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[RP] "Chez les uns, chez les autres"

--La_muette
Pour sûr qu'vous pouvez pas la connaitre, Messire. Elle traine pas la Ermine, c'est une fille bien.

La Muette, le vit engloutir toute la brioche, se lever et la saluer. Il manque renverser l'miel. 'l'ést bizard c't'homme quand même.

Elle lui sourit,

Oui à d'main soir Messire.

Et elle referma la porte derrière lui.
Simon_demessy
[Nuit de garde - la matinée]

Elle presque au-dessus de lui comme cette nuit. Elle accepte l’invitation. Quand et ou ?

- A mon campement, je vous propose. Pour le quand nous allons voir suivant vos disponibilités et les miennes, et celle de mon cuisinier surtout.

Puis elle ce lève et le quitte , pour aller ou ? Elle s’arrête ce retourne, il ne voit que sa silhouette. Simon sourit a la question, pourquoi pas ce dit il. Elle disparaît , il ce lève, s’habille puis ce dirige là ou a disparu Xanthi.
Il arrive et ce trouve devant la vision d’une femme baignée, par la lumière du jour sortant du bain , couvrant sa nudité et démaillant ses long cheveux. Toute aen s’accoudant contre la porte il dit


- Oui toutes les questions ….laisse un silence ....Je répondrais a toutes.

Il s’approche d’elle lui caresse la joue l’embrasse avec passion et lui dit.

- Said viendra te chercher en fin d'aprés midi ce mardi. J'éspere que cela te conviens.

- Je vais y aller……mais je sors par où ?
- Je veux dire La Muette ?
Xanthipremier
[Nuit de garde - la matinée]

Xanthi sort du baquet quand elle aperçoit la silhouette de Simon à la porte. Elle s'enroule dans un linge et essaie de brosser ses cheveux.
ll s'approche et lui dit qu'il répondra à toutes ses questions, avant de l'embrasser passionnément.


A mardi mon aimé.
Oh par le n°20. A cette heure, peu de gens penseront que tu sors à peine de mon lit.


Elle sourit, l'embrasse à son tour fougueusement, le pousse doucement hors de la chambre et tout en le regardant à un endroit précis, elle lui murmure :

Craindrais-tu Mahaut ? Pourtant elle t'aime bien, sinon elle t'aurais déjà abimé mon Simon.
_________________
Simon_demessy
[Nuit de garde - la matinée]

Par le Numéro 20 alors. Chouette. Me voir sortir de la maison voisine ne portera aucun soupçon sur ma provenance.
Non puisque tu ne sors pas de chez Xanthi.
Et demain, le Duché n'aura plus de déficit, tu la crois aussi celle là? Puis un doute s’empara de lui. Pourquoi me dite elle que : A cette heure, peu de gens penseront que tu sors à peine de mon lit
Le numéro 20, le 20 , mais c’est ici, toi et ta mémoire de poisson rouge parfois. Ou alors le manque de sommeil, mais le sommeil remplacé par la nuit avec xanthi je suis pour .

Il se retrouve sur le pas de la porte de la chambre. Xanthi lui parle de Mahaut. Il ce demande c'est qui celui là?
Puis écoutant la suite il comprend que c'est une femme, et en suivant le regard de Xanthi ce dit que c'est La Muette.
Mahaut La Muette, quel drôle de nom, pourquoi pas hirondelle ou papillon.


- D'accord a très bientôt je t'aidore….il rectifie le mot fatidique

Alors qu'il sort discrètement par le jardin ce dirigeant vesr la porte bleue, il ce dit que encore heureux que la Muette l'aime bien, car pendant deux jours il avait souffert le martyr pour aller uriner. Mais a pars cela elle ne l'avait pas abîmé. D'ailleurs il était hors de question de demander ce qu'elle entendait par abîmer vu ce que La Muette lui avait fait subir.

Il sort par la rue de derrière , ce gratte la tête met son chapeau et avance dans la rue, direction, son campement.
La journée aller être belle, il allait ce baigner puis massage et enfin sieste.
--Said
[Rendez vous au Campement de la Lune]

Ce sont cinq cavaliers en armes qui entrèrent dans la rue des artistes, l’un tenait par les rênes un cheval sellé mais sans cavalier.
Rien qu’a leur tenue il était évident qu’il venait du campement de la lune.
Il avançaient au pas afin d’éviter un quelconque incident. Leurs habits étaient richement décorés. Les enfants s’écartaient afin de ne pas être sur leur chemin ; depuis l’incident des tentes, les gamins d’Agen n’avaient pas remis les pieds au campement de la lune.

L’escorte, s’arrêta devant la maison de Xanthipremier. Deux hommes mirent pieds à terre, celui qui tenait le cheval sans cavalier et le premier qui semblait être le chef.
Ce dernier ce dirigea vers la porte de la maison puis frappa pour s’annoncer.
En attendant il regardait le soleil qui était a l’Ouest, malgré la chaleur, il fallait ce rendre a l’évidence les jours diminuaient.

La porte s’ouvrit l’homme s’exprima en françois. Il venait chercher Xanthi pour l’escorter jusqu’au campement.
Il ajouta sur le même ton qu’il serait préférable pour la dame de prévenir qu’elle serait absente de la ville pendant plus d’une journée complète.

Le cheval de Xanthi lui était familier et elle la reconnu de suite. A la place d’une selle ordinaire, il y avait une selle d’amazone.
Said expliqua ne sachant la tenue qu’elle porterait il avait été décidé de mettre cette selle.
Xanthipremier
[Rendez vous au Campement de la Lune]

Toujours soignée, même au champ ou à la mine, Xanthi avait hésité longtemps, sur le choix de sa tenue.
Simon l’avait invitée à dîner à son campement. Elle en était heureuse et intimidée.
Elle ne voulait pas le décevoir. Si elle désirait qu’il aime, elle ne voulait pas de sa pitié.

Mahaut avait tressé serré ses longs cheveux noirs en une seule natte tombant jusqu’à ses reins.
Elle mesurait 5 pieds mais semblait plus grande dans cette simple robe de lin écru.
Une ceinture de chanvre, soulignait sa taille qu’elle avait haute et fine.
Le corsage, à l’encolure carrée et sage ne laissait rien deviner de ses charmes.

Elle marche de long en large, croise et décroise les doigts, attendant le serviteur de Simon.
Mahaut se demandait pourquoi sa petite paraissait si tendue, presque inquiète.
Elle était jolie et elle allait dîner en compagnie d’un gentilhomme plutôt bien de sa personne.


Toc Toc

Les voilà ! Mahaut ? Comment suis-je ? Vais-je lui plaire ?
Qui suis-je pour demander la lune ? Même si ma mère m’a dit que …


Ses pensées sont stoppées quand elle voit Mahaut disparaitre pour revenir avec une besace qu'elle tend au serviteur :

Prends soin des affaires d'ma Maitresse ou il t'en cuira, foi d' Mahaut ! Et il faut aussi prendre c' panier, c'est d' la menthe pour vot'e Maître.

et chuchote à Xanthi : si tu restes absente plus d'un jour, tu apprécieras de te changer.

Xanthi embrasse La Muette et sort en compagnie de Said qu'elle est heureuse de revoir. Elle lui sourit et aperçoit sa magnifique monture des joutes. Elle flatte l’encolure de Safanad, lui murmure :
Comment vas-tu ma Belle ?
Elle tend la main à Said qui l’aide à s’asseoir au fond de la sambue, ses jambes pendant gracieusement du côté gauche.
Elle lui laisse les guides, elle se sent trop nerveuse.

Escortée des cinq cavaliers, Xanthi sort de la ville, alors que la nuit tombe. La petite troupe se dirige au pas vers le campement.

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Robin25
[au n° 20]

En revenant du château , je décidai de m'arrêter chez Xanthi pour voir
sa servante .


Toc! Toc!.

Elle m'ouvrit assez rapidement. Toujours entrain de ranger. Mais je sentis en entrant, que Mahaut n'était pas comme d'habitude. ( je lui en parlerai au fil de la conversation )

Bonjour Mahaut, je suis passé pour vous féliciter sur le travail que vous avez fourni chez moi. Quand je suis rentré, je ne reconnaissais plus rien du tout. Et cette odeur qui repoussait tant votre maitresse Xanthi a complètement disparu.
Et ma servante Ermine me satisfait entièrement. C'est vraiment une perle, qui a de bonnes initiatives .


Je regardai un peu plus Mahaut et je ne pus m'empêcher de lui dire.

Mais je vous trouve un peu soucieuse aujourd'hui. Que se passe t-il , si je ne suis pas indiscret. Votre maitresse Xanthi n'est pas là. Il lui est arrivé quelque chose? Répondez moi je vous en prie. Est elle en danger ?
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--La_muette
[au n° 20]

Mahaut entendit frapper et se demanda qui cela pouvait être.
Elle ouvrit et ne reconnut pas tout de suite Messire Robin. Quel bel homme, quelle prestance se dit-elle.


Entrez M'ssire. J'vous avais point r'connu.

Elle lui servit un verre de citronnade et posa le pichet sur la table.

J' suis ravie que l'Ermin' ell'vous plaise, parc'que c'est une bonn' travailleuse. J'vous l'dis pour d' vrai. 'y a qu'à voir comment qu'vous êtes beau !

Elle lui sourit, mais elle avait encore beaucoup de travail.
Il lui fallait fermer la maison pour quinze jours, un mois, peut être plus. Sa maitresse en danger, oh non.


Oh qu' nenni M'ssire. Ell' prépare son voyage pour 'ller a' mariage d'un d' ses amis d' bord d' mer.
'l faut tout ranger, tout fermer. Parce qu'ell' part bientôt et qu'ell' rentr'ra pas avant un mois au plus.


Elle le regarde, lui fait un clin d'œil et ajoute :

Et pis, ell' risqu' rien avec l' M'ssire Demessy vous savez.
Robin25
[vers chez Xanthi]

J'étais de retour de ma retraite et je décidai de passer par chez Xanthi.
La maison était encore close et tout était calme. Xanthi n'était pas encore rentrée de son expédition malheureuse. J'avais espéré la revoir mais non. Son agression était surement plus mauvaise qu'elle ne me l'avait dit par missive.
La prochaine fois, il faudra qu'elle se fasse accompagner par un escorteur. Je lui en parlerai.
Je trainassai encore quelques instants, son souvenir m'obsédait sans savoir pourquoi.
Je m'éloignai petit à petit. Mon logis m'appelait. De nouvelles responsabilités étaient en vues. Il ne fallait plus perdre de temps.
Je partis prestement sans regarder derrière moi.

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Xanthipremier
[au n°20]

Xanthi était arrivée dans la nuit.
Ses blessures étaient guéries et elle avait savouré le plaisir de se promener dans les rues d'Agen encore endormies.


Comme je suis heureuse de te revoir Agen !

Elle entra dans sa maison, fit le tour des pièces. Elle avait hâte de retrouver Mahaut qui arriverait dans 2 jours au plus tard.
Elle avait fait le voyage de retour seule, avec Hoax. Le chagrin d'être sans nouvelles de Simon lui étreignait toujours le coeur.
Depuis qu'elle avait retrouvé son chien, elle le gardait prés d'elle, même la nuit.


Allez viens ! Terre ici ! dit-elle à son chien en lui montrant la descente de lit.
La pauvre bête devait se demander pourquoi un tel changement.
Jamais auparavant, elle ne voulait le voir dans la maison. Juste le tolérait-elle devant l'âtre de la grand pièce s'il pleuvait à torrent.

Elle se coucha et ne trouva que difficilement le sommeil : le brigandage, la prison, les blessures, Simon....
L'aube pointait quand elle s'endormit enfin.


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--Hoax
[non loin du n° 20]

Hoax dormait devant la porte de la taverne quand sa maitresse sortit enfin.
Il se leva prêt à courir devant elle et retrouver gaiement son jardin...
Quand il s'aperçut qu'elle le suivait pas il se retourna et ce qu'il vit ne lui plut pas.


Wouah ! wouah !

Oh lalala ! Si son deux pattes la voyait comme ça, elle rougirait de honte et se cacherait dans un trou de souris pour plus jamais en sortir !
Il revint vers elle et la laissa se tenir à son collier.
Heureusement que c'était un grand chien et qu'elle était toute petite.
Il la ramena sans encombre au n°20.
--La_muette
[au n°20]

Mahaut était arrivée dans la nuit.
Sans bruit elle était entrée et avait trouvé la maison vide. Elle s'était précipitée à la maréchaussée et avait retrouvée Xanthi.

La gamine était apparemment guérie de ses blessures et elle avait été heureuse de la retrouver.
Pourtant à bien la regarder, elle vit une blessure qui serait longue à refermer, si jamais elle y arrivait.

Elle avait remarqué que la petite avait peu dormi dans son lit, que sa chambre sentait le chien et qu'il y avait un oreiller et une couverture sur le sol....
Dormirait-elle avec son chien ? Avait-elle peur ? Que s'était-il réellement passé dans la nuit du 22 au 23 août 1457 ?
Le brigandage, la prison.... y avait-il autre chose ?

Mahaut décida d'aérer la maison et de préparer de quoi nourrir sa maîtresse. Si elle ne pouvait soigner la tristesse de son cœur, elle pouvait au moins la garder en vie.
Xanthipremier
[au n°20]

Xanthi est assise à son secrétaire, une lettre à la main, les yeux perdus dans le vague.
Elle avait retrouvé quelques marques depuis le retour de Mahaut, son corps revivait.
Sa servante la nourrissait, la chouchoutait comme lorsqu'elle était arrivée seule en ce début décembre 1456 à Agen.

Elle relit les lettres de Simon. Elle ne sait que penser de son silence.
Pourtant, il lui avait écrit que tout allait bien et depuis pas de nouvelles.
Était-il plus malade qu'il ne l'avait écrit et Saïd couvrait-il son Maître ?
Son frère, le Duc, le gardait-il en prison pour l'empêcher de la revoir ?
Elle savait bien qu'ils n'étaient pas du même monde, qu'elle n'aurait jamais du lui donner son cœur.
Elle ne pouvait, ne peut toujours pas lutter contre cet amour qu'elle ressent pour cet homme, ce vagabond - qui n'en est pas un - rencontré un jour de juin dans le bureau de Cyric alors maire d'Agen.

Mahaut était entrée sans bruit, elle ouvrit le lit et dit


Maitresse, votre bain est prêt. Après vous pourrez vous coucher.

Oui merci. As-tu vu Hoax ? s'inquiète-t-elle.

Il est au jardin, je le ferai rentrer quand vous serez couchée.

Xanthi retire sa robe et s'assoit dans le baquet. Elle laisse Mahaut, sa très chère Mahaut, la laver, la coiffer, la sécher, la coucher, se laisse faire.
Une partie d'elle s'en est allée, elle en est consciente, pourtant elle sait sa chance de vivre à Agen, entourée d'amis.

Elle a reçu l'invitation de Robin. Il inaugure son échoppe et a préparé une fête pour l'occasion. Une bonne nuit de sommeil et demain elle s'amusera, comme avant lui, mais plus d'amour elle ne veut connaitre.
Elle laisse son esprit s'évader, se demande ce qu'elle aurait ressenti à danser avec Simon...
et c'est avec un léger sourire aux lèvres qu'elle s'endort.

_________________
--Hoax
mao ! atuvuleur !

Ces mots réveillèrent en sursaut Hoax qui avait réussit lui aussi a s'endormir.
Il n'aimait pas dormir dans la chambre de sa maîtresse.
Il se sentait enfermé et il avait trop chaud.


Il l'évita de justesse alors qu'elle sautait hors du lit et s'écriait :

jevératélames' ! éapréjedoivoirrobin !

Elle faisait des progrès déjà deux fois qu'elle ne finissait plus sa nuit allongée à même le sol à ses côtés. Il retrouverait bientôt sa liberté et les greffiers.
Il fila hors de la chambre, pressé et heureux de retrouver son jardin.
Xanthipremier
[au n° 20]

Xanthi était passée par le salon littéraire, mais boire ou réfléchir, il fallait choisir. Ce soir elle avait bu !
Elle titubait, toujours accrochée au collier d'Hoax, se dirigeant lentement mais surement jusqu'au n° 20.


T'es un *hips* brave *hips* chien mon Hoax.

Par tous les saints, le Messire Jamesom les avait pas loupés, Robin et elle. En deux temps trois mouvements ils s'étaient tous trois retrouvés ivres à la taverne des alcoolos.


Sa vue se trouble, elle se parle :
'y a trois serrures *hips* à la porte maint'nant *hips*. Elle regarde sa main, elle n'a qu'une clé. Elle regarde le n° de la porte, déchiffre difficilement un 2 suivi d'un 0. Ben c'est *hips* l' bon n°.

Mahaut *hips* !

Zut, tais *hips* toi, ell'a pas *hips* changé les serrures, r'ppelle-toi qu' *hips* t'es soule ma pauv' fille ! Si t' la *hips* réveilles elle va t' secouer les puces, t'faire *hips* boire un' horrible mixture sous prétex'e *hips* qu' ça t' soulagera. Oui oui oui !

Elle secoue sa tête. Oh malheureuse *hips* que viens-tu d' faire*hips* là ? Elle se rattrape. Comment elle ne le sait et reste bloquée là un moment le temps que le sol arrête de bouger.
Enfin elle ouvre la porte, entre dans le patio, referme doucement et lâche Hoax .
Le chien en profite pour aller se cacher au jardin, il est content il ne dormira pas dans sa chambre cette nuit. Sa maitresse est incapable de lui courir après.
Xanthi entre dans la grand salle. Ne préférant pas risquer se brûler, vu son manque évident d'équilibre, elle souffle la bougie laissée par la servante en prévision de son retour tardif.

Elle sourit, cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pris une telle biture...

Elle se dirige silencieusement vers sa chambre. Elle y entre et reste un moment derrière la porte à écouter :
le silence.
Elle se déshabille tant bien que mal, tombe deux fois à essayer vainement de retirer ses bas, et se couche enfin. Ah c'est plus facile de se déshabiller comme ça ! Elle jette sur le sol le reste de ses habits, se glisse sous les draps et s'endort immédiatement.

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