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[RP] Ce que vivent les roses ?

Snell
Chapelle de la Nativité

Snell s'affaira à ranimer le feu en répondant à Armoria.

Du nouveau, oui. Mon vis-à-vis angevin semble s'être fait voir par le sergent qu'il a dépouillé. Ça augure mal pour lui, et pour nous par extension.

Le Borgne alla quérir une bouteille de vin et en versa dans un verre de bois qu'il sorti de son sac. Il le présenta à la matronne.

C'est suffisant?
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--Forrest
Là-hauuuuuuuuut dans la chappelleuh, il y avait un valeeeeeeeeeeeet :

Forrest revint après avoir discuté un moment avec Tithieu. Ce qu'ils se dirent ? Mystère... [*]

Il s'approcha de Snell, évitant de regarder vers Armoria, de crainte que l'examen ne soit en cours. Non pas qu'il craignait de la voir dénudée : aider au bain fait partie des devoirs de tout bon valet, et à ses yeux, c'était même une part non négligeable de son salaire.

Non, c'était une question de sensibilité. Forrest pouvait voir des gens saigner, se faire blesser, mourir... Mais ne supportait pas les naissances. Ce qu'il en avait vu chez des animaux lui suffisait pour se tenir à l'écart des naissances humaines : il craignait de ne plus pouvoir après cela regarder l'intimité féminine avec autant d'appétit.

Il, donc, s'approcha de Snell, et lui murmura :


Messire Snell, je vais devoir m'en retourner à Niort, selon les indications de Son Altesse. Un message à transmettre ?

[Murmures qui auraient été écrits en toutes lettres si certains joueurs ne confondaient pas ce qu'ils savent et ce que leurs persos savent. La rédaction s'en excuse auprès des autres joueurs.]
Gaborn
[Poitiers, coche vs castel, la vie est dure...]

Le contact de son corps contre le sien, par trop fugitif, avait laissé une empreinte de chaleur et de douceur sur le torse de Gaborn. Contact encore plus rapide de ses lèvres sur ses cheveux, sans doute même ne l’avait elle pas senti… Mais qu’importe lui l’avait senti, respiré même… cette odeur… cette flagrance de violette qu’il ne saurait plus jamais oublié ni se remémorer sans penser à elle…

Elle avait ensuite fait un pas en arrière et son visage c’était métamorphosé pour laisser place au masque qu’il avait rencontré dans la chambre. Il n’aima pas cela. Instantanément. Aussi, accepta-t-il la fourrure tendue, puis lorsqu’il prit la poignée du coche, l’ouvrit-il en se retournant pour regarder Marie et être par elle seule vue. Alors il lui sourit, lui fit un clin d’œil et lui tira la langue malicieusement. Il articula le mot suivant en silence… Merci…

Sans attendre la réponse ou vérifier que la jeune femme se détendait, il descendit du coche. Là il s’arrêta et contempla le castel comtal un long moment. Arrêté devant l’entrée principale, un garde le lorgna d’un œil relativement intéressé. Il attendrait toutefois.

Se retournant à nouveau, il tendit sa main pour aider Marie. Celle-ci la prit, aussi, d’un geste fluide, Gaborn l’aida t il à descendre tout en pressant sa main avec délicatesse. Arrivé à sa hauteur, il fit mine de s’incliner et murmura.
Ce fut un de mes plus beaux trajets…

Se relevant, une lueur malicieuse dans les yeux, et bien décidé à ce que Marie conserve l’énergie qu’elle avait accumulé durant le voyage, il se tourna vers le garde qu’il héla ainsi.

Holà de la Garde, veuillez annoncer la Première Secrétaire D’Etat, la Vicomtesse Marie Alice Alterac et le Duc de Louhans, Gaborn de Hennfield. Nous devons voir séance tenante le prévôst de ce beau comté… Et je dis bien dans la minute. Nous avons des informations de la plus haute importance concernant l’enlèvement de la Grande Maître de France, Armoria de Mortain, ma sœur !

Les mots avaient été pesés pour faire réagir le garde et Gaborn ne fut pas déçu de le voir s’affairer. En même temps les terme, PSE, vicomtesse, Duc, GMF et sœur avait de quoi accélérer l’allure de beaucoup…

Se tournant vers la PSE en question.
Irons nous ma Dame ? Nouvelle insistance sur le possessif.
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banniere en cours de confection par mon épouse, mais voici le blason :
Mariealice
[Poitiers – Premier Secrétaire d'Etat cherche Prévost]

Il avait pris la fourrure sans un mot et son regard à lui aussi avait changé, de façon imperceptible une lueur s'était allumée puis éteinte quand elle était redevenue celle qui tous les jours oeuvrait au service du Roy, laissant derrière la femme.

Parce qu'il fallait reprendre ses esprits et ne pas céder à la tentation qui hurlait en elle de le tirer en arrière, de frapper au plafond pour qu'on les emmena loin d'ici, de s'enfuir, tout laisser et de n'être plus que Marie. Celle qui était avant une femme avec des doutes, des peurs, des envies. Celle qui était vulnérable, faible, qui avait besoin de bras dans lequels se fondre, de quelqu'un qui prenne les décisions.

Mais qui savait cela? Flaiche peut-être. Enguerrand. Ewaële. Mais même à eux elle cachait tant de choses, ne voulant pas les peiner. Alors elle se faisait plus dure, plus sûre d'elle et avançait quoi qu'il lui en coûta. Nul ne devait souffrir parce qu'elle souffrait.

Un murmure et un regard la tirèrent de ses réflexions, de ses rêves et elle le vit avec étonnement lui tirer la langue alors qu'elle lisait sur ses lèvres plus qu'elle n'entendait son merci. Tirer la langue. Amusant. Habituel chez elle ce qui surprenait parfois les gens. Une Vicomtesse ne pouvait tirer la langue, inconcevable. S'il savait la vague de chaleur bienfaisante qu'il venait de déverser dans ses veines par ce simple geste, par ce simple mot.

Elle le vit descendre puis lui offrir sa main, dans laquelle elle posa la sienne pour prendre appui et le rejoindre, pression ressentie, pression rendue, ne pas croiser son regard tout de suite.

Près d'elle, il s'inclinait et en profitait pour murmurer quelques mots. Rougeur, instantanée, immédiatement dissimulée par la capuche. Le froid, voilà c'était le froid qui l'avait provoquée. Que lui répondre qui ne paraisse pâle en comparaison de ce qu'elle avait ressenti et ressentait encore?

Alors plutôt que des mots et tandis qu'il les annonçait, elle déposa sa main sur son bras et lui offrit un sourire tendre et reconnaissant que lui seul pouvait voir, dissimulée sous sa capuche.


Nous y allons oui.


Face aux gardes, froide, presqu'hautaine pour mieux faire barrage.

Et bien, nous attendons, allez donc prévenir le Prévost au lieu de rester à bailler aux corneilles!
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Snell
Snell regarde le valet pensivement un moment avant d'hocher la tête.

Oui, Forrest. Cours voir Eusaias et dis lui...

Le Borgne se rapprocha du valet et lui chuchota les instructions à relayer à son ami. Son ton était aussi sérieux que son regard, ne prenant pas à la légère ce qu'il devait demander au drasnien, mais il savait qu'il pouvait lui faire confiance avec une mission aussi délicate.

Les instructions terminées, il donna une tape encourageante sur l'épaule du messager.


Vas-y... et bonne chance, Forrest.

Puis il apporta le vin préparé à la matronne.
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--Brunehaut


[Chapelle ]

Brunehaut écoute la Princesse qui semble plutôt mal embouchée. M'enfin elle a vu pire. C'est que souvent à cet instant, pas agréable la future mère.

Elle renifle l'haleine puis commence l'examen en remontant la robe.


Bon. Le travail a bien commencé. Par contre, c'est quoi ces marques sur votre ventre?

Elle prend le verre tendu, en touille le contenu avant de le tendre à Armoria.

Hop on boit ça. Ca va aider.
--Forrest
Dans une chapelle sans ex :

Forrest regarda Snell avec gravité : il se doutait qu'il entendrait ce genre de demandes à transmettre.

Ce sera fait sans délai, messire Snell.

Il se tourna vers sa maîtresse, en prenant avec délicatesse ce qu'elle lui confia :

Votre Altesse, j'entends bien vous retrouver sous peu, et vous laisser me navre.

Une oeillade vers la rouquine, qu'il frôla en se retirant après avoir salué Armoria :

A bientôt aussi, la gironde... Sans faute, itou, enfin hormis celles que nous commettrons ensemble, évidemment.


Plus tard... Niort, où le trouver ? En taverne, té !

Il était là, le Mauvais... Pas moins de cinq tavernes pour le trouver mais il était là...

Messire Eusaias ?

Forrest se pencha à l'oreille du Bourguignon et lui confia les demandes de Snell dans un murmure. Il lui glissa ensuite quelque chose dans la main.

Pour orienter les recherches, quand il sera temps...
Armoria
En pleine chap'elle :

Elle avala la potion sans rechigner, balayant la question concernant son ventre d'un geste évasif de la main.

Aucune importance. Oeuvre donc, ma bonne, et ne pose nulle question.

Attendre. Souffrir. Accueillir les douleurs comme une grosse vague sur la mer, contrôler son souffle pour mieux la chevaucher. Subir. Avoir l'impression que les forces n'y suffiraient pas, que la fin du chemin était atteinte.

Pousser. Croire qu'elle se déchirait. Songer au péché à expier, y voir une épreuve du Seigneur... Martyriser la main de Snell. Refuser de crier, comme elle avait toujours refusé de crier en accueillant ses enfants aux portes de la vie.

Ne pas crier. Ne pas crier.

Ne jamais crier.

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[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]
--Brunehaut


Au moins elle a l'habitude et Brunehaut n'a qu'à veiller sans d'excessif explications.

Alors elle surveille, écoute la respiration, compte entre les contractions le temps qui passe puis quand elles se rapprochent, prend un nouveau pot et s'enduit les mains d'huile de violette et de laurier avant d'introduire sa main entre les jambes pour vérifier l'avancée et la position de l'enfant.

Doucement, elle rassure la mère, lui parle, ne tient pas compte de l'homme, il ne devrait déjà pas être là. Pourvu que sa présence ne porte pas malheur.

Et puis elle ne comprend pas que la parturiente ne crie pas, se refuse à crier parce qu'elle sait la douleur qui vrille les entrailles. Mais cela encore n'est pas son problème. Elle est là pour l'aider à la délivrance et c'est ce qu'elle va faire, quel qu'en soit le résultat.
Eusaias
Eusaias écouta attentivement le serviteur, ses yeux luisaient à chaque points clefs. Lui qui avait tant oeuvré pour faire son repenti, lui qui avait clamé haut et fort qu'il s'était rangé, était à nouveau au pied du mur. Que faire, trahir une parole donnée à une défunte, ou tourner le dos à ses amis dans le besoin. Un noeud se formait dans son ventre, tuer, on lui demandait de tuer à nouveau. Forrest lui tendit aussi un objet bien connu du "Mauvais". Le bourguignon referma ses doigts dessus tels des serres et un sourire naquit sur ses lèvres.

Il fixa le ciel comme pour demander pardon puis posa son regard d'oiseau de proie sur Forrest.

"Va lui dire que j'accepte son invitation. "

Sa décision fut prise, il ôterait la vie du sergent. L'homme ne lui avait rien fait, mais il pourrait reconnaitre leur complice et ça ce n'était pas envisageable. Il prit la route de l'auberge et après avoir mangé un peu de pain en compagnie de l'aubergiste il prit la direction de sa chambre. Il vida son bardât sur la paillasse et chercha tout ce qui pourrait être utile. Il passa des vêtements sombres afin de ne pas attirer l'oeil dans une quelconque fuite. Il fit jaillir son stylet de sa manche et affûta sa lame déjà tranchante à souhait, l'arme retrouva son fourreau caché. Il resta un moment sur le coin du lit, la tête entre ses mains il pensa à Zhaïa. Il ne devait pas la décevoir, il ne devait pas être pris pour la revoir.

Il était l'heure.

Eusaias commençait à serpenter dans les rues, à la recherche de sa cible. Il lançait de temps à autre un coup d'oeil furtif sur le visage des gens qu'il croisait, mais aucun ne correspondait à la description.

Il se dirigea alors, près de la caserne, l'homme devait sans nul doute être dans le coin à la recherche de son agresseur. Les yeux du Drasnien balayaient les soldats, un marqua son attention. Il portait une tenue fraichement sortie à en croire les plis encore net et avait le visage bien pale, des galons de sergent ornaient son costume et le facièsse était celui décrit. Le mauvais sourit, ses vielles habitudes ressortaient ses doigts commençaient à danser dans sa poche, il emboîta le pas du Sergent_nerien_afout.

Les deux hommes se dirigeaient vers le centre-village, Eusaias cherchait le meilleur moment pour frapper. Le coup devait être juste et efficace, mais un faiseur de mort tel le Mauvais connaissait le corps humain et ses défauts, l'ennuyeux était de ne pas se faire voir. Les ruelles se faisaient de plus en plus peuplées et le coup allait manquer, lorsque la divine providence fit son oeuvre. Le sergent se dandina jusqu'à un recoin à l'abri des regards et commença à défaire ses braies, Il n'aurait pas le temps de soulager son envie naturelle. Eusaias fondit sur lui tel un rapace et d'un geste ajusté sectionna la gorge du malheureux. La chair ne posa aucune résistance au stylet et la triple giclée de sang qui aspergea le mur était signe que la carotide était tranchée. Le sergent perdit vie sans s'en rendre compte, Eusaias essuya sa lame maculée de sang sur l'uniforme du soldat.

Un bref regard sur ses vêtements pour vérifier si nul sang n'apparaissait et le Mauvais reprit sa marche remontant le col de son mantel sur ses joues. Son habilité à se fondre dans la masse devenait désormais sa meilleure alliée.

Il retourna en taverne boire un verre ou deux. Il devait désormais attendre que quelqu'un remarque le mort dans le recoin et il irait se mêler aux badauds.

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Sinople
Où je l'ai trouvé sire ? perdu a la lisière de marais, je ne saurais plus vous dire où ! je m'étais moi même perdu, il m'a fallut des heures pour pouvoir retrouver mon chemin ! Je ne serai pas fichu de vous dire où j'ai trouvé cet homme...

Heu... quant a dépouillé, en vérité c'est moi qui lui ai prit ses bottes car une des miennes n'a plus de semelle, et je contait les lui rendre ne me prenez pas pour un détrousseur !

Pour ma part sire j'ai eu assez d'émotion ici, et l'air devient trop malsain a mon gout. J'ai trainé a travers trop de forêt et de semi marais, j'ai eu trop d'émotion pour mon compte, je m'en vais rentrer chez moi. Si besoin est, je serai à La Rochelle.

Dieu vous aide dans vos recherches.
Snell
Chapelle de la Nativité

La sueur perlait au front du Borgne. Pour détourner ses pensées de la douleur atroce dans sa main et de son impuissance face à ce qui arrivait, il pensa au bébé et au futur. Au précautions qu'il faudrait prendre, aux manières de cacher son identité, à comment agir devant ceux qui ignoreront tout de ce qui se passe ce soir dans cette chapelle.

Ignorant comment il pouvait aider, il regardait souvent Armoria et tentait de deviner si elle avait besoin de quelque chose. Parfois il lui tendait une outre d'eau, mais en gros, il était dépourvu et espérait que sa présence seule pouvait aider la blondinette en ce moment.

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--Brunehaut


L'accouchement se présente bien même si le temps doit paraitre long à la mère et à celui dont elle broie la main.

Petit à petit la tête sort, recouverte d'un duvet blond, puis les épaules. Le cordon ne s'y est pas enroulé donc tout va bien.

Encore quelques poussées et voici l'enfant tout à fait dehors. Une claque sur les fesses pour prendre l'air et crier avant de couper le cordon à quatre doigts du nombril. Un doigt par saison.

Nouveau pot dans lequel elle plonge les doigts pour saisir de quoi nettoyer le bébé, un mélange de rose pilée, de miel et de sel avant de le poser sur sa mère.

Une fois la secondine sortie, elle va la lancer au feu en priant pour chasser les démons.


Faites la boire un peu de vin messire. C'est une belle fille que vous avez là.
Armoria
Chapelle :

Délivrance. La mort, cette fois, n'avait pas été frôlée, et l'enfant criait, l'enfant vivait. Elle la tint contre elle en lui murmurant un pardon pour l'avoir fait souffrir en ses entrailles, pour s'apprêter à passer sa vie en niant leur lien de chair et de sang. Pauvre petite chose vagissante, à peine née et déjà marquée du sceau de l'injustice.

Snell ? Il va falloir quitter le Poitou avec elle... Chez Tithieu de Penthièvre, tu devrais pouvoir être accueilli.

Elle avait prononcé le nom de son faux ravisseur devant la matrone. Trop épuisée pour s'en rendre compte. Epuisée... Besoin de repos, mais aussi besoin de serrer encore un peu ce petit corps tout chaud contre le sien, avant la séparation. Elle fit signe au père de se pencher vers elle.

Il va falloir que tu fasses une chose qui va te déplaire, Guillaume... Je dois avoir sembler avoir été molestée, voire... Violée. Quelques traces, pas trop fortes, comme pour une marchandise précieuse. Des morsures. Les vêtements arrachés ça et là, point trop, pour que mon ventre ne soit point vu, enfin tu vois... Mais toutefois, prends garde, si mes effets ont reçu du sang, à déchirer ces morceaux-là. Eusaias a reçu mon canard pour le poster en indice, je serai retrouvée. Il faudra sans doute m'attacher aussi.

Elle se tourna vers la femme et parla plus haut.

Grand merci de votre aide, ma bonne. Nous avons besoin de quelques minutes, seuls, après quoi vous serez payée, et grassement.
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[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]
Gaborn
[Je prends quelques liberté pour faire pénétrer nos personnages dans le castel, j'espere qu'aucun joueur n'en sera blessé ou dérangé. Le but en est efficacité et rapidité]

Le Duc et la vicomtesse furent escortés avec célérité par quelques gardes. Le sceau de la dame et leurs vêtures y étaient sans aucun doute pour quelques chose.
La main de la PSE ne quitta pas le bras de Gaborn durant le trajet. Celui-ci sembla durer fort longtemps et les couloirs être fort long. C’était là grand castel pour sûr… Enfin, une porte se trouva planter devant eux et le garde y frappa, épargnant cette peine à Marie Alice ou à Gaborn. Il dit même, tout est fait pour les invités de marque dans le Poitou :


M’sieur le Prévo’ c’est la Vicomtesse et Premier Secretair’ d’Etat pi un Duc qu’y veulent vous ‘y voir !

Les coups furent redonnés pour faire bonne mesure avant que le garde recule, attendant, comme le duc et le vicomtesse que la porte s’ouvre sur le prévôt. C’est qu’ils avaient des choses à se dire, et vite !
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banniere en cours de confection par mon épouse, mais voici le blason :
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