Forth_with
Forth savait que les choses seraient tendues et qu'à un moment ou à notre la rencontre entre les différents protagonistes provoqueraient de grandes crises et des éclats de voix. Il les eut et presque avec un calme olympien il laissa cela glisser sur lui comme l'eau sur son visage un jour de pluie, dont il appréciait le contact, sachant qu'il pourrait ensuite se réchauffer auprès d'un bon feu.
Puis avant même que l'évêque ne réponde il se dit qu'il fut temps de poser les jalons, de marquer les choses comme elles devraient être à son goût.
Vous ne craignez certainement pas d'être seul Monseigneur et bien peut importe, vous voilà bien accompagné et rhabillé en prime pour l'hiver. Ça devra vous tenir chaud. Vous aviez affaire auparavant à moi et vous pensiez me tenir. Mais il est bien plus difficile de maintenir deux molosses, même avec une laisse que vous imagineriez poser.
Vous le savez depuis le début Monseigneur, je ne suis pas votre débiteur, je ne veux nullement l'être et je déciderais selon comme il doit l'être à mon humble avis. Cela signifie pas pour autant que mon avis ne peut rejoindre le vôtre et le concilier.
Et bien découvrez dès à présent qu'ils seront deux à en faire de même. Ils sont jeunes ? Et alors. Je le suis toujours et cela me m'empêche pas de vous tenir tête. Certes ce Concordat n'existera pas si vous ne l'appliquez pas mais il n'existera pas non plus s'il n'est pas signer.
Mais rassurez vous, eux comme moi seront assez intelligents pour ne jamais mettre en avant leur orgueil mais simplement leur volonté.
Nous avons discuter de certains points, nous en sommes d'accord. Tenez le pour dit. Ni eux, ni moi ne vous contrediront durant les discussions. Mais en dehors cela n'a rien à voir.
L'église aristotélicienne se doit de montrer une unité, je l'ai bien appris rassurez vous et je leur enseignerait cela. Mais comme vous voyez cela n'empêche pas les opinions divergentes d'exister.
Autre chose Monseigneur ?
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Puis avant même que l'évêque ne réponde il se dit qu'il fut temps de poser les jalons, de marquer les choses comme elles devraient être à son goût.
Vous ne craignez certainement pas d'être seul Monseigneur et bien peut importe, vous voilà bien accompagné et rhabillé en prime pour l'hiver. Ça devra vous tenir chaud. Vous aviez affaire auparavant à moi et vous pensiez me tenir. Mais il est bien plus difficile de maintenir deux molosses, même avec une laisse que vous imagineriez poser.
Vous le savez depuis le début Monseigneur, je ne suis pas votre débiteur, je ne veux nullement l'être et je déciderais selon comme il doit l'être à mon humble avis. Cela signifie pas pour autant que mon avis ne peut rejoindre le vôtre et le concilier.
Et bien découvrez dès à présent qu'ils seront deux à en faire de même. Ils sont jeunes ? Et alors. Je le suis toujours et cela me m'empêche pas de vous tenir tête. Certes ce Concordat n'existera pas si vous ne l'appliquez pas mais il n'existera pas non plus s'il n'est pas signer.
Mais rassurez vous, eux comme moi seront assez intelligents pour ne jamais mettre en avant leur orgueil mais simplement leur volonté.
Nous avons discuter de certains points, nous en sommes d'accord. Tenez le pour dit. Ni eux, ni moi ne vous contrediront durant les discussions. Mais en dehors cela n'a rien à voir.
L'église aristotélicienne se doit de montrer une unité, je l'ai bien appris rassurez vous et je leur enseignerait cela. Mais comme vous voyez cela n'empêche pas les opinions divergentes d'exister.
Autre chose Monseigneur ?
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