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[RP] Les silences étoilés

Mathieu.deldor


Crépitement du feu dans l'âtre de la cheminée,
Seules quelques bougies illuminent le pièce sombre,
Où travaille Mathieu en train de rédiger quelques rapports pour le Secrétariat d'Etat.

Pas un bruit. Si ce n'est celui de la plume qui file le long des parchemins.

Tout à coup, l'on frappe à la porte.
L'Intendant de l'Ousteau.

Léger mouvement du sourcil,
Un peu surpris de cette visite inhabituelle.

Sans mots, Deldor le laisse s'approcher et luy remettre un parchemin scellé.

Le scel et l'écriture de sa mère..

Fronçant les sourcils à la lecture de la missive,
Tel un réflèxe désespéré,
Il la laisse retombée sur le bureau,
Les mots tranchants résonnant dans sa tête.

Le jeune Seigneur lève son regard autoritaire sur l'Intendant,
Et d'une voix calme et digne :

Vous mériteriez d'êstre pendu.

Pas un mot de plus.

Sortez et laissez mes effets en place,
Je vous interdis formellement d'y toucher.
Mes gens s'en occuperont.


De nouveau seul,
Mathieu reste de longues minutes debout face à la fenêtre,
Le reflet de son visage sur les vitres où défilent les gouttes de pluies.

Une discussion, peut-êstre la dernière, s'impose entre sa mère et luy.

Simplement vêtu, les cheveux en bataille et les doigts légèrement tâchés d'encre,
Il sortit de la pièce et se dirigea dans la pièce où se trouvait sa mère, indiquée par des domestiques.

Mathieu resta un peu distant à la vu de sa mère.
Puis attirant son regard,
Il s'adressa à elle d'une voix calme et douce :

Mère,
Il nous faut discuter.
Seul à seul.

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Arielle_de_siorac
Moment en suspend.

Arielle regarda son fils d'un air surpris. Il sembloit affecté. Oh, comme il avoit grandi... Il la dépassoit à présent d'une teste, il estoit un adulte, il devroit jà estre marié, assurer sa lignée. Ces cheveux en bataille, sombres... Il luy ressembloit tant! Mais ces yeux... c'estoient les yeux de Sébastien. Des yeux d'outre-tombe.

Il vouloit luy parler seul à seule? Mais pourquoi? N'y avoit-il point des lustres que...

Avisant les notes glissées dans sa propre main, la comtesse fronça les sourcils. Oh... Ooooh...


Je doute que ce ne soit une bonne idée, jeune homme, chuchota-t-elle. Puys, foulant au pied son orgueil, elle osa admettre: La... faiblesse dont je suis désormais affligée me plonge dans une vulnérabilité dangereuse.

Pincement des lèvres. Nous parlerons céans, devant tous ces gens... avant que tu ne partes. Canhard? Les préparatifs?

Alors qu'elle vacilloit légèrement, on luy offrit un fauteuil. À présent sise face à son aisné, elle le toisa quelques instants d'un air perdu, avant de laisser échapper un long soupir. Son cou s'inclina pour venir porter le front blanc dans sa main, accoudée.

Elle avoit vieilli.

Ses dents se serrèrent pour retenir les larmes qui luy grimpoient dans la gorge. Elle auroit voulu hurler SALAUD! à ce Deldor qui la faisoit souffrir. Il l'avoit trompée avec l'autre catin, abandonnée sous les flammes, elle estoit à la dérive, seule, seule avec les enfants, il avoit piétiné leur amour, il alloit la traquer jusque sous la pluie, le ventre ouvert, dans la boue, l'horreur, le cri, je te hais, salaud, pourquoi, pourquoi elle?

Un ou deux silences plus tard, elle sembla prendre à nouveau conscience de présences humaines autour d'elle. Tous ces regards plantés sur elle... Qu'attendoient-il donc?

Encor les notes coupantes sous les doigts, encor un froncement de sourcils.


Hum... Lèvres sèches, la comtesse tentoit de se composer une attitude, ériger une défense entre ces yeux inquisiteurs et sa douleur. Étrange comme elle avoit mal au cou, ça la brusloit... Hum. Que voulez-vous? Qu'y a-t-il? Son murmure estoit sec, cassant comme du cristal.
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Dyruvia
une brume se levant en se beau matin frai

une ombre semble venir de Gascogne, le pas leger d'un fantome vétu d'un chèche indigo sur une robe écru dont la couleur percer a peine la poussière qui la couvrait

l'ombre semblait frêle , squelettique; a se demander comment cette ombre pouvait encore marcher

a l'approche, d'un pas lent, de la ville l'homme paraissait d'une stature certaine malgré sa maigreur;

les yeux fixent, d'un bleu clair, perçant la brume dissipé;
il fixait les haut-murs de la ville.
un homme, a la l'entrée de la ville, se retournant autour de lui semblant chercher quelqu'un

le regard dure, presque méchant lancé sur le "gardien de la porte" le figeant sur place comme glacé ou hypnotisé.

unnn ... uuunn .. un maurrr.. sembla-t-il soupirait

l'homme poursuit son chemin droit, le pas sur et franc, inébranlable

passage devant leur "temple de culte", l'église qu'ils appellent sa marmonna-t-il

des enfants jouaient a un croisement de chemin

l'ombre en empoigna un par le bras, se penchant vers lui

Dame Arielle de Dénéré, ou est elle ? demanda-t-il d'un ton dure et méchant

l'enfant effrayé par là 'sieur mais ...

sans attendre la fin, l'ombre se dirigeait dans la direction du doigt

jetant un œil en arrière il vit l'enfant courir vers des adultes

je ne serais pas seul longtemps pensant l'ombre

une grande demeure se dresse au loin ,

je ne peux me présenter ainsi....
cherchant du regard une auberge où se rafraichir et se redonner allure présentable

près du vergé, là, un puits.

une toilette sommaire

fouillant la nature du regard cherchant quelque chose de bien précit l'ombre se dirigea vers les friches du verger.

de l'ortie, du bleuet sauvage, un chardon ...
une conque de noix encore verte

il s'instala dans un coin a l'abrit des regards pour allumer un feu, sorti sa pierre de cobalt et l'alluma, une gamelle en argent massif lui servant de récipiant, l'eau du puits.

il prépare conciencieusement une mixture de plantes juste récolté puis plongea le tout dans l'eau frémissante

une odeur douce et agréable s'échapait de l'ecuelle

l'eau s'évaporait laissant derriere elle une pate presque blanche qu'il s'étalait, encore fumante, sous son chèche et toutes parties visible de son corps jusqu'a ce qu'elle soit absorbé par la peau

il humait, maintenant , un chaude odeur de bleuet; douce agréable et reposante,

une simple toilette le faisait passer de vagabon a homme de lieu

il mangea; dépoussiera sa robe

quand il se senta pret il se dirigea vers la haute demeure
cherchant un habitué des lieux quelqu'un de suffisament capable pour apporter sa requete a la dame des lieux

longeant les murs a la recherche d'un individu présent dans le domaine, quelqu'il soit pourvu qu'il soit un autorisé

là une femme, une servante peut etre,

TOI !!! lui cria l'ombre
la femme legerement effrayé
va demander audience auprès de Dame Arielle...
annonce lui que Dyru Via Delo Longsay frère d'Hyru Via Delo Longsay veut lui parler


il sortit un poignard de sous sa robe

la femme effrayé recula de plusieurs pas prête a courir

attend, ... donne lui ceci et dit lui lui ses mots "en se présent je vous offre mes services, je serais a jamais présent et parcourait milles lieux et dangers quelque soit la raison"

dyruvia espérer que ses mots dit par Hyruvia en son temps lui permettrait de la voir

dépêche toi je te pris, le divin m'annonce de la pluie et je n'ai guère envie de demeurer dessous , je t'attend ici, reviens vite

la femme couru effrayé vers la demeure, comme ci elle avait vue un démon ....
Rosedeplantagenest
Le blanc...
Tout ce qu'elle avait connue jusqu'à présent s'écroulait en ce temps et ce lieu habituellement si paisible.
Que se passait-il?
Pourquoi sa mère était-elle si mélancolique?

Installée à un bureau du salon de l'Oustau, elle froissait les vélin les uns après les autres, mais son regard passait du pétillant à une profonde blessure, et Rose l'observait , toujours en se posant mille questions.


JJ et Rose discutait entouré de quelques amis et s'occupait des deux derniers qui jouaient ensemble quand sa mère fit venir l'intendant afin qu'il donna une lettre à Mathieu.

Pourquoi ne pas l'avoir fait appeler, il doit certainement se trouver à l'Oustau?


Rose se rapprocha de sa mère, perdu dans ses pensées et luy fit servir une tisane bien chaude quand elle entendit résonner la voix d'un Mathieu, ferme mais quémandeur.

Froncement de sourcils pour la jeune femme.

Que se passait-il donc dans cette demeure?


« -Mathieu? Que se passe t'il?
Mère est encore trop faible pour te suivre, pourquoi ne point venir en nostre compagnie, vostre politique pourra bien attendre plus tard! »


Rose se tourna vers sa mère, se trouvant bouche bée face à son regard des plus perdu en observant Mathieu lorsqu'elle reprit la parole. Rose ne comprenait rien à rien, les regardant chacun leur tour.

« -Mais que se passe t'.....? »

Phrase interrompue par l'apparition subite d'une domestique à l'air un peu effarée, s'inclinant rapidement avant d'entamer un discours des plus décousues, lançant vers eux de grands gestes lorsque Rose vit un poignard dans l'une de ses mains. Elle se rapprocha d'elle avec douceur.

« -Attendez, recommencez par le début, qui veut voir ma mère? Et qu'est-ce donc que ceci en vos mains? »


La femme respira et recommenca son petit discours:

« -Dyru Via Delo Long...Longsa...non Longsay frère de Hydre Via Delo Longsay veut parler à vostre mère, il m'a demandé de luy montrer ce poignard et de dire: en se présent je vous offre mes services, je serais a jamais présent et parcourait milles lieux et dangers quelque soit la raison

Je ne comprends rien à la signification de ces mots mais c'est ce qu'il à dit, j'en suis sûre!

Alors, je lui dit qu'il peut venir? Il ma dit que le Seigneur lui annoncait la pluie, mais à cette époque c'est la neige qui arrive, la pluie ce n'est plus pour nous... »


La domestique se rendit compte alors qu'elle parlait trop, tout les regards étaient tourné vers elle et c'est rougissante de honte qu'elle s'inclina en attendant les ordres des Maistres.
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Arielle_de_siorac
Nouvelle interruption, nouveau regard désorienté chez la comtesse.

Au milieu des effluves d'un drame où elle jouoit un rosle sans connoitre son texte, Arielle vict débouler Agnès, la nièce de l'intendant, dans un salon pétrifié. Icelle ouvroit de grands yeux inquiets en tenant un poignard à la courbe exotique qui ressembloit à... hum... à une autre lame endormie au creux d'un coffre, quelque part dans les souvenirs de la comtesse.


Hyruvia... murmura-t-elle, un sourire naissant sur ses lèvres. Que dictes-vous, Agnès? Le frère d'Hyruvia? Faictes-le entrer.

Évaporée, la scène déchirante avec le fils. Arielle, cloisonnée dans un présent constant, ne se rappeloit jà plus ce qu'elle faisoit là. Mais avisant à nouveau les notes chiffonnées dans sa main, elle fronça les sourcils avant de fermer les yeux en une grimace douloureuse.

La trahison, encor. Deldor l'avoit abandonnée, trompée. Elle estoit seule, désespérément seule au milieu des ruines fumantes de ses espoirs. Il luy falloit partir, loin, emmener les enfants et Mariette, avaler le chemin pour étouffer l'amertume de sa vie gaschée. Fuir en avant. Partir.

Oui, partir.


Canhard, je pars. Préparez mes malles, je pars ce soir. Je veux... je veux voir ma cousine Paquerette.

Elle se leva avec peine, et promenant un regard d'acier sur son petit monde, elle chuchota, d'un ton sans réplique:

Je pars.
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Dyruvia
assis, jambes croisées sur un muret a attendre le retour de la jeune femme, Dyruvia réfléchissait a la manière dont il allait se présenter

MESSIRE MESSIRE

la jeune voie fluette raisonnait légèrement contre les arbres en bosquet alentour, d'un mouvement léger Dyruvia se retourne

dyruvia, ou dyru suffira amplement, as-tu pus transmettre ma requête ? qu'a-t-elle dit ?
dyruvia paraissait exciter et anxieux a la fois

si vous voulez bien me suivre, je vous conduit a ma maitresse
la jeune femme semblait pleine de bons sentiments et soucieuse de faire au mieux son travaille malgré une maladresse plus que touchante

tout en traversant le jardin en direction de la somptueuse villa, la servante racontai, dans les grandes lignes, se que la comtesse Arielle avait subis dernièrement
une terrible tragédie, qui faisait peser la honte sur dyruvia

comment ai je pus être aussi oisif, moi qui voyagé aussi serein alors que Dame Arielle était agressé de la sorte, je suis méprisable, je n'ai sus tenir la promesse de mon frère; comment me faire pardonner comment rattraper mes erreurs marmonnait-il

a l'arrivée dans la villa, une chaleur douce les accueillait,
mène moi a la comtesse, que je puisse lui présenter mes excuses, et je reprend ceci j'en aurais grand besoin dit il a la servante en reprenant son djambaia

oui oui messire

dyruvia

dyr.........diru..ve ...... hoo... hooo je vous demande pardon
dit elle d'un ton rougissant

se n'est rien voyons , ne soyez pas gêné mon accent est troublant et mon nom trop exotique pour ses régions ; appelait moi dyru tout simplement ou si "messire" vous conviens mieux alors cela m'ira aussi
posant sa main délicatement sur son épaule

n'ayez jamais honte de commettre des erreurs, tant qu'elle n'arrive qu'une fois, retenez les et prenez en leçon lui souffla-t-il en souriant

allez m'annoncer s'il vous plait, j'ai beaucoup de chose a me faire pardonner

...

apres quelques instant la jeune revint laissant cette fois ci la porte ouverte derrière elle

sa grâce la comtesse Arielle de Gilrean de Dénéré, vous attend messire
dit elle d'un ton cérémonieux, lui indiquant du bras la grande salle remplit de monde

du haut de son mètre quatre-vingt dix et de sa corpulence athlétique, dyruvia rentrait doucement dans la pièce

le visage dissimulé sous son chèche ne laissait apparaitre que deux yeux d'un bleu clair perçant sur une peau mate

il observait avec attention chaque membres de l'assemblée
des hommes aux allures de guerrier, l'un d'eux semblaient contrarié, face a lui une ravissante jeune femme au visage si doux qu'il troubla l'espace d'un instant dyruvia
aux cotés de tout se monde plusieurs autres femmes , des servantes a leurs tenues plus simple et moins précieuses.

au centre de tout se petit monde, une femme, assez âgé, un pansement au cou, semblait retenir l'attention de tout le monde
du regard elle l'invita a s'avancer et dyruvia compris qui elle était

Dame Arielle,
debout devant son fauteuil

malgré son age et sa blessure, cette femme dégageait une aura particulière, quelque chose de doux et charismatique a la fois

dyruvia s'approcha a trois pas d'elle , posa un genoux a terre

Madame , je me nomme Dyru Via Delo Longsay frère et éléve d'Hyru Via Delo Longsay, je suis ici pour prendre relai de sa tache après de vous

dyruvia fit une pause, avant de reprendre toujours les yeux au sol

j'ai appris que vous aviez étié victime d'un terrible malheur;
je porte la honte en moi;
trop occupée a mon voyage, je n'ai sus être là pour tenir la promesse de mon maitre, j'aurais dut recevoir se coup a votre place;
permettait moi madame de rattraper ma faute en acceptant ceci


dyruvia sorti alors son djambaia et le tendis en direction d'Arielle

En se présent, madame, je vous offre ma vie; acceptait de moi que je sois votre servant,
si vous décidiez que ma faute et trop grande je serais fier de me donner la mort,
je suis, en se jour, a votre unique service
commander moi et je vous exécuterais



dyruvia plongeant sa tête entre ses bras relevant un peu plus le poignard en direction d'Arielle en attente d'une réponse

un instant l'atmosphère sembla pesante , l'homme, a la carrure imposante dégageant une odeur fleurit et sucré, offert sans défense au vouloir de la comtesse
Rosedeplantagenest
Les mirettes se promenaient sur le visage de sa mère, tantôt heureuse, tantôt l’inverse quand tout à coup elle reprit une once de souvenirs concernant l’homme annoncé par la domestique.

Sans se rendre compte du moment que tous vivaient à ses cotés, elle manda à Agnès de le faire entrer.

Rose haussa un sourcil, décontenancé par la courte mémoire qu’avait sa mère depuis l’accident.

Rose fut tout de mesme soulagée de voir qu’elle oubliait qu’elle souhaitait voir Mathieu en privé suite à leur échange de regards lourds en sous entendu, cela serait dur pour elle de supporter une dispute.

Croisement de bras sur la poitrine alors que Rose sert des tisanes à sa mère et elle-mesme lorsque la voix de sa mère retentit tout à coup.

Le cœur s’arrête un court instant, le souffle vint à manquer, l’incompréhension totale.

Rose se retourne, une tasse entre ses doigts fins et se rapproche de sa mère.


« -Vous souhaitez partir Mère ? Mais…Qui est cette cousine Paquerette d’abord !?! »

Rose planta la tasse dans les mains de sa mère, luy ôtant ses papiers qu’elle déposa sur le bureau pendant que sa mère répète qu’elle part…

Dieu ou voulait elle aller ! Comment la raisonner !

Rose se rapproche de Canhard, luy intimant à voix basse :


« -Si jamais vous faites ses malles, faites les miennes avec, je ne veux pas la laisser partir seule ! Ou qu’elle aille je l’accompagnerais ! »

Aucune raisons de paniquer malgré ce point au ventre que Rose avait, et si sa mère partait sans rien dire, qu’allait-il luy arriver ! Non ceci était impensable, elle la suivrait jusqu’à ce qu’elle soit sure que sa mère aille mieux !

L’homme est annoncé, entre et se dirige droit vers sa mère, nouveau haussement de sourcil.

Il est grand, et l’on ne voit de luy…que ses yeux…

Mon Dieu, Rose a l’impression de regarder une pièce de théâtre ! Rien n’est normal ce jour !

Le regard de l’homme se pose sur Rose, quelque chose se passe à ce moment là, ils s’observent, se toisent…

Lorsque les yeux bleus relâchent les émeraudes, Rose le voit s’approcher de sa mère et posa un genou à terre…

Il entame son discours, Rose se sent perdu…elle n’a jamais entendu parler d’un tel homme dans un tel accoutrement, qui est-ce ? Que veut-il à sa mère ?

Discrètement, Rose cherche Fitzz du regard, luy mandant de se rapprocher, au cas où…

Un poignard…Le reflet de la lumière fit un éclat dans les émeraudes, effrayant Rose qui ouvrait les lèvres pour luy hurler dessus…

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Balarion
Balarion patientait dans la salle à côté lorsqu'il entendit la comtesse demander à ce que l'on prépare ses affaires, il se rendit donc dans la pièce où était déjà Rose, Mathieu, et un inconnu. Il se rapprocha d'Arielle pour lui annoncer que si elle partait il irait avec elle.

Bonjour Arielle. Comment vas tu ? Tu pars en voyage ? Si oui je te demande la permission de t'accompagner car comme promis désormais en tant qu' homme lige là où tu iras j'irais.

Balarion met un genou à terre et attend la réponse d' Arielle.
Fitzzchevalerie


Discution animée entre quelques personnes présentes dans le salon de l'ousteau. Les yeux de Fitzz qui se pose sur le comte venant de finir de parler avant de d'user de ses cordes vocales à son tour.

Sans vouloir vous contredire vostre grasce, il me semble tout de mesme évident que rien ne vaut un petit vin d'Oc, vous ne croyez pas? Regard circulaire cherchant l'approbation des personnes présentes avant de se poser sur le jeune lion, posté à l'entrée, qui semble enfin décidé à venir se meller au commun des mortels. Fitzz qui s'apprète donc à lui proposer de venir participer à la discution avant de remarquer qu'iceluy semble déjà accaparé avec la contesse.

Oubliée la discution avinée... Déjà tout les regard se tourne vers les nouveaux protagonistes, une tension palpable s'intallant dans la pièce tandis qu'un Mathieu de glace toisait sa mère, la questionnait du regard.
Moment de silence qui s'installe, alors que chacun semble chercher le sujet adéquate afin de taire une discution qui semblait mal partie. La porte s'ouvre alors sur une servante qui entre en trombe, poignard à la main, tremblant de la tête aux pieds. Servante qui s'y reprend à deux fois avant d'annoncer l'arrivée de quelqu'un, probablement une connaissance de la contesse.

Le regard de Fitzz se pose alors un instant sur la grande Dame qui semble user d'effort afin de mettre un visage sur le nom qui vient d'être pronnoncé. Son regard se détourne un instant tant il était dûr pour lui de voir Arielle peiner ainsi pour retrouver ses esprits. La guérison promettait d'être longue et difficile pour tous mais elle finirait par se rétablir, c'était certain et tous l'y aideraient. La contesse avait alors ordonner d'un ton rêveur de le laisser entrée avant de replonger dans ses songes... Passe quelques instants ou tous semblent attendre l'étrange visiteur qui avait tant troublé la servante puis, la contesse se relève avant de prononcer d'une voix faible mais d'un ton sans équivoque: "Je pars."

Des yeux qui s'écarquillent dans un incompréhentions non feinte se demandant quel crédit donner à cette déclaration. Elle parlait de sa cousine, peut être avait elle été conviée à rende visite à icelle... Paquerette... N'était ce pas là le nom de l'ancienne CaC de l'Armagnac? Yeux qui se pose sur Rose, tout en se faisant ces réflexions, vont ensuite vers le comte avant de retomber sur la contesse qui semble on ne peut plus serieuse et déterminée. Partir sans même être guérie... Fitzz décide de se relever à son tour avant de prendre la parole d'une voix calme et appaisante une fois que Rose eut fini.

Paquerette Mattei de Dénéré? Elle est en Amagnac non?
Comprenez vostre grasce qu'une fois que serez totalement guérie nous vous suivrons où vous voudrez mais... Enfin vous avez encore besoin de repos il me semble...
Je suis sûr que vostre cousine ne verrai pas d'objection à ce que vous reportiez vos retrouvailles de quelques semaines afin de vous laisser le temps d'être parfaitement remise.


A peine avait il fini de parler qu'un homme au nom difficilement prononçable se faisait annoncer et entrait dans la pièce. Azurs Fitzziens qui dévisage discrêtement l'homme. De taille imprécionnante, le visage recouvert d'un tissus qui ne laissait apparaitre que ses yeux, il n'était pas étonnant que le bougre est fait peur à la pauvre servante... Une fois qu'elle l'y eut invité icelui s'avanca vers la contesse d'un pas assuré. Il posa ensuite un genoux à terre tandis que Fitzz gardait toujours un oeil sur lui. Bien qu'il ne semblait pas avoir de maucvaise attention le regard inquiet de Rose, l'accent du sieur et sa tenue ammenait le lieutenant à rester tout de même sur ses gardes. Ajouté à cela que l'homme venait de sortir un poignard de sous son accoutrement avant de remettre sa vie entre les mains de la contesse. Décidément cette soirée promettait d'être pleine de surprises...
Dyruvia
le temps coulait doucement chacun perdu dans ses pensées
s'observant a mi-ton dans l'espoir que l'un d'eux réagissent en premier

Dyruvia délogea sa tête d'entre ses bras et jeta un regard de part et d'autre de ses épaules

il dépose délicatement le poignard sur les genoux de la comtesse qui venait de s'installer de nouveau dans son fauteuil
il pose une main sur son genoux et se relève sèchement développant tous son corps comme pour plaqué son ombre sur les invités, il se place alos sur le coté droit de la comtesse croisant les bras a hauteur de torse, bombant celui ci

voila donc ses hommes qui prétendent vous protéger; pas un ne bouge en voyant un inconnu poignard a la main

se tournant vers la comtesse

madame vous avez grand besoin de mes services, laissez moi prendre en main votre garde personnel

déposant son bras sur le dossier du fauteuil et sans même attendre la réponse de la comtesse, il jeta un regard dure sur les domestiques et d'un ton sauvage

LA COMTESSE A DEMANDE A SE QUE L'ON PRÉPARE SES BAGAGES

présentant son bras a la comtesse pour qu'elle puisse s'appuyer dessus

sa grâce doit se reposer avant son voyage, que ceux qui n'ont plus rien a faire ici parte

dorénavant aucun inconnu n'approchera plus la comtesse, se posant un instant et repris
je ne connais personne ici vous êtes donc prié de partir
il lança un regard violent sur tout le petit monde

il laissa quelque instant attendant une réaction quelconque ....
Balarion
Balarion regarda l'homme qui venait de parler et se releva.

Messire c'est vous que je connais pas ici et je ne quitterais pas cette pièce avant de savoir si la comtesse est en sécurité.
Rosedeplantagenest
Soulagée, Fitzz se rapproche, le surveillant du coin de l’œil, elle observe la scène qui suit en haussant les sourcils, sentant une colère noire commencer à l’envahir.

Quel toupet cet homme ! Osez demander audience et se redresser aux cotés de sa mère, croisant les bras sur son torse comme si elle luy appartenait !

Elle entrouvre les lèvres pour parler mais il est plus rapide qu’elle et se met à critiquer les hommes présent, et face à elle qui plus est ! Face à sa mère encore perdue !

Elle respire profondément, essayant de ne point avoir la voix chevrotante lorsqu’elle prendra parole.


« -Non Mais !.... »

Voila qu’il se met à hurler un ordre maintenant ! Et pas un mais plusieurs ! La trop c’était trop !

Toute la colère qu’elle avait gardée en elle depuys l’accident commençait à prendre possession de son corps, elle sentit son sang ne faire qu’un tour, les yeux se mettant à la bruler alors que Balarion et son calme olympien lui fit face…


« -STOP ! »

Elle venait de hurler ce mot et patienta que tout les regards se tournent face à elle.

Elle alla alors se planter face à cet inconnu, plantant son regard dans le sien et se mettant à déverser sa verve
:

« -L’illustre inconnu icelieu c’est vous alors je vous INTIME de quitter ce lieu immédiatement, ou je vous fais mettre aux fers.
La comtesse a demandé que l’on prépare ses malles, ceci ne vous regarde en rien !

JE m’occupe de la Comtesse comme bon me semble !

Fitzz mettez cet homme aux arrêts finalement, il va comprendre que l’on ne doit pas me mettre en colère en ce moment ! Il souhaite servir ma mère ! Il me servira moi ! Il va devenir mon défouloir personnel !

Vous osez intimez à tout ces gens de partir alors que l’homme là bas »
Elle montra JJ du léger geste de la main « C’est l’époux de la Comtesse, Luy qui est à mes cotés, c’est Balarion, l’homme lige de ma mère, et celui qui va vous mettre aux fers est un ami à moi…

L’inconnu icelieu c’est vous ! »


Se mettant entre sa mère et luy, elle prit son bras d’une main et de l’autre ôta le poignard qui trainait sur ses genoux, luy murmurant :

« -Allez vous reposer le temps que l’on prépare nos affaires, nous partons demain. Nous irons voir …Paquerette… Et je vais profiter de ce voyage afin d’aller visiter mes ambassades »

Puis, retournant son visage vers l’inconnu :

« -Et pour vostre information personnelle, Arielle est ma mère… »

Le silence retomba dans la pièce, pas un bruit ne se faisait entendre, et Rose sentit ses joues la bruler, elle voulait encore hurler sur cet homme, faire ressortir toute la haine que tout ces abrutis avaient fait naître en elle en attaquant sa mère…

Mais plus rien ne voulait sortir, elle attendait un signe de sa mère, et avant que celui-ci n’arrive, elle hurla :


« -AGNES ! »
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Fitzzchevalerie


Tout s'était enchainé très vite, l'homme s'était retourné et avait commencer à faire la morale aux personnes présentes avant de donner des ordres à tout va, allant même jusqu'à demander aux personnes présentes de quitter la pièce. Regard de Fitzz qui se durcit et se plante dans les yeux de l'homme s'apprêtant à lui inculquer les quelques règles élémentaires de bienséance qu'il semblait ignorer.

Tornade qui se déchaine quand une Rose en furie prend les devant face à un Fitzz interloqué qui la regarde quelque peu surpris tentant en vain de l'appaiser du regard. Hochement de tête et pupilles qui se posent à nouveau sur le fol alors qu'il le saisit d'une poigne ferme quand Rose lui demande de le mettre aux arrets. Cela dit une petite discution avec les gardes de l'entrée s'imposerait sans doute par la suite... Laisser entrer un inconnu avec un poignard n'était en effet pas ce qu'il y avait de plus judicieux... En attendant il fallait déjà régler le cas de ce fol furieux.

Regard qui se tourne vers Rose et la contesse pour savoir ce qu'il devait exactement faire du bougre. Au pire des cas suivant sa réaction il pourrait toujours l'assomer mais en attendant il se préparait à un éventuel coup de l'énergumène.
Une chose était au moins sûr, puisque tous semblait décidé, Fitzz partirait le lendemain lui aussi. Il était hors de question de les laisser ou plutôt de la laisser partir sans lui.
Arielle_de_siorac
Grands yeux affolés, comtesse affalée. Arielle estoit sise au milieu du fracas, un poignard luy estoit passé sous le nez comme un fumet métallique, et entre un étrange Maure aux allures de revenant et la doulce Rose qui explosoit de colère, l'amnésique dame estoit à nouveau perdue.

On parloit de voyage, d'Armagnac, de Paquerette. On crioit, s'énervoit, on s'agenouilloit devant Arielle. Que se passoit-il?


Un voyage... Oui. Partir. Je veux partir de ce triste Béarn, murmura-t-elle sous les cris environnants. Elle se releva et sourit à sa fille qui se tenoit à ses costés, le poignard à la main.

Fitzzchevalerie estoit là aussi, la mine froncée. Et Balarion, agenouillé. Et Jeanjacob, pantois dans son coin, Persevael sur les genoux, Laurens à ses costés. Et Mathieu, muet comme une pierre, le visage défait. Les domestiques, interdicts devant une scène ignorée. Arielle enveloppa chacun d'entre eux de son regard brumeux. Ses notes estoient tombées sur le parquet; le temps, arresté, estoit lourdement suspendu à ses lèvres.


Je pars avec toy, ma chérie.

La comtesse remarqua alors un inconnu, dressé près d'elle en une pose défiante. Qui estoit cet homme exotique? Avec sa tenue et ces voiles cachant ses traits, il ressembloit tant à Hyruvia, un vieil ami disparu dans les brumes d'un lointain passé...

Hyruvia? souffla-t-elle, incrédule. C'est toy?

Elle déposa sa main, comme une plume, sur le bras puissant du Maure.
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Dyruvia
Dyruvia senti la colère monté chez ses gens;

cette femme, Rose, qui paraissait si douce et si tendre , pleine de retenue, se laissait enfin aller déversant enfin sa colère,

sûr quel chercher depuis longtemps quelqu'un pour la déverser pensa dyruvia

suivant avec intéressement le descriptif de ses gens par rose, il reteint quelques noms

fitzz qui semblait être en charge de la garde
balarion l'homme lige de la comtesse bien que ne sachant ce que se mot volait dire tout laissait croire qu'il avait une certain importance
l'homme très occupé a prendre soin de deux enfants en bas age semblait être le comte


il restait encore quelques inconnu mais peu importe dyruvia avait réussit se qu'il voulait ramener de la nervosité dans un entourage qui semblait s'agglutiner de plus en plus en son centre qui avait comme nom Arielle

d'un bref regard il analysa la situation, le dénommé fitzz ne pourrait agir seul pour me mettre aux fers, il semble le savoir lui même; il est réfléchit
balarion n'agira que sous les ordres de la comtesse
l'homme sans nom et sans réaction semblait trop "noble pour agir de lui même


la main de la comtesse sur son bras

Hyruvia? C'est toy?


le regard a la fois incrédule et pétillant

non madame , je suis son frère et son élève, dans ses dernières lettres il m'avait indiqué que vous aimiez le rouge, elle sera donc ma couleur dorénavant

puis se tournant vers Rose

vous voila devenue une vrai jeune femme mademoiselle rose , j'avais de vous encore l'image des lettres de mon frère , l'image d'une petite fille enjoie et espiègle

le regard devenue soudainement très doux
vous avez beaucoup de votre mère , belle et pleine de caractère

dyruvia déposa sa main sur selle d'Arielle et les yeux pétillant il lui souffla

souhaitez vous quelques chose de moi avant que je prépare notre voyage
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