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[RP] Les remparts de Bourges : la ville a cédé !

Hans
[Premier assaut sur Bourges]


C'est au bras de sa bien aimée, avec un petit sourire béat imprimé sur le visage, que le baron de Ligueil rejoint enfin les lignes s'étirant sous les remparts de la capitale berrichonne. Presque en retard, heureusement qu'ils n'ont quand même pas trop trainé. Vite fait, mais hummm... rudement bien fait, même si la côte de mailles a tendance à ne pas être trop bien ajustée, et que certaines pièces d'armure sont restées sous la tente conjugale.

Hans profite d'un dernier baiser, et pousse l'effronterie jusqu'à donner une petite tape sur le divin fessier de son épouse. Petite tape en forme d'encouragement qui tourne vite à la caresse amoureuse avant que la main gantée ne s'écarte et retourne vers plus de retenue.


Fais attention à toi beauté. On se retrouve juste après.

Le mari attentionné gratifie sa belle d'un clin d'oeil complice et s'éloigne d'un pas léger pour rejoindre la section de commandement avant le début de la bataille. Bien sur il est inquiet pour elle, mais il préfère ne pas le montrer. Mieux vaut qu'ils se concentrent tous les deux sur les combats à venir pour se préserver d'un éventuel mauvais coup.

Alors qu'il traverse les rangs pour regagner sa place en première ligne, le germain laisse ses yeux clairs s'attarder sur la cité qui se dresse devant lui, et d'où s'échappe déjà le bruissement des combattants adverses. Un léger soupir s'échappe de ses lèvres. Les berrichons sont bien tous des moutons lobotomisés. Même ceux pour lesquels il pourrait avoir de l'estime sont têtus comme des mules et semblent incapables de faire preuve de la moindre once de réflexion. D'ailleurs les nobles de la province savent-ils qu'en soutenant un duc félon ils risquent eux mêmes de perdre fiefs et titres? Et qu'on ne lui sorte pas le couplet sur le fait de se battre uniquement pour le Berry, car il est impensable de laisser un personnage tel que le Poilu en place, ou que ses sbires restent au pouvoir. Ceux qui le défendent ce soir auraient même du être les premiers à le virer. Ont-ils au moins compris que plus ils s'acharnent plus leur duché risque de trinquer? Selon les lois de la guerre, aucune clémence ne peut être exigée par une ville qui résiste à un siège, surtout dans un cas comme celui-ci, où le combat vient d'être légitimé par le Roy en personne.
Alors bien sur les défenseurs tiendront quelques jours, et peut-être qu'ils emporteront avec eux tourangeaux et auvergnats, mais d'autres armées viendront, et leur perte est programmée. Etrange de voir ce désir de suicide inutile et de bêtise collective gangréner toujours aussi profondément cette région. Rien n'a changé depuis deux ans, Georges a bien manoeuvré, ou bien il est tombé sur le cheptel idéal.
Peut-être que la seule solution est de leur donner ce qu'ils cherchent après tout, les occire jusqu'au dernier et démanteler leur duché d'arriérés. A force de trop vivre entre eux planqués au fond des bois qui recouvrent la majeure partie du Berry aussi...

Le signal retentit enfin et la visière ornée du visage grimaçant retombe une nouvelle fois devant un visage redevenu impassible. Le maître d'armes se dirige immédiatement vers le coeur des combats, là où les défenseurs semblent les plus nombreux, et la résistance la plus farouche. Le musc de la couardise et de la fourberie doit être en train de s'échapper par tous les pores d'une volaille desséchée. Il a sans doute chaud aux fesses le poussin, parce que ça commence à sentir le poulet grillé.
Le problème, c'est que cette effluve caractéristique donne faim à beaucoup de convives, et que certains ont un bon coup de fourchette...
Hans presse donc le pas, écartant les opposants à coup d'épaule ou de bouclier. Il se fraye laborieusement un chemin, mais alors qu'il s'approche du but, les lignes se resserrent et un soldat berrichon lui interdit le passage. Mjöllnir, en parfait prolongement du bras de son porteur trouve aisément la faille. La lame de l'antique épée perce la chair avant de se retirer presque immédiatement. Le coup porté est précis, la blessure est nette, et l'homme qui lui faisait face s'écroule sans tarder.

Seulement, après cette distraction non souhaitée, le regard du vieux guerrier d'origine germanique se relève juste à temps pour apercevoir la silhouette du duc velu vaciller. Malédiction! Nul doute qu'un allié a réussi à se faufiler suffisamment près avant lui. Le lochois peste légèrement, mais se dit tout de même qu'il songera à offrir une caisse de schnaps à la main chanceuse ou assurée qui vient de le priver d'un défoulement ardemment souhaité.

Ailleurs les défenses sont bien en place. Les assaillants, bien que relativement nombreux, ne peuvent espérer les submerger. Ce premier assaut ne sera pas décisif, et chaque camp regagne ses positions avec des pertes plutôt limitées à première vue.

De retour à sa tente, après un combat bref mais qui finalement s'est bien déroulé pour lui, le baron a la joie de découvrir une plantureuse boulangère qui lui amène ses miches sur un plateau. C'est vraiment la meilleure celle la, elle pense à tout, et en plus elle ressemble à un ange... Elle est pas belle la vie?




27-10-2009 04:25 : Vous voyez en songe l'ange Al Lopas qui vous remet une miche de pain. A votre réveil, vous trouvez cette miche près de vous. Étonnant, non ?
27-10-2009 04:10 : Vous avez frappé Didier121. Ce coup l'a probablement tué.
27-10-2009 04:10 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Bourges, l'armée "La Desembarranta" dirigée par Julian_damour., l'armée "Affranchisseur berrichon" dirigée par Bimba18, et l'armée "Débestiller les Fronques" dirigée par Dexter08.
Cahuete
La demoiselle avait pris place au cotés de ses freres d'armes, l'assaut avait été promptement donné, il fallait s'y attendre le Poussin frappé de Félonie, l'attaque était certaine, dans le chaos qui s'ensuivit les echos des lames qui faisait leur danse meurtrière et des boucliers qui évitaient celle ci, du coin de l'oeil elle vit Tia tomber et Paill se precipiter sur elle, discution a voix basse pendant que les 45 resserrais les rangs autours d'eux, retraite... Tia etait gravement bléssé mais allait survivre ca se voyait, et puis elle en avait la volonté, la blonde en etait sur...

Alors qu'elle allait faire volter Eclipse pour couvrir leur fuite a l'exterieur du champ de bataille elle apercut une silhouette familière a son tour térassée par un méchant coup d'épée... Il est des secondes qui paraissent durer des heures, notament dans les combats comme celui ci, ou dans un temps tres court on annalyse les choses et que se prennent les grandes decisions, poussée par elle ne savait quel instinct elle fit obliquer sa jument vers la silhouette, un saut a terre pres du corps, bouclier au dessus pour proteger d'un coup... un ennemi sans visage qu'on ecarte d'un coup bas pour le faire tomber puis on se penche sur le corps connu

Lga...

Un murmurre, sa devise.. forcement quoique la demoiselle preferait largement l'entendre apres une tournée en taverne, nouvelle seconde d'eternité et décharge d'adrénaline son destrier obéissant, Cah en chargea le bléssé, priant pour qu'il ne décède pas elle monta derriere lui et pris la direction du camp en esquivant rapidement les zones de combat...

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Legrandalsacien
A terre ...
Cohorte d'hommes et de femmes en armes qui passent devant mon visage à moitier enfoui dans l'herbe.
Une chaleur , celle de mon sang qui s'agglutine autour de moi.
Puis une silhouette , imprévible mais emprunte d'un parfum délicat qui au fur et a mesure de son approche vous absorbe
Quelques mèches blondes ... c'est tout ce dont je me souviens

Mon corps n'était plus qu'un pantin de chair ne s'éxecutant d'aucune animation tant mon esprit était rongé par la douleur .
Chaque membre se laisser balloté tel un lièvre qu'on venait de chasser et que l'on pend à la ceinture.

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http://lesaintsepulcre.forums-actifs.com/forum.htm
http://www.youtube.com/watch?v=ZwY___hhhX8
Sulayman
On y était !

Et on y était pas seul. Si ! Ça n'a pas l'air mais on est très nombreux.
Dans la nuit les ennemis peuvent s'amuser à décompter les feux de camps.
Lui du haut de son canasson il domine la bande de fantassin à la...Qui dans la plaine se valorise de la nature de son écusson.
Un Auvergnat par ici, Un Tourangeau par la-haut! Un camp par la, un hôpital ici et sur la colline dominant tout se ramassis de bon à rien pas foutu de charger ensemble au même endroit ?

UNE GUEULE ! ….LA GUEULE ! ….Une Sentinelle Artilleur !


La Brindille ! La Pucelle ! Elles sont prêtes ces Bombardes ???

Faites moi péter ces créneaux et si d'la pierre se casse la gueule sur les nôtres c'est pas grave ! Ils avaient qu'à charger tous ensemble !

Et ouais elles se sont modernisées les Sentinelles depuis deux ans. Mais bon pour être franc ?
Ne piquer jamais une technologie aux Zoko. Elles vous filent pas le mode d'emploi avec !
Et paraitrait qu'un allumé c'est mi dans la tête de fabriquer des bateaux avec eux !
Y'a des médisants qui achètent de la toile pour faire un hôpital et y'a les mécréants qui investissent dans une bombarde pour s'la péter sur la toile !
Une Sentinelle c'est à cheval. Héritage d'une cavalerie légère d'un volatile d'un autre age. Devant ces murailles te saluent ceux qui vont mourir !
Une manière de combattre à nul autre pareille. Une ruche hilare alcoolisée par un trop plein d'adrénaline mal maitrisé
C'est plus du miel, c'est collant comme de la confiture et ça fait trois semaines que ça harcèle le moindre passant.
Les chevaux trépigne, les cavaliers frères d'armes s'égratignent !

Alors Mon Jaz ? Je dis que tu tiendras jamais à cheval sur un bateau ! T'es déjà trop vieux pour ça !

A Tours ils ont défendu, à Chinon ils ont chargé l'angevin parvenu en trophée à présenter au Poilu.
Il contemple les murailles l'allumé ! Dans les yeux l'envie qui flambe ! Depuis quand il est pas allé au lupanar l'orgueilleux !
Derrière les murs le meilleur des ennemis, le plus fidèle fournisseur d'écus des mercenaires. Paraitrait que les combats sont à peine commencé que le banquier à déjà chargé.
La banque va faire faillite. Le principal créancier aurait annoncé la fermeture de l'établissement par un édit royal pas dégonflé.
Vider vos comptes le patron était mal assuré !!!


BBBBBOOOOOUUUUUUUMMMMMMMMMMMMMMMMMM !!!!

Joli travail mais c'est trop court ! On a faillit faucher des Auvergnats ! Sont toujours en retard ceux-là !

ON RECHARGENT !


Aux pieds des remparts les troupes refluent . Semblerait que l'hotel est complet pour la première nuitée.
Pas grave. On arrête pas les salves. Une Sentinelle au gouvernail faut pas compter croire qu'elle s'en aille
Un feudataire sa rend Châteauroux ! Une Sentinelle ça ne craint pas le gourou.
Le malin la gratifié d'une insolence que même la mort ne serait mettre sous les verrous
Il est ivre, il est la haine. Il est fou qui fait le métier qu'il aime ! Poussez-vous !


BBBBBOOOOOUUUUMMMMMMMMMMMMMMMMMM

20 écus à celui qui me fait sauter la tête d'Ysabeau !!! On soignent notre diplomatie !
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Jazon
[Bourges à conquérir....]

Hennissement strident... L'animal piétinait puis se cabra sous l'excitation. Son cavalier, pas vraiment surpris au milieu des soldats et mercenaires prêts à en découdre, se pencha en avant à la rencontre de l'encolure de sa monture, l'obligeant à reposer ses antérieurs.
Il tira son épée du fourreau.

Son regard se posa sur la ville qui semblait les narguer. Il la connaissait cette ville, comme toutes ces terres qu'il traversait.
En son sein, les souvenirs, il en avait à foison le vicomte.
Souvenir d'une cuite mémorable à cause d'une femme.... Souvenir d'une rencontre avec un homme qui devint son ami et dont l'amitié aujourd'hui encore ne lui faisait pas défaut.....
Souvenir d'un grand maitre forgeron en sa forge et les retrouvailles avec ce tzigane, messager et protecteur d'une jeune femme si romanesque, fantasque et ivre de liberté.
Sans compter la ville d'une grande figure d'autrefois, mort maintenant sur une petite ile, loin de France.... Une sorte de mentor pour Jazon gamin, un père spirituel, grand voyageur, marchand parcourant terres lointaines, diplomate et négociateur.
L'avant veille, il était encore sur Chateauroux et était passé à une petite lieue du village de son enfance.

Il connaissait ces terres, pleines de bois et de bocages, de rivières et de cours d'eau. Il les connaissait et dans son coeur, elles y trouvaient résonnance. Alors comment, pour elles, ne pas bouter et en finir avec ce duc félon, imposant pouvoir démesuré et se croyant tout permis tel un roy en ses terres ?
Un poussin poilu ! C'était à celui qui lui trouverait meilleur surnom. Même une chanson se fredonnait depuis la veille sur le poussin.

Telle une trainée de poudre se répandit la rumeur que l'assaut était éminent. Des hommes derrière lui entonnèrent la comptine :

Poussin petit Poussin, tu as bien trop levé la main
Poussin Petit Poussin, maintenant on arrive a fond de train
Poussin petit Poussin, t'as voulu jouer parmis les grands
Poussin petit Poussin, maintenant tu redeviendras un manant
Poussin Vilain poussin, tu t'es entouré de racaille
Poussin Vilain Poussin, Nous te traquerons ou que tu ailles
Poussin Vilain Poussin, ton règne va s'achever
Poussin Vilain Poussin, tes murailles vont tomber
Poussin Curieux Poussin, te voila face a tes péchés
Poussin Curieux Poussin, tu vaux pas le bois de ton buché
Poussin Curieux Poussin, Entends les armes qui te faucheront
Poussin Curieux Poussin, Pour toi résonne cette chanson


Il ne sait pourquoi mais à cet instant, en entendant les hommes se donner du courage, Jazon pensa à Phaleg, qui fut l'un des piliers du clan des sentinelles, disparu depuis lors en mer et qui aimait à chanter à gorge déployé durant leurs aventures au long cours.

Il se retourna sur sa selle et regarda ses compagnons. Des anciens et fidèles, des nouveaux ou plutôt des nouvelles, jeunes et téméraires. Il eut une pensée pour son fils, blessé sans gravité. Laissé à l'arrière, cela permettait à son père de partir au combat l'esprit tranquille.

Son regard accrocha celui du Maure alors qu'une clameur montait des rangs. On attaquait !

Alors Mon Jaz ? Je dis que tu tiendras jamais à cheval sur un bateau ! T'es déjà trop vieux pour ça !

L'enturbanné le provoquait ?
Un regard moqueur et de défi, il lança à l'oriental, sourire aux lèvres.

Olaaaa compagnons ! La chasse à la volaille est ouverte !

Levant son épée, il talonna fortement son cheval en esquivant les cavaliers et soldats qui couraient, épées et hallebardes pointées vers l'avant.
Dans cette cohue de combattants venant d'horizon divers mais unis et côté à côte pour un même combat, tous remplis de gnac, de hargne et de courage, Jazon s'élança au galop vers les murailles de Bourges la Belle !

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P3r3v3rt
Au pieds des murailles de Bourges.

P3 attendait l'heure fatidique, puis des drapeaux dans les airs annonçaient un code, ça y est c'est l'heure, il se tourna vers ses hommes, leur lança un regard, puis repris position face aux murailles.

Soldats...., si j'avance suivez moi, si je meurs vengez moi, si je recule tuez moi.

CCCCHHHHHHAAAAARRRRRRGGGGGEEEEEERRRRRRRR

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Ysabeau
Dans Bourges

Une nouvelle nuit. Une nouvelle bataille. Les assaillants posèrent des échelles, et grimpèrent sur les remparts. Mais la défense berrichonne était là, et bien là. Ysabeau suivait désormais Bimba, son amie, puisque le duc devait soigner ses blessures.
Elle entendit les cris de haine, les appels au meurtre, au sang versé.


Citation:
20 écus à celui qui me fait sauter la tête d'Ysabeau !!! On soignent notre diplomatie !


curieusement, ça la fit sourire. Le Maure, car elle avait reconnu l'accent de l'Orient lointain, le Maure était bien présomptueux... Cet accent... lui fit penser à Bashir, que devenait-il ? Sans doute avait-il quitté Sancerre ? Sancerre... Elle soupira en pensant à son village.
Mais il n'était pas temps de rêver. Elle leva haut son épée, fit face aux assaillants.


Citation:
28-10-2009 04:10 : Vous avez frappé Sheltie. Ce coup l'a probablement tué.
28-10-2009 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Les Terribles" dirigée par Rastaplegique,
l'armée "les Lanciers d'Oya" dirigée par Favdb,
l'armée "Nuées ardentes" dirigée par Tixlu,
l'armée "Amor patriæ nostra lex" dirigée par Dragoond,
l'armée "Crepi Coronia" dirigée par P3r3v3rt,
et l'armée "Primièra Companhiá de Peiregòrd e d'Engolmès" dirigée par Meline_deschain.


Une jeune femme arriva en haut de l'échelle, franchit les remparts. Elle lui donna un coup d'épée, lui perçant le flanc.
Elle s'effondra, le sang ruisselant sur le sol.
Norf de norf... Ysabeau détourna la tête, et, ses forces décuplées, lâcha son épée, poussa l'échelle qui s'effondra derrière les remparts, entraînant dans sa chute bon nombre d'assaillants.
Elle se demandait qui succomberait cette nuit encore, combien de morts il faudrait pour que cette guerre absurde cesse.
Avant de se retirer pour un repos bien mérité, elle lança :


Hé ! le Maure ! c'est pas demain que ma tête sera coupée !
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Homme_des_bois
Deuxiéme vague d'assauts, le Baron se porta face aux assaillants. La veille il avait déjà dû verser le sang.
Citation:
27-10-2009 04:10 : Vous avez frappé Pitchoun. Vous l'avez grièvement blessé

Celà ne l'avait pas enchanté, mais son serment le liait au Duc George. La première vague avait vu tomber quelques soldats de valeur et le Duc lui même.
L'annonce de la disgrâce de George et la perte de valeur du serment d'allégeance avait faillit marquer le désengagement d'HDB de ces combats. Mais son coeur, toujours berrichon, refusa de partir, et c'est ainsi qu'il s'était retrouvé mélé à ce second jour de combats.

Citation:
28-10-2009 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Les Terribles" dirigée par Rastaplegique, l'armée "les Lanciers d'Oya" dirigée par Favdb, l'armée "Nuées ardentes" dirigée par Tixlu, l'armée "Amor patriæ nostra lex" dirigée par Dragoond, l'armée "Crepi Coronia" dirigée par P3r3v3rt, et l'armée "Primièra Companhiá de Peiregòrd e d'Engolmès" dirigée par Meline_deschain.


Les combats furent rudes, les adversaires nombreux et vaillants, tout comme les défenseurs de la ville. Lorsque l'ennemie reflua vers ses campement, le Baron remit son épée au fourreau. Il songea en lui même qu'elle n'y resterait surement pas longtemps. Combien de temps cette guerre durerait, il l'ignorait!


Hé ! le Maure ! c'est pas demain que ma tête sera coupée !


Il avait reconnu la voix! Etrange qu'il ne l'ai pas rencontrée avant.


Ysa, mon amie, garde ton souffle pour la prochaine attaque, et vient prendre une bière et un peu de repos!
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Homme_des_bois, dit HDB, Baron d'Aupic
Veuf de Mentaig et du Berry
"Pour le bien de tous et non la gloire d'un seul."
Meline_deschain
[ Au soir du 27 octobre, Second assaut sur Bourges.]


Méline avançait en tête de la primiera, hier son filleul capitaine de l'ADC avait été blessé, et c'était à elle maintenant de mener soldats et nobles périgourdins au combat.

Portant les couleurs du Perigord Angoumois, elle essayait de ne pas trop se poser de question, ce matin le duc du Berry avait lui aussi succombé sous les coups de l'un deux, les barbiers avaient grand à faire de part et d'autres. Elle ne devait pas chercher à trop comprendre, deux phrases se bousculaient en sa tête à l'instant même où elle allait donné l'ordre d'avancer, celle de son époux qui sans cesse lui avait toujours dit que le devoir devait primer sur tout quoiqu'il lui en coûte, celle de son filleul qui sur son lit à l'infirmerie lui avait passé le flambeau en lui disant qu'elle était le chef d'armée ultime, qui faisait tout et n'avait pas peur de mourir.
Un frisson glacé parcourut tout son corps, certes elle n'avait pas peur de mourir, elle craignait un chatiment bien pire pour elle, vivre sans celui qui était sa seule raison de vivre.

Se reprenant, bien droite sur son destrier, elle jeta un oeil en arrière aux nobles et soldats qui allait la suivre sans condition, inspirant profondement, elle murmura pour son époux près d'elle.


Je t'aime, fais attention à toi.

Puis dans un élan de tout son corps, tandis que son cheval commençait à avancer, elle leva le bras tel que le faisait le sénéchal Matpel les jours precedent, et fermant une seconde les yeux priant pour la vie de chacun, elle laissa tomber son bras, geste significatif qui fut suivi par le deferlement des soldats vers les murailles de Bourges, la nuit allait encore être rude.
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Georgepoilu
Sur les murailles de Bourges - 1er soir de l'assaut

Juste avant le combat, George reçoit une missive de Paris. Le Roy el déclare félon, cela le fait sourire immaginant la satisfaction d'Armoria la catin comme il aimait l'appeler... Etre félon pour ne pas avoir répondu à une question d'Armoria, voilà qui était décevant pensa t il e rigolant tout seul.

Les nouvelles arrivaient de partout, l'armée berrichonne avait pris possession de la ville de Bourbon la veille. Songeur, il se demande ce que devient l'armée de Tadek qui se promène en terre ennemie. Qu'il est loin et que les coursiers mettent du temps pour parcourir autant de lieux.

Les troupes ennemies s'avancent, l'assaut est enfin donné. George regarde autour de lui, très peu de défection, les berrichons nobles ou roturiers, berruyers saint aignanais, castelroussins ou sancerrois, fieristes ou anti fieristes, tous semblaient avoir répondu à l'appel de leur pays et allaient se battre et peut etre mourir pour lui.

Premiers assauts, volées de fleches ennemies, premiers berrichons au sol, échelles posées sur les murailles, échelles repoussées, premiers auvergnats et périgordins au sol.

Certain sennemis posent pied sur les murailles et entament le combat au corps à corps. Croisant le fer, le Duc tente de repousser l'envahisseur.

Une douleur sourde dans le bas ventre.
du sang coule le long de sa jambe
le regard s'obscurcit, la vue se trouble

le Duc pose un genou à terre
il vascille et tombe au sol
des brides de parole lui parviennent

"le duc à terre", "sortez le de la",...

inconscient, très grièvement blessé, c'est entre la vie et la mort qu'il est évacué vers l'infirmerie de Bourges.

_________________
Bertilde
(Au soir du second assaut )

Bertilde était sur les remparts
Ils avaient enfin livrés bataille et elle avait pris part à la défense
Peu lui importait de périr , elle attendait du mouvement et elle était servie .
L'ennemi narguait les berrichons
Certains allaient même jusqu'à déclamer méchamment sur Georgepoilu tandis que d'autres réclamaient la tête d'ysabeau


Poussin Vilain Poussin, Nous te traquerons ou que tu ailles
Poussin Vilain Poussin, ton règne va s'achever
Poussin Vilain Poussin, tes murailles vont tomber

Tomber ... tomber ... on n'est pas encore à genoux , pensa t-elle se remémorant le sonnet qu'elle avait accroché il y a quelques jours sur l'arbre à mots :



Vous voici bien rangés au pied de la muraille,
Déployant vos drapeaux plus nombreux que les jours .
De bien beaux régiments menés par des vautours ,
encerclant l'ennemi sans lui livrer bataille !

On vous compte par cents, cavaliers et piétaille,
Auvergnats, tourangeaux défilant sous nos tours .
Drôles de combattants beuglant aux alentours :
«  Si ce n'est par le sang, vainquons par la mangeaille ! « 

Est-ce doncques cela votre témérité ?
Avez vous peur de nous , sans dèc, en vérité ?
Ah , non ? Vous devriez ... un petit peu quand même ,

Car rien n'est impossible au vaillant berrichon
Quoique le ventre vide il a du cabochon
Et jamais ne craindra la fleur du Chrysanthème


Georges avait été blessé mais elle était confiante ; hier au soir son épée avait frappé et avait fait mouche

Citation:
27-10-2009 04:10 : Vous avez frappé Vincentte. Ce coup l'a probablement tué.

Soudain , un
Soldats...., si j'avance suivez moi, si je meurs vengez moi, si je recule tuez moi..retentit , le combat allait commencer ...

elle se retourna pour trouver le regard de Bubul , elle lui sourit ...il serait près d'elle ...
L'ennemi fondait déjà sur eux


Citation:
28-10-2009 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Les Terribles" dirigée par Rastaplegique, l'armée "les Lanciers d'Oya" dirigée par Favdb, l'armée "Nuées ardentes" dirigée par Tixlu, l'armée "Amor patriæ nostra lex" dirigée par Dragoond, l'armée "Crepi Coronia" dirigée par P3r3v3rt, et l'armée "Primièra Companhiá de Peiregòrd e d'Engolmès" dirigée par Meline_deschain.

Le combat fut sans merci ... elle entendit l'ordre du repli non sans un certain soulagement ..
C'est l'épée au fourreau, couverte de boue et de sang qu'elle regagna les remparts ...
On a tenu ! Se dit-elle ...devant elle , une silhouette familière rentrait également ...
...il est vivant !

_________________
Dame_floryne


[Sur les remparts de Bourges]

Floryne était toujours là, une épée à la main. Mais que faisait-elle là ? A jouer le jeu du Duc ni plus ni moins. Déjà Châteauroux de perdu. Oui mais c’était le Berry. Son Berry. Pouvait-elle l’abandonner ? Non elle ne pouvait pas.
Mais il fallait faire quelque chose, quelque chose pour arrêter cette guerre, pour arrêter la folie de conquête d’un homme qui nous a conduit à ce désastre pour la deuxième fois.
Floryne se dit qu’elle allait écrire quelques lettres.


[Le lendemain]

Floryne avait survécue à une autre journée. Elle se demandait comment. Car elle ne battait plus que machinalement. Mais qu’est-ce qu’elle était allée faire dans cette galère ! Ses amis tombaient les uns après les autres. Une seule bonne nouvelle hier matin, le Duc avait été blessé. Il était temps qu’il goûte lui aussi aux affres d’une blessure. Elle y avait eu droit au début du conflit et c'était loin d'être marrant. Au fait, quelle était la gravité de ses blessures ? Personne le le disait. Encore un secret.
Parce que, mine de rien, on était là à cause de lui. De ses manœuvres politiques désastreuses. De ses alliances désastreuses. Que les opposants n’avaient pas réussi à contrer pour finalement abandonner. C’était donc de sa faute aussi, celle de tous les opposants qui avaient cessé le combat voilà déjà quelques temps. Et oui cette guerre politique avait cessé faute de combattants. Cela finirait-il pareil avec cette guerre-là ?

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Ethell
[dans Bourges la veille au soir]

Ethell venait pour la première fois de se trainer hors de sa chambre. Voila de cela 10 jours qu'elle avait été laissée pour morte sur le champ de bataille.
Des le premier affrontement elle était tombée sous les coups d'un groupe de huit auvergnats sanguinaires. Le poumon transpercé, ses armes brisées, elle avait cru que sa vie allait s' achever la alors que son sang se répandait.

Comment s'était elle réveillée dans une auberge de Bourges, tout cela semblait encore confus dans sa tête. Elle se rappelait une forme sombre penchée sur elle. Ce fort accent berrichon qui lui enjoignait de vivre, que sa mère n'aurait pas voulu qu'elle meure ainsi et maintenant.
Elle s'était ensuite réveillée dans une auberge de la capitale, ses blessures pansées, son séjour payé.


Les maudits, qu'ils rôtissent tous en enfer.

ruminait elle en se trainant vers l'auberge ou elle avait ouï dire que des sancerrois s'y retrouvait
Durant son coma, Châteauroux était tombé, Bourges était assiégé. Comment en était on arrive la?

Elle se rappelait le départ de Sancerre dans l'armée commandée par l'ancien maire, qu'était devenu les autres? Pacalister, Chevron, Ysabeau et ceux qu'elle avait rencontré dans les tavernes et dont elle ne se souvenait plus les noms. Étaient ils tous morts?

Pourquoi Aristote avait il permis cela? se demandait elle? A peine étaient ils arrivé a Bourges que les ennemis avaient déferlé en Berry. Personne ne le voyait il donc pas dans ce royaume? L'ennemi avait prévu cette invasion de longue date, juste le prétexte leur avait manqué.

Ils n'arrivaient pas a vaincre la résistance castelroussine, ni a venir a bout des petites armées berrichonnes alors tous les coups bas semblaient permis. Elle avait ouï dire que les ennemis avaient été souffler leur venin dans les oreilles du Roy, puis avait chercher appui auprès de l 'église,. Ils espéraient ainsi briser par les manigances les berrichons qu'ils n'avaient pas reussi a faire plier par les armes.

Reconnaissant Pacalister attablé a la taverne, couturé dans tous les sens mais vivant, elle sourit.


Ahh il est temps de boire une biere pour guerir nos blessures mon compère!
Merenwenn
[Deuxième nuit de bataille]

Les troupes se préparé à retourner au combat, Merenwenn donna les consignes à sa section et ils se rassemblèrent avec les autres armées.

Les combat été lancés, les affrontements été de partout, merenwenn ne savait plus ou donner de la tête...
Elle aperçut un couffin non loin d'elle, au pied d'un arbre. Elle ne pu s'empêcher de penser a son fils qui l'attendait à Murat... Ces pensé la submergèrent,… laisser un enfant la, sur un champ de bataille, pas possible…

Son inattention lui couta cher, elle fut attaquer par derrière, ne voyant pas le coup venir. Un archer lui tira une flèche dans le bas du dos, dans le flanc gauche… elle se sentie paralysé, incapable de bouger, resta debout figer par la douleur…. Le mal lui passé dans tout le corps, des fourmillements qui l’envahit… elle senti une pression au niveau de ses jambes, qui la fit tomber au sol, épée a la main elle prit toute ses forces restante pour se retourner et frappa son adversaire qui l’avait achevé. Celui-ci contra son attaque, l’épée de Merenwenn se brisa.

Épuisé par les derniers effort, ses muscles se relâchèrent, sa tête tomba au sol, elle n’eu la force de parler, ses yeux se fermèrent… elle resta inerte au milieu de tous

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Amberl
[Puisqu'on nous fauche nos bombardes ... J'catapulte !]

Si Amberle envoie des messagers dans Bourges pour que les berruyers -enfin que la môme surtout- se planquent ... c'est pour pouvoir faire joujou avec la bombarde en toute tranquillité d'esprit. Et pis si jamais ces têtes de mules montent quand même aux créneaux pour défendre leur ville ou leur Duc ... bah ... ce sera pas d'sa faute. Et ca lui pèsera moins sur la conscience pour la suite.

Enfin l'assaut ! La Feline, en manque d'actions, devenait hargneuse et passait ses nerfs sur les autres membres de la CF. Pas trop tôt qu'ca bouge ... Au moins se défoulera t-elle sur les ennemis et non sur le même camp. Mira en avait souffert ...

D'une déflagration !
Amberle regarde son entourage, la Minou n'a pourtant pas fait pété l'engin ... Et c'est d'un cri du coeur qu'elle remarque la précieuse trouvaille des Zoko dans les mains des Sentinelles..


Oh punaise, il nous a piqué les bombardes ! Les enfoirés !


Nouvelle déflagration
Elle se marre, la brune, en observant le maure galérer sur la modernité.
Faut dire qu'elle non plus ne maîtrise pas la poudre. Ca s'est vu l'autre nuit.

Du coup, elle préfère largement se poser sur la catapulte. Non pas dedans ! -quoique femme volante, ca lui plairait.. toucher les nuages, toussa... Y a juste l'atterrissage qui doit faire mal-


BAAAAAAAAAAAAAAAM


D'un tir dans les murailles, pas assez puissant pour bousiller quoique ce soit. Faut le temps de reprendre la main, c'est pas si fastoche que ca à manier, comme engin. Y a que les tas de muscles genre Eikorc qui savent faire mouche à tous les coups, vu les biscotto qu'il a.


Mira ! Recharge !


Et d'une pierre de plus dans la machine ...
Actionne le levier avec plus de vigueur, cette fois-ci, c'est la bonne ! Elle le sent. Elle le prévoit ... Elle regarde la pierre voler dans les airs...
Et creuser un joli trou dans la muraille.

BAAAAAAAAAAAAAAAM


Yipiiii !

La poussière vole dans l'air, des tas de gravats tombent sur les assaillants... Ooops.Désolée du dérangement, fallait pas nous inviter !
La Zoko ne fait pas dans la dentelle, y en a marre des escalades nocturnes, couteau dans les dents à monter et se prendre des douches d'huiles bouillantes.

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