[RP] RAPeurs versus Justice

Quelle était mignone la ptiote à se concentrer et à rougir de la sorte. Mais qu'est ce qui faisait donc vibrer son doux regard et se crisper l'intégralité de son corps si fluet ?

Pas madame s'te plait, mais Ness tout court.

La gueuse réajusta une fois de plus une mèche folle autour de ce visage juvénile.


… Il vous menace, il veut vous mettre la maximum qu’il peut, c’est injuste de le laisser faire moi je ne veux pas que vous alliez en prison !

Nessty laissa éclater un rire franc.

Roooooo ne t'inquiète donc point pour moi ma douce enfant !

Je savais ce que j'encourais en menant révolte ici et encore plus en portant mon nom sur la liste de sieur Hohenstaufen. J'ai pris un coup d'épée dans la poitrine et n'en suis pas morte. Rendre visite aux rats périgourdins ne me fait point peur. Ils sont surement de meilleure compagnie que ces bonimenteurs comtaux !

Je ne sombrerai pas en enfer toute seule ma belle...

La donzelle fit un clin d'oeil à la gamine.


Le plus important n'est pas mon humble personne. Il faut, je dis bien il faut, que les lois soient appliquées avec justesse et partialité. Si le juge me condamne à 6 jours selon le Corpus périgourdin, nous irons plus loin encore.

De ma geôle et tant que mes forces déjà bien affaiblies me le permettront, j'aurai également tout loisir de réunir mes Vilains, les habitants de cette contrées ainsi que d'autres alliés afin de destituer ce juge impie par nos propres moyens.


Ces mots en présage belliqueux allaient au delà de l'entendement d'une enfant et Nessty vit qu'elle n'avait pas réussi à rassurer Tosaka. Elle tempéra donc sa voix en dévoilant un acte voué au pacifisme.

Tu sais, il y a plus de 3 jours de cela, j'ai proposé une forme de conciliation entre les Vilains et le comté. J'ai adressé une missive à Sankturaire l'ancien régent et une autre de félicitations à la nouvelle comtesse Cheyenne. Ils savent où me rencontrer mais semblent faire sourde oreille...

La Noisette sarcastique haussa les épaules en soupirant mais gardait un regard pétillant, consciente du plan machiavélique qu'engageaient implicitement les dirigeants de ce comté.

Tant pis pour eux....


Pourquoi vous hait-il tant ?

Oulà...

Nessty se pinça les lèvres et baissa son regard face à cette question qui risquait de compromettre une promesse faite à son arrivée en Périgord-Angoumois.

Sieur Flex le sait surement bien mieux que moi... A ses yeux, je ne suis probablement qu'une jeune gueuse et ne mérite surement pas d'être dans les confidences de certains de son rang... Il n'y a pas que la haine engendrée par la blessure infligée sur le champ de bataille d'Angoulême...

La Vilaine releva la tête et chassa la gène occasionnée par un sourire pour en venir au fondement principale de cette accusation de trahison.

La liste RAP comportait de nombreux membres et sympathisants des Vilains. Comment pourrait il juger mon cas en omettant que je suis l'une des têtes de l'Hydre qui mène notre révolte en PA ?

Encore une fois, un homme qui renie sa foi et qui tolère qu'un hère pourrisse en prison pour Noël n'a point les aptitudes humaines pour remplir sa fonction avec impartialité.


Nessty scruta le visage de la ptiote et se décida à déposer sur ces petites épaules une charge bien plus lourde encore que celle qui consistait à défendre une simple gueuse. Mais avant elle s'assura qu'il n'y avait personne autour d'elles et que l'intégralité de cette conversation resterait confidentielle.

Es tu prête à engager les procédures nécessaires à tous les niveaux afin de nous aider à démontrer que cette législation locale dont ils fanfaronnent tous la suprématie est en totale infraction avec le contexte royal ?


Laissant Tosaka réfléchir à sa réponse, la gueuse se leva pour chercher un peu de ce vin chaud aux épices rares qu'elle avait mis en préparation. Un godet pour chacune abreuverait leur gosier desséché et leur donnerai un peu plus de gaité en cette période de festivité.

Trinquons au nom de ce brave Guilhain !

Le récipient s'éleva au ciel en même temps que le délicieux fumet qui en émanait déjà.
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Nessty faisait un point sur l'avancement des procès des RAPeurs. Elle lut à voix haute :

Une liste composée de 12 membres et considérée comme inéligible en raison de la non domiciliation de sa tête de liste. Des 8 colistiers non résidents du PA, seuls 6 furent mis en procès pour trahison.
A ce jour :
- 3 condamnations pour trahison,
- 1 pour trouble à l'ordre publique,
- 2 procès en attente de jugement

Hum...


En bonne Noisette sarcastique, elle sourit en se demandant comme le vieux renard de Flex allait justifier en cour d'appel son manque d'impartialité et d'équité à l'égard de sieur Guilhain, le dernier de la liste qui fut jusqu'à ce jour le plus durement sanctionné.
Le juge Flex ne tenait aucune cohérence dans les verdicts et les sentences avec le juge précédent pour une accusation pourtant similaire.

La gueuse impétueuse commençait même à s'impatienter de le voir à l'oeuvre dans ses prochains verdicts dont le sien. Elle s'ennuyait fortement ces derniers temps en ce Périgord mais n'en oubliait pas moins ses affaires périgourdines et comptait bien rester ici tant que tout ne serait pas réglé, tout...


Elle résuma rapidement les anomalies principales et factuelles relevées, gardant en tête les incohérences.

- Manquement du devoir d'information de la tête de liste de la part du conseil dès la publication de la liste.
- Non respect de la procédure de dépôt de plainte, aucune plainte en bonne et due forme, aucune enquête, aucune tentative de conciliation.
- Manquement aux devoirs de juge tant de la part de dame Lubna que de la part de sieur Flex.

Tant de choses qui rendaient cette mascarade de plus en plus risible avec le retard imposé par la seule volonté du juge.

Espèce de vieux renard, va falloir mettre ta tête dans le collet ou je te le passerai moi même... de force s'il le faut...


Puis elle classa ses parchemins.

La Vilaine prit une décision et envoya quelques pigeons lourdement chargés aux 4 coins du Royaume en pensant à la devise des Vilains :

Spoliatis arma supersunt !
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Zouz était dans sa petite prison non dorée de Périgueux. Les murs étaient froids, l'ambiance lugubre quelques rats se baladaient de ci de là. La geôle comme toute prison respectable était placé sous terre, pas de lumière, pas d'aération, que le peu d'air et de lumière qui pouvait passer au travers la porte.

Zouz était la maintenant depuis une belle nuit et n'avait pas put faire grand-chose à part se prendre froid aux fesses en s'asseyant sur la pierre qui était sensée lui servir de lit...

Il attendait donc là, la fin de la sentence.
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[Ce n'est qu'un "au revoir" !]


La Vilaine gueuse se faufilait au travers des ruelles, capuche rabaissée sur sa tête afin que personne ne la reconnaisse. Elle glissait sur la neige sans faire de bruit, rasait les murs en prenant soin d'éviter les coins populaires. Son fidèle Kram la talonnait en reluquant dans tous les sens, main sur le pommeau de son épée.

Lorsqu'ils arrivèrent devant les geôles, le gros rouquin fila un coup de pied dans les bottes du garde assoupi contre le mur et lui colla une main sur la bouche avant qu'il ne puisse pousser un seul cri. Le bougre ne tenta même pas de se relever mais ouvrir un oeil goguenard sous l'emprise de l'alcool et à la vue de mine patibulaire du Kram. Lorsque Nessty se pencha sur e pochtron pour lui fourrer dans le veston une bourse avec les quelques écus convenus, elle faillit lui vomir dessus tant il se dégageait de lui une infâme odeur de vinasse frelatée. Elle lui murmura à bonne distance quelques mots.

Décidément, ce comté n'est même pas capable d'offrir à ses armées de quoi se payer un vin de qualité !


La frêle donzelle laissa son plus fervent et plus fel Vilain tirer le col du maton pour l'obliger à honorer son paiement : leur ouvrir les portes et les mener jusqu'à la cellule du Zouz. Comme quoi, la pourriture était partout en Périgord, de son conseil au dernier de ses trouffions régnait la corruption. Nessty n'avait réussi à négocier quelques instants avec Zouz. Elle avait refusé de partir sans avoir salué une dernière fois ce colistier qu'elle avait appris à connaître lors de leur combat commun. Elle, une Vilaine. Lui, un membre de la famille de Cartel. Tous deux réunis aux côtés du vénéré Schmittys et au nom de cette Réforme dont ils ignoraient tout.

Le Kram se posta à l'entrée pour donner l'alerte avant l'arrivée de la relève. Le reste des Vilains les attendaient déjà aux portes d'Angoulême, impatients et prêts à sonner le départ vers leur point de concentration. La gueuse s'engouffra dans la prison et se retrouva devant un alignement de cellules, toutes plus crasseuses les unes que les autres. L'atmosphère était lourde mais glaciale, les ronflements des gardes et les râles des opprimés résonnaient contre ces murs suintant la misère et l'injustice. Son guide s'arrêta et se mit à fouiller dans sa poche pour y trouver la clé subtilisée à l'un de ses collègues.


Dès le premier grincement de la porte, Nessty rabattit sa capuche et arbora un énorme sourire. elle devina dans la pénombre du cachot la silhouette de Zouz. Elle le reconnut surtout au halo de lumière qui émanait de l'unique flambeau éclairant le couloir et qui venait tomber sur ses chevilles. Oui, Zouz portait bien les chaussettes roses qu'elle lui avait offert ! Elle en fut émue et rassurée à la fois. Au moins il n'aurait pas les pieds gelés ici. Déjà que le Périgord les lui avait cassés jusqu'au bout !


Zouz !

Elle lâcha le baluchon qu'elle trainait pour aller serrer une dernière (et une première, hein !) fois dans ses bras du Zouz.

Je n'ose te demander comment tu vas...
Je t'ai ramené une couverture et quelques victuailles afin d'alléger un peu ton séjour.

Puis elle baissa la tête, un peu honteuse de l'abandonner ainsi et cette nuit.

Le vieux renard de juge a mal réglé son boulier et je quitte donc Angoulême cette nuit avec quelques uns de mes Vilains afin de préparer notre assaut final à l'abri des regards. Tu sais ce que c'est... surtout qu'on a prévu de ... enfin... Je ne serai donc pas à tes côtés, ici...


Le regard habituellement sarcastique de la Vilaine s'embruma.

Tu vas me manquer espèce de couillon !
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Zouz toujours enfermer dans sa petite cellule personnelle qu'il avait déjà tester il y a près d'un mois attendait... Il n'avait de toute façon pas beaucoup de choix il était la seul à se morfondre sur son sort... Euh quoi que.. Là il a l'air de penser au juge, car il a le sourire aux lèvres... Enfin bon voilà le général de pacotille était seul en attendant de pouvoir retourner auprès de ses amis.

Demain il pourrait ressortir et enfin partir de se Comté qu'il avait appris à aimer peut à peut. Les quelques nuits en geôle avait été pour lui quelques nuits sans bras de femmes... Ça lui changeait de l'habitude, mais que voulez-vous... Fallait faire avec et puis il ne pouvait pas faire autrement de toute manière. Bien que Fobia lui ai promis tout ce qu'il pouvait désirer il avait aussi précisé "sauf les femmes et les animaux" ... C'est sûr qu'une petite cochonne ne lui aurait pas déplu... Il se contenta donc de tartes aux pommes...(? ^^ pour ceux qui ont vu américain Pie comprendrons)

Petit tour sur lui-même,
Trois pas en avant,
Un sur le côté,
Deux pas en arrière,
Le tout en souriant,
C'était la danse du prisonnier que Zouz réalisait avec aisance et grande classe.

D'un coup du bruit Zouz se figea sur une jambe non par peur, mais pour pouvoir écouter si c'était son cerveau lent qui lui jouait des tours ou s'il y avait vraiment quelqu'un qui venait d'arriver.
Un flambeau tomba à ses chevilles. C'était une femme!!!! Youou son veut le plus cher allait se réaliser. Puis la femme pris parole.

Zouz !

Zouz sourit et reconnue à la voie la belle et douce Vilaine Nessty enfin douce... Ça dépendait bien sûr avec qui... Et belle dépendait des goûts... En gros c'était simplement elle, mais ça faisait super plaisir à Zouz.

Elle lâcha son baluchon et sera le brun dans ses bras. Zouz en profita et passa ses bras lui aussi autour de Ness pour la serez tendrement.

Tu m'a manqué Nessty et euh... Ça me fait vraiment plaisir de te voir...

Petit sourire coincé par l'émotion qui avait pris le dessus elle lui demanda comment il allait et lui dit qu'elle lui avait apporté quelques remontants.

Merci Ness ça va plutôt bien pour moi je passe mes quelques temps en prison mais j'aime bien cet endroit il m'évite d'aller à l'université où les professeurs ne sont pas plus sympathiques que les rats... Peut être un peu plus causant soit dit en passant... Mais l'ennuie ne me touche pas..

La belle baissa la tête et lui appris qu'elle n'allait pas pouvoir rester auprès de lui dans la belle geôle cette nuit ainsi que les autres.... Petite tristesse dans le coeur de Zouz qui avait déjà fait plein de projet pour lui et la vilaine... Mais c'était ainsi et rien ne pourrait la faire changer d'avis cela il le savait.
Le regard de la vilaine se reposa sur lui en s'embrumant et lui dit :

Tu vas me manquer espèce de couillon !

Un sourire s'étendit sur les lèvres du Zouz qui n'attendait pas tant de la Dame. Et lui répondit avec une voie douce et un peu émue..

Tu sais Nessty tu vas me manquer aussi... Plus personne ne viendra pour m'embêter lors de mes discours en place public... Mais j'espère que nos chemins se croiseront à nouveau très bientôt et peut-être la aurai-je une chance de séduire la vilaine que tu es... Mais aujourd'hui évitons de parler de ce sujet qui ne te plai guère...
Tu parts donc pour le Poitou ? Qu'es que tu vas y faire ?

Puis il rajouta d'une voie presque muette, mais distincte tout de même.

Tu m'écrira?
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Au final, le Zouz ne semblait pas trop souffrir de son incarcération et cela rassura grandement la gueuse. Le chenapan en profitait même pour faire l'école buissonnière ! et pour...
Ptite tape discrète sur la main aventureuse qui était au bout de l'un de ces bras qui la serraient... amicalement... Raaaa le mâle en lui ne trouvait point repos même en geôle.
Mais Zouz il était, Zouz il resterait !


Nessty essuya furtivement une tite larme qui perlait déjà au coin de l'une de ses noisettes.
Regretta-t-elle de ne pas encore avoir eu la peau de Zebulon pour lui donner un usage multiple et bien plus jouissif que le bougre lui même ?
Non, non, non !
La Vilaine était en ces lieux pour soutenir un ami.

Roooo Zouzy, je reviendrai dans pas longtemps par ici.
Je ne sais pas si tu seras encore à Bergerac
ou déjà sur le chemin du retour avec le Corbac.
Sinon promis, je t'écris.
Et quand je passerai dans ton coin de soleil,
je viendrai te tirer les oreilles
et te coller une bise à l'abris.
Mais tu sais les daxlatifs et les gars cons,
j'aime pas trop pour diverses raisons.

La gueuse lui adressa un sourire malicieux car elle n'avait jamais vu le général rose si sage.

Toi, t'as le goût de te fendre la gueule.
Tu sais aussi pas trop penser...
à tout ce qui peut arriver,
à tous ceux qui peuvent t'emmerder.
Et moi avec mes Vilains, je ne suis pas seule.
Je ne fais que penser..
à tout ce qui peut leur arriver,
à tous ceux qu'on peut emmerder.

Nessty essuya la tite larme qui perlait encore au coin de l'autre de ses noisettes.
Regretta-t-elle d'avoir le sceau des révoltés qui lui imposait des voyages multiples et bien moins impulsifs que ceux du bougre lui même ?
Oui, oui, oui !
Mais la Vilaine devait quitter ces lieux pour soutenir d'autres amis.


Ptite tape discrète sur la main baladeuse qui était au bout de l'autre de ces bras qui la serraient... affectueusement... Raaaa le gredin en lui ne trouverait donc point repos même en taule.
Au final, le Zouz saurait toujours la faire rire avec ses pérégrinations et cela ravivait simplement le sourire de la gueuse. Le garnement en profiterait même pour lui faire une cour par delà les frontières !
Mais c'est vrai, Zouz il était, Zouz il resterait !


Adishatz Zouzy...

La donzelle lui déposa une bise sur la truffe et s'enfuit avant que les rats ne la rattrapent ou avant que les ragots ne fassent des ravages.
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Zouz regardait la Vilaine tout en laissant glisser ses mains avec une discrétion presque parfaite... C'est le presque qui foutait d'ailleurs à chaque fois tout en l'air... Comme d'habitude la demoiselle en fasse de lui repoussait ses avances... Zouz avait l'habitude des grosses baffes dans la tête et pour une fois il était tombé sur une femme plus douce, Ness tapotait discrètement sur ses mains lorsque celle-ci s'aventuraient un peu trop à son goût...

Zouz la regarda dans les yeux et sourit de voir que la dure Demoiselle laissait échapper une larmichette. Elle l'essuya. Et Zouz fît comme s'il n'avait rien vue tout en plongeant son regard azur dans celui de la belle. Elle sortie des mots qui rimaient entre eux, un sourire tendre éclaira le visage du brun.
Après sa première tirade Zouz sourit répondit à son tour.

Je serais sûrement déjà parti
qui sait peut-être revenu
Et comme je l'avais promis
Je pars voir mon armée de tordu
Si jamais tu ne viens pas
nos chemins se croiseront à nouveau
Ici ou là-bas
Entre trois généraux.
Dacquois ou Gascons
Peut m'importe ma région
J'attens ta bise avec l'envie
D'un gascons tout petit.

Puis petit sourire des deux côtés et la belle repris. [...]
Une petite larme dégoulinait sur le bord de l'oeil de la brune. Regrettait elle de ne pas pouvoir embrasser le beau Zouz ? Sûrement avec son charme irrésistible il comprenait tout à fait.

Il essaya donc de tenter à nouveau sa chance.... Hop discretos une main qui se balade pour aller trémoussé la Vilaine... *Paf* une tape sur la main... Hum Zouz avait dû se tromper et venais de se prendre une deuxième minie veste en pas plus de 15 minutes... Pas de bol pour lui... Il se rattrapera avec autre chose plus tard tampis...

Elle lui dit adieux il la regarda partir sans mot dire un peu triste peur être. Peut-être simplement embêté que son charme n'est point fonctionner... Enfin cela il commençait à en avoir l'habitude.

Il espérait la revoir vite une si jolie vilaine c'était rare... Un peu trop un tel y gentes peut être pour le Zouz...
Il attendra sa lettre au chaud chez lui à Dax peut être qu'un jour elle viendra le voir. Il retentera alors de la séduire ou pas... Car si elle revenait avec une grosse balafre en plein milieu du visage c'est sûr que le charme serait moindre.
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