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[RP] Ce que vivent les roses ?

Datan
Le cheval tourne avec impatience devant la herse qui peine à remonter. Les gardes se bousculent pour l'ouvrir, mais elle évolue avec lenteur. Datan ne cesse de fixer le point d'entrée, au loin, dans la forêt.

Mais la rumeur a pris la foule et des soldats royaux arrivent enfin. Détournant le regard, il fixe du doigt cette petite faille dans la forêt au premier venu et lui laisse son cheval.

Datan est là pour sa ville, il le sais, la garde royale s'occupera de la princesse. Il pose un pied à terre, conscient d'avoir échoué dans sa tâche.

(*deux chevaux pour offrir la possibilité d'être accompagné*)
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Heureux père de Dune - Champion du Poitou - Conseiller municipal à Niort - Etudiant à Poitiers
--Brunehaut


Tout va très vite alors que tout est tranquille. Une sortie de messe quoi.

Un cavalier, encore un de ces butors de soldats à le voir ainsi harnaché, rien de bien important pour qu'elle détourne le regard de la Princesse. Sauf que d'un coup il est sur elle, la menace, l'entraine, et qu'avant que qui que ce soit ait pu réagir, ils ont disparu.

Brunehaud hésite entre s'inquiéter pour la donzelle ainsi enlevée et rire de la façon dont tout ce petit monde s'affole, court dans tous les sens en criant alerte. Ben oui alerte. Mais un peu trop tard hein. Et de s'agiter dans tous les sens, et de courir après. Qui à cheval. Deux chevaux pour un homme? Quel gourmand. Qui à pieds. Comme si un homme courant avait jamais pu rattraper un cheval...

Sensation étrange. Mais.. Oh le bougre, il lui a pincé les fesses. Oui lui, celui qu'elle avait repéré à tourner autour de chez elle. Elle profite d'un passage à proximité pour lui rendre la pareille. Non mais. Et de continuer à profiter du spectacle.
Armoria
Le petit air vif et frais l'avait ragaillardie ; quoi de plus naturel, en ce cas, de ne pas retenir le sourire radieux qui était monté à ses lèvres, malgré la situation de crise qu'elle vivait ?

Ce fut ce sourire que la main de son ravisseur brisa, en se posant sur sa gorge. Et à la seconde, les doutes. Quelque terrible coïncidence n'aurait-elle pas incité un autre à faire ce qui était prévu ? Sa main monta vers le bras qui l'entravait, dans un réflexe. Ce souffle sur sa nuque, cette odeur ignoble qui montait des vêtements de l'homme - de l'homme lui-même ? Etait-ce lui ? De tels relents ? Quelque chose dans la voix, cependant... Et s'il venait à être pris d'une folie soudaine ? Elle allait être en son pouvoir, totalement sans défenses. N'avait-elle pas soudain l'impression que pour avoir voulu échapper à un danger, elle s'était jetée tout droit dans bien pire encore ?

Aussi, la peur qui se lut dans ses yeux tandis qu'elle était emportée n'était-elle pas feinte. Et dans les cris de Snell, elle sentit la même détresse.

Alea jacta est. Ravisseur et victime s'évanouirent dans la campagne poitevine, figée dans le brouillard d'une fraîche matinée dominicale.

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[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]
Collemund
[Dans la cohue devant l'église]

Colle assistait de loin à la scène, un sergent, visiblement poitevin, emmenait de force la princesse Armoria, malgré la foule des fidèles et les gardes de toute livrées.

Après la stupeur, le chaos, un fuyard, des ordres criés des galopades en tout sens à pied pour certains à cheval pour Datan. Tout était pour le moins confus ce qui participa grandement à faciliter l'évasion du mécréant, la herse se fermant juste après son passage .

Lui pas mieux, spectateur, les bras ballants et la bouche ouverte, qu'y avait il a faire de toute les façons, si les gardes du corps même de la princesse avait été impuissants.

Puis comme s'éveillant il repris peu a peu, un regard tout autour là il voit Dame Guendolonea qu'il avait eu le plaisir de rencontrer en taverne. Il se dirige d'un pas lent et assuré vers elle et lui tend sa battoir.


Dame si je puis être utile mes bras sont à votre disposition, par ailleurs connaissant pas mal la région et les marais surtout je puis vous servir de guide si le besoins s'en fit sentir.
Sinople
Après avoir brièvement séjourné et put voir tout son saoul des gens de la coure a travers les rues de la ville, Sinople se décida a mettre un terme a sa halte à Niort. déçu de n'avoir vu le roy tout de même, cela le laissait sur sa faim... Mais la princesse ! Lui roturier avait vu la princesse ! Pour sur maintenant il comprenait pourquoi son père avait dévoué sa vie à la couronne, il émanait de ces gens une telle aura ! Et de cette Dame qu'il avait vu il ya a trois jours, une telle beauté ! Le transport dans lequel il était au jour où il l'avait vue ne s'était nullement atténué, et son couer était encore gonflé de la bonne humeur que cette vision lui avait donnée... Il comprenait son père, mais trouvait curieux qu'il eut aussi été méfiant de ces gens là ! leur portance est telle que leur décisions ne pouvaient être fausses, mais toujors aussi droites que l'âme qu'ils avaient !

Fouinot sur ses talons, Sinople avançait dans les rues, et il était maintenant aux portes de la ville. Ha dam' que ce voyage il ne le regrettais pas, si ce n'est qu'il n'avait pas été à La Rochelle quand le cortège y était. Ce souvenir lui avait marqué la mémoire jusqu'a ce que la tombe le trouve ! Pour sûr ! Mais quelle cohue pour sortir, la ville était pleine de badaus, de paysans venus de dehors voir les Belles Gens, un peu comme lui, et rien que pour ça, il ne leur reprochait pas de ralentir le cheminement, car il aurait trouvé dommage de vivre sans voir chose si agréable et si emplissante de fierté. Mais alors qu'il arrive sous le corps de garde, il entend derrière lui:


Place ! Plaaace !

Curieux il se retourne pour faire face a une énorme bête qui lui percute l'épaule avec violence. Chancelant Sinople glisse sur une marchandise pourrie tombée de quelques charette marchande et tombe sur le dos, face vers le ciel. Et là, la vision d'enfer s'offre a lui, telle la hache du bourreau, il voit la herse juste au dessus de lui s'effondrer, chuter comme rapace sur sa proie, et il voit la mort venir avec les crocs de la grille qui tombe. Et elle chute, si lentement et si vite ! Et elle s'effondre avec un bruit de déchirure alors que Sinople ferme les yeux.

Puis, sentant encore l'odeur de la poussière, de chausse et de déchets, entendant encore autour de lui, il rouvre les yeux alors qu'un cavalier arrive et aboye des ordres pour que l'on remonte la herse. Ciel que s'est-il passé ! Sinople regarde vers ses peids, et voit que si la grille, dans la panique lui a parue juste au dessus de sa tête, elle était en fait un peu plus loin, et a, dans sa chute, arraché la semelle baillante d'une de ses bottes.

Il sent son torse se gonfler et se vider, laissant échapper sa peur, sa tension, et sa joie d'être vivant. Il se relève pantelant alors que la herse remonte lentement.


Si elle est tuée, la ville tombe ; on ne nous pardonnera rien.

Quoi ? Non ! Le Poitou allait être son comté ! Que c'était-il passé qu'il n'avait vu, lui même n'avait pas comprit que le cheval du brigand l'avait heurter dans la fuite de son cavalier et de la princesse, il ignorait totalement de quoi il retournait, mais dans la fougue et la brume des évênements, il dit à l'homme:

Sire si je puis vous être utile, ma lame est votre, tout comme mon bars et ma vie, je combattrais pour Niort comme si elle eut été ma vie ! Dites moi que faire !
Snell
Rendu à la herse qui se relevait, Snell accepta un cheval offert par Datan, un des responsables de Niort. Avec un signe de tête reconnaissant, le Borgne lança sa monture dans une course vers le bois indiqué par le niortais. Il fut suivit par quelques gardes du cortège, mais leurs premières recherches furent en vain.

Ils revinrent bientôt pour organiser de plus grands efforts de recherche. Aidé par son bon ami Eusaias, Snell organisa les troupes pour une fouille plus méthodique des bois dans lesquels le ravisseur et sa victime avaient disparus.

Les recherches durèrent le restant de la journée. Quelques pistes possibles furent trouvées, mais ils étaient incapable de les suivre bien longtemps avant qu’elles ne disparaissent de nouveau. Le marais poitevin, étrange et mystérieux pour les étrangers, entravait le travail plus que les efforts déployés par le ravisseur lors de sa fuite.

Alors que le soleil se couchait, Snell ordonna à contrecoeur un arrêt aux recherches. Il était inutile, et surtout dangereux, de se retrouver dans cette forêt à la noirceur de la nuit. Sur le chemin du retour, il offrit un regard inquiet à Eusaias en espérant qu’ils ne seront pas tous brûlés par le feu avec lequel ils jouaient.


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Après un rapide repas, la faim ayant finalement eu raison des inquiétudes, le Borgne prit quelques moments pour envoyer une brève missive à la vicomtesse d’Alterac pour l’informer des évènements si elle ne l’avait pas déjà été.

Citation:
Vicomtesse,

À la sortie de l’Église aujourd’hui, son Altesse Armoria a été enlevée par un sergent de l’armée du Poitou. Le coup ayant été bien préparé et surtout déclenché avec une telle rapidité que nous avons été incapables de le faire échoué. Les recherches pour retrouver leur piste dans la forêt furent en vain.

Je ne serais pas surpris si les plus hautes instances du duché étaient impliquées. Prenez garde et soyez prudente.

Snell du Quai Baudon


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Plus tard, vers la minuit, le Borgne, encapuchonné dans un manteau qui n’était pas le sien, pénétra dans la taverne qui avait été choisie. Sans regarder autour il se dirigea vers le fond de la pièce, tel que convenu, et prit place à une petite table, de manière à faire face à l’entrée.

Le moment de vérité était venu. Tithieu tiendrait-il parole ?

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Mariealice
[Poitiers - Hein? ]

Calmes. Les journées se suivaient, tendues mais pourtant calmes. Et Marie rongeait son frein, guettant chaque missive dans l'espoir d'avoir des nouvelles.

Ce fut donc avec un sourire et une certaine impatience qu'elle prit le parchemin tendu par le garde.

Tiens, pas de scel. Pourtant il lui avait indiqué venir de Niort. Armoria aurait-elle égaré sa cire?

Froncement de sourcils quand elle le déroula, l'écriture ne lui était pas familière.

Arrivée à la fin, à la signature qu'elle ne vit que du coin de l'oeil, sa main lâcha le velin qui tomba sans bruit sur le sol.

La Princesse enlevée... Le Roy blessé... Et elle qui allait finir folle tout à fait à ce compte là. Une fois de plus, elle n'avait pas été là.

D'un pas lourd elle se dirigea vers la chambre des époux Alanha. Maintenant il fallait prévenir.

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Legueux
[Poitiers - Non non on est pas paumés]

Ah là là ! Décidément il n'arrivait pas comprendre le concept de ce jeu maure. Quand son adversaire et accessoirement scribe lui lâcha : "Le chevalier prend la reyne ! Et le Cheik est mat !" Il se dit que le cheik il devait plutôt être blême que mat quand un de ses chevaliers prend sa reyne... Drôles de mœurs... Marchera jamais ce jeu. Que les scribe pour s'amuser à ça, pfffff.
Il avait insisté pour lui changer les idées mais bon, un jeu où le but est de faire tomber un Roy, fut il maure, c'était pas le moment. Mais les scribes sont ainsi, il notent, tentent de bien faire, mais s'ils étaient intelligents, ben ils ne seraient pas scribes...

Son épouse finissait de se préparer.

C'est alors que se présenta Marie Alice, l'air décomposé. Décidemment la blessure du Roy l'inquiétait, oh ils l'étaient tous, mais a priori ils savaient qu'il était tiré d'affaire.

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Le grand père était un aigle, le fils un faucon, le petit fils, un vrai.
Mariealice
[Poitiers - Oui bon il l'a dit on est pas perdu]

Porte ouverte, l'avait-elle seulement entendue cette porte?

Marie leva la tête, s'éclaircit la gorge et arriva à sortir d'une voix fêlée par la fatigue et l'angoisse.


C'est.. Armoria.. La Princesse... Enlevée.. Niort.. Eglise.... Poitevin...

Une main se leva, les doigts s'ouvrirent et laissèrent échapper la missive tandis qu'elle restait plantée là comme un automate dont les ressorts étaient entrain de lâcher un par un. A l'instant, un courant d'air l'aurait fait tomber.
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Legueux
[Toujours Poitiers, et voilà]

LeGueux se précipita voyant la faiblesse de la Première Secrétaire d'Etat. Quelques mots incohérents qui lui mettent la puce à l'oreille Armoria Niort Princesse.. Enle... On a enlevé le Roy ?
Il soutient Marie Alice jusqu'au fauteuil qui l'avait vu prendre sa rouste habituelle aux échecs, la laisse aux bons soins d'une suivante de son épouse accourue à l'appel du Scribe, pendant que le Roy d'Armes s'en va ramasser le vélin chu euh chuté, euh enfin au sol.

Il le lit et blêmit, contrairement au cheik en bois du jeu. Sa main se crispe froissant le vélin, lâchant un sonore


Macarel de Macarel ! son feramis eretges aicital ! es pas podedis !*

Il relu le vélin désormais froissé en marmonnant. Pas de scel, un faux ? Il se dit qu'il fallait confirmation au plus tôt voyons... qui d'autre était là bas ? mmmfff Marie Alice le saurait plus facilement mais il fallait qu'elle se remette. Ce comte était il fou ? Fais signe au scribe de se préparer à écrire.

*[Ce sont des sauvages hérétiques ! c'est pas possible !]
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Le grand père était un aigle, le fils un faucon, le petit fils, un vrai.
Mariealice
[Poitiers, sa ville, son château, ses tavernes...]

Elle ne sentit pas vraiment le Coms l'amener puis la faire asseoir.

Pas plus qu'elle n'entendit vraiment celui-ci jurer - sans doute - dans sa langue.

Devant elle, une sorte de jeu, des pions, la plupart elle se demandait ce qu'ils représentaient mais à la vue du Roy et de la Dame, un long soupir passa ses lèvres.

Il fallait reprendre ses esprits, absolument, se ressaisir, réagir.


Coms.... Qu'allons-nous faire...
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Legueux
[Poitiers - bientôt la fin du squattage]

Et bien commencer par envoyer Miquèl geste vers le scribe au pigeonnier avec une missive qui demande confirmation par retour à une autre personne de confiance. Qui est là bas ?

La vicomtesse lui indiqua Damisella du bout des lèvres, puis le Coms se mit à dicter une missive demandant confirmation. une fois salée il signa et scella de rouge, garantissant le secret, envoya le scribe au pigeonnier le chargeant d'attendre le retour et de leur amener au campement.

Il se retourna ensuite vers Marie Alice.


Vous sentez vous d'attaque pour aller au camp ? Il va falloir leur annoncer...
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Le grand père était un aigle, le fils un faucon, le petit fils, un vrai.
Mariealice
[Poitiers - On est parti, on est plus là]

Un nom demandé. Un nom donné. Si elle avait connu l'écriture de Snell, elle aurait pu confirmé mais là...

Des questions encore et toujours. Sans réponse pour l'heure. Une douleur sourde remplacée, étouffée petit à petit par une rage qui acheva de la remettre sur pieds.


Oui. Allons-y. Ils doivent savoir.


Et elle devait agir. Tant qu'elle tenait debout et bougeait, la culpabilité reculait.

Debout, elle s'excusa auprès du scribe, de la suivante lui demandant qu'elle l'excuse auprès de sa maîtresse et passa la porte sur les talons du Comte. Une fois de plus, c'était reparti.

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Polstephie
[Poitiers, sa Grand Rue, son Eglise Notre-Dame, la Grand Goule et toussa...]

Bin voyons ! Mais qu'est ce qu'elle avait cette camériste à vouloir à tout prix lui faire enfiler la robe verte alors qu'elle avait opté pour l'azurée ? De toute façon c'était elle qui décidait et non, ce n'était pas vrai que quelques minutes auparavant la Comtesse avait dit que finalement elle prendrait la robe émeraude. Et puis quoi encore ?

L'humeur de la "jeune" femme était massacrante, ce qui n'était pas dans ses habitudes. Et, alors qu'une réplique cinglante allait naître sur les lèvres roses de l'Epouse du Roy d'Armes, des larmes jaillirent alors en torrents des yeux ambrés et elle se retrouva à genoux devant la pauvre camériste rougissante et ne sachant plus que faire de sa maîtresse, tentant au moins de la consoler.

C'est ce moment que choisit la petite Eirwen pour faire son entrée dans la chambre de la Comtesse Languedocienne. Elle ne sut plus vraiment que penser, mais tenta de se rassurer en se disant que sa mère avait certainement ses raisons pour l'avoir confiée à cette femme. Elle rougit et toussota doucement pour faire part de sa présence. La Comtesse la regarda alors et sourit pleinement devant le joli tableau qui se présentait à elle. Elle s'empressa de se relever et serra contre son coeur la petite fille aux 8 printemps.

Le chagrin oublié, la Comtesse se hâta finalement de vêtir la robe rouge et or prévue (oui oui, prévue). Puis elle prit la petit fille par la main et s'en fut trouver son époux qui devait encore maugréer de perdre contre son scribe.

Finalement, au moment où elle retrouvait la chaleur de la pièce où ils passaient trop de temps dernièrement, elle eut tout juste le temps de voir une silhouette féminine sortir et son Epoux dans un état bien étrange. La stupéfaction put alors se lire sur son visage. Sa bouche forma alors un ovale parfait d'où aucun son ne sortit pendant qu'elle faisait ses fameux yeux de vieille chouette...

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Damisella
Damisella surveillait les évènements depuis la fenêtre de l'antichambre,
une journée avait passé, les recherches n'avaient encore rien donné.
L'attente était insupportable.

Elle était passée en taverne, pour essayer d'avoir des renseignements, mais personne ne savait rien. Par contre un habitant s'était proposé pour guider les recherches dans les entrelacs du marais.

Elle prit une feuille de papier, une plume, rédigea rapidement un mot, puis descendit jusqu'à l'entrée du donjon, héla un enfant qui passait


Petit, portes ce message à Messire Snell, il doit être sur la grand place à coordonner les recherches pour retrouver la princesse, ou dans une taverne.
Tu ne peux pas le rater, il est borgne avec une grande cicatrice. Voila un écu pour toi, il t'en donnera un autre si tu lui donnes le message.


Citation:
Messire Snell, un des habitants pourrait vous guider, il connait bien le marais poitevin, il se nomme Collemund.
Damisella
Donnez un écu au gamin, je lui ai promis.

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