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[RP] Les silences étoilés

--The_dude
[Aux pieds du château]



Radins !

Pas deux sous il a récupéré de la bienfaisance des présents. Les sourires chaleureux lui ont même pas porté attention. C'est une meute de renards qu'a un seul camembert à se mettre sous la dent et le corbeau doit être perché derrière l'une des fenêtres la haut ! Tout fou le camp ! Font même plus gaffe à l'emballage !

Alors approche un mat de mitaine soumit aux vents. A voir la démarche c'est jour de tempête. Le gars à pas le regard des renards mais coté haleine sur que le camembert il l'a bien dégusté avant de pousser le tout d'une lampé d'alcool frelatée !!!

Un compère ?

Étude de la gravité et des règles de l'apesanteur. Le gus pousse l'analyse avec une certaine franchise. Vouvoiement obligé entre alcooliques ont se respecte.


Faut se nourrir comme on peut l'ami ! Mon estomac est comptable de mon compte en banque et pour sur que le découvert autorisé à pas encore été inventé !

Il y aurait de l'érudit dans le monde de l'alcoolique anonyme moyenâgeux. Discussion philosophique en approche sur la notion de partage d'une bouteille de rhum ? Une soudaine familiarité qui laisse croire que les négociations sont commencées. Le matelot enserre les épaules et avance une première offre de prix !

Jules ? Pourquoi tu m'appelles Jules ? Moi C'est Dude ! The Dude !

T'es qui toi d'abord ?


Œil qui se plisse pour se montrer inquisiteur. Jamais accepter une première offre. pour faire descendre les prix faut toujours faire celui qu'est pas concerné
Même pas le temps de mettre en place la technique que voilà le marin qui l'emmène au bateau !
Et les voilà cul et chemise qui prennent la direction de la ruelle !


Opopopopopopop...pop...pop...pop...!!....Où veux tu qu'on aille comme ça toi et moi ? ..hésitant...T'aurais pas des idées inavouables à confesse devant monsieur l'curé toi ? Ma faim à une limite qui s'arrête à certains moyens ........

Le regard inquisiteur devient méfiant. Il fait la manche mais quand même...Et puis maman disait toujours....Faut pas suivre un étranger dans une ruelle sans le connaître...Va falloir que la Caravelle abaisse le pavillon si elle veut naviguer par mer calme. Lui attend sur le quai. De toute façon il a jamais aimé l'eau et puis on va bien finir pas savoir si la comtesse la haut à pris le premier bateau pour se rendre chez Saint Pierre. Voudrait pas manquer le lâcher de camembert non plus...
Rosedeplantagenest
Soulagement, la medicastre était là, léger soupir, heureuse, contente.

« - Que se passe-t-il ???? Il se passe que ma mère a ouvert ses yeux ! Ou à bouger ses paupières…Parler ! Non, pas encore… »

Légère déception qui se peint sur son visage angélique.

« - Pourquoi…elle aurait du essayer de parler ? Non mais elle a bougé les yeux ! J’en suis sûre ! »

Moment de panique qui l’envahit, se reculant sans lâcher la main de sa mère, laissant la medicastre faire son travail.

« - Je vous en prie…Dites moy que ce n’est pas un rêve…Dites moy qu’elle nous revient ! »

Regard implorant sur la jeune femme médecin, resserrant la main de sa mère, priant intérieurement…
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Anonymous


[Un peu plus loin des pieds du chateau]

Sorri Aïe dont spik anglois. Beut « je m’appelle Cay, Cay Mow doo. »

Sans lâcher les épaules…

Juste, t’vois la masure là bas ? La grande ?

Il devait en indiqué au moins trois avec son index voyageur. Le goulot en viseur, et l’œil fermé pour plus de précision.

Nan, pas celle la Dioude, l’autre... Voilà !

Il pris un air malheureux. Mais personne ne s’y tromperait, à moins d’être aussi arrangé que lui.

C’est ma maison. Hélas, ma femme y vit depuis quelques temps. *Hips* Cette vipère à changé les clés.

Regard genre, on se comprends l’ami, toute les mêmes…

J’ai travaillé d’arrache pied. Et Zaujoud’oui, j’n’ai plus rien. Elle m’as tout pris pour s’taper le boulanger…

Nouveau tangage, sa masse se déplace d’un pied sur l’autre dans un équilibre précaire, balancement conjoint, avec son copain jules, euh Ze Dioude

Ce que j’te propose, Très cher Dioudy, j’peux t’appeler Dioudy, n’est ce pas ?

Il n’attends pas trop la réponse, s’envoie une nouvelle lampée de rhum, lui tends la quasi vidange, faut maintenir la compréhension, très important à ce niveau de l’explication.

Si tu fais le guet devant l’épi… Devant ma Deumeure, j’te filerai Vingt cinq pourcent de s’queu j’aurai vo... Récupéré à c’te vipère.
Melian
Melian sourit pour rassurer la jeune dame, tout en jetant de rapides coups d'œil à sa mère.

Il n'y a pas de norme sur les manifestations d'une personne au sortir d'une si longue période d'inconscience.


Battre des paupières pourrait estre un réflexe, mais comme elle ne l'avait jamais eu jusqu'à présent, nous pouvons espérer que cela soit plutost manifestation de son réveil.

La médicastre, tenant toujours l'autre main de la Comtesse dans les siennes, recommença.

Comtessa, serrez ma main si vous m'entendez !

Elle parlait d'une voix douce mais ferme, à un rythme moins soutenu qu'à l'ordinaire afin que la blessée puisse la comprendre si elle s'éveillait.
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--The_dude
[Aux pieds du château...Si..On revient...Il y a rien à faire il veut pas aller dans la ruelle... ]

Le gars est tombé d'un navire ! Sur que faut voir la les effets du développement de la marine marchande qui a trop marchandé. Ils ont voulu les passer les détroits ? Ben en voilà un qu'à du trouver le truc trop étroit ! Ça du frotter grave, à en voir des milliers de crabes....Entre tomber d'un créneau ou d'un bateau il y a pas photo sur les dégâts que ça engrange.

Toujours est il que Robinson Crusoé à les clefs de l'île déserte. Sauf que l'ile est occupée par une armada de boulanger. Tiens pour une fois que c'est pas la femme de l'enfariné qui se fait la malle...
Dans l'état où il semble être, il doit en voir au moins une dizaine autour de son épicière. Mais Vendredi à quand même 25% à se faire.

25% de croissant au beurre sa donne combien de calories ça ? Parce que si le gars la arrive à récupérer ne serait ce qu'une baguette il veut bien finir en enfer. Et puis un Dude ça se doit d'être svelte. C'est pour protéger son arme secrète ! Le Charme !


Dediou bandit que tu sais y faire !

Voilà le capitaine haddock qui se décide à partager sa fiole lui plaçant le relais dans les mains pour la dernière ligne droite ! Goulot portait prestement à l'orifice réservé. Signature du contrat du bout des lèvres mais The Dude jette l'encre sur une mer de rhum.

Marché conclut !

A peine la validation de l'accord que l'expédition tourne au Titanic ! Voilà que Némo reprend la direction du château. Sur qu'on va se taper le glaçon pour l'apéro la . Naufrage en vue il y a Robinson qui tire Vendredi par la chemise direction les coursives ! Cuisines !

Elle est pas par la l'épicière quand même ???? Dis tu préfères pas un weekend au Camping Sainte Germaine ?

Bordel dans les coulisses. C'est qu'il y a tous les sous traitants de la fromagerie comtale à nourrir. Sur qu'avec un peu de chance personne va les voir passer. Et d'un Dude qui sert les fesses ! Le courage c'est pas sa bouée de sauvetage et lui a jamais su nager.

Dory Nonnnn !!! Mais arrêtes de me coller aux nageoires !!!..

Même pas peur l'épicier cocufié. Ça te traverserait un océan pour retrouver sa vipère ce truc !
T'a plus qu'à prier mon Dude ! Que le Juge du coin t'envoie pas dire bonjour à la p'tite sirène !!
Arielle_de_siorac
[Plus tard]






Un… Un hum… Hum… Un monstre. Oui.
Un monstre sur mon… autour de…
Il me brusle.
J’ai maaaaaal. Il serre plus fort et…
Je ne… Je ne peux plus…
Ça brusle.
J’ai si peur. Ooooooh…
Il va… Je… Il me…


Les traits d’Arielle, assoupie. Vibrants d’émotions secrètes, ils trahissoient l’immobilité funeste du corps meurtri de la comtesse.

Mais quelque gargouillis venu troubler la quiétude de la chambre interrompict heureusement cette lutte muette.

Affleurant à nouveau hors de ses songes, la comtesse ouvrit les yeux.






Blanc.







Ou… non.
Non, pas tout à faict.
Non, une f…fffforme.
Une forme.


La peur.
Une voix.










Un visage.


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Fitzzchevalerie


Des paupières qui se ferment sur une pile de document. Petit tressaillement du jeune lieutenant et conseiller qui peine à rester éveillé. Il faut dire que la soirée de la veille n'a pas été de tout repos... Après deux semaines à crêcher par presque tout les soirs chez les moines, il fallait bien fêter son retour... Enfin qu'importe les turpitudes de la veille il avait du pain sur la planche et peu de temps pour se lamenter sur son pauvre sort.

Un long passage au conseil afin de participer aux débats qui y avait lieux avant de repartir s'enfermer dans son bureau afin de rédiger des lettres de recrutement pour l'ost qui devaient impérativement partir dans la soirée. Fitzz tentait tant bien que mal de se concentrer sur son travail mais comme bien souvent depuis quelques temps son esprit s'en était allé vagabonder ailleurs...

Ailleurs... Il y avait tant de scène à revivre, tant de chose qu'il aurait aimé changé. Envie de changer les choses. Voilà qui était noble! A moins que ça ne soit tout simplement humain... Changer les choses pourquoi pas mais encore fallait il s'en donner les moyens. Passer de l'envie à l'action il allait bien falloir qu'il franchisse le pas. Sans doute l'avait il déjà fait mais en de trop rares occasions... Cependant il y avait des choses qui, bien qu'on le veuille intensément, ne pouvait malheureusement pas être changées...

Suite à ces pensées l'esprit du lieutenant s'égara dans les affres de la cupabilité. Incompréhention, martellement, questionnement de sa propre raison:
Pouquoi donc se sentir coupable? Et coupable de quoi au juste? De ne pas avoir pu être là au bon moment?
Oui ça devait être ça...
Sentiment pour le moins étrange mais que tous ressente au moins une fois dans leur vie. Surement du à la nature de l'homme, à sa prétention... Prétention qui l'ammène à penser que s'il avait été là il aurait peut être pu changer le cours des choses. Qu'il aurait peut être pu empêcher ce qui s'était produit alors que d'autres n'y étaient pas arrivés...
Difficile de faire plus présomptueux quand on y regarde de plus pret.

Fitzz se sentait en effet coupable. Coupable de ne pas avoir plus soutenu et aider sa contessa pendant le laborieux début de mandat mais surtout coupable de ne pas avoir été là lors de l'agression. Aurait il pu l'empêcher? Sans doute non mais au moins il aurait été là et aurait pu aider du mieux qu'il pouvait.
Cependant dieu soit loué Arielle était encore en vie et nul doute qu'avec l'aide des médecins comtaux elle serait vite remise sur pieds. Du moins l'espérait il de toutes ses forces...

Nouveau jeu de l'esprit, une réminiscence plus exactement cette fois. Souvenir de ce jour où il avait échangé pour la première fois quelques mots avec la contessa. Elle était alors porte parole. Il avait voulu mettre en place un cercle des poètes à Orthez et Arielle l'avait tout de suite encouragé et y avait même participé. Tout cela se passait dans une petite bâtisse, la contessa était enceinte à ce moment là et comme toutes les autres personnes présentes elle s'était assise à même le sol. Un rayon de soleil provenant de la fenêtre éclairait son visage tout sourire.
S'il devait garder une image d'elle, pour l'instant se serait sans doute celle là. Celle d'une mêre aimante mais aussi d'une femme souriante et enthousiaste. Puis par faute de temps à y consacrer le cercle des poètes avait disparu aussi rapidement qu'il était apparu. Aujourd'hui grace à Dame Diane un nouveau lieu dédier à l'art venait de voir le jour à Orthez. Peut être aurait il le plaisir d'y voir un jour la contesse y déclamer quelques vers...

C'est ensuite l'image de Rose qui lui vint à l'esprit tendit qu'un doux sourire, aussitôt ravalé, aparaissait sur son visage. Il se souvint de la dernière fois où il l'avait vu en taverne, de la douleur qu'il avait lu sur le visage de celle qui était pourtant si dynamique et pétillante d'habitude. Bien sûr il ne s'était pas attendu à la voir en grande forme mais il aurait tout donné pour lui prendre un peu de sa douleur, calmer ses inquiètudes, lui rendre cela plus supportable... Mais malheureusement certaines choses demeuraient impossibles à faire même malgré la meilleure volonté du monde...

Fitzz poussa alors un lègé soupire. Priant Aristote pour que la Contesse soit vite rétablie, il tenta une énième fois de reporter son attention sur l'écriture de ses missives.

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"Memento audere semper"

"La vie est pièce de théâtre ce qui compte ce n'est pas qu'elle dure longtemps mais qu'elle soit bien jouée."

Anonymous
Epicerie de la mégère et de la vipère, enfin, je crois, elle a du faire des travaux... Dory ? (en vrai près de l'arrière cuisine du chateau)



Attention mesdames et messieurs dans un instant… Les deux ivognes rasent les murs… Synchronisons nos cadrans solaires interne… Dory ? La dorade ? où ça ? ça devait être une hallucination… un mètre quatre-vingt de pur bonheur, cent-cinq centimètre de plaisir, la taille de guêpe et l’œil des mers sauvages, les cheveux noir comme la colère du Léviathan… Il lui colla une légère rouste amicale sur l’arrière de la tête, si pareille femelle se pointait, lors il ne dormait pas profondément, leurs expéditions eut tourné court, vous pensez bien que les femmes, sur un esquif, ça porte malheur.

Chuuuut… Termine le rhum…L’épicière ? Non c’était une blague, file le rhum. Ah par la queue de Poséidon… C’est la panne sèche ! Chuuuuuuut

Index posé sur sa bouche, et haleine de vieille chausse baignée dans le rhum et l’huile de foie de morue ( Môman était toujours de bon conseil.)L’épicière… Ah oui, il glousse légèrement, la fille de l’épicière… trois repas par jour et les orteils en éventail…ah Irma, heu, Agnès ? Gertrude ?

Dans trois deux un… Elle va sortir mon chat, Idiome...

La porte de l’arrière cuisine s’ouvre sur une donzelle de l’âge des l’ivrognes (quand on faisait l’addition des deux et qu’on en rajoutait trente) Des bras comme des cuisses… la coiffe de travers et le tablier maculés… Elle a maigri depuis la dernière fois, le remord sans doute. Elle avait bien failli expédier say mow doo sur la lune, à coup de balai dans l’fion, bandit, propre à rien… vire tes sales paluches de ma fille ! Quel souvenir cuisant… Mathilde ? hum. Le pire c’était pour Idiome. Comme il a l’air malheureux à devoir se frotter contre elle en ronronnant, quel sacrifice, quel…

La mégère ! (comprenez par la, la belle mère)souffle rauque.

Cay était tout ébranlé. Comprenez bien. Tous les jours, à neuf heures trente sept précisément, la mégère sort le chat. Tout les jours, depuis que le monde et monde, et a engendrer les mégères. Chaque fois elle lui colle une tapette amicale sur le sommet du crâne, lui dit ramène une grosse souris, Jusque là, c’est au poil. Sauf que justement le poil …

IDIOME NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN* Cri intérieur uniquement, il est beurré, mais il est pas … En fait si, mais les yeux en soucoupe, il n’en avait pas que l’odeur, les joues rentrées, il faisait la carpe. Il tendait le doigt, vers l’idiome du millieu, l’idiome BLANC. S’en fût trop pour son honneur. Il se vengerait, pour sur. Son chat ! Son chat NOIR ! Elle a décoloré son chat ! Il prit son comparse à témoin. L’affaire était grave. N’écoutant que son courage et chopant idiome par le collet…. En fait c’était Ze dioude…

Oops… Il récupère Idiome dans un feulement du feu de dieu justement…

Mon pauvre idiome !Viens voir papa AAAIeuuh. Mais voyons, ne craint riIien, chuuut IdiOOh on va se faire repéré ! ce n’est que Zedioude un AIE mis a pa… HHH

Longue aspiration chevrotante et sifflante, la bouche grande ouverte. Il désigne une chose disparue… Une chose dont un homme saisit tout de suite l’importance… Capitale. Il relâche Idiome, ou Idiomêtte devrais il dire… Figé dans sa posture.

Je te vengerai Idiome.

Dit il vers la petite chose au loin qui disparaît dans l’ombre… La chatte s’enfui, elle a jamais aimé l’cabillaud, et Mow Doo, la gueule un peu ensanglanté, et le cheveux en bataille appuyé sur son comparse, la main tendue.

Adieu.

Il toussote. L'oeil fixé sur la porte, la main fixée sur l'épaule du Dioude,

Dioudy… passe devant, j’te couvre.
Rosedeplantagenest
Rassurante, la médicastre se voulait rassurante mais Rose se demandait si elle la croyait vraiment…

Le temps s’écoulait doucement maintenant, sa mère avait ouvert les yeux, elle en était sûre…mais rien face à la médicastre…

Devenait-elle folle ?

Rêvait-elle que sa mère bougeait alors que rien ne se passait ?

Installé sur le large fauteuil, lui caressant la main, exerçant une légère pression en murmurant à la Comtessa


« -Maman, je sais que tu ne peux pas m’entendre, tu dors si profondément… mais je te promets que quand tu te réveilleras je serais là…à tes cotés… »

Un regard qui s’agrandît, les lèvres qui s’entrouvrent pour rappeler la médicastre mais aucuns sons ne sort, une main qui se fait plus pressante mais en douceur…

Le regard de sa mère est là, devant Rose qui s’est relevé et penché sur elle.
En douceur, elle se met à luy parler :


« -Maman…Maman, comment te sens-tu ? Tu as soif ? »

A l’aide de son autre main, elle prit un linge propre, le mouilla légèrement et le déposa sur les lèvres de sa mère, luy souriant avec tendresse…

Le moment de faire revenir Mélian est là, toujours sur le mesme ton, Rose tourna son visage vers la porte.


« -Dame Mélian…Pourriez-vous revenir…Ma mère…est réveillée… »

Rose se demanda si on l’avait entendu mais ne voulait pas lâcher sa mère, voir ses yeux ouvert la rassurait tellement que rien ne pourrait la faire la lâcher…
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Melian
Melian, toujours à côté, écoutait les encouragements de la jeune dame envers sa mère. Mère qui finit par ouvrir les yeux. La médicastre sourit et se rapprocha du lit.

Bienvenue parmi nous Comtessa.

Puis, regardant la jeune dame.

Il faut éviter qu'elle parle pour le moment, et qu'elle touche à sa blessure, c'est très important. Nous ne poserons que des questions impliquant comme réponse oui ou non, le oui sera signifié par sa main qui serrera la nostre. Il ne faut surtout pas aller trop vite. Elle doit estre déboussolée et peut estre mesme paniquée.

Souvenir de son propre réveil en l'Hospital de Lyon après avoir été très grièvement blessée, il y a un moment maintenant...

Reposant ses regards sur la blessée, reprenant sa main libre qu'elle avait posé juste avant.


Dame, si vous m'entendez, serrez ma main s'il vous plaist. Vous estes en sécurité, tout va bien, n'ayez pas peur.


Elle parlait toujours de sa voix douce et calme, un peu plus lentement que d'ordinaire, afin de rassurer la Comtesse qui, après avoir été sauvagement agressée, se retrouvait en un lieu inconnu.
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--The_dude
[Aux pieds du château. Aux cuisines. Ils vont rentrer...]

Une foule qui s'agite. Hommes qui portent plats attrayants. Canards et autres volatiles. Fruits et légumes accompagnent de leurs cagettes porteuses des carcasses giboyeuses. La noblesse est invitée au festin du renouveau ! Le roi est mort ! Vive le roi ! Se dit qu'avec un tel appétit ils vont frôler l'indigestion..

Et voilà Say Mow Doo qui parie sur le prochain gibier qui va franchir la porte. Idiome le sus nommé minet du matelot quand la porte s'ouvre sur ....Moby Dick !...Stupeur ! Il y a du poisson au repas ? La pour le coup c'est plus l'entrée de l'épicerie fine mais on fait dans le parking de grande surface !!! Le vigile aborde l'age de la retraite mais on sent dans les yeux l'expérience du vol de caddy. Hors de question de sortir de ses cuisines avec la marchandise alors y rentrer complètement enivré vous pensez bien !!! Va falloir jouer serré...D'un autre côté pour passer...Pas trop le choix...

Rictus soudain implorant quand le pirate s'empare de la peluche de la vieille. Moment d'incompréhension de la dame quand le forban l'appel belle maman.
Maman disait toujours que la vie c'est comme une boite de chocolat..On ne sait jamais sur quoi on va tomber ! Pour sur que l'épicière regrette soudain le mariage de la belle et la bête


Mégère ?????

Regard sincère de la peur envers la mariée du capt'ain Achab. Sur que celle-là pour la séduire fallait y aller au harpon. Un Dude transformé en vrp à calendrier. Porte à porte de l'arraché chez Saupiquet. Tandis qu'un Mow Doo ébahit constate que la peluche à cédé ses gésiers pour la salade de lardon. Choc du compagnon !

Agace pas l'chat !

Trop tard !! le chat qui est devenu chatte file au loin trouver gouttière où oublier cette haleine de rhum frelaté que la pauvre bête vient d'inhaler de trop près. En est il qu'il y a toujours les récifs à franchir et le phare de l'épicerie vire au rouge pour signaler l'alarme. C'est dans ces moments qu'une main apaisante sait se poser sur votre épaule pour vous venir en aide et vous tranquilliser. Un sourire gêné par trop de timidité. Il est comme ça le Dioudy ! Il est poli..

Je n'en ferais rien ! Après toi voyons....

Et dans la vie il y a les jugements de Salomon. Ces instants où tout bascule sans comprendre ni comment ni pourquoi. Ces moments où le rot vient à la place du pet attendu. Voilà Moby Dick qui prend le large l'air blasée sans rien dire et qui laisse sur place nos planctons avinés..Invisibles ?...
Toujours est il qu'ils se font pas prier de rentrer au port. Mais à peine à l'intérieur même pas le temps de faire le tour des rayons qu'une voix à la virilité du cétacé leur présente les priorités !


Jeannot y'a les bons à rien du Pierrot qui viennent d'arriver ! Envoie les moi au pâtissier y'a les plats à monter !! Dit lui de faire gaffe ils sont bourrés !!!

On laisse son honneur de coté sur l'insinuation de leurs possibilités, et on suit le jeannot qui va nous guider ! On va se le faire le boulanger ! Facile de le trouver....Il doit avoir du fard tout blanc sur le visage...

Arielle_de_siorac
Un silence.
Les deux noisettes prunellées se noyoient dans cette forme étonnante aux échos chaleureux.
Un visage. Un visage aimé.

Ce visage.
Il... Il est... beau.
...
...
...
...
Si beau.
...
...
Je le connois.


Le visage bougea, et des sons en sortirent. Des mots doulx, déposés en bouquets sur le lit.

Une voix.
C'est la voix de... de...
C'est la voix.
...
...
...
Je la connois.


Dans l'ombre des iris de la comtesse, une lueur dansoit. Arielle avoit reconnu sa fille.

Un autre mouvement.
D'autres bruits.
Une autre voix.


S'arrachant à sa contemplation béate, le regard de la comtesse glissa vers l'Autre.
Il détailla ces yeux, ce nez, ces lèvres qui bougoient en faisant des sons.

Non.
...
...
...
...
...
Non, ce visage...
Je ne le connois pas.
...
...
...
Oooooh.
...
...
J'ai peur.


La lueur avoit disparu des prunelles.


Fffmpffhahfm.

Mouvement des lèvres, à peine perceptible. Pas un mot, pas mesme la silhouette d'une idée.
Seul un souffle, léger comme l'éther.
Un souffle articulé.

Les voix.
Elles font du bruit, je...
Il me semble que...
...
...
...
...
...
...
Il me semble que...


Le regard revinct se blottir dans le sourire rassurant.
Prunelles apaisées, Arielle observa sa fille.
Elle écoutoit les bruits de la voix.

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Melian
La Comtesse se réveillait bel et bien, enfin. Elle la vit regarder sa fille avec amour, puis tourner les yeux vers elle, et prendre peur. Melian se serait giflée pour ne pas y avoir pensé, toute préoccupée qu'elle était à trouver moyen de sauver la dame. Elles ne se connaissaient pas !

Comtessa, je suis médicastre, là pour vous soigner. N'ayez pas peur, je ne vous veux aucun mal, ne vous inquiétez pas.

Elle espérait que la dame l'entendrait et comprendrait ces mots. Mais dans le cas contraire, elle se reculerait, et donnerait d'un peu plus loin les instructions à la jeune dame, qui agirait à sa place.

Surtout ne pas l'effrayer, il faut qu'elle reprenne ses esprits avant.

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Anonymous
Cuisine

Ils savent à peine comment ils sont arrivés là.

Ben s’pas trop tôt ! Ramenez vos miches les neuneus ! T'inquiètes Germaine ! j'les tiens à l'oeil

Echange de regard, genre, t’as vu le chef, j’sais pas comment j’ai fait, mais pu*****, j’suis trop fort. Et d’un grand coup de balai (habitude de la maison) Les voilà projeter dans un pays merveilleux !

Tout n’est que senteurs subtiles…

Say & Dioudy dans la pâtisserie.

Il lui semblait apercevoir des nains qui dansaient en envoyant des croissants dans leurs directions. Mow Doo quand à lui ne pu s’empêcher de constater l’avancement des travaux, la larme à l’œil, Une pièce entière consacrée à la pâtisserie, Jeannot apparut à Mow Doo comme un charmant bonhomme, avec une barbe blanche touffue et très en accord avec son pull rouge, tout était parfait si ce n’est les incisives un petit peu trop longue... Quelques instants il flotta, avec dans sa main une canne à sucre. Rebondissant sur des nuages de barbe à papa… Alors qu’il entamait un plongeon dans la crème pâtissière, le soudain d’un choc très violent à l’arrière de la tête, il reprit connaissance avec la vérité subjective des lieux, et fit la connaissance du plateau d’enfournage numéro deux, dans les dents.

HUMPFFFF

T’attends quoi ! Didjuss S’ben dur d’trouver du personnel dans l’coin !

Ensuite son attention se porta sur le Dioude, qui avait l’air lui dans le monde merveilleux des croissants beurrés…

Zêtes ben des gredins ! J’savais ben les rej’tons de Pierrot pouvaient pas être net !

Jules et Jim, S’ben des noms d’foutre à rien !


Ils se retrouvèrent tout deux avec des plateaux énormes dans les paluches, emplit de sandwiche, de croissant, et de chose délicieuse et délictueuse, le genre qui vous emplit d’envie au simple coup d’œil.

Vous les posez au boudoir et vous redescendez !

Quelques instants plus tard, dans les escaliers de service…

Dioudy, j’ai comme un doute…

Est-ce que le Forbans allait s’apercevoir que dans cuite, il y a cuit ? Et que Jeannot aimais les carottes ? Est-ce qu’il allait enfin remarquer que le château n’était pas l’épicerie du coin ? Avait il enfin entrevu qu’il était jusqu’au cou dans la mouise…

Je crois que c’était pas Idiome…
Ozouma


Prêt de l'hopital où demeurait la comtesse depuis quelques temps, une silhouette s'approchait doucement. Il s'agissait d'Ozouma qui avait parcourut tout ce chemin depuis le Domaine de son Ordre pour rejoindre l'hopital et prendre des nouvelles de la comtesse. Il pénétra dans le batiment qui était silencieux, où on entendait quelques fortes paroles. Ozouma cherchait la chambres d'Arielle de Siorac et vit enfin dans un couloir quelques gardes dont deux devant une porte. Il s'agissait sûrement de la chambre de la Comtesse. Il s'approcha calmement des gardes puis leur demanda.

Serais-je bien devant la chambrée de la Comtesse Arielle de Siorac ?

Les gardes lui répondit que oui d'un signe de la tête mais ne laissait pas entrer Ozouma qui leur était inconnu. Il demanda des nouvelles sur la santé de la personne qu'il voulait voir.

Hmmm... ne vous inquiétez pas, son état s'améliore. Elle n'est pas encore remise sur pieds mais cela ne devrait pas tarder.

Ozouma se sentait bête de ne pas pouvoir rentrer mais était rassuré et plus heureux d'entendre les paroles du garde. Il s'assit sur un banc à quelques mètres de la porte et se mit à penser, en éspérant de bonnes nouvelles assez rapidement.
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