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[RP] Les remparts de Bourges : la ville a cédé !

--Norfy
Citation:
N'y a-t-il vraiment rien à faire pour nous sortir de ce guêpier, mes amis ? Rien à faire pour changer de politique ?


Si
Ne votez jamais plus Georges
Faites des listes, opposez vous
Ou l ADC reviendra

Tout ceci est votre faute, berrichons.
Des veaux qui meuglent mais se laissent mener a l abattoir.
Pas meme 1 liste d opposition

Votre malheur, vous l avez fabrique, en laissant le pouvoir au dictateur
Pleurez donc, et souvenez vous

PLUS JAMAIS GEORGES
Napoleon_louis
Napoleon_Louis entendit le sieur et prononça :

- Quel courage de critiquer le Berry et les Berrichons derrière un masque ... !
Cahuete
[Combat bourbonais]

La demoiselle avait veillé de garde une bonne partie de la nuit vers 3h du matin le sommeil l'avait emporté, il restait peu de temps de repos avant l'aube... laissant a d'autre la place elle s'etait laissé glissé dans le néant bienvenu des bras de Morphée...

Quelques bruits sourd l'avait quelque peu perturbé mais incident vite étouffé, elle ne s'etait qu'a moitié eveillée


Citation:
26-10-2009 04:10 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Patrickovix de Asaliah de _yseult_ de Dida et de Steven100.


Rien de grave, une escarmouche... pourquoi? elle ne savait pas encore... Le bruit l'eveilla d'un curieux rêve, un gros truc a Plume qui etait venu la harcelée, comme quelques jours auparavant...

Citation:
26-10-2009 04:25 : Vous voyez l'ange Gabriel en songe. Il vous tend une échelle en vous disant : "Ceci est mon corps." Puis il s'envole en criant : "Je vous ai compris !" Qu'est-ce que tout cela signifie ?


L'avait des plumes, l'etait chiant pis s'appelé G...abriel. forcement c'etait un ange pas un poussin, mais qu'est ce qu'il venait fiche ici lui? Et voila une grande echelle qu'elle attrape encore embrouillée dans ses songes...

Qu'est ce qu'elle allait en faire? Elle se souvint rapidement d'une nuit pas si lointaine:


Citation:
19-10-2009 04:25 : Vous voyez l'ange Gabriel en songe. Il vous tend une échelle en vous disant : "Ceci est mon corps." Puis il s'envole en criant : "Vive le Québec libre !" Qu'est-ce que tout cela signifie ?


Le quel bec? mais elle en savait rien! Pas celui du GP ca elle mourrais d'envie de le lui clouer... quoique, libre... Fallait le faire sortir de son poullailler? Parce que la oui commencer a y etre en prison derriere ses remparts... Ce qui ennuyait bien Cah c'est qu'il contraigne des gens a y etre aussi et a le defendre, enfin bon, chacun ses choix.

Des echelles! on l'innondait sous les echelles... mais pourquoi faire? et pourquoi par un ange? La blonde n'etait meme pas baptisée! A quoi cela allait t'il lui servir?

Curieuse résonnance des parole de l'emplumé:


"Je vous ai compris"

L'avait compris quoi? qu'elle voulait passer par dessus les remparts de Bourges? En ce cas oui les echelles pouvaient avoir leur utilités, mais de la a en encombrer sa tente... Elle paya un gamin pour les emmener au stock de l'armée, sait on jamais... Si meme les anges s'y mettait a vouloir contrer le Poilu, ben fallait bientot s'y mettre

Elle secouait encore la tete de dépit en sortant de sa tente pour aller au nouvelle, l'avait jamais aimé les anges...

_________________
Icyblue
Le vicomte eut le plaisir de voir s'approcher son amie de longue date, Floryne. Elle avait la tête des mauvais jours et cela n'étonnait guère Isidore qui connaissait fort bien le vif caractère de son amie. L'histoire semblait se répéter une nouvelle fois avec l'annexion de Châteauroux...

Bonjour Floryne. C'est en effet le troisième conflit que nous traversons tous les deux. J'ai la douloureuse sensation que celui-ci laissera des traces bien plus indélébiles que les deux autres réunis... Peut-être y survivrons-nous, mais le Berry que nous connaissions, lui...

Cette énième guerre n'allait pas laisser le Berry sans séquelle, loin de là... Il faudrait des mois, voir des années avant d'espérer retrouver la prospérité d'antan.

Ysabeau ajouta...


N'y a-t-il vraiment rien à faire pour nous sortir de ce guêpier, mes amis ? Rien à faire pour changer de politique ?

La situation est tellement tendue depuis quelques jours que toute tentative diplomatique serait vaine, je le crains... Du moins pour le moment. Il faudrait des gestes d'apaisement de part et d'autres des frontières, mais j'ai bien peur que ducs et comtes n'y soient pas encore prêts...

Quoiqu'il en soit, nous ne pouvons nous diviser actuellement entre berrichons. Que l'on soutienne ou non les actions du Duc, il est de notre devoir de protéger le Berry, de le défendre coûte que coûte.

_________________
Isidore Bluette
Vicomte de Meillant
Vicomte de Jussy-Champagne


Galeallan
Galeallan commençait sérieusement à s'inquièter, il avait déja de nombreuses fois vu le Tourangeau envahir les terres berrichones, ses terres. Dès le premier conflit auquel il avait assisté, il avait pris part, toujours derrière la cause qui lui avait paru juste, et cette fois aussi, il avait répondu à l'appel, même ç'avait été difficile pour lui.
Il n'avait pourtant jamais été face à une situation si désespérée, et même s'il avait confiance en la force, le courage et la bravoure de ses amis, il commençait à envisager de les perdre, de se perdre... l'ennemi était trop nombreux, massé devant les portes, et lâche comme il a toujours été, il attend on ne sait quoi, met en place on ne sait quelle fourberie que seul un envoyé du malin pourrait imaginer.


Il murmura pour lui même, mais assez fort pour que quelqu'un l'entendisse :

La corde de l'arc est tendue au maximum; si personne ne lâche cette corde, elle va se rompre...

Citation:
Si
Ne votez jamais plus Georges
Faites des listes, opposez vous
Ou l ADC reviendra

Tout ceci est votre faute, berrichons.
Des veaux qui meuglent mais se laissent mener a l abattoir.
Pas meme 1 liste d opposition

Votre malheur, vous l avez fabrique, en laissant le pouvoir au dictateur
Pleurez donc, et souvenez vous

PLUS JAMAIS GEORGES


À ces paroles Galeallan se retourna, et haute voix, déclara :

Que l'on soutienne ou non notre duc actuel, il n'est ni lieu, ni heure de parler politique. Ce duc a été élu par les Berrichons. Il nous faut un chef pour diriger les armées, et le capitaine n'est pas disponible. Si tu es Berrichon ce qui ne semble pas être, lors de le prochaine élection tu pourras t'exprimer librement, et voter comme nous tous. En attendant, je me permets de t'autoriser à cracher ton venin de l'autre coté des murailles, parmi ceux que tu soutiens, les Berrichons ne sont ni des veaux, ni quelqu'autre bétail, mais le veau c'est bien toi, puisque c'est bien comme un veau, que tu hurles du haut de nos murailles.
Demain c'est ta famille qui pleurera, et tu ne pourras plus la consoler...

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Diden
Diden ce soir arriva sur les remparts bien plus tôt qu' a l'accoutumée et entendit les paroles des personnes présentes mais certains mots s'amplifiaient plus elle s'approchait.

Elle savait bien que cette guerre en Berry n'arrangerait rien bien au contraire....assouvir certainement des besoins personnels mais entrainer tout un peuple au point de les faire disparaitre ohh que non ce n'était pas ce but....

Le Berry ne pouvait pas être autre que l'endroit où il y fait bon vivre, en dehors des politiques et des histoire,s on y vivait bien et en paix et ça c'était vraiment le plus important.

Diden s'approcha et sourit timidement à ceux qu'elle avait déjà croisé sur ces remparts

Bonsoir

Elle aurait souhaiter ce soir débattre de choses bien plus agréables et constructifs......

Elle jeta un œil par dessus ces remparts et en apercevant les armées ennemis elle savait que tous ces gens allaient se retrouver mort voir bien trop blessés........

Ses réflexions n'avaient plus lieu d'être car l'heure avait sonnée fallait passer par le combat plus de marche arrière possible.....

Elle s'approcha de Gal et eu un élan furtif de vouloir peut être se faire réconforter......mais freinée par sa pensée positive:

"Berrichonne dans l'âme et rien ni personne ne pourra me l'enlever ça alors nous allons gagner cette bataille et nous nous devons de nous battre jusqu'à la mort s'il le faut....."

Elle s'assit tranquillement auprès d'eux mais entre la nostalgie, la rage et la colère elle choisit de rester sereine et forte pour combattre......
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" Comme la louve elle protège ses amis et attaque les ennemis"
Galeallan
Galeallan se tourna vers Diden, et l'observa longuement. Il se contenta de souffler un "Salut" que peut être personne n'entendit. Il sourit, et se retourna vers son creneau d'ou il s'amusait à lancer des graviers aux animaux ou hommes qui passaient en dessous de lui.
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Legrandalsacien
Nuit du 26 au 27

Rangs serrés , mon regard pénétrant se jette devant moi , sur mes frères d'armes. Nos harnois se croisent , se bousculent , s'entrechoquent à quelques lieux des remparts.
Le Cavalier de tête , lame en l'air tournoye autour de nous , pour nous freiner ... peu importe c'est ce soir , ce soir que notre compagnie prendra les remparts.
Premier crie , les hommes déboulent , sans trébucher nous avonçons , pardessus les piques , les pièges , les moellons se sont plus loin , je sors mon épée , je les apperçois .. les premiers bérrichons.
Première escalades , premiers combats , les flèches décochent et s'abattent..

Citation:
Tsuovad vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.


Mon regard se perd , je tombe a terre........... dernier souffle
Deus lo Vult
Qu'Aristote veille sur vous !!

_________________

http://lesaintsepulcre.forums-actifs.com/forum.htm
http://www.youtube.com/watch?v=ZwY___hhhX8




Tiamarys
[Dans la bataille du lundi au mardi, remparts de Bourges]

Les combats étaient pour ce soir, mais étrangement j'étais anxieuse.
Etait ce une prémonition?

Je secoue la tête, hausse les épaules.
Reprendre ses esprits, il fallait reprendre ùes esprits.

Les ordres sont donnés, non hurlés dans le vacarmes des fers...
Je suis ma section dans la mêlée.

Houla y en a du monde en face...

Citation:
27-10-2009 04:10 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Bourges, l'armée "La Desembarranta" dirigée par Julian_damour., l'armée "Affranchisseur berrichon" dirigée par Bimba18, et l'armée "Débestiller les Fronques" dirigée par Dexter08.


Les hommes se séparent et pendant de longues minutes ont entends plus que les cris et les fers qui se croisent.
Une cuisse passe à ma portée, je donne un violent coup d'épée.
Cri de douleur, hurlement qui me broie les tympans...

Elle est folle celle là...

Citation:
27-10-2009 04:10 : Vous avez frappé Steffy19. Vous l'avez grièvement blessé.


Je me recule, ça tape encore autour de moi, je vois Kharphil tomber, poisse, mon ramasseur de champignons.
Un bruit derrière moi, volte face...Pas assez rapide...

La douleur est brève, fulgurante.
Incroyable comme les pensées arrivent vite, je pense à mon mari, j'espère qu'il n'a rien, je pense au bébé...Non ça va il bouge encore...
Mais que ça fait mal...

Je m'effondre au pied de ce sale type. Puisses mes amis me venger...

Je murmure

Ils t'auront!!

Citation:
27-10-2009 04:10 : Chevron vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.


Il se marre, il se gausse..

Tu vas crever auvergnate!

Crever, il rêve, j'ai un mari que j'aime plus que tout, un enfant a naitre...Non j'ai la rage. Mes yeux se ferment
Une prière pour ceux que j'aime, une autre pour qu'ils ne me laissent pas pourrir ici.

J'ai envie de crier "Je ne suis pas morte, je ne suis pas morte" mais je n'en ai pas la force.

Ce bâtard de berrichon détruit mon bouclier...Mon épée a cassé...Qu'est ce qu'il croit? Que je vais réussir à me cacher derrière?

Citation:
27-10-2009 04:10 : Votre bouclier a été détruit.
27-10-2009 04:10 : Votre arme a été détruite.


Le noir m'aspire, à non un hein, je ne veux pas voir cette satanée lumière...

Mon ange...Me laisse pas partir..







_________________















































Paillard
Dans les cris, le choc des armes, il les sent, ils sont là, à coté, cachés par les bords du casque. Les 45 forment un coin qui s’enfonce lentement dans la mêlée, repoussant l’ennemi grimaçant sur ses flancs. Mais il n’est pas tranquille, ce soir, tension inhabituelle.
Râle de douleur, derrière lui. Voix connue et aimée, une boule au ventre, soudain. Le temps d’un dernier coup qui sonne sur une cuirasse inconnue, et il se retourne. L’œil confirme ce que le cœur a senti, elle est là, au sol, son sang rougit l’étoffe noire de la tunique. Il décroche, recule de quelques pas. Tous l’ont vu, et devant lui le rideau de fer de leurs compagnons d’armes se referme, les protège.

Il s’agenouille, soulève la nuque ensanglantée, doucement. Cherche ses yeux. Ouverts, ils le fixent. Deux vies, sous ses mains. Ils vivront, il le sait. Elle en a la force. Mais d’autres mourront, il a vu le visage du tueur. Celui-là peut compter ses jours, déjà.

L’épée rejoint le fourreau, il la soulève, délicatement. Il sent sa chaleur battre entre ses bras.

Tiens bon, ma chérie, on va te soigner, tu vas vivre, vous allez vivre.

Doucement, il ajoute.

Je suis là, tout près, je suis avec toi. Tu es plus forte que la mort, nous sommes plus forts que la mort. il n'est pas question que tu me laisses.
_________________
Tiamarys
Une brume cotonneuse, je n'ai plus mal, je flotte.
Etrangement il me semble entendre mon mari adoré. Sa voix me berce.

Serais je morte?
Pourtant je sens encore le bébé...

Si je suis au Paradis, mon enfant aussi sans doute...Mais...Cela veut il dire qu'il ne naitra jamais! On ne doit pas naitre au Paradis.

Toutes ses questions me vrillent le crâne. Encore la voix de mon amour.

[quote ]Tiens bon, ma chérie, on va te soigner, tu vas vivre, vous allez vivre.
Je suis là, tout près, je suis avec toi. Tu es plus forte que la mort, nous sommes plus forts que la mort. il n'est pas question que tu me laisses.[/quote]

Je me sens m'envoler, c'est ainsi quand on est mort? On s'envole?
Non je reconnais les bras de mon tendre époux.

Je grogne, une douleur fulgurante me coupe le souffle. Dieu que a fait mal, mais au moins, c'est une preuve, je suis vivante;

Je vivrais pour toi mon coeur, et pour notre enfant...

Je retombe dans l'inconscience.

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Ysabeau
Citation:
Quoiqu'il en soit, nous ne pouvons nous diviser actuellement entre berrichons. Que l'on soutienne ou non les actions du Duc, il est de notre devoir de protéger le Berry, de le défendre coûte que coûte.


Comme vous avez raison Isidore. En ces jours funestes, nous devons rester unis. Ne plus penser à la politique, mais à défendre notre duché. Notre duché...

Elle sourit à Gal, connaissant son dévouement au Berry, malgré son caractère emporté. Puis elle se tourna vers l'homme masqué

Plus jamais George ? Et qu'avez-vous fait, sieur, qu'avez-vous fait, vous ? Vous êtes-vous présenté devant les électeurs ? Avez-vous proposé ? Non... Alors... taisez-vous, et défendez votre duché, si tant est que les terres berrichonnes soient votre duché.

Elle s'approcha des remparts. Dans la nuit obscure, à peine éclairée par quelques étoiles, elle vit les armées se mettre en marche. C'était donc pour cette nuit... Cette nuit, il faudrait combattre.
Six armées se dirigeaient vers la capitale. Six armées... Composées d'hommes et de femmes résolus à se battre.
Elle prit son bouclier, sortit son épée.
Elle détestait la guerre, elle haïssait le fracas des armes. Mais il fallait défendre Bourges.
Elle suivit donc Asterie, qui commandait leur section. Et marcha à la rencontre des six armées.


Citation:
27-10-2009 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Les Terribles" dirigée par Rastaplegique,
l'armée "les Lanciers d'Oya" dirigée par Favdb,
l'armée "Nuées ardentes" dirigée par Tixlu,
l'armée "Primièra Companhiá de Peiregòrd e d'Engolmès" dirigée par Meline_deschain,
l'armée "Amor patriæ nostra lex" dirigée par Dragoond, et l'armée "Crepi Coronia" dirigée par P3r3v3rt.


L'attaque fut massive, les épées s'entrechoquaient, Ysabeau se protégeait derrière son bouclier, fendait l'air de son épée, se souvenant des leçons que lui avait, voici bien longtemps, donné Bragon, Bragon qui avait aussi forgé cette épée...
La nuit était obscure.
On entendait les respirations des combattants, on entendait les cris des blessés, on entendait le choc des corps tombant sur le sol berrichon.
A l'aube, les armées se retirèrent dans leurs campements.
Ysabeau, suivant sa section, rentra dans Bourges.
Elle n'avait tué ni blessé personne. Et personne ne l'avait blessée ni tuée. Aristote la protégeait-elle ?
Elle entendait les cris des blessés qu'elle laissait derrière elle. Quand le jour serait levé, il faudrait aller les chercher pour les emmener à l'infirmerie.

_________________
Nephertiti
[L'attaque et ... patatraque]

La Douce était fidèle au poste, là sur les remparts scrutant l'horizon en quête du moindre mouvement. Les feux de camps ennemis s'étaient approchés des fortifications de la ville, la bataille serait imminente...
Nephe, résignée...
Ce n'était pas au nom du Duc qu'elle se battait mais bien pour les terres Berrichonnes, pour tous ceux qui avaient oeurvré à leur prospérité. Alors non elle ne plierait pas, elle ne lacherait pas, elle n'abondonnerait rien.


Jusqu'au dernier souffle...

Voilà les seuls mots qu'elle arrivait à prononcer depuis quelques temps... Voilà la seule chose qui la préoccupait. La terre qui l'avait vu naître été menacée par de nombreuses armées. Au départ étonnée par le nombre des ennemis, à présent leure couardise ne l'impressionnait plus... Elle s'était fait une raison. Peut être était-ce par ce qu'ils avaient peur, ces Fourbes, qu'ils avaient assiègé Bourges, de six armées faites des meilleurs soldats et des pires brigants pour s'attaquer à une poignée de civils.

Les mains posées sur la pierre froide, elle continuait d'observer, l'air était glacial, le silence pesant, la nuit bien trop sombre.
Soudain une corne retentit. L'ennemi chargeait... Elle lança un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche, la résistance était en place.
Tous ! ensemble ! réunis pour défendre leurs terres. Parce que c'était bien pour ça qu'ils étaient là.
Dans la vallée aux pieds des remparts, des rales, des hurlement venaient de toutes parts. Sans s'en rendre compte la Douce déguéna son épée.


A l'attaque !!!

Suivant le flot des défenseurs, elle courut à leur rencontre. Elle se défendit avec courage, évitant les premiers soldats d'en face. Puis elle livra bataille à un homme au sourire carnassier. La brute épaisse ne lacherait rien... mais qu'elle couradise de s'attaquer à une pauvre et fragile femme... Si lui était brutal, grace à ses mouvements fluides Nephe évitait chaque attaque.
Une instant d'innattention...
Une ouverture pour elle...
Sans réfléchir, presque naturellement elle planta l'acier dans la chair de l'ennemi. Le liquide sombre impreignant sa lame. Mais pas le temps de voir s'il resterait néanmoins en vie...
Des attaques de toutes part...
Des hurlements...
Un...
Déchirant...
Elle le vit tomber...
Il ne bougeait plus...


Là ! Interdite son épée se fit lourde, son bouclier insoulevable. Là Bouche ouverte elle le regardait, guêtant le moindre signe de vie...
Là...
Rien...
Non ! Seul murmure qui s'échappa de ses lèvres. Personne ne semblait avoir remarqué. Elle essaya de s'approcher, laissant ses armes derrière elle, esquivant au mieux les coups... En fin de parcours, elle se mit à courir. Il fallait le sortir de là.
Soudain, un éclair blanc passa devant elle, une sensation glacée transpersa son épaule. La douleur lui arracha un cris qu'elle même trouvait terrifiant. Une femme se trouvait face à elle, une femme venait de la planté de part en part. L'expression de surprise de Nephe arracha un sourire à l'ennemie, celle-ci tourna lentement la lame dans la plaie avant de la retirer d'un coup sec et de retourner au combat.


La douleur la paralisait, elle tomba à genoux. Les larmes ruisselaient déjà sur ses joues, elle avait failli à sa mission... Son fluide écarlate se répendait lentement mais abondament sur sa chemise, dans l'air froid de la nuit, la tièdeur de son sang en était presque apaisante. Elle leva les yeux vers les étoiles personne ne pourrait la secourir maintenant. Les survivants viendraient chercher les blessés au soleil levant. La remarqueraient-ils ? Sa blessure n'était pas grave si elle était traitée rapidement... Mais le liquide visqueux suintait...
Epuisée, affaiblit à bout de forces elle se laissa entrainée dans les abimes...

_________________
[En confection chez les tisserands]
Merenwenn
[Cette Nuit]

L'ordre était donné, tout les armées se rassemblèrent, l'assaut commença, les murailles étaient assiégé. Les combats durèrent une bonne partie de la nuit. On pouvait ressentir la force du BA et de ses alliés contre ceux du Poilu. Les berrichons tombé un a un, contre quelques soldats auvergnat et allié.

[Le lendemain matin]

La nuit à été rude et fatiguant, mais le poilu était tombé ce qui remotivé les troupes. Merenwenn parcourra le lendemain le champs de bataille et les tentes pour rendre visites à ses hommes.
_________________
Williamss
[dans Bourges]


Quand la juge avait prononcé son verdict, Williamss n’avait pu que sourire face à une telle sentence… shampooiner la friperie ducale pour quelques jours, à première vue, il y avait bien pire.

L’homme ayant déjà connu les geôles berrichonnes pour bien moins que ça, si la situation n’en était pas moins dégradante, se mouiller un peu les mains ne pourrait pas être moins confortable que ces prisons humides et fraîches ou toutes sortes de maladies pullulaient avec plaisir.
Tel en aurait sûrement été le cas si elle n’avait omis de lui signaler qu’en ces temps troublés, le préposé aux lessives du duc se retrouvait forcé à suivre son armée…

Ainsi Will s’était il retrouvait à Bourges, enrôlé malgré lui dans une guerre dont il n’avait rien à faire.
Seul côté positif de l’histoire, sa douce gari avait elle aussi dû se rendre sur la capitale, et n’étant point prisonnier, il pouvait filer la retrouver une fois ses corvées terminées.

Les premiers jours s’était déroulé ainsi, alors que tous s’entraînaient ou se relayaient sur les remparts, lui avait frotté et encore frotté les layettes du Poilu, dont la décence s’amenuisant progressivement avait pu le laisser supposer sur la situation berrichonne…

Enfin, il ne lui restait plus à présent, qu’une seule lessive à faire et son temps aurait été fait.
Un doux parfum de liberté commençait déjà à remplir ses narines, quand le tintement d’une cloche vint le tirer de ses rêveries.


Citation:
27-10-2009 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Les Terribles" dirigée par Rastaplegique, l'armée "les Lanciers d'Oya" dirigée par Favdb, l'armée "Nuées ardentes" dirigée par Tixlu, l'armée "Primièra Companhiá de Peiregòrd e d'Engolmès" dirigée par Meline_deschain, l'armée "Amor patriæ nostra lex" dirigée par Dragoond, et l'armée "Crepi Coronia" dirigée par P3r3v3rt.



L’alerte venait d’être donnée, l’ennemi s’était donc enfin décidé a rompre cette interminable attente, véritable guerre des nerfs entre assiégeants et assiégés.
Abandonnant son baquet d’eau, pour s’emparer de son épée et bouclier, Williamss couru vers les remparts.

Les combats étaient belle et bien engagés, comme lui témoignèrent les premières évacuations de blessé qu’il croisa. Mais visiblement les murailles n’avaient pas été franchies, la défense tenait encore bon.
Il pouvait à présent voir ceux qui se battaient, a peine dix mètres au dessus de lui sur le chemin de ronde.
L’ennemi semblait se cacher derrière chaque créneau, cherchant la moindre faille pour se répandre à l’intérieur.

Soudainement, sa progression stoppa, repousser même en arrière, dans les escaliers, par un attroupement fort pressé de descendre.

Place pour le duc! Ordonna un des hommes, alors que sous ses yeux ébahis, il reconnu le Poilu, soutenu par ses gardes et visiblement grièvement blessé.

Si seulement ceci suffisait à tout stopper… étrangement, il en doutait…
Au moins le Berry s’il survivait à tout ceci, pourrait il se reconstruire sur des bases plus saines, libéré du joug fieriste.
Ses doigts se crispèrent sur la garde de son épée, a cet instant là, Williamss savait qu’il devait vivre pour voir ça…

La première vague d’assaillants repoussée, le bruit des armes cessa lentement pour laisser place aux gémissement des blessés ou mourant rendant leur dernier râle.
Les pertes avaient étaient lourdes pour un premier affrontement, le plus dur restait sûrement à venir.

Retrouver les bras de sa douce ne serait pas un luxe avant la suite des événements.
Enfin, tel en été l’intention d’origine quand ces pas le firent emprunter ce raccourci, coupant par les ruelles de la ville.
Norf s’il avait su ce qu’il l’y attendait, certainement y aurait il même couru…

*** Censuré. On ne fait pas agir un personnage sans son accord. {Lore} ***

Les deux hommes se détestant, son sang ne fit qu’un tour en reconnaissant celui qui lui avait valut son dernier séjour à l’ombre.


Fils de chacal!!!
Je t’avais prévenu que tu passerais par mon épée, maintenant tu es à moi…



Citation:
Mes prochains duels
Date Lieu Adversaire Arme Etat
2009-10-28 12:00:00 Bourges Horvy bourrinage annule

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Les petits voleurs sont pendus, les grands sont salués.
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