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[Rp/Ig] L'éclosion de la fleur de feu

Elvis_
La Bataille fait rage...le sang gicle...les hurlements ....les soldats qui tombent au combat..

...une boucherie...

Le capitaine de la Desembarrenta tombe de sa monture et se retrouve au sol...un soldat ennemi court vers lui arme a la main...

..il esquive , se retourne et plante sa lame dans le flanc droit du soldat qui s'écroule..

Citation:
16-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Horsem@n. Vous l'avez sérieusement blessé.


Alors qu'Elvis se relève , un autre soldat approche....pas n'importe quel...il le connait celui-là...c'est le capitaine de la Momento...Namay...

...apres un long échange de coups , Elvis perd son arme...il est fort ce Namay...Elvis sent la froideur de la lame du capitaine qui pénetre son épaule....

..il s'écroule au sol...

Citation:
16-10-2009 04:09 : Namaycush vous a porté un coup d'épée. Vous avez été grièvement blessé.

_________________
*Capitaine de la Desembarranta
*Quand t'as rien , t'as rien a perdre.








Ysabeau
A Bourges

Toujours à Bourges, toujours patrouiller sur les remparts. Les nouvelles arrivaient de Chateauroux, où les combats faisaient rage.
Clelala, mort au combat... Armadeus, morte au combat. Degaulle, mort au combat. Zoyah... les noms s'égrenaient, le dispensaire de la garnison s'emplissait de blessés.
Morts... ou grièvement blessés, laissés pour morts ?
Inquiétude.
Questions...
Perplexité.
Pourquoi rester à Bourges, alors qu'à Chateauroux, des berrichons meurent pour la défense du village ? Pourquoi l'armée du duc n'est-elle pas en première ligne, avec ceux qui se battent ?
Pourquoi les ennemis dont on leur annonce la venue ne se manifestent-ils point ?
Questions.
Peut-être le danger est là. Peut-être ne faut-il pas laisser la capitale sans défense.
Mais Ysabeau se sentait mal à l'aise, elle pensait à ses amis, à ceux qui donnaient leur vie. Elle avait l'impression de rester en arrière.
Planquée.
Suivre. Elle suivrait.




_________________
Verya2
[ Sur les remparts de Bourges ]

Encore une nuit de silence …
Les tours de garde s'effectuaient calmement malgré la pression qui ne cessait ne monter …

L'on se battait a Châteauroux … des morts … des blessés … de toute part … les armes qui s'entrechoquent …
Bourges … défendre Bourges quoiqu'il advienne … attendre les ordres … suivre les ordres …

Le moral n'était pas au beau fixe …
l'on pensait à tous ces frères d'arme qui livraient bataille … on les soutenait … on se soutenait ...


Quand tout cela cesserait il …
_________________
Cantarella
[Deuxième jour après la première bataille]

La jeune infirmière était prête de nouveau ce jour-là, plus déterminée que jamais à tuer ses ennemis, rester au loin de sa famille à 20 lieux de Châteauroux, cela inquiétait beaucoup la petite brune.
Sa sœur cadette qui s'était retiré à l'église pour une durée indéterminée et ne donnant point de nouvelles ne pouvait que l'a stressée d'heure en heure. Plus le temps passèrent plus l'armée de la Desembarrada s'ennuyait.


Mais que se passe-t-il? Ou est l'ennemi?

Questions sans réponses et soldats sans actions mais ce n'est pas pour déplaire à l'infirmière car cela l'a rassurait, ainsi Châteauroux serait en sécurité un jour de plus, les habitants pourront cultiver un jour de plus leurs champs, d'autres élever leurs bêtes une journée de plus, les artisans gagner plus de sous en cette journée mais.... quelque chose de pas net faisait hésiter l'infirmière. Une journée si tranquille malgré les nombreuses pertes subit dans l'armée

Est-ce a fin de la guerre? déjà?

Oh que non ma chère, cela ne fait que commencer petite Cantarella!
La journée passe, le soir tombe ainsi que viens la nuit, on croisa un groupe de voyageurs qui se dirigeait vers Châteauroux, la brunette dans son travaille de douanière l'a pressa vers eux


Halte-là! Présentez-vous et dites-moi... Un bruit l'a fit perdre parole. Etonnée, Cantarella ne s'occupa plus d'eux et alla à l'attaque, il était temps!

A sa grande surprise, elle recroisa l'armée qu'elle avait vue avant-hier mais cette fois ils étaient environ deux ou trois armées plus nombreuse. La Desembarrada seul contre eux, de quoi en faire palpiter de peurs tous les castelroussins et en grande partie l'infirmière. Une dernière confessions face au Très Haut pour porter chance à elle et ses camarades comme la première fois.
Citation:
18-10-2009 04:09 : Vous avez été attaqué par l'armée "Amor patriæ nostra lex" dirigée par Dragoond, l'armée "Memento Mori" dirigée par Nanius, l'armée "Régiment du Limousin et de La Marche" dirigée par Ramses14, l'armée "Primièra Companhiá de Peiregòrd e d'Engolmès" dirigée par Matpel, et l'armée "Crepi Coronia" dirigée par P3r3v3rt.

Oh Mon Très Haut! c'est horrible, protégez-nous

L'ennemi approchait et on était mal fait...

[Une nuit mouvementée et sanguinaire]

A l'Attaque!!!! Cria-t-elle.

Cette fois-ci plus de culotte qui l'a démangeait ni de nez qui l'a grattait. C'était 100 fois plus sérieux que la première mais quoi qu'il arrive il fallait le faire, pour Châteauroux!

Un peu de pieds par-ci, un coups de coude par-là, un regard à gauche et un coups d'épée l'a prit Dans son réflexe, elle essaya de se protéger avec son bouclier mais ces deux armes se frôlent et réussi à l'a blessée sur l'épaule malgré une défense en retard.

Citation:
18-10-2009 04:09 : Xopur vous a porté un coup d'épée. Vous avez été grièvement blessé.

La douleur l'a faisait horriblement souffrir qu'elle jacta:

Sale Rat!

Son bouclier après ce coup fatale pour l'infirmière le brisa, ainsi que l'épée inutilisable, elle se retrouve à terre, l'ennemi en profite pour en terminer avec la petite brune.
Citation:
18-10-2009 04:09 : Aimadina vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
18-10-2009 04:09 : Roderic_varthak vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
18-10-2009 04:09 : Blackmanga vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.


Là ça en était vraiment fini pour elle, trois coups, trois vilains coups qui l'a transperçait par devant et ressortait par derrière. Des Lâches! Trois contre une et des profiteurs.
Affaler sur le sol, elle ne vit plus la vie d'une même couleur, tout était rouge, la vue se trouble puis plus rien...peut être un aller simple pour le Paradis.
Genor
[les remparts de Bourges]

Genor se gèle sur le remparts de Bourges. Elle monte la garde ...
Sa tête oscille, il doit être entre 3h et 4 heures, le bourdon de la cathédrale avait égréné ses 3 coups depuis longtemps... C'est l'heure froide, l'heure assassine....L'heure où l'on regrette sa maison , ses moutons et même ses ennemis familiers...
Genor a un petit sourire pour l'insupportable Tchancthès qui l'a fait courir les routes pour ne pas gaspiller sa vie à l'étriper... La sottise est immortelle.
Genor arpente maintenant le chemin de ronde pour se désennuyer et ne pas s'endormir, elle a trop d'expérience des campagnes pour ne pas savoir que le sommeil vous prend plus vite dans le froid...

Soudain... Son sang se fige, ses oreilles se tendent...
Une vigilance née de l'instinct la fait se dresser et regarder attentivement par le créneau.
Elle a entendu des cliquetis venus de l'extérieur.
Elle avertis sa mère qui ést à ses côtés

- regarde là bas, il y a du mouvement ....Des troupes...
Elle cour t et regarde vers l'est...
- Là aussi .. Maman, je crois que ça y est... Va falloir se battre...

Elle sent un noeud d'angoisse la prendre à la gorge... Elle fait quelques pas ... Et puis court au dessus du mur, elle rend tripes et boyaux dans la nuit...
Elle court ensuite à la cloche et l'agite aussi vivement qu'elle le peut


Alerte, Aleerte... Troupes en vue

Elle retourne et scrute l'horizon qui semble se peupler, on entend maintenant distinctement, des chevaux qui hennissent et là au sud, une forêt de lances...

- Ils sont venus en nombre... en grand nombre
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Prongs
[Remparts de Bourges, armée du Berry]

Il faisait froid, très froid. Dans l'attente ses membres s'engourdissaient lentement, elle ne sentait plus le bout de ses pieds et avait regretté de ne pas porter une deuxième paire de bas.

Mais elle restait bien éveillée, angoisse au cœur, elle était pensive. Pendant cette nuit la elle avait douté, se rappelant sa vie tranquille de l'époque, une année avant elle était dans une église pour se marier, maire d'une ville, carrière accomplie, femme heureuse. Et la sur ses remparts elle avait douté d'avoir fait le bon choix.

Elle s'en voulait aussi de ne pas avoir laissé Louis à ses cousins. Elle l'avait laissé dans une auberge avant de partir sur les remparts avec sa fille, son mari et ses compagnons mercenaires. Elle ne pouvait oublier le regard du petit garçon effrayé, sachant bien que sa famille partait se battre. Oui elle aurait du le laisse en Helvétie..

Et c'est en pensant à ça que Genor la secoua. Elle regarda sa fille, Prongs tremblait puis regarda en dessous des remparts pour constater que les assaillants étaient nombreux.. trop... et la elle sut que seul la hargne pourrait les sauver. Elle se prépara, prête à suivre les ordres, peur au ventre. Elle eu un geste pour sa fille lui tapant dans le dos et regarda Henki, incapable de leur dire un mot… Alors elle pria Deos pour qu’ils sortent victorieux de l’affrontement.

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Bailli démissionnaire
Ancienne Avoyère de Fribourg (5 mandats)
Ancienne Prime consul de Lausanne (2 mandats)
Ancienne juge de Lausanne (2 mandats)
Ancienne Diplomate pour Lausanne (1 mandat)
Verya2
[ Bourges ]

La relève était passée … Son tour de garde était terminé …
Elle avait eu des nouvelles du front … s'était isolée …

Verya sortit encre,plume et parchemin qui ne quittaient jamais sa besace …
La main un peu tremblante se mit a écrire ...


Citation:

Ma très chère Kha … mon amie … ma sœur .

Je profite d'un petit moment de répit … mon tour de garde vient de se terminer
Ce sera peut-être mon dernier courrier …

J'ai enfin trouvé le repos …
Le Berry … Bourges … ont su me faire rester en place …

Ce serait le bonheur parfait si ce n'était cette guerre qui fait rage …
Mon cœur se serre chaque matin en l'attente de ses nouvelles …

Je t'imagine sourire … oui mon cœur est conquis … qui aurait pu le croire !
Je crains bien plus pour sa vie que pour la mienne maintenant ! je tremble à l'idée qu'il ne lui arrive malheur ...

Nous sommes sur les remparts de Bourges à guetter, attendre l'ennemi …
A Châteauroux la bataille fait rage nombreux sont les morts et les blessés...

Ma Kha … j'ai peur de livrer combat … une armée Périgourdine a rejoint les rangs ennemis …
je ne sais qui s'y trouve …

que ferais-je si je me trouvais face à face avec un ami … une amie ?
Je m'en voudrais toute ma vie d'un acte que je n'aurai pas voulu !

Vous qui m'avez si bien accueillie … vous qui m'avez offert Castillon !
Que deviendrait ma vie … une vie de remords ...

Ma sœur, mon amie … dis moi juste que tu n'es pas dans les rangs … dis moi juste que mes amis n'y sont pas !
Rassures moi …

Renvoies moi vite mon élianon …. porteur de tes bonnes nouvelles …

A très bientôt j'espère …
Prends bien soin de toi ... embrasses mes chers amis pour moi ...

Tu me manques ... vous me manquez ...
Je te serre dans mes bras ... je pense à toi ...

Verya



Elle scruta le ciel … il était là …
Elle poussa un petit cri … il vint se poser près d'elle … elle enroula le parchemin, lui attacha à la patte …


Vas vite mon bel élianon … va vite trouver Kah … et reviens moi vite
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Velden
[Sur les remparts de Châteauroux]

Deuxième jour de combats ... Avec courage les habitants de Châteauroux avaient défendu leur cité mais cette nuit plusieurs étaient tombés : cinq armées ennemies tenaient le siège maintenant. A l'extérieur, les cadavres berrichons et ennemis peuplaient le sol, surveillés de haut par des charognards. A l'intérieur de la ville, les rues étaient désertes, les volets fermés, le soleil venait à peine de se lever ...
L'étendard du Berry fouetté par le vent était toujours là, Velden sur une des tours, venait de finir sa garde. Enfin un peu de temps pour écrire aux siens, il prit donc sa plûme.


Citation:
A ma chère tante et à mon cousin,

C'est en de tristes circonstances que je vous écris. Durant toute la nuit nos forces ont combattu face à l'ennemi en surnombre. Beaucoup sont tombés, la ville est meurtrie, la mort et la tristesse y rôdent.
"Courage noble enfant c'est ainsi que l'on s'élève vers les étoiles", ces mots résonnent en moi ... Je vous invite à prier pour le salut de Châteauroux, pour le mien également. Je n'ai pas peur de mourir, ou plutôt plus, je sais que je quitterai ce monde pour en trouver un meilleur. Mon cœur se serre à l'idée de vous laisser et j'espère avoir servi mon duché, ma ville et notre famille sans faillir.
Espérant par la grâce de Christos vous revoir prochainement.

V.


Il attacha son message sur un des pigeons voyageurs, qui prit la direction de la capitale.
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Hans
[V'là les tourangeaux. Combats devant Châteauroux]


Après l'incursion berrichonne sur leurs terres, la riposte a été savamment préparée, et les combats sont attendus par tous dans les rangs. Les derniers détails ont donné lieux à quelques discussions, mais les armées se sont mises en marche vers leur objectif. La Touraine a dépêché ses stratèges, la comtesse du Limousin fournit troupes et appui, et le capitaine de l'Alliance du Centre est là également. Les choses sérieuses peuvent commencer. Le Poilu a voulu la guerre, il va devoir se mesurer à ceux qui ont l'habitude de la faire.

Le plan a été établi, et l'option proposée par les deux barons tourangeaux finalement adoptée. Il vaut mieux que ça marche à présent, mais il s'agissait du meilleur choix possible dans les circonstances actuelles. Restent à savoir si en face ils sont toujours aussi médiocres ou s'ils ont enfin appris de leurs déconvenues passées...

La colonne de soldats arrive finalement devant Châteauroux. En face, le capitaine Maptel soutenu par les troupes limousines, au milieu, l'armée berrichonne dirigée par Tadek, au rendez-vous, comme prévu, enfin, comme espérée surtout. Les choses commencent idéalement.
Le lochois, engoncé dans son armure complète aux reflets sombres, abaisse la visière de son heaume. Celle ci est ornée d'un visage grimaçant, semblant gravé ou moulé dans le métal, et les minces fentes laissent deviner un regard dur et impitoyable se poser sur ses ennemis. Sa tendre épouse a tenu à faire parti de l'expédition, mais elle se retrouve dans une autre section. Hans ne pourra peut-être pas veiller directement sur elle donc, mais c'est peut-être mieux ainsi. La belle ne connait pas réellement cet aspect de la personnalité de son si attentionné petit mari. En tout cas elle ne l'a jamais réellement vu à l'oeuvre, lorsque la violence se déchaine et que son bras devient implacable dans sa moisson de vies.
Dans un geste ample et assuré, Mjöllnir quitte son fourreau. La lame semble chanter un instant, réciter une douce ode plaintive en attendant de pouvoir s'abreuver à nouveau.
Le piège se referme, et le cavalier talonne sa monture.


La victoire ou la mort!
Pour la Touraine!
Alleaume
[ Prom'nons nous dans les bois.. Pendant que les chèvres n'y sont pas ! ]

* Deux jours passés que la Desembarrata avait disparu de la surface du globe terrestre, enfin du monde civilisé, l'armée avait établit un campement d'infortune en pleine forêt au milieu de nul part, entre les arbres, les hautes herbes et les sangliers.. Cela lui faisait étrange de se retrouver à nouveau perdu du monde, il se souvenait d'une discussion qu'il avait eu avec Odeline, une jeune recrue de l'Ost régulier du Berry lui avait avoué avoir vécu longuement dans la forêt loin des hommes et de ses défauts, de son avarices à son hypocrisie... Dans un sens il la comprenait, les hommes étaient les pires animaux que le Royaume pouvaient bien dénombrer.. Elle avait refait surface il y avait peu de temps, voulant s'engager dans l'armée, c'était une personne qui avait l'air plutôt sympathique, il avait bien aimé la discussion en sa présence, malgré tout, à l'heure actuel, il n'avait plus eu de ses nouvelles depuis le soir où les combats avaient éclatés.. Était elle encore en vie ? Il espérait bien la revoir, autre part qu'au Royaume des Cieux cela dit...

Alleaume pour sa part, ne se serait pas vu rester définitivement dans un camps retranché en pleine cambrousse, pourtant ils avaient ici ce qu'il fallait pour la survit, la nourriture était abondante, mais le manque de relation humaine aurait finit par lui peser tôt ou tard, heureusement, il avait ses compagnons d'armes avec lui, ceux qui étaient prêt à arracher la chère de l'ennemi pour sauver le Berry de l'adversité dans lequel il était à présent tombé, il avait fait appel il y avait quelques temps à des connaissances, mais aussi à des amis pour venir le rejoindre dans cette guerre sans fin, la plupart d'entre eux avaient répondu présent à sa demande, ils étaient d'ailleurs en route pour y venir... Quant seraient ils la ? Sa par contre, il n'en savait fichtrement rien, espérons simplement qu'ils arriveraient à temps.. Une idée lui vint alors, il attrapa sa plume et rédigea un parchemin à l'attention de la Fourmi, peut être aurait elle à cœur de venir défendre les couleurs du Berry, surtout qu'elle connaissait le petit Céraphin, Béarnais lui aussi qui se retrouvait du haut de sa douzaine de chandelles à se battre sur les remparts d'une ville qui représentait son enfance, son passé, ce qu'il avait aimé.. Et certainement ce qu'il aimerait toujours. *





Cher Fourmi,
les combats font rages en ce moment même en terre du Berry, je suis intégré dans l'armée des Renards qui défends avec honneur le Berry, comme il se doit.
Je suis d'ailleurs aux côtés du petit Céraphin, je suppose, que tu dois te souvenir de ce petit bonhomme ? Il a l'intention de ce battre avec hargne contre les envahisseurs qui font rage ici...

Je ne sais pas où tu trouve en ce moment même, mais pour ma part, on c'est replié dans la cambrousse afin d'organiser la défense de notre beau Duché.
En espérant que tout va bien pour ta part.

Ton dévoué
Alleaume


* Missive terminé et signé de sa plumette, il la cacheta et se promit de la faire transmettre le plus rapidement, afin qu'elle lui arrive au plus tôt..
Alleaume était assez perturbé de voir autant de Béarnais dans cette bataille, certains d'entre eux étaient des "amis", enfin des gens qu'il croyait l'être, des gens comme Ptitmec13 qui se trouvait contre lui, qui avait même soit disant confié à certains, vouloir le tuer, en finir avec la vie de celui qui avait "trahie" le Comté du Béarn.. Cela faisait froid dans le dos de voir que certains retournaient leurs vestes avec ferveur, les changements de saisons sont propices aux changements des gens, Alleaume en avait toujours été convaincu, une fois de plus, cela venait de se démontrer, alors son ancienne amie Bourgmestre n'hésiterait pas à le décapiter de sang froid ? Alors qu'ils avaient travaillés ensemble durant de longs mois pour le bien d'un Comté, qui jamais ne leur avait été reconnaissant ? Quel drôle de perception des choses, il ne comprenait vraiment ce qu'elle pouvait bien faire la.. A se battre pour des idéaux qu'elle ne prônait même pas, elle était Béarnaise, elle n'était pas Périgourdine à ce qu'il sache, se battre pour des conflits que l'on ne comprends pas était assez difficile à combattre pour le jeune homme, lui qui toujours se battait pour ses idées, jamais pour personne... *


[ Qui s'y frotte s'y pique, pour le coup, bien piqué.. ]

* Ordre de marche venait d'être donné, l'armée de la Désembarrata allait reprendre la route cette nuit, pour reprendre place dans ce qui leur appartenait de toujours, à savoir la ville Berrichonne de Châteauroux, Alleaume avait hâte de s'y retrouver, les nuits froides de la forêt engourdissaient largement les os, ce n'était certainement pas de bonne conditions pour mener un combat à bien, tans pis, il faudrait faire avec, surtout si les assaillants donnaient l'assaut au même moment de leur retour en ville, cela ne leur laisserait aucune chance de pouvoir y entrer.. L'ADC était tout de même, il fallait l'avouer une grosse puissance du Royaume, c'était surtout leur nombre qui était conséquent et qu'il ne fallait surtout pas négliger..
L'aube se faisait poindre le bout de son naseau, l'armée Renarde n'allait pas tarder à faire son entrée, Alleaume était prêt au combat, prêt à mettre une fois de plus ses armes aux services d'un Duché qui était nouvellement le sien..
Alors qu'ils arrivaient enfin, devant eux se dressaient cinq étendarts d'armées ennemis, l'ADC se trouvait devant eux ! Fichtre qu'ils étaient nombreux... Qu'allaient ils bien donc pouvoir faire, ils allaient certainement se faire massacrer devant autant d'attaquants qu'il y en avait.. Tans pis, le combat appel le combat, il fallait s'y tenir malgré tout, les ordres devaient être respectés..

Voila qu'enfin les troupes Renardes et l'Ost du Berry donnèrent l'attaque sur leurs ennemis massaient devant leurs murs, la lutte allaient être hargneuse, jamais ils ne se laisseraient prendre sans tomber du fil de fer !
Son épée sortit du fourreau il se mit à en donner des coups ici et la, pour le moment il n'avait réussis à tuer personne, il se trouvait à présent encerclés de deux hommes et trois femmes, d'allures plutôt robustes, épée tendu devant lui il commença à charger et à vouloir frapper, alors que son premier coup s'abattait sur la lame de son adversaire, une douleur froide se fit sentir sur son flan gauche, sa tête se tourna instinctivement, une des femmes venaient de le planter copieusement, la douleur était amer et difficile à supporter, un deuxième coup d'épée vint alors briser son épée, sa fameuse épée qu'il avait eu à Orthez..!! Putain le désarrois se faisait sentir, il allait y rester, le troisième que lui porta un homme cassa son bouclier et entailla lourdement son bras gauche, une deuxième lame se planta alors dans le bas de son ventre...


Sa respiration commençait à devenir difficile, voila que son âme allait commencer à prendre la fuite.. Sa respiration devenait haletante, ses muscles s'engourdissaient, sa tête faisaient des bonds dans tous les sens, il se sentait perdre pieds, le sol se dérobait sous ses pieds, il allait tomber dans l'infini, et plus particulièrement dans l'oublie, son rythme cardiaque devenait lent, toujours plus lent, ses paupières devenaient lourdes jusqu'à ce fermer entièrement, il se sentait partir, les ailes commençaient à pousser dans son dos, il allait peut être rejoindre l'éternel, la postérité, cette endroit où il parait qu'on ne se soucis de rien... Triste vie... *


Citation:
18-10-2009 04:09 : M@rmotte vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
18-10-2009 04:09 : Babak29 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
18-10-2009 04:09 : Munsu vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
18-10-2009 04:09 : Zaria vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
18-10-2009 04:09 : Mizuki59 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
18-10-2009 04:09 : Vous avez été attaqué par l'armée "Amor patriæ nostra lex" dirigée par Dragoond, l'armée "Memento Mori" dirigée par Nanius, l'armée "Régiment du Limousin et de La Marche" dirigée par Ramses14, l'armée "Primièra Companhiá de Peiregòrd e d'Engolmès" dirigée par Matpel, et l'armée "Crepi Coronia" dirigée par P3r3v3rt.


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"Ne te venge pas car la roue tourne
Punis l'insolence par le silence"
Felina
Arrivée à Châteauroux : du sang et de l’action.

Le campement a été installé à la hâte, la Zoko se mêlant aux autres soldats et mercenaires, désormais alliés d’une même cause. Puis à la tombée de la nuit les ordres sont donnés. Les hommes hurlent pour se donner du courage et la charge est lancée. Un regard circulaire pour constater que tout le monde est présent, et la Féline s’élance, garde de son épée serrée dans sa main gauche, qu’elle espère assez habile et forte pour parvenir à agir. Mais sa confiance en elle en cet instant est totale. Tellement longtemps qu’elle attend … Vérifier qu’elle est encore capable, après la déroute de Bourgogne et la perte de la mobilité de sa main droite.

La nuit va être longue et animée. Elle se fiche de qui elle blesse ou tue, elle fonce droit devant et elle tranche dans le vif.
Une femme, deux hommes qu’elle ne connaît ni d’Eve ni d’Adam, visages inconnus qui passent tour à tour près du fil de son épée et qui tombent sous ses coups. Sont ils morts, sont ils vivants ? Elle ne s’arrête pas pour vérifier.


Citation:

18-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Zoyah. Ce coup l'a probablement tué.
18-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Thib952. Ce coup l'a probablement tué.
18-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Krumpf. Ce coup l'a probablement tué.


Ce n’est que lorsqu’elle stoppe sa monture, épuisée et recouverte du sang ennemi que son regard s’adoucit et se fait inquiet.
Elle tente dans la poussière et la nuit de distinguer où se trouvent les membres de sa section. Elle en reconnait cinq : La Norf, Miss, Sunie, Mira, Arnülf toujours debouts non loin d’elle. Mais deux manquent à l’appel :


Senese ? Lucie ? !!! Bord*** Où ils sont ces deux là ???


Si seulement ils pouvaient s’être arrêtés fricoter dans un buisson, si seulement …
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Adiós Fablitos, adieu L'Andalou
Matpel
[Retour de flammes]

Samedi soir. Soleil couchant.

Le Capitaine était songeur. Les yeux fixés sur la crinière de son destrier.
Les questions martelaient dans son esprit.
Pourquoi avoir attaqué la Touraine ? Pourquoi ne pas épargner ses hommes ? Le Poilu était un homme mystérieux. Sa fourberie n'était plus à démontrer. Il n'avait reculé devant aucune bassesse.
Au loin, beaucoup de braves faisaient face. Arme au poing. Bien décidés à protéger les leurs. Savaient ils vraiment pourquoi ils se battaient ? Ou contre qui ? Avaient ils la moindre idée de ce qui motivait les troupes de l'Alliance ? Surement pas. Le Poilu avait dû bien faire son travail.
Il fallait que cette menace cesse. Tel était le prix de la paix.

La respiration du Capitaine se fit plus lourde et résonnait dans son casque.

Il leva les yeux et contempla les remparts de Chateauroux, dessinés au loin.

Il se surprit à ne ressentir aucune émotion. Pas de colère. Pas de sentiment d'injustice. Pas de pitié non plus.
La guerre n'écrit pas de belles histoires. Peu importe la motivation de ceux qui nous font face. Ce soir, il sont nos ennemis.

Matpel regarda sur sa droite. Il aperçut les chefs d'armées du Limousin à qui il fit un signe de tête approbateur. Il fit de même en direction des armées Tourangelles en levant son épée haut vers le ciel.

Fixant à nouveau la ville berrichonne, il baissa son bras, laissant son épée pointer vers l'objectif. Il n'eut pas le temps de finir son mouvement que les cris des soldats, courant vers le combat, se firent assourdisants.

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Mousse4480
Deuxième assaut, remparts de Châteauroux


L'avant veille au soir,
Ils avaient eu ordre de planter leur bannière limousin aux pieds des remparts, ce qu'ils avaient fait.
Les commandants Mousse, Nanius et Ramsès14 enchainaient réunion sur réunion, aussi bien avec l'état major limousin, qu'avec l'ADC.
Hier soir, ils avaient fini tard leur réunion, mais avaient respecté les plans de batailles.
Sur le champ de bataille, les armées étaient séparées, chacunes devaient faire sa part de boulot.
Aussi, le regard de Mousse était tourné vers le Capitaine Matpel, c'est lui qui donnerait le signal.
Alors qu'il le donna, Mousse fit signe à son tour à Nanius et Ramsès14. Il dit:


Citation:
Bon!!!! Commandants, en selle, allons les prendre par derrière...



Ils avaient fait le tour de Châteauroux pour se retrouver sur la route de Bourges, de là ils allaient revenir en arrière en fouillant les bois, les cours d'eaux et les talus.


Citation:
18-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Papou81640. Ce coup l'a probablement tué.
18-10-2009 04:09 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "La Desembarranta" dirigée par Julian_damour. et l'armée "Troupe du Mauvais Pèlerin" dirigée par Nadiejda.
18-10-2009 04:09 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Ost du Berry" dirigée par Tadek.


Ils devaient retrouver leurs homologues tourangeaux à Châteauroux.
Ce qui fut fait, mais pas sans mal.
Les berrichons étaient de brave guerrier, de très bons soldats et paysans.
Mais comme dans toutes les guerres, ce sont toujours les mêmes qui payent. Le Commandant Mousse était en admiration devant tant d'abnégations et de courage. Aussi lorsque le gradé de la Desembarranta, se jeta sur lui de tout ses forces, il ne put se résoudre à le punir de sa lame.
Mousse bloqua l'attaque du gradé berrichon, et lui colla une mandale terrible. Rien de bien méchant, juste de quoi être tranquille avec lui.
Arrivée à Chateauroux, tous les commandants d'armées alliées étaient présents. Maintenant, ils allaient discuter de leurs prochains plans.

_________________
Joshuas
[Cette fois c'est la bonne - le Combat- 1ier bataille devant Chateauroux]

Hey hey...

10 mètres... 2 mètres... Contact !

L'épée de Joshuas s'abattit en premier. Aucun dégât, le bouclier ennemi avait encaissé le choc avec une effroyable résistance. Brièvement il vit le visage de son adversaire. Les lignes bougeaient, les visages ennemis et amis s'entremêlaient presque incompréhensiblement. Son adversaire n'était plus, un autre lui porta un coup d'épée sur la nuque, il s'affala sur le sol.
Un fracas de métal, de cri de douleur, de dépassement de soi. La bannière du Périgord flottait devant lui. Qu'importe l'origine, les rancœurs, c'était sa vie qui était en jeu.

Il esquiva un coup. Tout allait vite. Un renard, un certain Ashlaan qu'il avait connu il y a peu dans sa compagnie avançait lui aussi avec une grande célérité. Il était jeune goupil mais plein de vigueur, s'en était simplement impressionnant.
Joshuas s'approcha, Ashlaan était en duel, il le vit faire chuter l'ennemi tout de noir vêtu. Ce dernier n'avait pas de casque, il dû être sonné un instant mais le frère d'arme de Joshuas ne prit pas la peine de le mettre hors combat... c'était une erreur de ne profiter de cet avantage !
Déterminé, le soldat de la 1ier DGCEN s'avança toujours sur ces gardes vers l'homme à terre. La préoccupation fut veine, une femme passa sur son flanc en courant et fit glisser sa lame le long de sa cuisse le forçant à mettre un genou à terre.


Code:
16-10-2009 04:09 : Opale vous a porté un coup d'épée. Vous avez été grièvement blessé.


Damned ! Ventrebleu la garce !
Fort heureusement elle ne s'était pas attardée sur lui et s'était jetée sur un autre renard qui lui tenait solidement tête. L'avantage prit sur l'adversaire d'Ashlaan était perdu, il s'était même inversé. L'homme l'avait compris et se dirigeait à son tour vers le guerrier de la Desembarata.

L'adrénaline dans les moments critiques est capable de miracle. Faisant fi du sang qu'il sentait couler le long de sa jambe, des battements de son cœurs qui s'accéléraient à travers sa blessure, Joshuas ne voulait pas mourir agenouillé... il n'était pas un vulgaire paysan qu'on exécute, il vendrait sa peau bien cher.

L'ennemi compris bien l'origine de sa douleur, il voulut y porter un second coup mais c'était sans compter l'obstacle que constituait son bouclier. Le choc le fit trembler, instinctivement il grogna et avec la force qui lui restait après cette parade, envoya sa propre épée sur la tête nue du périgourdin. A nouveau l'ennemi était au sol, son sang se répandant sur l'herbe piétinée des faubourgs Castelroussins, la surprise comme seul expression dans ces yeux. Peut etre se réveillerait-il, peut etre pas...


Code:
16-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Tetedefer. Ce coup l'a probablement tué.


Il lui fallait partir, quitter le champ de bataille. Il avait eu un bon réflexe en appliquant les gestes de bases de l'escrime militaire mais on ne pouvait longtemps feinter son propre corps. Il ne tiendrait bientôt plus debout. En position de défense, il reculait le plus vite qu'il pouvait, claudiquant et cherchant des yeux un ami qui pu l'aider.
Personne... il devrait se débrouiller... il connaissait cela, longtemps il avait vécu ainsi. Un autre étendard de l'ADC vint s'adjoindre au premier près de sa position, puis un second... on ne pouvait en augurer rien de bon ! Il passa néanmoins sauf la dernière ligne renarde.

Le Cor Renard sonna, celui de l'Alliance du Centre retentit comme en écho ; Les deux armées sonnaient la retraite. Chacune des deux formations avaient du être dangereusement enfoncé en un point. Joshuas ne pouvait se payer le luxe de ralentir sa retraite, il ferait un bien piètre adversaire si quelqu'un se décidait à en finir avec lui.


Tant pis ! Je dois partir ! Sur ces quelques mots basiques, le goupil abandonna son bouclier sur le sol... il avancerait bien plus vite sans. Les officiers pressaient les troupes de se rassembler, on quittait apparemment les faubourgs de la ville pour la rase campagne un peu plus au nord.

Code:
16-10-2009 04:09 : Votre bouclier a été détruit.


Il ne prit pas la peine de se retourner mais l'armée ennemie effectuait le même mouvement dans la direction opposée. Ce n'était pas le combat décisif que chacun des deux camps attendaient mais c'était que partie remise !

La douleur devenait trop vive, il faillit trébucher par deux fois. Un officier lui ordonna de rentrer à Châteauroux rapidement avant que les portes ne se ferment définitivement, il pourrait prendre du repos et trouver un homme de science pour s'occuper de lui. Il avait raison. Il quitterait l'armée quelques temps, surtout qu'il n'avait plus de bouclier... il lui faudrait en retrouver un... et se jeter à nouveau dans la Bataille !

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Genor
[Entre Bourges et Chateauroux]

La troupe du faucon était fin prête.... On l'envoyait hors les murs, en renfort...A la mort autant dire...
Ils se regardaient l'air grave, tendus...
Genor était déjà allé plusieurs fois exprimer son angoisse dans un endroit écarté... Elle était comme ça ... malade de trouille... Mais elle se battrait avec honneur, elle le savait.

Ils sortirent par une porte latérale et rejoignirent la route avec l'armée du mauvais pèlerin... Quel drôle de nom !!! J'espère que ce n'est pas un mauvais présage.

Genor serrait son bouclier au point que les jointures de ses doigts blanchissaient.
Elle marchait au milieu de l'armée, ses compagnons autour d'elle.
Les autres soldats ... elle ne les connaissait pas, elle n'avait pas eu le temps de se lier...juste le temps de retrouver des anciens Helvètes ....

Qu'allaient-ils faire ? Pourquoi si peu nombreux ?
Genor vit clairement maintenant les incendies, comme un épais brouillard, des détonations

- Tiens ils avaient des canons ! Des mousquetteries aussi...
La guerre... on y était, l'instant de vérité.

Elle se rapprocha de sa mère et de son père.
Elle se débrouilla pour leur taper sur l'épaule en grimaçant un sourire....

Elle chantonnait une chanson paillarde apprise dans l'armée cantonale

-
Code:
Ils étaient quatre vingt, quatre vingt, quatre vingt chasseurs dans le lit de la marqui-i-se

Elle entendit Krumpf à côté d'elle qui reprenait son couplet à gorge déployée..
- Alors le décapiteur...t'en as connu beaucoup des marquises ???

Citation:
quatre-vingt, quatre vingt, quatre vingt chasseurs
Dans le lit de la marqui-i-seuu


Devant eux, des étendards... de très nombreux étendards et des soldats
- Mazette, ils ont mis le paquet pour faire la peau au poilu... et à nous aussi...
Genor se racla la gorge.

Plus que 200 mètres... 100 mètres...
Elle se mit à courir, elle ne chantait plus... Elle criait


- On y vaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
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