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[RP] Les remparts de Bourges : la ville a cédé !

Amberl
[Nuit du 28 au 29 : Norf ! Elle est dedans, la taverne ? Mais fallait le dire avant, crétin des alpes ! ]

Rhaa la jeunesse !
J'vous jure les gens. Y a plus de jeunesse, plus de gout pour l'aventure ni pour le travail, rien ! Les valeurs se perdent.
Elle receptionne le bisou de son apprenti et la regarde s'envoler vers la capitale à la recherche de cobayes.

Des auvergnats, qu'elle a dit.
Dubitative. Depuis quand on envoie des alliés au casse-pipe ? Si encore, c'était pour taillader du berrichon, pourquoi pas. Mais là. Pour tester les réglages de la machine et savoir comment adoucir l'atterrissage. Mouais. Après tout, y a des cons partout ! Autant tous les catapulter dans un même endroit ! Pis s'ils crèvent, ce sera juste de la faute de Dame Nature, qui ne les aura pas rendu assez forts pour résister au choc.

Trêve de songes.
Elle a une chopine à gagner. L'est pas tavernière pour rien. Soiffarde, estomac sur patte, guide semi-professionnelle dans la beuverie ... Ca se mérite !
Les bombardements cessent. Un peu de répit pour les blessés qui n'en peuvent plus de soulever les pierres. Un peu d'air frais pour les combattants qui suffoquent.


Amène moi la longue vue.

Elle est où ?
Trouve la moi, triple buse !

...

Elle observe avec attention.
Une truite comme arme ? Haaaan les cornichons ! Amberle rit avant d'avoir une pensée émue pour ce berrichon -si corniaud soit-il - assez brave pour se battre jusqu'au bout, avec toutes les armes qu'il possède. Le lendemain, elle ira le recoudre en taverne (et foutra ainsi son couple en l'air, sa dame étant jalouse du décolleté). Elle ne voit pas Ysabeau tomber... Ni quel enfoiré a osé touché à son ami.
Mais pour l'heure, la longue-vue s'agite. Et se focalise sur la fissure.
Un chien pourrait se faufiler dans la ville. Pas mal pour un premier siège où elle manie seule la machine de guerre.

Replaçant la catapulte deux pouces à l'horizontal .. trois plus haut, elle croise les doigts.


Prêts les gars ? Bidule, remplace moi, j'ai mal au bras.


Ouais, elle se décharge un peu de ses fonctions, le temps que la douleur cesse.


Zoko ad eternam ! Leviiiiieeer !


Scotchée à sa longuevue, elle croise les doigts et reste effarée du tableau.

Oh défection !
Y va me détester, le Maure, s'ils survivent à ce carnage.


Cancer des poumons en vue ? Ou une bronchite aigue ... Bin ouais... tant de poussières en si peu de temps ... Faudra voir un toubib !
D'un coup, elle se demande si les Sentinelles voudront encore s'allier à la Zoko. C'est qu'elle a failli en écraser un ! Ahem. 'Xcusez !! C'est pas de sa faute, mais de la machine. Un dérèglement ... savez ce que c'est hein ... Une seconde d'inattention et c'est un Jazon qui a failli se faire aplatir...


Bon, bouge de là, je reprends les choses en main. Tu vas écrabouiller nos hommes !!


Un tir de plus. Raté. Quoique. Un mioche passerait...


EEEEEH ! LE MAURE ! PREPARE TOI A ME REFILER UNE BOUTEILLE OU UN TONNEAU ! C'EST QU'UNE QUESTION DE TEMPS !!


Ouais ... enfin ... elle sera surement aphone si elle continue d'hurler ainsi. Un peu dommage de trinquer à une victoire si l'on ne peut parler ... Surtout quand le surnom de la belle n'est autre que La Jacasse. Il reste le langage des signes.

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--- Rajoutez un "e" à AmberlE pleaze ---
Fred27
[Sait plus ou il est, quelque part entre ici et là]


Et vl'a que sa tire dans tout les sens.Fred frappe un ennemi et doit se jeter sur le coter.Il regarde vers les catapulte et lâche une juron de Touraine.
Si y se mette a tirer sur leurs allié...
Alors Ils cours tous vers les échelles.Même les cavaliers.Oo.Bon bref, Alors Fred il court vers l'échelle la plus proches.Mais tandis qu'il la grimpe, un corniaud d'défenseur la repousse.BOUM! Fred a terre.Il se relève injure l'aut corniaud et monte une autre échelle.A mi auteur v'la qu'sa bouchonne.Celui du dessus est pétrifier par la peur.


Ecoute si ta peur dégage.

Il a telement peur qu'il lache l' échelle et se ramasse par terre.Fred continue.Il frappe l'abrutie qui a pousser son échelle et attaque le suivant.
La a quelque pas, un défenseur se bat avec...une truite, et blam un coup d'épée et le voila a terre le bougre.Sa résiste pas les Berrichons.

Pendant que les coups pleuve, et que les catapulte fonctionne au max, Fred voit c'sui qui lui a piquer son bouclier.Il geule et lui fonce dessus.
Evidemment l'aut il a le bouclier, qui ait pour info de très bonne manufacture, le prix va avec d'ailleurs.Donc, Fred se fait frapper mais toutes se sattaques sont bloqué.Mer**.Et Vlann.C'est le coup qui le fait tomber.juste le temp de se planquer a moitié sous un autre corps pour pisser tout son sang.
Hans
[Toujours devant Bourges. Comment voulez-vous toucher quelque chose, on y voit que dalle!]


Un étrange bourdonnement, une sorte de sifflement caractéristique emplit l'air au dessus des rangs des combattants partis une énième fois à l'assaut des remparts de la capitale berrichonne.

Puis un cri affolé provenant des lignes arrières déchire le silence relatif et confirme ce que toute la troupe en partance pour un vaillant combat craignait...


C'est Amberle qui tire!

Là, tout le monde se fige. L'élan est stoppé net. Certains baissent la tête ou s'agrippent à leur casque en serrant les dents, ou les fesses, enfin tout ce qu'ils peuvent serrer en espérant que ça va passer sans faire trop mal. D'autre se jettent carrément au sol, et aucun n'ose regarder par dessus son épaule pour voir le projectile arriver.

L'imposant rocher vient s'écraser quelques pas devant le germain, lui bloquant l'accès aux combats. La poussière s'élève et englobe la plupart des assaillants. Cette pestouille sans cervelle est en train de créer un no man's land qui empêche presque tout affrontement. Les défenseurs ne peuvent pas se montrer de peur de prendre une forte dose de caillasse sur la caboche, et les attaquants éprouvent les pires difficultés à avancer et à distinguer quelque chose à travers le nuage opaque qui se forme après chaque impact. Sans compter le risque de se faire aplatir sans autre forme de procès, pas sa propre artillerie...
Le fait-elle exprès d'ailleurs, pour éviter que trop de sang soit versé?

Les babines du vieux loup du Wurtemberg se retroussent en un rictus mauvais.


Pinaise! On y voit comme à travers une pelle ici!

Cherchant la cause de sa déconvenue, celle qui servira d'excuse au fait qu'il a été incapable de toucher le moindre berrichon ce jour, Hans se retourne et brandit un poing menaçant en direction de la butte naturelle la plus proche, où trône la peste diabolique, sautillant autour de son engin de malheur.

Non mais oh! Tu es dans quel camp toi là haut?
Apprend à viser pauvre nullarde, c'est quoi c'bordel! Misérable bonne à rien! Soularde à moitié aveugle! Espèce de sale pitite...


La liste des récriminations aurait pu être encore longue, mais le lochois finit par avaler trop de poussière à force de vociférer en gardant la bouche grande ouverte. Le pamphlet anti catapulteuse incompétente se termine donc par une salve de toussotements prononcés.
Va en falloir des litres de bières pour rincer tout ça, et Amberle ne le sait pas encore, mais ça va être rajouté sur son ardoise, et augmenter par la même occasion le montant de ses dettes envers le baron...
Amberl
Mais de quoi je me mêle, suzerain ?

Non mais l'autre !
Elle aide, et elle se fait engueuler comme du poisson pourri !
Outrée. Carrément outrée.
Et d'un doigt qui se lève, en réponse au poing du germain. Oui, c'est l'amour fou entre ces deux là. Les joutes verbales sont toujours au rendez vous, les jurons aussi. Mais ils s'aiment. Enfin s'apprécient. Se supportent. D'une façon spéciale, bien à eux.


Amb, il vous provoque. On tire sur lui ?
Non. J'en ai besoin.
Hem ?
Consentant ou pas, j'serai sa vassale.

Mais il est désagréable avec vous et vous insulte ?!
Non, il me déclare sa flamme. T'as une flèche à côté de toi ?


Il commence à être blasé des demandes étranges de la donzelle, mais obtempère. Décochant une flèche de son carquois, il la tend à la mercenaire, recevant un sourire en remerciement.


Citation:
Mon cher Hans.
Si tu hurles encore, je te viserai au prochain tir, mon ami.
Tu sais combien je tiens à toi et ô combien cela me désolerait de te voir bouffer la poussière.
Par contre, je suis bonne joueuse, et je t'accorde que je suis une ivrogne, mais une poivrotte sobre ! Oh. Tu viens de me donner une idée, mon chou. Je vais me bourrer la tronche, et ptete que ca influera sur la precision ... Mais tu as de grandes chances d'y passer, loulou.

Catapulteusement tienne,
Ta future vassale qui a envie de te gifler.


T'es bon archer ?

Boarf, je me défends.
Alors vise l'arbre à côté du braillard.


Naméo !

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--- Rajoutez un "e" à AmberlE pleaze ---
--Briceheurtelefeu
Brice, honorable soldat un peu simple et à peine sorti de la campagne qui l'avait mal dégrossi, à la chevelure aussi rousse que le pelage d'un écureuil , faisait une petite ronde sur les remparts de Bourges.
Intrigué par le bruit des machines et des femmes qui les manœuvraient, il s'approcha d'une catapulte et commença à s'intéresser à la belle mécanique.Il annonça avec un fort accent auvergnat


Pour sur que c'est une belle machine que v'là! j'en avions jamais vu z'une en vrai. on m'avait causé que des belles machines comme ça existaient mais mes z'yeuilles en avions jamais r'gardé !

s'adressant à mira

c'est vous qui mène c'te belle machine là ?
--Rouquinos
Un petit homme roux, un peu vouté qui n'a pas l'air très malin mais que ça n'empêche pas de toiser les autres avec une moue méprisante s'approche de la catapulte, Rouquinos qu'il s'appelle. Une berrichonne folle l'avait agressé en taverne pour lui annoncer que tous les auvergnats et surtout les roux -allez savoir pourquoi- devaient se rendre au pied de l'instrument de guerre. Une expérience inédite allait être tenté et tous les volontaires vont devenir des héros, leurs noms sera inscrit dans les registres militaires pour hauts faits d'armes. Ils seront adulés une fois rentrés dans leur duché, les femmes soulèveront leurs jupons pour avoir leurs faveurs; un rêve pour tout homme.

Il avait eu du mal à la croire la folle brune, mais après quelques regards noirs et de nombreux hurlements il avait fini par comprendre qu'elle est tourangelle et qu'elle et les autres de son espèce testent une nouvelle stratégie de guerre. Puisqu'on ne peut ni abattre les murailles ni les escalader il ne reste plus qu'à voler au dessus. Il avait bien tiqué en entendant ce mot: voler? Comme les oiseaux? Maïs la fausse berrichonne l'avait rassuré, pas besoin d'ailes il sera catapulté, l'atterrissage se fera en douceur et il n'aura plus qu'à tuer tous les berrichons qu'il croisera. Ça avait l'air simple dit comme ça et il avait accepté, voilà pourquoi il se retrouve à présent au milieu du campement tourangeaux face à la catapulte. Il observe la machine en grimaçant, non pas de peur -comme tout auvergnat il n'a peur de rien, bien pour ça que c'est eux qui ont été choisi- mais juste d'incompréhension sur le fonctionnement du monstre.

Apercevant deux femmes aux abords de la machine, il s'approche, arrivant à leurs côté au moment ou un compatriote auvergnat parle à la plus jeune. L'homme était roux tout comme lui mais d'un roux plus sombre, il portait l'uniforme des soldats auvergnats, il ne l'avait jamais vu mais entre auvergnats on se comprend. Il s'adresse donc à lui avant de parler aux femmes.



Volontaire vous aussi? On va vraiment voler avec ça? **pointage d'un doigt en direction de l'énorme engin** C'est qu'on est courageux nous, pas les tourangeaux qui le feraient ! **regard hautain envers les deux femmes** on est les meilleurs hein? Et on va être célèbres c'est vrai?
--Briceheurtelefeu
Brice reconnut à son accent que le camarade qui venait d'arriver était auvergnat. Il lui serra la main à la rude façon de leurs montagnes...

ben l'bonjour l'ami! quoi que tu dis là ? un bougnat qui volerait comme un z'osieau ? ça t'e possib' une chose pareille ? pour sur qu' nous soyons courageux!

brice se tourna vers la dame

ben moué aussi je voulions voler ! l'brice il est volontaire!
Senctus
En pleine nuit, le camp s'animait de milles feux et les soldats enfilaient au plus vite leurs cuirasses et cherchaient dans leur tente leurs armes sous les hurlements continus de leurs chefs qui savaient que l'obscurité seule permettait aux assaillants d'approcher des murs sans recevoir une grêle de flèches fatales.

Dans tout ce bordel digne des pires heures de la Cour de France, Senctus observait dépité les poivrots de la Zoko en train d'essayer de viser correctement tout en disant que la Touraine devait être bien malade pour laisser des types dans cet état manoeuvrer des armes aussi nécessaires à la bonne marche d'un siège... Finalement, il oublia cette pensée et se rappela qu'il fallait mieux occuper les mercenaires si l'on souhaitait éviter qu'ils enflamment le camp pour "s'amuser".

Les cors se mirent soudain à raisonner et Senctus ne put s'empêcher de s'exclamer :

"Sacrebleu, il y en a deux bonnes douzaines devant, je n'arriverai jamais à emprunter une échelle."

A ces bruissements, il se recula et observa la situation toujours aussi dépitée par la connerie de la situation qui voyait une immense armée contrainte de jouer avec 1/10 de ses effectifs face aux restes d'une armée berrichonne depuis longtemps incapable de mener une bataille en plaine.

Bref, la campagne s'enlisait comme un vieux chariot dans une route boueuse et ce merdier n'était pas prêt de se terminer à son humble avis...

Seulement, son avis était bien humble face à la main de Dieu qui, facétieuse, avait décidé d'offrir une assaillants une bataille d'envergure dans cette soirée.

En effet, en plein milieu de l'assaut, qu'elle ne fut pas la surprise de Senctus lorsqu'il vit un énorme rocher incandescent voler au dessus de sa tête pour s'abattre dans une légère fissure à la base des remparts de la cité.
Ni une ni deux, le mur explosa sous la puissance de l'impact et dans une ambiance quasiment apocalyptique, Senctus vit s'écrouler sur le sol à la fois les roches de la muraille mais également les combattants qui s'épuisaient sur les remparts depuis quelques heures.

La fumée à peine dispersée, il entendit gueuler en tout lieu :

" Une brèche dans les remparts ! Une brèche dans les remparts !"

A ces cris hypnotiques s'ajoutaient dans chaque camp des hurlements chargés d'ordre de toute sorte : le plan de bataille initial était à peine en cendre que le nouveau avait pris sa place.

Rapidement, des groupes traversaient l'amoncellement de rocher pour s'écraser sur une ligne berrichonne formée des dernières réserves dont ils disposaient.

Après quelques minutes de combats intenses, la suprématie numérique fit son oeuvre et une brèche s'ouvrit chez la ligne de défenseurs qui, incapables de se replier en bon ordre, ne purent faire autrement que de fuir en toute direction afin de trouver un point ou rebâtir une ligne digne de ce nom.

La poursuite ne fut pas longue car les forces de l'ADC durent former sécuriser cette partie de la cité au plus vite afin que les troupes puissent toutes s'infiltrer par la brèche sans risquer une malencontreuse contre-attaque.

Dans les dernières heures de la nuit, toutes les armées de l'ADC avaient pris pied dans la Cité où des hurlements de terreur jaillissaient des demeures des habitants affamés.

Dans ce chaos à venir, Senctus sentait les opportunités les plus jouissives apparaître.

La capitale du Berry n'en avait plus pour longtemps. La nuit avait été sanglante mais le jour serait écarlate.



HRP : L’évènement est capital et il est impossible qu’on fasse chacun son petit RP dans son coin pour ce moment d’anthologie.

Le moment est important, il faut qu’on reste cohérent : pour le moment, le château n’est pas encore tombé et, même si la ville est bien tombée, je n’ai pas avancé trop le RP pour laisser à chacun la chance d’approfondir les moments floues de l’assaut ou de broder la suite de l’assaut.

Bonne bourre et trouver une position sympathique pour faire crever vos persos tas d’infâmes berrichons.
Sulayman
[A table !]

La cause s'enflamme. Les pieds des remparts ne sont plus qu'une fourmilière humaine.
Il y a les petites fourmis noires, travailleuses et volontaires avec leurs 'tites épées et leurs 'tites échelles qui s'en vont au travail sans se poser de question.
Puis en haut sur la muraille il y ' a le camp d'en face ! Les fourmis rouges. De plus en plus carmin d'ailleurs le camp des ensanglantées !
Vision d'un carnage le temps que le nuage de poussière s'évapore. Un Jaz à vu de près la mort.


Ouf ! ...C' était moins une hein ! ...Ah zut c'est pas ton mulet sous l'caillou la ?

Çà gueule plus ! Ça beugle ! Et soudain ça caquette vachement moins !
La Pucelle a trouvé le mode d'emploi de la Bombarde et c'est mise à l'unisson !!
Sur la colline on invente le premier code d'appontage . L'aime bien son langage
Un doigt levé bien haut à destination ? À moins que ce soit pour prendre plus de précision ?
Il sait pas il ne voit plus rien. Il entend bien une voix familière à qui il mettrait bien un coup de pieds au derrière pour lui apprendre à compter mais pas le temps. On fera cours de math dans une autre guerre, dans un autre temps. Pour le moment il faut qu'on aillent dedans !

BBBBBOOOOOUUUUUUMMMMMMMMMMMMMM !!!!

BBBBBAAAAAMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM !!!!


Ailleuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !
Cri du Berrichon en perdition...

Les vents portent au Maure les hurlements de l'artillerie légère. Voilà que l'alliance de la poudre et de la pierre fait son affaire !
Soudain sur la plaine le silence, les hommes plaqués au sol se relèvent lentement. Ils sont vivants malgré le déferlement du soudain bombardement.
Alors une voix Auvergnate se fait hésitante, timide, mais dans la poussière annonce ce qui va devenir cause de déferlante !

La porte ! ...La porte...Ils ont pété la porte ! C'EST OUVERT ! ON FONCENT !!!!!!!!!!!!

Moi d'abord !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Le Maure est tombé de cheval sous la soudaine déflagration. Ça va se payer ! C'est pas un tonneau qu'il va lui offrir. C'est la cave entière !
Et vl'a que dans la cité ça déferle de toute part. Heure de pointe au drive. Ils sont affamés depuis trois jours ils ont rien tapé !
C'est un truc nouveau pour le cavalier émérite. Le voilà qui apprend à courir pour avoir sa part et se nourrir.
Presque il réaliserait d'un coup à quoi servent ses jambes. Il a le cimeterre voltigeant et agile.
Le principe du bon cuisinier est de savoir servir sa clientèle à parts égales. Pas de soucis il y en aura pour tout le monde.
Lui ne fait pas dans la cuisine moderne où il y a trois haricots verts qui se battent en duel dans une assiette.
Lui c'est Monsieur s'la pète ! Il taillade, il a bien sur comme vous tous un corps d'athlète mais il oublie jamais l'essentiel !
A tout combat mérite salaire !


TROUVEZ MOI UNE TAVERNE ! J' AI ARTILLEUSE A RENDRE JOYEUSE !!!!

Dans la ville on sonne l'hallali ! Est ce la fin du Berry ?

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Amberl
[Qui qui a dit qu'elle était une naze en artillerie, hein ? Elles ont tout fait sauté !]

Deux rouquins la rejoignent. Deux nouvelles aides pour remplacer les bras cassés qui l'entourent et qui sont crevés à force de porter les roches ? Même pas !
Légèrement déçue, Amberle pige rapidement que les deux hommes ne sont là que pour une chose : voler.
Sourire en coin, elle reconnait l'œuvre de son apprentie. Jamais elle n'aurait pensé voir des alliés volontaires pour être kamikazes...


J'suis à vous dès que j'ai gagné le jackpot.


La brune choppe la longue-vue pour recalculer une énième fois son tir. Avant de reposer l'outil. Un sourire angélique ne quitte pas son minois, tant elle est fière.
Les murailles ont pliées sous le poids des bombardements. Elle en revient pas, la brune. C'est pas possible qu'elle, la blonde inside, elle ait réussi. Y a un souci dans le scénario, on se plante d'acteur là.
Et pourtant ... Les cavaliers s'engouffrent dans la ville, pendant que les grimpeurs continuent leur ascension.

On l 'a fait ...
On l'a fait, crénondijou ! On a tout déchiré sa race ! Yeeeeeppaaaaa!


Cherchant la colline d'en face, où les Sentinelles ont réussi à manier les bombardes, elle brandit l'étendard de la Zoko et sourit à son homologue, en charge du feu.
Joli final, qui brillait de milles feux (et pierres)
Elles auraient été sur la même colline qu'Amberle lui aurait sauté dessus, de joie. Euphorique, elle est.


Championnes du mooooonde ! On les rejoint ?
Bah et nous ?

Oooh. Les roux. Elle les avait oublié.
Zut. Elle était prête à rejoindre son suzerain moqueur et l'enturbanné dans Bourges. Se tournant vers les auvergnats, elle leur fait signe d'approcher l'engin de guerre. Mais rapidos hein, y a la fiesta en ville, et elle veut en être. Danse de joie, cuisine presque parfaite et de la binouze au programme.

Messieurs ... Vous avez un immense honneur. Vous êtes les premiers hommes volants.
Ptete que vous arriverez à toucher ou marcher sur la Lune !


Premier venu, premier à se placer dans la machine. 'tention aux échardes. Mais surtout à l'atterrissage. Pourvu qu'il y ait des bottes de foin pour adoucir le choc ^^


Et oubliez pas de cogner du berrichon une fois dans Bourges ! Touchez pas à la môme.


Tilde reste dans ses pensées. Quiconque la butera se prendra une dague dans le bide. Pô touche.
La brune recalcule les données... maintenant qu'elle a pigé la formule pour bien manier l'engin de guerre. La catapulte est rehaussée, le tir plus puissant que jamais. C'est par-dessus qu'il faut viser, et non en plein dans le mur.


Prêt ?
BAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAMMMMMM

Seul Aristote sait où le jeune homme atterrit. Y est plus dans le champ de vision de la brune.

A votre tour, sieur.


... et qu'ca saute! J'ai rencart en ville, moi ! Avec un maure, oui, mais pas que. Avec une Tilde à protéger, une Ysa à soigner, et des berrichons à bousiller. Sans compter le suzerain à engueuler.
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--- Rajoutez un "e" à AmberlE pleaze ---
P3r3v3rt
P3 était devant les remparts, ce depuis une demi douzaine de jours maintenant, depuis plusieurs jours, les assauts s'enchainèrent, mais jusqu'a présent sans vraiment de succès, des blessées quelques morts, mais rien de probant.
Comme a son habitude avant de lancer l'assaut, il regroupait ses hommes, tous en rang derrière oriflamme de la crépi coronia.
Il savait que tous n'allaient pas revenir, les hommes aussi le savaient.
Depuis 4 ou 5 jours, le rituel était bien rôder, il s'adressa a ses soldats.


Soldat, comme vous vous en doutez, ce jour nous repartons a l'assaut de Bourges, suites a nos attaquent répétitives, l'ennemi s'affaiblit de jours en jour, j'ai grand espoir de rentrer en ville ce soir, mais attention, les bougre qui sont la dedans se battrons comme des Norf enragés , comme des poussins en furie, attendez vous a voir tomber des compagnons sous leurs coups.

Soldat, je vous demande ordre et discipline, nous devons fondre sur les remparts en une seule vague, une vague si grande, que lorsque qu'elle leur tombera dessus, nul ne s'en relèvera.


Sur les mots du commandant, un soldat originaire d'un pays lointain, encore plus a l'est que la Turquie, avec des yeux et un teint peu répandu dans la région, cria un truc que personne ne compris.

TSUNAMI

P3, enchaina avec la devise des dragons de Touraine.

Soldats......Si j'avance suivez moi, si je meurs vengez moi, si je recule tuez moi.

CCCCHHHHHHAAAAARRRRRRGGGGEEEEEEEERRRRRR


Toute la Crépi se lança sur les murailles de Bourges, les échelles se posèrent sur les murailles, les hommes montent a l'assaut, les défenseurs sont débordés, les rondes des remparts cèdent peu a peu, la défense recule.
Lorsque p3 pris pied sur les remparts, un groupe de défenseur arriva, un gueux vêtu de haillon, tout maigre, mal nourri tenta de lui mettre un coup de bâton, d'un revers de bras le commandant repoussa l'attaque, puis a peine s'approcha t il du gueux que celui ci prit ses jambes a son cou et s'enfuit rejoindre le reste des défenseurs qui se repliaient en direction du château.

Une brèche était ouverte, la ville était sur le point de tomber.

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Galeallan
[le 30 au soir]

Le combat commençait à nouveau. Galeallan fonça dans le tas d'hommes et de femmes ou il distribuait de violents coup d'épée. Il jouait de son arme pour frapper à l'aveuglette sur tout ce qui s'approchait avec un air menaçant.
Tandis qu'il se retournait pour parer de son bouclier un coup d'épée il vit avec horreur un ennemi lever sa masse plus haut que tout le monde et l'abattre violemment sur sa tête.
Il s'écroula.


[quelques dizaines de minutes plus tard]

Galeallan avait repris ses esprits, plus de peur que de mal, finalement, ces auvergnats n'étaient pas si dangereux que ça.
Alors qu'il repartait se battre comme un forcené, il entendit sonner le cor qui annonçait la retraite de son armée. Mais il ne voulait pas partir. Il refusait obstinément de laisser sa place au vils tourangeaux et à leurs alliés.
Un nouveau coup de masse.

[le lendemain]

Galeallan apprit qu'il était avec l'armée à bonne distance de Bourges.
Quand il voulut savoir qui l'avait frappé, on lui répondit simplement que c'était un autre berrichon qui n'avait pas voulu le laisser sur place, et quand il voulut connaitre son nom, personne ne se manifesta clairement.
Il se rallongea sur sa couche, décidément, les coups Berrichons étaient bien plus violents que les coups Auvergnats...

_________________
Anastase
[Le Berry ouvre ses portes pour accueillir ses hôtes : enfin !]

L'Extase en mode rafale.
Derrière sa bombarde elle vise depuis tout à l'heure le même point de mur afin d'ouvrir une brèche.

A force de tir, les boulets s'épuisent.
Son regard se pose sur la Brindille qui s'attèle à la même tâche qu'elle.

LA BRINDILLEUUUUUUUUUUUUHHHH ! J'ai presque plus d'munitions !

BRAHOUUUUUUUMMMMMMMMM !

Puis soudain c'est l'illumination.
Le nuage de poussière se dissipe et laisse entrevoir la porte défoncée.


YEAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAA !

A quelques pas de là, la "Catapulteuse" des Zoko agite son drapeau.
La Stase s'empare du siens en guise de réponse.




A ce moment une masse humaine se dirige vers la brèche.
L'Extase sort sa lame de son fourreau et se colle aux chausses du Maure.


Hey l'enturbanné j'surveille tes arrières pendant qu'tu m'ouvres le passage ! Attention à l'huile sinon on va finir en pommes frites !

TAÏOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !

_________________
Macgyver59
Macgyver59 comme à son habitude patrouillé sur les remparts de Bourges quand une nouvelle charge ennemie fut lancé contre la ville.
C'est comme les nuits précédentes, on va souffrir mais on tiendra pensa Mac.

Alors qu'il s'apprêtait à descendre pour aller combattre la force ennemi une orbe scintillante alla se briser contre les parois de la muraille.Après cela, tout fut des plus confus.Mac fut éjecté et alla s'écraser quelques mètres plus bas.Après un temps qu'il ne put estimer il revint à lui.Par chance aucun débris de l'avait écraser et il put se relever.Ouvrant difficilement les yeux il remarqua une large faille dans la muraille, l'ennemi s'encouvrait dans celle-ci.Mac chercha son bouclier et son épée par terre et alla au près des défenseurs qui essayé temps bien que mal d'endiguer l'invasion de la ville.

Une femme, auvergnate pensa Mac d'après sa tenue se lança contre lui l'épée en avant.Mac para avec son bouclier et lui mit un coup de pied aux fesses qu'il l'envoya voler à plusieurs mètres.
31-10-2009 04:09 : Tufsy vous a porté un coup d'épée. Vous avez été secoué, mais vous n'êtes pas blessé.

Se retournant face à la brèche Mac ne put réagir assez vite quand il aperçu à quelques centimètres de son abdomen une lame scintillante. L'objet pénétra ses chairs facilement mais Mac ne ressentit point de douleur malgré tout le sang qui coulait sur ses habits.Il repoussa l'homme qui l'avait attaqué et enleva l'épée de ses entrailles.
31-10-2009 04:09 :Gothar vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.

Mac continua de se battre, une autre femme le chargea, il se mit à genou au dernier moment esquivant son épée et alla trancher avec la sienne la cuisse de la dame.Elle tomba par terre, Mac se releva et se dirigea vers elle pour lui donner le coup de grâce.
Sa vison devenait floue.Il leva son épée bien haut mais au moment ou il allait hoter la vie de son adversaire une autre femme voulut lui donner un coup d'épée!!!
Qu'est ce qu'elles ont toutes contre moi aujourd'hui ces bonnes femmes !!!
Mac abandonna la dame à l'agonie et para avec son épée le coup qu'on voulait lui porter puis se retourna et réussit à entailler légèrement l'épaule de la furie.
31-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Badgirl30. Vous l'avez sérieusement blessé.
31-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Gav1. Vous l'avez légèrement blessé.

Soudain il remarqua que maintenant tout ses habits étaient couvert de son sang, même ses chausses!!! Sa respiration devenue difficile, sa main ne put continuer à porter le poids de son épée et cette dernière tomba par terre.Il fit quelques pas vers la brèche regardant avec horreur l'ennemi prendre la ville puis il s'écroula.Il ne vit plus rien....Il n'entendait plus rien... une dernière pensée le traversa:
Et mer*e !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Robin_de_locksley
Après maints jours de siège, autant d'assauts repoussés, de morts et blessés dans les deux camps, il était temps de repartir à l'assaut. Après avoir pris l'habituel discours du lieutenant P3, Robin rassembla sa section qui ne comptait que deux personne: lui et Sirgwalchmai.

Allez, on fait la queue en attendant de pouvoir monter. dit il à Gwalchou.


BBBBBAAAAAMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM !!!!


B*rdel! plus une autre bordée de jurons. Ils ont enfoncé la porte. Pas la peine d'attendre, on entre. Histoire d'avoir quelques berruyers à éclater...

Robin partit en courant vers la porte et en hurlant comme un damné.

BWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!

ça c'est une vraie gueule de guerrier! Les autres recrues feraient bien d'en prendre de la graine.

Arrivée à la porte, les défenseurs sont déjà étendus. Il faut dire que l'assaut a été particulièrement violent. Robin poursuit son chemin dans le dédale des rues de Bourges.
Après quelques pâtés de maisons, il finit par tombé sur une femme, armée qui n'a pas l'air très pressé de lui céder le passage. Elle déclenche même les hostilés. Après une jolie passe d'arme, il finit par trouver la faille et abattre Glace, son épée, en direction du thorax de son adversaire. La berrichonne tente tant bien que mal de limiter la casse mais c'est trop tard. Elle s'effondre, visiblement toujours en vie tandis que le tourangeau continue de s'enfoncer au cœur de la ville.


Citation:
31-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Ionp. Vous l'avez sérieusement blessé.

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