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Srp: la lance du precheur (tente médicale

Dragonet


Citation:
Doooooc !


Il est des fois où un simple timbre peu indiquer bien plus que la vue, et ce cri en faisait parti, indiquant non une angoisse, mais bel et bien une urgence.

Il laissa Alleaume entre les mains de Bosk, et se retourna. Une reconnue la jeune femme qui venait d'entrer, portant dans ses bras une inconnue, déja blanche d'avoir perdu trops de sang, et continuant à en perdre abondemment.

La jeune arrivante àvait déja arraché la chemise ce qui lui donna une visibilité nette, le coup avait été porté sous l'aisselle.


Trés bien.. il chercha le nom de celle qui etait pour lui une berrichonne...Amberle, vous allez la poser sur la table, surelever ses pied en mettant ce que vous trouvez en dessous pour ramener le sang vers le Haut, c'est là qu'elle en a besoin, vous aller la laisser un peu de coté, l'aisselle vers le Haut que le poid du sang l'entraine pas en dehors, puis appuyer sans forcer mais avec constance les linges que je vous prepare, en laissant bien sur la plaie, faudra pas arreter avant que je vous le dise.

Occupez vous des jambes d'abord, je vais la maintenir et compresser en attendant pendant que je l'examine.


Joignant le geste à la parole, il posa les linges preparés à l'avance et imbibé d'huile médicinale, sur la plaie, maintenant d'une main, pendant que l'autre ouvrait la bouche de la jeune femme pour en trouver des trace de crachat de sang, ouvrait la paupiére, cherchant des traces de consciences, prenant le poignet pour en sentir le coeur et la vie.

chaque geste etait rapide et précis, un calme emanant de sa personne, ainsi qu'une douceur rassurante. Il fut un sourire d'encouragement à Amberle, tout en continuant à travailler.


Edit pour rajouter le "e" d'amberle

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Clovis_du_berry
[Castelroux...nuit du 18 au 19 après la seconde bataille]

Clovis était tombé pendant cette seconde bataille, laissé pour mort dans un faussé depuis une bonne journée, quelqu'un l'avait ramené dans la tente médicale de Dragonet cette nuit... Une personne qui devait surement l'apprécié mais il ne se rappelait de rien. Ses vêtements rougis par son sang montraient qu'il en avait perdu beaucoup, il était très mal en point. Inconscient et délirant, des goutes de sueur dégoulinaient sur son visage. dans un dernier sursaut, il murmura le nom du capitaine...taa.... taaddeeekkkkkk.........pré.......prévenez .......Kynthiia s'il vous plait....Espérant le voir au plus vite, il perdit connaissance et sombra dans profond coma...
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La politique est une guerre sans effusion de sang et la guerre une politique sanglante.
Babak29
[Chateauroux nuit du 18 au 19 après la seconde bataille]

Babak étais fatigué de se battre, la nuit avait étais mouvementée, en rentrant au campement, elle aperçut un homme allongé dans le fossé, elle se dit encore un berrichon en moins... Mais elle s'approcha par curiosité et entendu son souffle court, il était encore vivant, le sang marquant son visage, babak le sortie du fossé en le trainant et s'arrêta net quand elle aperçut, Clovis, le grand ami de Ganoz, elle ne pouvait pas le laisser comme ca, il allait mourir. Babak essaya de le porter, la tente médicale de dragonet n'étais pas loin,mais elle n'y arrivait pas alors elle mis ses bras en dessous de ses aiselles et le traîna jusqu'à la tente...

Dragonet ....vite j'ai besoin de vous ....

pis dans un souffle elle compris 2 noms que clovis lui murmura Tadek et cynthia ou kynthia, puis plus rien
Dragonet


Amberle avait trouvé de quoi rehausser les jambes, et maintenait fermement les linges sur la blessures.

Ceux ci etaient ce qu'il appelait un pre cataplasme, des tissus preparé, mais non destinés à rester sur la plaie,juste arreter les hemorragies. Ils etaient preparé et emplis de quelques onguents et de farines, absorbant le surplus de sang, et d'argile fine l'empechant de s'ecouler.

Cela permetter d'enlever le sang noir et sans vie sans faire partir la Pneuma. Cette technique de linge qui avait été bouilli etait dans la lignée de l'ecole de Salerne mais il l'avait nettement amélioré.

Il entendit son nom à l'entrée, avant d'aller voir il observa la jeune patiente qui respirait encore, mais n'etait plus consciente. Il murmura à Amberle:


Observez son souffle, en regardant sa poitrine, sa gorge, si elle semble cesser de respirer appeler moins, sinon vous maintenez jusqu'a ce que je vous dise d'arreter..

Puis il se rendis à l'entrée voir ce qu'on lui amenait. Un homme, lui aussi avait perdu beaucoups de sang, l'hemorragie semblait avoir cessé, mais il etait pris de fievre et de tremblement à travers son sommeil. les plaies s'etaient visiblement infecté, et il n'etait pas sur qu'il tienne la nuit, il y avait un risque réelle de gangrene.

La prioritée etait dans l'ordre qu'il ne meurt pas, vérifier si aucun organe interne n'avait été touché, puis sauver les membres.

Pour le premier point, il fallait faire tomber la fievre.

Il s'adressa à Babak.


Vous allez preparer une décoction, du millepertuis, de la valériane, du bouleau, du buis, de l'achillé et de la narcisse. Faites chauffer l'eau, et mettez y simplement ce que je vous auraos mis sur la table.

Pendant que cela chauffera, vous allez m'aider à le mettre nu, je dois voir la couleur de la peau et vous allez le laver.. D'abord avec les eponges qui se trouvent là, simplement pour enlever la crasse, puis aprés avec celle ci,ne les gaspillez pas , elles ont été trempé dans de l'opium, du suc de morelle, de la juquiame, de la mandragore , de la laitue et du lierre. Je n'en ai pas beaucoup donc ne les utilisez que sur les plaies les plus franche. Si une zone est totalement noire, n'y allez pas, appeler moi et j'appliquerais un cautére.

Ah, y a une ecuelle là.. Si jamais sa vessie se vidait, avec un peu de chance, recueillez son urine dedans, faudra que je les goutte pour détecter si y a des traces de sang ou de salinitée dedans, c'est une information vitale. Je vous remercie d'avance.


Pendant qu'elle commençait, il examina ce qui lui restait en clystére, fit chauffer le cautére et prepara le tétrapharmaque, autant de choses qui lui serait bientôt utile. L'air etait plein d'odeur de sueur, de sang, de gemissement, et bientôt pour en chasser les miasmes, celle de fumigations plus lourde et oppressante viendrait se surajouter.

Dans le feu des combats, les guerriers n'etaient confronté qu'a la peur de leur propre mort, et celle des autres n'etaient qu'un moyen d'y echapper,e feu de l'action ne permettait pas d'en prendre la mesure, mais sous la tente, la mort etait présente, permanente, guettant chaque souffle ou erreur, et s'etait les années passant, la seule adversaire qu'il aimait vaincre, une ennemie à sa mesure.

Il se retint de siffloter pour ne pas intriguer les gens présents, mais il observa non sans une certaines fiertés son artillerie médicinale, dont certains composés étaient introuvable ailleurs que dans son office. Puis il se remis au travail, le combat contre sa vieille ennemie reprenait.

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Zoyah
Zoyah était comme une poupée de chiffon entre les mains de celui qui lui prodiguait les premiers soins. Toujours complètement inconsciente, elle ne manifestait aucun signe de vie apparent si ce n’est les très faibles battements de son cœur qui soulevait de manière quasi imperceptible sa poitrine. C’est étonnant de voir comme certaines mains peuvent à la fois ôter la vie et à la fois lutter pour la préserver. En voyant le Limousin et Amberle s’affairer autours d’elle, la Castelroussine se serait certainement fait cette réflexion.


Toujours recroquevillée sur la petite flamme qui vacille encore un peu mais moins que tout à l’heure, l’âme de la brunette fixe toujours le serpent des yeux. Il semble exécuter une sorte de danse étrange à laquelle la Vilaine ne trouve aucune explication. Soudain, l’obscurité semble se dissoudre et un paysage plus verdoyant apparaît. A ce changement de décor se joint une odeur presque oppressante de plantes.

La flamme n’ondule plus bien que sa lumière soit toujours aussi faiblarde.

La silhouette évanescente de Zoyah se redresse, la surprise se lisant sur son visage. Le serpent est toujours là, statique, inoffensif. Ses yeux délaissent le reptile qui n’est pas fait de chair puis pose pour la première fois son regard devenu translucide sur sa propre personne. Elle est couverte de sang…moment de panique …instant de désarroi où elle constate que son corps est peut-être en lambeau. Inconsciemment, elle applique sa main sur sa blessure béante au flanc. Elle n’y tient plus et parvient à pousser un cri strident qui résonne comme si elle se trouvait à l’intérieur d’une grotte.


Au même moment…

Etendue sur le côté, les blessures nettoyées et recouvertes de linges imbibés d’huiles médicinales, la jeune femme émit un râle…elle était bien vivante...tout espoir était permis


Le serpent semble réagir à son cri de détresse, il tangue de nouveau, s’approchant d’elle puis reculant lorsqu’elle esquisse un pas dans sa direction. Et le rituel se perpétue inlassablement.

Il veut que je le suive ? s’interroge l’âme de la brunette. Alors elle s’avance vers lui…le serpent disparaît puis réapparaît.
L’esprit de la vilaine se lance à sa poursuite, elle tend les mains vers lui, il est si proche, elle peut presque l’effleurer…elle en oublie sa petite flamme qui de son côté semble croître. Encore un peu et…


Tandis que le sire délivrait quelques consignes à Amberle avant de s’enquérir d’un autre futur patient, la jeune femme s’agita très légèrement. Sa main droite frémissait annonçant certainement un réveil imminent. Peut-être qu’à ce moment-là l’infirmière improvisée s’était penchée sur Zoyah afin de vérifier sa respiration comme le lui demandait le doc. Brusquement, d’un geste aussi vif qu’inattendu la main de la Castelroussine se saisit du pendentif en forme de serpent qui se balançait au cou d’Amberle. Les yeux écarquillés, teintés d’une légère pointe de folie, elle plante son regard dans les émeraudes de celle qui l’avait secourue. Instant de conscience fugace où l’esprit de Zoyah parvient à rattraper le serpent avant de le relâcher et de retourner se terrer au fin fond de son être.
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Dragonet


Un cri de la jeune femme, elle tremble de la main, , elle se regarde, le regard fievreux..Une transe.

Vision effrayante mais qui lui est au combien familiére, son epouse passant de longue periode ainsi à suivre le faucon. Lui même sait sentir le cerf, mais son pouvoir reste anecdotique, juste suffissant pour en avoir fait le protecteur de sa maison. Son don est autre, en vérité. Il prend la main de la jeune femme, l'ouvre malgrés sa crispasion, observe le symbole.. Un serpent. C'est bien une transe.

Ce n'est pas le corps uniquement qui est danger mais aussi l'âme, qui privé de ses attaches avec la vie, s'enfuit dans l'autre monde. Il à déja connu cette experience et son epouse avait été le chercher.

D'abord, rassurer Amberle..


Ne vous inquietez pas, elle est juste en transe, elle passe par une crise mystique, savez vous si elle appartient à une tradition specifique, et est ce que son medaillon vous inspire quelques choses, il m'est inconnu pour ma part.

tout en parlant, il se glisse prêt de son oreille, et doucement commence à chanter, une chanson immemoriale que sa grand mére gitane lui chantait, pour empecher que l'âme des enfants s'envolent pendant leur sommeil, lors des premiers mois.

La voix se fait douce, chaude, envoutante, il l'appelle, lui demande de revenir, lui dit qu'içi on l'aime, que sa place est parmis les siens, la chanson est en rom, mais la langue importe peu là où elle se trouve, il chante, et caresse sa main, maintenant un contact physique, il sait combien ses mains et sa voix peuvent parfois transmettre une part de son amour pour autrui, don qui lui valurent d'être amant et politique, il chante et chante encore, son autre main tapant doucement la mesure sur une table improvisé tambourin, l'appelant à revenir, êtrange vision sans doute que ce médecin porteur de science faisant appel à des héritages d'au delà du temps, il chante et lui demande de revenir, de le suivre, de lui faire confiance, de vivre, de rejoindre la communautée des hommes, de tout son amour, il chante.

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Babak29
Ne t'inquiète pas Clovis, tout se passeras bien, allez tiens bon mon ami, je vais te sortir de là et en bonne santé...

Babak entendez Dragonet occupé avec d'autres blessés.. Arf cette fichu guerre si elle ne pouvait pas tué que les méchants... Babak sorie un linge propre de sa saccoche et commencà a nettoyer son visage en, taponnant doucement quand Drangonet arriva, elle le regarda l'observer et se retourner vers elle..

Vous allez preparer une décoction, du millepertuis, de la valériane, du bouleau, du buis, de l'achillé et de la narcisse. Faites chauffer l'eau, et mettez y simplement ce que je vous auraos mis sur la table.

Pendant que cela chauffera, vous allez m'aider à le mettre nu, je dois voir la couleur de la peau et vous allez le laver.. D'abord avec les eponges qui se trouvent là, simplement pour enlever la crasse, puis aprés avec celle ci,ne les gaspillez pas , elles ont été trempé dans de l'opium, du suc de morelle, de la juquiame, de la mandragore , de la laitue et du lierre. Je n'en ai pas beaucoup donc ne les utilisez que sur les plaies les plus franche. Si une zone est totalement noire, n'y allez pas, appeler moi et j'appliquerais un cautére.

Ah, y a une ecuelle là.. Si jamais sa vessie se vidait, avec un peu de chance, recueillez son urine dedans, faudra que je les goutte pour détecter si y a des traces de sang ou de salinitée dedans, c'est une information vitale. Je vous remercie d'avance.



Babak l'écouta avec intention ,et retins les ordres, une fois finie, elle se mit au boulot, il est vrai qu'elle avait quelques connaissances médicales mais que sur les plantes médicinales,

Une fois tout ce que Dragonet lui 'avait demandé pret, elle partie mettre l'eau à chauffer. Le temps que l'eau chauffe, elle aida Dragonet à le deshabiller, ses blessure étais assez importantes.

Elle se pencha sur Clovis, lui posa sa main sur son front brulant et s'approcha de son oreille pour lui chuchotter



Désolé mais faut que je te soigne


Elle commenca à le nettoyer doucement pour ne pas l'abimer encore plus et elle savait que même dans un état comateux, il pouvait sentir. Elle trempa l'éponge dans l'eau chaude et commenca par le visage, elle avais poser un linge sur le bas de son ventre jusqu'a ses mi-cuisses afin de lui préservé le peu d'humilité qui lui restait dans cet état. Elle continua le travail malgrès la chaleur sans cette tente et l'odeur de mort et de sang qui y pesé. Il fallait qu'elle le sauve il fallait qu'il vive

Allez Clovis courage tu vas te battre, pense à ta douce qui t'attend.. Bats toi pour vivre mais pour elle
Clovis_du_berry
[Dans le coma]

Clovis flottait dans l’air. Partout autour de lui une lumière vive, et ce qui semblait être des nuages. Le temps est une chose totalement différente du monde réel. Imaginez flotter en l’air, sans boire, manger ou dormir. Il n’y avait pas de jour ni de nuit. Puis une route apparue, un chemin. Flottant lui aussi, Clovis marche, marche sans trop savoir pourquoi. Mais il marche, marche le long de ce chemin et arriva dans un tunnel. Un tunnel où la lumière est toujours présente. Clovis arrive à ce qu’il semble être le bout du tunnel. Au fond de ce tunnel des marches qui monte et une sorte de porte, très lumineuse. Là, la lumière aveugle. C’est difficile de voir cette porte. Clovis se dirigea très lentement vers elle…
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La politique est une guerre sans effusion de sang et la guerre une politique sanglante.
Babak29
babak continuait de nettoyer les blessures de Clovis, elle étaient nombreuses mais il n'y avais plus d'hémorragies visibles, elle surveiller dans temps autre la respîration, elle étais légère et lente mais régulière, puis d'un coup un soubresaut, comme un étouffement.. il n'arrivait plus a respirer correctement, babak pris son poignet pour sentir le rythme mais ne le trouvait pas elle décida d'appeler le Doc

Dragonet?? il y a un problèmm!!! J'aibesoin de vous, il ne respire plus bien !!!
Asterie
Asterie était assez occupé elle avait apprit qu’une tente médicale avait été monté par un Médecin du Limousin qui accueillait qui voulait sans distinction.
Elle n’y avait pas prêté immédiatement attention trop occupé à soigner les blessés aux abords de Bourges.
On lui signaler qu’il s’agissait d’un certain Dragonnet.
Elle se souvenait de lui l’ayant soigné il y à quelque temps et pour l’avoir croisé dans les couloirs des Disciples d’Hippocrate. C’était un excellent médecin mais comme patient … Comme tout médecins qui se respecte passer de l’autre coté c’est toujours plus difficile.
Elle lui avait envoyé une missive personnelle déjà pour le remercier de son soutient et lui faire s’avoir que s’il avait besoin d’aide pour lui ou un de ses proches qu’il n’hésite pas.
Elle reçue une réponse :




Elle prit la liberté de se rendre donc sous la tente et proposer son aide les combats de la nuit avait été sanglant.
On aurait surement besoin d’un médecin supplémentaire.
Elle était passé voir le Duc le Poilu il était encore en vie n’en déplaise à certain gravement blessé certes mais en vie.


Bonjour je me présente pour certain je suis Asterie d’Ambparé Médecin de mon état. Je me permets de venir vous offrir mon aide à la demande de Maitre Dragonnet .
Si quelqu’un y vois un inconvénient je me retirerais je ne suis point là pour créer quelques conflits que ce soit je considère toute tente médicale comme terrain neutre.Je ne fais aucune distinction .

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La loyauté envers une personne ne s'achète pas, elle se mérite.
Babak29
babak attendait le Doc, la vie de Clovis était de plus en plus critique, sa respiration de plus en plus faible, une femme entra dans la tente et se mit a parler

Bonjour je me présente pour certain je suis Asterie d’Ambparé Médecin de mon état. Je me permets de venir vous offrir mon aide à la demande de Maitre Dragonnet .
Si quelqu’un y vois un inconvénient je me retirerais je ne suis point là pour créer quelques conflits que ce soit je considère toute tente médicale comme terrain neutre.Je ne fais aucune distinction .


Dame Astérie voulais vous bien venir ici, sa respiration est très faible nous sommes en train de le perdre
Asterie

A peine eu t’elle terminer qu’une jeune femme lui demanda de l’aide pour l’un des hommes allongé.
Elle s’avança posa ses affaires puis s’approcha de l’homme se pencha vers lui souleva ses paupières les pupilles était dilatés.
Puis elle se pencha posa sa main juste au dessus de sa bouche pour sentir son souffle il était très faible.
Elle demanda qu’on le redresse un peu en position plus assise. En observant elle pu remarquer qu’il n’était pas blessé à la poitrine tant mieux elle lui souleva les bras les souleva et les ramena vers la tête du blessé et fît un mouvement de va et vient.
Voilà ça va lui permettre de mieux respirer.


Mais bon il va falloir le surveiller. De temps en temps lui mettre des sels sous le nez pour le faire un peu réagir.

Elle sourit à la jeune femme. Je vais examiner les autres blessés si vous me le permettez je pense qu’il va y en avoir d’autres qui vont arriver également.
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La loyauté envers une personne ne s'achète pas, elle se mérite.
Ysabeau
Deux soldats portant une civière entrèrent sous la tente. Ils venaient des remparts de Bourges.
Sur la civière, une silhouette inanimée, la chemise ensanglantée. Un filet de sang coulait de sa bouche. Elle avait les yeux clos, le visage très pâle, on entendait à peine sa respiration.


On sait pas si elle est encore vivante, dame. On l'a trouvée sur les remparts, elle a reçu un fameux coup d'épée dans la poitrine. L'a perdu ben du sang... On vous la laisse, faut qu'on y retourne...

Ils posèrent la civière par terre, puis s'en furent vers les remparts où les combats reprenaient.
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Ysabeau
Il lui semblait flotter. Ce n'était pas désagréable. Elle avait le sentiment d'être dans un long tunnel, au bout duquel une lumière, une chaude lumière brillait. Elle flottait vers la lumière.
Des ombres, des silhouettes lumineuses... Elle reconnut des amis disparus, ceux qui avaient rejoint le Paradis solaire... David, Mentaig, Valatar, Maryan, Gabriel, Lems et sa chère Icefly, Jelu... d'autres encore, qui l'entouraient en une ronde familière. Un sourire, des sourires... Elle flottait, dans un bien-être indescriptible.
Ainsi, c'était cela, la mort ? Pourquoi en avoir peur ?
Et puis... elle pensa à ceux qui restaient, à Aryan, à Saya, à Zaibaker, à Astaroth, à son roy préféré, Macgyver, à Jimmy, à Claire, à Asterie à Amberle qui bien que dans les rangs ennemis, était aussi son amie, la guerre ne tuait pas l'amitié, non... tous ceux qui continuerait à se battre, sans elle... Avait-elle le droit de les laisser, de partir seule ?Une petite voix, à son oreille...


Ils ont encore besoin de toi... tu n'es pas inutile... tu as encore quelque chose à faire...

Voix de l'un des fantômes ? Voix de sa conscience ? Elle ne savait. Elle recula, s'éloignant de la lumière, toujours flottant...
Elle gémit, ouvrit les yeux. Quelqu'un, elle ne savait qui, pansait ses blessures. Avait cautérisé la plaie... Recousait...
Ysabeau était de retour dans le monde des vivants.

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Asterie
Asterie venait de terminer avec un blessé. Quelqu’un venait d’entrer dans la tente.
Citation:
On sait pas si elle est encore vivante, dame. On l'a trouvée sur les remparts, elle a reçu un fameux coup d'épée dans la poitrine. L'a perdu ben du sang... On vous la laisse, faut qu'on y retourne...


Merci je vais m’en occupé.

Elle se pencha vers la personne allongé et reconnu Ysabeau. Il y avait une énorme tache de sang sur la poitrine recouvert d’un linge.

Ysabeau, Ysabeau tu m’entends c’est Asterie reste avec nous ça va aller je vais te soigner !
Apporter moi rapidement des linges et un récipient rempli d’eau et de vinaigre pour nettoyer tout cela.


Après qu’on lui est enlevé ceux qui pouvait gêner et nettoyer le sang qui commençait à sécher elle entreprit de regarder la plaie.
Celle –ci était profonde il lui faudrait plus que ses soins pour qu’elle puise s’en sortir il allait falloir demander de l’aide à Aristote.
Elle demanda de l’eau bouillante qu’on lui apporta rapidement dans un récipient. Elle y plongea des brins de jonc.
Elle prit ses instrument qu’elle passa dans l’alcool avant de sens servir les déposa sur un lige propre près d’elle.
Elle lava la blessure avec de l’eau d’agripaume. Celle-ci était, très vilaine. Elle demanda à une jeune soignante de l’aider à maintenir écarter les chair.
Elle prit une cruche remplie d’eau d’agripaume et le versa à l’intérieur.
Elle prit alors un brin de jonc qu’elle fendit en deux à l’aide de son scalpel, prit une aiguille et commença la suture. Elle tamponnait régulièrement le sang et les humeurs qui s’épanchaient.

Asterie opérait par gestes précis, et méthodiques. Concentrer sur sa tâche elle ne su combien de temps cela dura trop absorbée par ce qu’elle faisait. Enfin, elle s’occupa des muscles du ventre, les recousit, et prit alors du fil de chanvre Cosette lui en confectionnait qu’elle filait spécialement pour cet emploi, tant il fallait qu’il soit fin.

Elle referma la blessure après l’avoir nettoyée une dernière fois. Enfin, elle appliqua un cataplasme de feuille de bardane bouillie qu’elle protégea avec un linge propre qu’elle maintint appliqué par un bandage qui entourait tout l’abdomen.
L’opération avait l’air de c’être bien passer il n’y avait plus qu’a attendre par chance Ysabeau était évanouie.
Elle se releva regarda autour d’elle et une phrase de son ami Maitre Urgence lui revient en mémoire lors d’un entrainement à la chirurgie.

"Dame Asterie le meilleur moyen de parfaire votre dextérité en chirurgie c’est d’opérer sur un champ de bataille la souffrance, les pleurs, les hurlements des blessés il faut aller vite et bien. Oui nous ne sommes pas comme vous Dame Asterie nous n’avons pas le même statut et la même considération vous nous appelé les bouchers, les charcuteurs ,vos confrères nous méprises car nous avons plus de décès que de réussite à notre actif.Mais le jour ou vous serez confrontés à la souffrance dans toute sa splendeur je suis sûr que vous vous souviendrez de mes paroles sur un champ de bataille…
"

Pour s’en souvenir elle s’en souvenait …
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