Sofio51
camp des méchants
S'éloignant pas feutrés plongée au cur d'une scène vu de loin n'ayant plus rien de compréhensible pour elle, s'éloignant pour se chercher elle même, étrange sensation que de ressentir l'ennemi si prés sans combattre, ainsi c'est ca un camp de berrichon, même pas vrai que ca rampe au sol pour grailler, même pas vrai que ca couche sur le feu, ou sont les marmites dans lesquelles ils bouffent les enfants?
Depuis quand elle aime pas le Berry? a y réfléchir elle a été élevé pour ca, dans la tradition et la formation , afin que perdure la haine ancestral .
ca s'affaire dans le campement peut être un départ prévu, elle l'espère qu'ils prennent leurs pacotilles et qu'ils partent ailleurs histoire qu'elle puisse retourner sur le front, repartir la bas , mais lui? voudra t'il, cur partagé a n'en plus finir de puis sa rencontre un jour en Auvergne, elle sénéchal lui mercenaire, elle complétement folle, lui une idée folle, elle a suivit passé le chemin des traverses, mais ses idées sont restés militaires, et de ca elle doit s'en défaire.
Passage devant quelques tentes restés ouvertes des armes posées au sol, insouciance se sent, délaissement total de la discipline elle fronce les sourcils, trouver un point d'eau serait plus agréable que de chercher a étudier ce camp, au loin un groupe de personnes ca discute ca pinaille, peut être 'approcher un peu plus pour écouter, entendre , fouiner, toujours l'air de rien, un air candide a la fois.
quelques mots pris au hasard, partir départ, stratégie, en suffit de peu parfois pour bien arriver a comprendre, partir mais ou.......
elle espère que Montluçon a bien saisit son pigeon de la veille et que le comité d'accueil soit prêt, ils le seront elle se fait pas de soucis pour la COBA, plus de soucis, si cette armée de désemparée avait une envie d'Auvergne, elle compterait les corps au sol, en piétinant leurs corps.
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S'éloignant pas feutrés plongée au cur d'une scène vu de loin n'ayant plus rien de compréhensible pour elle, s'éloignant pour se chercher elle même, étrange sensation que de ressentir l'ennemi si prés sans combattre, ainsi c'est ca un camp de berrichon, même pas vrai que ca rampe au sol pour grailler, même pas vrai que ca couche sur le feu, ou sont les marmites dans lesquelles ils bouffent les enfants?
Depuis quand elle aime pas le Berry? a y réfléchir elle a été élevé pour ca, dans la tradition et la formation , afin que perdure la haine ancestral .
ca s'affaire dans le campement peut être un départ prévu, elle l'espère qu'ils prennent leurs pacotilles et qu'ils partent ailleurs histoire qu'elle puisse retourner sur le front, repartir la bas , mais lui? voudra t'il, cur partagé a n'en plus finir de puis sa rencontre un jour en Auvergne, elle sénéchal lui mercenaire, elle complétement folle, lui une idée folle, elle a suivit passé le chemin des traverses, mais ses idées sont restés militaires, et de ca elle doit s'en défaire.
Passage devant quelques tentes restés ouvertes des armes posées au sol, insouciance se sent, délaissement total de la discipline elle fronce les sourcils, trouver un point d'eau serait plus agréable que de chercher a étudier ce camp, au loin un groupe de personnes ca discute ca pinaille, peut être 'approcher un peu plus pour écouter, entendre , fouiner, toujours l'air de rien, un air candide a la fois.
quelques mots pris au hasard, partir départ, stratégie, en suffit de peu parfois pour bien arriver a comprendre, partir mais ou.......
elle espère que Montluçon a bien saisit son pigeon de la veille et que le comité d'accueil soit prêt, ils le seront elle se fait pas de soucis pour la COBA, plus de soucis, si cette armée de désemparée avait une envie d'Auvergne, elle compterait les corps au sol, en piétinant leurs corps.
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