Catalina_constance
Décidément devant cette porte elle à la bougeotte, oui elle s'agite, ses mains d'abord frappe à un rythme régulier contre son ventre, son pied de temps à autre se lève puis retombe sur le sol la aussi de façon constante.
Un vrai bouquet de nerf, tantôt elle regarde la gouvernante, tantôt la porte, jusqu'à que celle ci s'ouvre sur un visage paisiblement attristé.
Paisible non pas que Cyrianna semble calme, non plutôt las comme si elle était tellement abasourdi que rien ne pourrait plus la faire réagir encore, alors se fut quelques instant sur le pas de la porte ou elle aussi ne pu plus réagir, la tête vide elle du réfléchir à deux fois et comme la jeune rousse savait si bien le faire aujourd'hui, après avoir apprit à cacher chagrin et colère que certain prenait souvent pour de la naïveté ou voir une façon certaine de n'être pas touché par les évènements.
Alors Catalina entra et en souriant, pas un immense sourire non plus juste quelques choses qui lui donne un air plus joyeux, quelques chose qui cache à quel point l'inquiétude la ronge.
Elle ne prend pas vraiment le temps d'étudier la situation, ce n'est pas qu'elle panique mais voila que les évènements, les sentiments la dépassent.
Alors vivement elle vole vers le nouveau employer de maison, lui demande de rester dehors peut être que cette discussion sera importante, peut être que l'ancienne mairesse ne voudrait pas que tous les villageois sachent, ou peut être simplement que c'est la Volpilhat qui ne veut pas.
Pour ne pas qu'on voit, que rien on ne remarque de sa fragilité, de sa solitude car il est sur maintenant que la nouvelle n'est pas bonne.
Ce qui se lit sur le visage de la Carcassonaise n'est pas gai, peut être même qu'on peut dire qu'elle a pleuré du moins c'est ce que laisse penser l'humidité de ses yeux, pareillement l'ambiance reste pesante, tandis que les questions et souvenir l'accable elle répond à la belle Tourville.
Bonjorn Cyrianna, j'espère que je n'arrive pas trop tôt, ou... trop tard...
excusez moi également d'estre venu si...
Les mots restent inachevé à la place elle montre d'un geste rapide de la main gouvernante et garde.
Enfin elle n'aurait imaginé de toute manière traverser le village sans Adeline surtout avec l'inquiétude qui la ronge, elle n'aurait pu arriver ici sans que son cur pourtant si jeune ne la lâche...
Alors elle suit Cyrianna jusqu'à prendre place auprès d'elle, mais toute son attention n'est que pour la jeune femme, pour une fois elle ne se prend pas à rêver.
Elle la regarde et comme elle, inspire, pourtant elle ne s'apprête pas à en dire des tonnes, excusez la aussi si ce n'est pas exactement la bonne prononciation la narratrice n'en ai plus trop sur à l'heure de la journée qu'il est...
Cossi va?
_________________
*Regarde le ciel, pour savoir si sa Margot et Reginhart sont bien la haut avec les anges.*
Un vrai bouquet de nerf, tantôt elle regarde la gouvernante, tantôt la porte, jusqu'à que celle ci s'ouvre sur un visage paisiblement attristé.
Paisible non pas que Cyrianna semble calme, non plutôt las comme si elle était tellement abasourdi que rien ne pourrait plus la faire réagir encore, alors se fut quelques instant sur le pas de la porte ou elle aussi ne pu plus réagir, la tête vide elle du réfléchir à deux fois et comme la jeune rousse savait si bien le faire aujourd'hui, après avoir apprit à cacher chagrin et colère que certain prenait souvent pour de la naïveté ou voir une façon certaine de n'être pas touché par les évènements.
Alors Catalina entra et en souriant, pas un immense sourire non plus juste quelques choses qui lui donne un air plus joyeux, quelques chose qui cache à quel point l'inquiétude la ronge.
Elle ne prend pas vraiment le temps d'étudier la situation, ce n'est pas qu'elle panique mais voila que les évènements, les sentiments la dépassent.
Alors vivement elle vole vers le nouveau employer de maison, lui demande de rester dehors peut être que cette discussion sera importante, peut être que l'ancienne mairesse ne voudrait pas que tous les villageois sachent, ou peut être simplement que c'est la Volpilhat qui ne veut pas.
Pour ne pas qu'on voit, que rien on ne remarque de sa fragilité, de sa solitude car il est sur maintenant que la nouvelle n'est pas bonne.
Ce qui se lit sur le visage de la Carcassonaise n'est pas gai, peut être même qu'on peut dire qu'elle a pleuré du moins c'est ce que laisse penser l'humidité de ses yeux, pareillement l'ambiance reste pesante, tandis que les questions et souvenir l'accable elle répond à la belle Tourville.
Bonjorn Cyrianna, j'espère que je n'arrive pas trop tôt, ou... trop tard...
excusez moi également d'estre venu si...
Les mots restent inachevé à la place elle montre d'un geste rapide de la main gouvernante et garde.
Enfin elle n'aurait imaginé de toute manière traverser le village sans Adeline surtout avec l'inquiétude qui la ronge, elle n'aurait pu arriver ici sans que son cur pourtant si jeune ne la lâche...
Alors elle suit Cyrianna jusqu'à prendre place auprès d'elle, mais toute son attention n'est que pour la jeune femme, pour une fois elle ne se prend pas à rêver.
Elle la regarde et comme elle, inspire, pourtant elle ne s'apprête pas à en dire des tonnes, excusez la aussi si ce n'est pas exactement la bonne prononciation la narratrice n'en ai plus trop sur à l'heure de la journée qu'il est...
Cossi va?
_________________
*Regarde le ciel, pour savoir si sa Margot et Reginhart sont bien la haut avec les anges.*