain et l'amour que me lie à toi, fera de moi la femme que je serai demain.

Miss catastrophe...



Déposant ses lèvres sur le parchemin, elle y déposa un bisou puis le trouva une place de choix sur la table, regardant la cellule, les murs elle huma une dernière fois l'odeur rassurante de son parrain et sourit en coin. Le voulait-elle ? Oui ! Alors... elle y arriverait, pas de frontière, pas de limites, pas de pleures... du courage, de l'amour et parfois du soutien. Na !
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Farnor
L'évêque du puy arrive dans sa cellule et découvre Dame Titca dans sa chambre

- Hum demoiselle, tu peux m'explique ta présence dans ma cellule ? Si tu pense y trouvé une planque ou je mes mon vin, c'est pas ici mais planquer sous le sous sol de la cuisine

Homme église enlace sa filleule , il avait vraiment du grand respect entre eux , on pouvais dire des frères et sœurs tellement qu'il était complice.

- alors ma Titca , quelle sont tes dernières catastrophes en cours ?
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Titca
Titca n'était pas encore partie que la porte s'ouvrit laissant voir Farnor, souriante elle reçue étreinte et sourit avant de déposer un bisou très chaste sur ça joue. Elle tenait à lui profondément après tout il l'avait protéger sans se soucier vraiment des bavards trop stupide pour comprendre leur relation. Reculant de quelques pas elle posa ses mains sur ses hanches et ronchonna. Pour UNE fois que la jeune femme ne cherchait pas de bouteille de vins, la voici accusée à tord. Souriante malgré la remarque, elle prit note de l'endroit secret sous le plancher des cuisines de Noirlac étaient caché un merveilleux trésors de vins !

Non, j'avais besoin de réfléchir et comme tu n'étais pas présent, j'ai profité de cet endroit pour t'avoir près de moi.

Prenant place sur le lit, elle posa sa tête sur son épaule et soupira. Une catastrophe ? Pas vraiment au final ! Seulement une boulette de plus.

Je crois qu'en voulant protéger un ami, j'ai fais le contraire... pas malin.

Mordillant ses lèvres pour prouver sa culpabilité profonde elle regarda l'évêque et lui sourit malgré tout. Tellement heureuse de le revoir que le reste pouvait passer après ! Déposant sans prévenir un second bisou sur ça joue elle rit de bon coeur.

Je me suis permis de t'écrire aussi ! Je ne pensais pas te voir ... tu abandonnes le Puy ? C'est rare, mais merveilleux comme surprise !
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