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Srp: la lance du precheur (tente médicale

Dragonet
Les RP de combats sont sur le post l'eclosion de la fleur de feu




Prés de Châteauroux, dans un campement à l'écart de celui de Namay

Dragonet avait laissé l'aide de camp installer la tente, pendant qu'avec sa lance, il se rejoignait l'assaut. Il avait vu le capitaine exposer son plan au chef de lance, ordre au parfum aviné. Cet homme n'y connaissait rien, tout s'arrêtait à une série de poutrage reçus au 4 coins du royaume.

Il donna ses ordres à sa lance, indiquant à chacun ce qu'il devait faire, l’ancien maréchal Hospitaliers leur expliqua comment se couvrir, se comporter avec prudence, honneur et intégrité, ils veillèrent à se reposer là où d'autre s'enivrait, n'oublièrent pas d'aller prier, vérifier leur équipement, deviser, plaisanter, puis ils partirent au combat, sans un mot, sous la banniére de Saint Karel, patron du limousin, des precheurs et de la paix, bénis par l'Archeveque MR Groars, alors archeveque de Bourges, avant les guerre bretonne



Il connaissait bien la région, il avait vécus dans une commanderie à Châteauroux et avait fréquenté tant de bal à une époque qu'il n'aurait pas été surpris que ses adversaires l’appellent papa.

A leur retour avant que chacun narre ce qu'il avait vécus, il prit sa plume pour rédiger 2 lettres.

La premiére était pour le Duc du Berry.


Citation:
Votre Grâce George le poilu

Comme tu le sais, je suis ici pour répondre au Ban, mais cela ne veut nullement dire que les griffes du Sans noms ont soudainement prise sur moi.

Je voudrais que tu fasses savoir à tes hommes que toutes personnes blessés venant chercher refuge sous la tente du prêcheur y trouvera protection, soin et nourriture.

Cela ne veut nullement dire que je ne ferais pas mon devoir la journée, mais à la cessation des combats, je soignerais toutes personnes le nécessitant.

Je te demande aussi la permission dimanche, lors de la trêve de chasser sur tes terres pour procurer de la nourriture au plus faibles des blessés. Je ne reconnais pas cette sois disant colonie d'annexion qui fait fi des considérations des peuples

Qu’Arnwald fasse triompher la justice, et que Saint Karel restaure la paix entre nos deux peuples,

Amicalement,

D.C.


Puis une deuxième, cette fois ci à la comtesse du Limousin et au conseil.

Citation:
Votre Grandeur,

Dois je vraiment exprimer ici ce que vous savez déjà, mon courroux.

Voici l'épopée de votre guerre :

Namay à commencé à ordonner de frapper tout voyageur, et 6 innocents personnes ont été fauché, dont un guéretois venu se battre en votre nom. J'ignore encore s’il survivra.

Cela évidement sans déclaration de guerre, seul un désir d'annexion cupide le fut.

Puis un des leur les a marqué comme des animaux, sans qu'il y a ni soins, ni funérailles et les ont abandonné sur le chemin, y compris le guéretois.

Ensuite Namay à prétendu parler en votre nom et celui du limousin en tant que capitaine d'une armée limousin. Rappelons qu'il ne peut pas se prétendre de ses titres. Je vous rappelle le coutumier dont vous êtes la garante :/SPAN>

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Citation:
Article 13-C.1 : Le chef d’une armée Limousine doit faire parti de la Compagnie d’Ordonnance du Limousin et de la Marche. Il doit être noble d’épée ou un capitaine de niveau 3, avoir passé plus d'un an dans le royaume de France ainsi que 6 mois au sein de la COLM. Selon cas exceptionnel décidé par le conseil et l'Etat Major, un noble Limousin ne faisant pas parti de la Compagnie d'Ordonnance du Limousin et de la Marche pourra être désigné comme chef d'armée. Celui ci sera alors sous les mêmes lois qu'un chef d'armée limousine classique et tout manquement à ses lois se verra passible de trahison envers le comté.


Vous avez la légitimité d'autoriser l'armée de Namay sur nos terres, mais pas celle de lui faire bénéficier de notre prestige et de lui donner un statut de représentant de nos armée officiel, je doute qu'il fut noble du limousin ou qu'il ai passé 6 mois dans la COLM.

Enfin dernière choses, après avoir demandé au Duc Georges le poilu l'inacceptable, démissionner et donner 50000 écus à la Touraine, vous avez non seulement annexé une parti des ses terres, mais aussitôt lancé un assaut sans déclaration de guerre, alors qu'il demandait un delai jusqu'a dimanche pour etudier la question. Ce comportement est celui d'un brigand.

Brigands qu'effectivement cette armée n'est pas, puisque le cartel rougit au nom de Namay après sa trahison à Bordeaux où il avait lâché ses frères.

Aujourd'hui, Namay est mortellement blessé, peut être déjà mort, ainsi que 7 autres soldats et notre capitaine Mic31 semble également blessé, tout cela est le fruit de vos inconséquences, ignorez vous que le Berry est la terre de Saint Arnwald, saint patron de la justice, il y a des formes à respecter en ces lieux.

Heureusement ma lance a infligé nombre de pertes, et actuellement j'organise le camp pour répondre au plus pressé, mais j'entend désormais qu'il me soit donné les moyens d'agir en conséquence, je suppose que vous ne concevez pas de me mettre aux ordres de cette jeune femme charmante qui perd si vite ses biens, et le capitaine n'est plus là non plus.

Je vous demande donc officiellement de prendre désormais la direction des opérations et le commandement des troupes, car je suppose que ce n'est pas Namay qui dans son lit va donner nos ordres, pas plus qu'il ne pourra vous donner du plaisir d'ailleurs.

Soyez assuré que vous n'aurez aucune raison d'être déçus, de tout vos amants je fut toujours celui qui tenait le plus longtemps, il semblerait qu'il en soit de même à la guerre, et pas par manque de courage, les corps qui jonchent le sols à mes pieds sont les témoins que je m'y entend quand il s'agit de laisser mes adversaires au sol.

Cordialement,

D.C.
Citation:


Il sourit, un air satisfait sur le visage. Il était temps désormais de s'occuper des blessés, mais aussi d'écouter sa lance. C'est a ce moment là qu'il apprit que le seul d'entre eux qui n'était pas parti au front s'étais fait attaqué, leur jeune aide de temps. Le seul qui n'avait pas été sous la banniére du precheur. Il fut rapatrié avec certains blessés sur Guéret
_________________




Citation:












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Citation:


















Citation:


























Beulbeul


Les blessés commençaient à arriver. Les comabts à peine terminés, ilne fallait pas compter se reposer. Beulbeul sessuya le front, prit une grande inspiration et commença à diriger les blessés dans les tentes selon la gravité de leurs blessures.

Elle déposait un brassard de couleur à chaque personne arrivante sur un brancard. Brassard noir, plus d'espoir, brassard rouge, urgence, brassard vert, à soigner rapidement mais non vital, brassard blanc blessures légères.

Elle faisait cela rapidement, jaugeant des blessures rapidement. Peu de temps pour vérifier ses craintes ou espoirs.

Elle ne faisait pas attention à la provenance des blessés. Amis ou ennemis, qu'importe, cela restait des hommes.

Elle souhaitait être loin de là, être tranquillement en train de se reposer, de se promener, de blaguer avec son cher et tendre. Comme il lui manquait......

Elle se ressaisit, et reprit son travail rapidement.
Boskdeportkar
Il y avait eu beaucoup de fumée pendant cette derniere attaque et les rangs s'etaient etirés. Je n'avais pas vu qui etait sain et sauf, qui etait blessé. Et c'est avec une grande appréhension que je me dirigeai vers la tente qui servait au soin des blessés, inquiet d'y retrouver trop de monde connu. Meme si la douleur d'un inconnu valait bien celle d'un ami.
Je priais pour que notre Lance partie de Gueret soit epargnée.
J'apercus aussitot le visage de Damoiselle Beulbeul affairée à accueillir les hommes et les femmes touchés lors des combats.

Je jetai un oeil rapide derriere les pans de la tente, scrutant les visages de chaque blessé. Je n'etais guere doué pour la medecine, et plutot tourné vers la boucherie, de par mon metier.

"Je puis vous aider Damoiselle ? Je peux mettre des lames au feu à rougir, et s'il faut trancher, comme je suis boucher de metier...
Je connais aussi quelques prieres..."
Dragonet


Dragonet avait déja tué assez d'homme, trops à son gout, et si il etait passé sous les remparts avec les troupes, il l'avait fait cette fois ci désarmée.

Comme à la grande époque de la guerre du Berry, où il etait marechal hospitalier, il parcourait le champs de bataille sans arme, cherchant blessé et mourrant.

Il ne cherchait pas les honneurs, il y avait aucun honneur à repandre le festin du sans nom, il ne voulais qu'apporter qu'amour et compassion pour ceux qui en était victime.

Donnant des ordres, il commença à organiser les choses. Etablir un charnier pour rassembler les corps et les bruler avant qu'une épidémie gagne, séparer les blessées selon la nature de leur blessures pour gagner du temps et selon la gravitée, pour sauver les cas les plus graves.

Il commença à donner des ordres à sa lance, puis progressivement, une transe le gagna.Il n'y eut bientôt plus d'alliés, plus d'ennemis, plus de clan, il n'y avait que que des valide, de moins valides et des mourrants, chacun devant s'occuper des suivants. Sans cesse en mouvement, il guidait, accompagné, portait, un tas commença à se former, et il observa les cas des plus graves au plus anodin. accueillant les arrivants ou allant les chercher et les dirigeants.

Il esperait que Bosk observait pour ensuite le relayer des que les cas les plus grave seraient là.

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Icyblue
Sur les remparts de Bourges

Isidore avait vu un soleil rougeoyant se lever ce matin-là... Un sombre présage pour le Berry dont l'avenir était à présent bien incertain.

Des hommes et femmes, blessés pour la plupart, couverts de sang, avaient rejoint la capitale dans la matinée. Tous racontaient la même boucherie, la rapidité des combats, les morts indénombrables... Le sang du vicomte se glaça... Châteauroux la martyre était encore frappé en son cœur. Encore une fois, il avait du partir et laisser son village et les siens pour répondre à l'appel du Duc. Encore une fois, il allait le regretter.

Isidore s'était précipité auprès des quelques survivants arrivés à Bourges pour avoir de plus amples informations sur les combats, les survivants... Un homme lui confirma la présence d'un campement médical limousin. Avec de la chance, son vieil ami Dragonet était sur place lui aussi, à panser les plaies des survivants, à sauver ce qui pouvait encore l'être.

Il savait le peu de chance d'arriver à bonne destination mais Isidore écrivit tout de même une lettre à son ami.




Le vicomte accrocha la lettre à la patte d'un pigeon. Peut être celui-ci arriverait-il jusqu'à Châteauroux...
_________________
Isidore Bluette
Vicomte de Meillant
Vicomte de Jussy-Champagne


Boskdeportkar
Du sang, des flaques de sang, des mares de sang, melées à la gelée matinale, des gemissements, quelques mouvements lents et sinistres.
Des oiseaux survolaient la plaine en ronde monotone, attendant le bon moment.
Je ne pouvais guere aider les vivants. Il en arrivait par charette, de quelle armée, de quelle faction ? quelle importance. La tente médicale commencait à deborder et certains restaient assis le visage agard, implorant de l'aide.
Le Vicomte Dragonet avait tot fait d'organiser des soins, sans se preoccupper de la couleur de l'etendard. C'etait Dimanche. Cela suffisait.
Les combats avaient cessés pour un jour du moins.

"Permettez Vicomte, que je fasse ce travail ingrat de réunir les morts, avec d'autres bonnes volontés qui sont deja à la tâche. Je vous crois médicastre, et vos talents seront mis à rude epreuve aux abords de la tente que vous avez montée.
Je vois deja des petits resquilleurs qui s'imaginent faire les poches des trépassés. Et il vaut mieux ramasser les armes qui pourraient encore servir."


C'est à cet instant qu'un homme vint me trouver me demandant si j'etais BoskdePortKar, ce que je lui confirmait. Et la mine déconfite, il m'annonca une bien triste nouvelle, celle que je ne voulais pas entendre. La blessure grave de Damoiselle Sofja, qui avait été ramenée sur Gueret.
J'etais enfondré, et je questionnais l'homme pour connaitre l'etat des blessures, les soins qu'on lui avait apportés...sans plus de reponse.

Vas à Gueret, messager, ramène moi de plus amples nouvelles, et porte lui ce collier que je porte, celui avec cette pierre d'ambre. Dis lui tout l'amour que je lui porte.

Je ne pouvais quitter ce champ de batailles comme ca. L'homme s'en etait deja retourné avec dans le creux de sa main mon collier.
J'etais livide, tetanisé par la nouvelle. Planté parmi les corps sans vie, incapable de pouvoir faire quoi que ce soit pour aider Sofja. Quelle impuissance !
Beulbeul


Beulbeul souriat tristement


Je crains que lorsque vous utiliserez votre lame, je crains qu'il soit trop tard. Mais merci..Votre aide sera utile..

Beulbeul regarda les blessés qu s'accumulaient.


Pour le moment, le plus urgent, est d'arrêter le sang de couler. Vous avez donc deux solutions, si le sang coule trop vite, posez un garot. Il suffit de stopper le sang plus haut que la blessure. Vous prenez une ceinture, ou une bande de tissus, et vous serrez le membre aussi fort que possible.


Beulbeul reprit son souffle;


Sinon,, il suffit de presser fortment à l'endroit de la blessure, et normalement le sang devrait arrêter de couler..

Beulbeul souriat brièvement

évidemment, vous vérifiez qu'il n'y ait aucun corps dans la blessure. S'il y a u n objet étranger, vous m'appelez ou au mieux, appelez mon père.

Puis respirant profondément

si vous rencontrez quelqu'un de votre connaissance, priez, priez de plus profond de votre coeur.
Dragonet


Les choses s'organisaient. Il apperçus au loin un messager quittant Louis denis, et il l'intercepta. celui ci etait un soldat qui avait vu tombé Sofja, sa vassale et sa filleule. Elle etait mortellement blessé. Il fit un signe a sa fille..

Beulbeul, tu part immediatement sur Gueret, et tu vas voir comment est sofja, je dois rester, mais veille à ce qu'elle soit conduite chez sa mére sans encombre, tu nous rejoindra aprés.


Previens au passage Bosk que nous n'abandonnons pas les notres et que tu le tiendra au courant. Je te donnerais aussi une lettre pour Nayria avant que tu partes.

je vais la rédiger..


Se rendant sous la tente, il vit qu'une lettre lui avait déja été apporté, il s'intérrogea sur l'ecriture, familiére, mais effacé dans sa mémoire. La signature elle , ne l'etais pas, elle avait ètè apposé en compagnie de la sienne sur le traité de paix entre le Limousin et le Berry aprés la Fronde.

Son premier sourire de la journée. Il pris sa plume.


Citation:
Isidore, mon ami,

Oui je déplore ma venue dans ces circonstances, mais je ne désespére pas que nous nous retrouvions tout deux à oeuvrer à nouveau pour la paix.

A vrai dire j'ai honte de cette guerre, et de la façon dont elle fut mené, honte d'être là. Il y a sans doute des tords des deux cotés, qui ne profitent qu'à des gens désireux de se battre, mais qui ruinent nos deux provinces, et qui bafouent toutes les lois et traités.

Prend soin de toi, et oui, j'espére que le hasard des guerres ne nous opposera pas l'un à l'autre, quoi que je sais que jamais je porterais la main sur un ami, et que je sais qu'il en est de même pour toi.

N'hesite pas à m'amener içi tout les blessés que tu trouveras de tout camps, ils recevront tout les soins nécessaires, et ma protection.

Trés amicalement, et à bientôt j'espére,

Drago.

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Beulbeul
Beulbeul s'affairait. Des blessés arrivaient, et il ne fallait perdre aucune minute. Son père lui fit signe.

A sa demande, elle répondit


Je pars dés que tu me le demandes, dés que tu as fait cette lettre.
Je vais de suite préparer de quoi faire la route.


Je te rejoins sous ta tente.

Beulbeul donna quelques directives, et mit dans un sac de quoi retourner sur Gueret.
Elle se rendit à la tente de son père, ayant parlé à Bosk au passage.


Bon courage, à vous, continuez de soignez ces personnes aussi bien que possible. Je reviens dés que possible. Je vous tiendrez au courant.

Elle rejoignit la tente de son père. Elle attendit un instant que son père rédige la lettre, et prit la route.
Alleaume
[ Aux pays des songes.. Je te reverrais.. ]


* La bataille de la veille avait été sanglante et meurtrière, des corps de partout était tomé sur le champs de Mars, des Berrichons pour la plupart, très peu de membres de la coalition avait perdu la vie, ils avaient bien eu de la chance sur ce coup, ils avaient opérés une percées dans les rangs Berrichons assez conséquentes, pour cause, cinq armées de l'ADC avaient fait marche sur la ville de Châteauroux.. Le jeune homme de Niraco avait battu très peu lors de cette bataille, son sang avait coulé et alimentait le sol du Berry, il s'était écroulé avec honneur devant les cinq assaillants qui l'avait encerclé et ne lui avait laissé aucun répit, les coups d'épées c'était lourdement abattue sur son corps, il n'avait malheureusement pas pu en frapper un seul.. Le destin avait voulu que se soit lui aujourd'hui qui subisse les foudres de ses adversaires..
Le corps de l'homme sans peur avait été transporté un peu après la bataille dans une tente, non loin de la ville, une tente qui devait servir d'une sorte d'infirmerie pour les blessés et les morts de la guerre, c'est ici que le Niraco avait été laissé sur un lit d'infortune, peu être survivrait il, ou peut être la mort allait s'emparer de son corps inerte..

Alleaume se trouvait dans un endroit étrange, une lourde lumière lui faisait considérablement mal à la rétine, à croire qu'il allait finir par perdre la vue s'il continuait à regarder ainsi partout avec insistance.. Au loin se dessiner une ombre vêtu d'une houppelande des plus belles, était il en train de rêver ? Que se passait-il donc.. Cela ne pouvait pas être elle, non c'était tout bonnement impossible.. Elle était morte, morte il y avait maintenant bientôt un an, c'était impossible qu'elle soit la. Tout en pensant, il continua de s'approcher d'elle, sa belle chevelure blonde l'intrigua de plus en plus.. Enfin la jeune femme se retourna, et il pu voir se visage qui le fit vaciller.. Il aurait bien pu perdre pieds à ce moment précis, Elarya, sa première épouse se trouvait devant elle, un léger sourire au coin des lèvres, elle était radieuse.
Le jeune homme recula de quelques pas, il n'arrivait pas à en croire ses yeux.. *


Elarya... Je.. Je ne peux pas le croire !! Comment cela est il possible ? Tu es morte en Guyenne, c'est ce que l'on m'a dit lorsque j'ai traversée cette province il y a de cela un an.. Je ne comprends pas..

* La jeune fille le regarda avec un sourire des plus enjouées, c'était à ne plus rien comprendre, elle avait l'air heureuse de le voir, comme au premier jour de leur rencontre, venant du Périgord où elle lui annonçait qu'elle avait décidé de ne pas quitter Agen et de s'y installer définitivement. *

Mon Alleaume, je suis pourtant bien morte, malgré que je sois aujourd'hui devant tes yeux.. Tu es entre le pays des songes et le commun des mortels..
J'ai bien quitté la vie il y a de cela un an, emporté par la maladie que ta disparition m'avait procuré, je me suis laissé mourir pensant que jamais plus je ne te reverrais..



* Une larme perla sur le visage d'Alleaume, elle s'était laissé dépérir par sa faute, si seulement elle était partit avec lui.. Mais il avait été trop impulsif sur ce coup, il avait préféré quitter la Guyenne sans ne rien dire à personne, se faisant même passer pour mort durant de long mois, il avait parfois un comportement tellement démesuré et stupide, que ses actes avaient des répercussions qu'il n'imaginait même pas, et qu'il se mettait maintenant à regretter du plus profond de lui même... Comment avait-il pu laisser mourir, celle qui si longtemps partagé sa vie, comblait ses vides et ses nuits.. Celle qui avait arraché un sourire sur son visage d'acharner de travail.. Celle qui aurait bien pu lui donner un enfant au final... Mais cela n'était jamais arrivé, pour des raisons dont il se souvenait fort bien..

La Guyenne avait subit de sombre heures, alors qu'il était Procureur sous le mandat du Duc Ichimaru de Duvy, il avait décidé de quitter le gouvernement dont il ne se sentait plus sa place pour prendre un repos bien mérité après 7 mois de politique au niveau municipale et ducale... La Guerre avait ensuite éclaté, et une fois qu'il avait fait ce qu'il y avait à faire pour défendre sa ville, il était partit, loin très loin... *


Je m'en veux tellement tu sais.. J'ai brisé notre amour par mon incompétence et ma fougue sans mesure, si aujourd'hui tu n'es plus, c'est entièrement de ma faute, et rien ne peux réparer cela à présent, j'ai tout fait de travers comme il arrive de le faire tant de fois... Je regrette tellement les beaux jours que nous avons vécu tous deux ensemble, oh si tu savais mon Amour...

* Alors que sa dernière phrase fût prononcé, une douleur fulgurante l'arracha de cette vision, Elarya disparu alors, la lumière éblouissante arriva donc à s'éteindre à présent, il se trouvait en train de se tordre à croupit, à croire qu'il allait y laisser la vie au bout du compte.. C'est alors qu'un nouveau visage lui apparu au loin, un visage qu'il avait perdu depuis maintenant deux longs mois, Eriadan, son frère... Qu'était il donc devenu de lui ??? Était il restait en arrière dans se satané Comté du Béarn ? C'était à ne plus rien y comprendre, il ne lui avait pas écrit, alors que lui savait très bien où il se trouvait.. Lui en voulait il de quoi que se soit ? De l'échec et des répercussions de la guerre civiles Béarnaises ? Les esprits changent et se vengent.. Il n'était même pas sur de le revoir un jour, vivant, ou même mort.. Il ne savait pas ce qu'il en était devenu au final.. il aurait tellement aimé le savoir au final, il aimerait qu'il aille bien son petit frère, celui avait avec qui ils avaient partagé des aventures mémorables en Béarn, prônant la paix, la justice et la fraternité...

Une deuxième violente douleur l'arracha à nouveau de cette seconde vision, à croire qu'on était en train de l'écarteler de part en part et de lui faire subir d'atroces souffrances, d'un coup ses yeux souvrir avec violence et il s'écria de pleins poumons *


Je dois voir Eriadan !!!!!! Je dois voir mon frère !!!!!
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Dragonet


Citation:
Je dois voir Eriadan !!!!!! Je dois voir mon frère !!!!!


Un des blessés poussa un hurlement, le nom lui etait assez familier pour attirer son attention Il connaissez bien le jeune Eriadan qui avait sympathisé avec sa fille en Anger, avait un des disciple de son epouse, et qui lui avait offerts des dagues et son bras.

Il s'approcha de l'homme, le reposa doucement sur le lit.


Ne vous inquietez pas, on le fera prevenir, mais calmez vous, on va déja vous soignier si vous voulez le revoir un jour.

Je m'appelle Dragonet, et je connais bien votre frére. Vous n'avez rien à craindre içi, l'important est désormais de guerir.

Tout en parlant, il retira au jeune homme une partie des linges et observa attentivement les blessures. L'homme avait été frappé de nombreuses fois, avait perdu enormement de sang, et il etait encore difficile de savoir si des organes avaient été touché. Des bandages d'urgences avaient été fait.

La priorité etait d'arreter les risques de nouvelles hemorragies, suppurer les plaies, puis il l'examinerait en détail.

Il glissa


On s'occupe de vous, ne vous inquietez pas. Vous vous appelez comment?

S'adressant à l'homme derriére lui.

Louis-Denis, allez me cherchez de l'eau chaude sans être bouillante, et d'autres linges propres dans la malle qui est dans le coups, et pendant que je prepare les cataplasmes, vous allez retirer les bandages, seulement si vous avez le sentiments que ça ne saigne plus,nettoyer autour des plaies, en veillant à ne pas appuyer pour ne pas redeclencher des hemorragies.

Ses mains agiles habitués par des années d'excercices de ce type coupait et hachait différentes herbes, prepara son argile pour les cataplasmes, observant le blessé, son etat, examinant des traces de fievres, choississant ce qui lui serait indispensable , sans gaspillage, car les blessés seraient plus nombreux que les stoks de médications.
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Boskdeportkar
Alors, de l'eau chaude, mais pas bouillante non plus, de quoi faire des bandages, penser à bien laver la plaie sans trop
y toucher...c'est dans mes cordes.
Je posai le bras d'un mort que je m'appretais à ramasser.

"Je vais chercher tout cela, les morts peuvent bien m'attendre quelques minutes de plus. Et votre fille a eu la delicatesse de rejoindre Damoiselle Sofja pour veiller sur elle. Je me dois donc de la suppleer selon mes modestes moyens."
"Aidons deja les vivants, les morts ont bien plus besoin d'un curé actuellement...mais je n'en vois guere en ce lieu funeste."

Et j'esperais bien pourtant qu'un office serait donné avant que ces hommes et ces femmes ne rejoignent en fumée leur derniere demeure
Alleaume
* Il souffrait de la chaleur, sa respiration était haletante, il était à moitié relevé lorsqu'il se surprit à avoir poussé des cris dans la petite tente qui servait ce jour d'infirmerie pour les blessés et pire même, les tués de cette guerre maudite... La douleur de ses blessures étaient des plus fortes, il se demandait encore comment avait-il bien pu faire pour y survivre.. Comment ce faisait-il que le Très-Haut ne lui avait pas reprit ce qu'il lui avait donné.. Pourquoi lui avait il donc accordé une seconde chance de pouvoir rester dans ce monde ? Peut être pour sa compagne et l'enfant qu'ils allaient avoir prochainement voir naitre, cela ne pouvait être pour rien d'autre, pour ne pas que l'enfant connaisse le même destin que lui avait vécu, un père mort dans son bas âge, une mère qu'il n'avait jamais connu..
L'enfant future des Niraco méritait une vie bien plus épanouies qu'Alleaume ne l'avait connu..

Alors qu'il était perdu dans ses pensées sur le pourquoi de son retour à la vie, un homme s'avança en sa direction, il semblait être celui qui dirigeait les lieux, celui qui avait d'autant plus, un maximum d'expérience.. Il se fit reposer lentement sur le lit par lui même, ils étaient pourtant ennemis, mais il avait l'air de traiter tout le monde avec une impartialité pure et sans reproche.. A l'écoute de son nom, les syllabes qu'il avait prononcé résonnèrent dans sa tête.. Dragonet.. Dragonet.. Si Alleaume n'avait pas eu d'aussi longues discussion avec Eriadan, son frère de lait... Dragonet et Eriadan s'était il semblerait connu en terre Angevine à l'époque où celui ci avait commencé à créer ses noirs desseins de création de l'Ordre Noir.. Ordre qu'Alleaume avait rapidement intégré lorsque celui ci lui en avait parlé, lui avait expliqué ses idéaux, cela c'était un jour passé en Béarn, sous un pommier.

L'homme qui se trouvait devant lui était donc ce fameux sage qui avait si souvent conseillé le Loup du lac, qui l'avait parfois bien aidé à ne pas commettre l'irréparable de la bêtise, alors qu'Eriadan avait un caractère bien trop impulsif parfois, ce qui avait parfois desservit le duo.. Notamment en pleine campagne électorale ou Alleaume siégeait en tête de liste et que son numéro deux, Eriadan avait avoué avoir falsifié des documents pour accéder au conseil, jetant ainsi le discrédit sur tout un travail, sur tout un partit... Enfin, les erreurs du passés doivent servir à l'avenir... *


Vous.. Vous..? Vous connaissez donc bien mon frère.. Enfin je ne suis pas sur qu'il veuille un jour me reparler, cela fait bien des mois que je.. Je n'ai plus aucunes nouvelles de lui... Je ne sais même pas s'il est encore en vie... La seule chose que je sais, c'est que nous nous sommes quittés en Comté du Béarn, au moins d'Août dernier...

* Il laissa ensuite l'homme faire son travail et lui enlever ses bandages, en le regardant faire, il pu voir les troues béants de ses frasques militaires dans son corps mutilés, il n'osait même pas imaginer la tête que ferait Lyenda en voyant les blessures de guerres qu'il venait de ramener, heureusement, son visage n'avait pas été touché, c'est ce qu'il pu constater en passant la main au quatre recoins de celui ci.

Il ne fallait pas qu'il s'inquiète.. C'était pourtant bien plus facile à dire qu'à faire.. Il avait beaucoup d'ennemis, et des ennemis personnels dans le camps adverses, il avait entendu dire que Ptitmec13 était venu elle même en personne pour tuer Alleaume, qu'est ce qui lui garantissait qu'elle ne vienne pas l'assassiner ici, en plein dans son sommeil ? A vrai dire rien.. Cela ferait une belle jambe au Béarn, pas de procès en appel révisé, le traitre condamné à la mort.. Après tout, c'était peut être eux qui l'avait mandaté pour venir ici et faire le sale travail.. Cela ne saurait guère être étonnant au final ! *


Mon nom est Alleaume... Alleaume de Niraco...
Et bien pourtant.. Je m'inquiète Messer, il y a bien plusieurs personnes dans votre camps qui aimerait me voir mort.. Rien ne me garantir qu'ils ne profitent pas du manteaux noir qui recouvrera le ciel pour venir en finir de ce qu'il reste de moi...


* Il écouta Dragonet donner des indications à un homme et celui ci ce mit à préparer toute sorte de décoction médicale afin de permettre à celui qui avait bien faillit y rester de garder un semblant de vie... *
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Dragonet


Citation:
Mon nom est Alleaume... Alleaume de Niraco...
Et bien pourtant.. Je m'inquiète Messer, il y a bien plusieurs personnes dans votre camps qui aimerait me voir mort.. Rien ne me garantir qu'ils ne profitent pas du manteaux noir qui recouvrera le ciel pour venir en finir de ce qu'il reste de moi...


Dragonet ne put s'empecher de sourire.

Vous êtes sous ma protection,et j'ai moi même mes protecteurs, Saint Karel est l'un d'eux. Appaissez, vous avez rien à craindre, seul le Sans Nom pourrait vouloir vous en faire douter.

Vers Bosk..

Voila, c'est bien comme ça, tu verras beaucoups de mes collégue suppurer les plaies en cautérisant au fer rouge, laisse cela pour les gens qui ont peut de moyer et de connaissances, ou si les chairs mortes sont devenues trops abondante et les mauvaises humeurs sont déja en masse dans le corps.

Le mieux reste de nettoyer attentivement la plaies,, utilisant un peu de cette alcool de vin médical, melangés à des suc, et à des graisses pour que la blessure qu'elle soit propre. Nous allons faire un premier cataplasme, puis nous l'enverrons, recommencerons jusqu'a ce que la plaies soit totalement saines, alors nous recoudrons, il nous faudrez un tisserant pour que cela soit plus beau..


Vers Alleaume

Vous allez avoir plein de cicatrice, vous aurez l'air d'un guerrier redoutable..

Murmure d'un ton badin

Même si en réalité les guerriers les plus redoutables sont ceux qui n'en ont pas eu.

De nouveau vers Bosk

Pour l'emplatre sur ce type de blessures, outre la farine, ou dans le cas présent une argile que je fais venir specialement,on utilise du colchique et de la juquiame noire pour la douleur, de l'airelle, de la fraise et de l'achillé milles feuilles pour arreter le sang et quelques autres petites choses.

Une fois nettoyé, je lui mettrais l'emplatre, et on lui fera boire du Millepertuie pour qu'il dorme, avec une surveillance réguliére pour verifier la fievre, nous lui changerons tout cela dans quelques heures.


De nouveau vers Alleaume.

Je me renseignerais voir si votre frére vit encore, en attendant c'est vous qui devait survivre, ne vous fatiguez pas en vain.
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Amberl
Gniiiiiiiiiiiiii

Tirant d'une main la bombarde, de l'autre la bride de son cheval, Amberle galère et avance trop lentement à son gout vers la tente médicinale. Derrière elle, un filet rouge suit le moindre de ses pas.
Ploc. ploc. ploc.
Filet qu'elle ne voit pas, trop occupée à faire rouler l'engin.
Ploc. Ploc. Ploc.
On la suit à la trace ... La berrichonne se vide de son sang, sans que la tourangelle n'y voit goutte. Myope plus que tortionnaire.

Laissant le jouet de Blondie devant la tente, la brune entreprend une opération délicate : chopper le corps de Zoyah sans l'abimer davantage. Mission complexe, au vu de sa couleur carmine qui entache sa chemise de façon plus ou moins dense.
Le temps pressant, Amberle tente le tout pour le tout, quitte à aggraver les blessures, mais au moins, les mains expertes pourront s'occuper de la castelroussine. Une main droite sous l'épaule droit, la dextre sous le genou, y a que ca de vrai.

Mais, la belle déchante rapidement, s'apercevant que sa sénestre est enduite d'un liquide visqueux, chaud, rougeâtre... L'aisselle de la berrichonne était salement amochée, la blessure profonde et grande ouverte.. Et vlà sa tenue raclureée par le sang impur de l'ennemi. Elle en râlerait presque, la tourangelle, si elle ne flippait pas pour la vie de l'autre brunette.

Le corps blanchâtre dans les bras, elle soulève le pan de la tente et cherche du regard un endroit pour déposer son fragile colis, en mode expressimo.


Doooooc !


De nature impulsive, elle se décharge de Zoyah, et déchire vivement la chemise qui gêne l'accès à la plaie, de façon à aller droit au but quand Dragonet viendra prendre la relève.

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