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[RP]Procès public de Domy11 et Fabrizio05 attaque d'Albi

Eric.mrk
Eric n'avait jusque là guère manifester sa présence, mais à la réaction de la dame accusée, il s'était inquiété pour elle... Il la savait encore bien faible et dans de telles conditions, l'audience serait plus que pénible pour elle... La suspension d'audience arrivant, Eric s'approcha et vit que Dhei avait eu la même idée charitable... Eric lui fit un signe de tète et s'approcha pour s'occuper de la dame... Elle semblait à la limite de l'évanouissement, si faible... Sa colère avait consommé ses dernières forces... Elle avait besoin de repos...

Les gardes les entourèrent pour éviter toute fuite, mais personne ne songeait à cela... Eric suivit tout ce monde dans le bureau de Dhei...

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Domy11
Les derniers mots qu'elle avait prononcés résonnaient encore au fond de son esprit lorsque le juge appela:
"Qu'on lui emmène un remontant.....

J'appelle les témoins de la défense à la barre !!"


Leur avocat s'approcha ensuite et si elle ne suivit pas complètement ses explications du fait de son extrème faiblesse,du moins comprit elle qu'avec ses propos,les assistants...Jurés et spectateurs....Pourraient mieux saisir dans quel désarroi ils se trouvaient ,Fabrizio et elle.

"La Cour se retire, veuillez vous lever !!! "

Il lui était bien impossible de faire quoi que ce soit...Encore moins se lever...

Les gardes s'approchèrent d'elle et elle serra les dents,encore pleine du souvenir de leur dernière intervention.

Mais ,s'ils ne furent pas des plus doux,du moins ne manifestèrent ils pas de brutalité comme la fois précédente et elle vit avec soulagement que Eric,le médicastre qui avait pris soin d'elle à l'hospitalet,s'approchait lui aussi...

On les conduisit dans le bureau du batonnier ......Enfin quitter cet endroit...Les regards des albigeois.....Même pour un court instant....Respirer.....

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Iurek
Iurek amena les deux accusés au bureau du batonnier, veillant que les gardes alentours n'abusent pas, une nouvelle fois, de leur pouvoir. Sur ce court trajet, il interpella un des gardes de la geôle.

"Aidez la à marcher, par la Sangdieu ! Elle ne s'enfuira pas ! Allez leur chercher quelque chose a boire et a manger !"

Le garde obtempéra rapidement. Il se trouvèrent bientôt devant le bureau de Dhelmet, devant lequel il s'arrêta, laissant entrer l'avocat, le medicastre et les deux accusés. Le garde revint en courant, avec une cruche d'eau et une miche de pain frais.

"Ca ira. On les laisse tranquille."

Il frappa a la porte, déposa la nourriture, et retourna à l'extérieur, avec les autres gardes. Il regardait l'affaire avec un intérêt nouveau. Du moins, il regardait Fabrizio avec un respect nouveau. Un guerrier pareil ! Vidame, Capitaine, Croisé ! Par la Sangdieu ! Il sourit intérieurement. Venir avec cinq gardes ... Pour arrêter un homme pareil... Il en aurait fait du petit bois s'il n'avait été aussi abimé. Il pensa que si ces deux personnes devaient se trouver dans ses geoles, il leur fournirait une cellule un peu plus confortable que celles habituelles. Ainsi qu'une trentaine de gardes armés jusqu'aux dents supplémentaire.
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" Jamais d'aultres armes nous prendrons que celles que nous élizons,
Et nous disons pour réconfort nous voulons la liberté ou la mort. "
--Greffier_de_justice


La foule et les notables dicutaient bruyamment dans l'enceinte de tribunal quand le greffier fit son entré par la porte de la salle des magistrats. Il te tint debout devant la barre avec le baton dans la main qu'il cogna au sol:

Toulousains, messers et Donas, faites silence !!! Veuillez vous lever, la Cours !!


Aldin et les jurés reprirent leurs sieges, les accusés et l'avocat retrouverent leur place ainsi que le Procureur dans le prétoire.
Aldindethau


Un garde s'approcha subrepticement du juge pour remettre un pli cacheté.
Aldin brisa le sceau de cire et lu la missive.

Il se leva et fit silence avec le marteau,


Accusés, maître; messire le Procureur, je vais vous faire lecture du témoignage de dame Cricri du Lazenay qui ne peut être presente physiquement pour témoigner dans ce tribunal en raison de la defense du Berry donc elle possede un fief.

Aldin se recla la gorge:


Citation:
Votre Honneur bonjour.
Je m'adresse à vous dans cette affaire par missive, en effet j'ai dû partir depuis maintenant de nombreux jours afin de défendre ma terre, le Berry, contre les envahisseurs... je ne rentrerai pas dans les détails... pour ne point abuser de votre temps et de celui du tribunal. Je suis sur le chemin du retour mais ne serai pas là dans les temps pour pouvoir venir témoigner comme il me l'a été demandé et je m'en excuses.
Je vous adresse donc mon témoignage que vous pourrez lire à la cour.
Citation:
Votre Honneur, Messires et Dames les jurés je me nomme Cricri de Lazenay et de Soires, je suis douanière d'Albi et Adjointe au Connétable du Comté.
Le 27 septembre au petit matin alors que je faisais ma ronde aux portes de la ville, j'ai vu une armée installée.
J'en ai aussitôt averti qui de droit, puis j'ai envoyé, comme je le fais à chaque arrivée d'un étranger en notre ville, un courrier .
Je tiens à préciser que le courrier que j'adresse à tous les étrangers foulant le sol d'Albi est bien plus précis et complet que la missive que Messire Little_dheimet vous a lu .
En voici la teneur :

Citation:
Bien le bonjour,

En tant que douaniere d'Albi Je vous informe que nos frontières sont fermées jusqu'à nouvelle ordre, aussi je vous demanderai de me fournir votre laisser passer ou auquel cas faire le nécessaire auprés du connétable Messire Aru et de nous indiquer la raison de votre venue et la durée de votre séjour.
Sans laisser passer vous avez 48h pour quitter le Comté de Toulouse sous peine de mise en accusation.
Afin de toujours mieux sécuriser notre territoire, et de rendre votre voyage des plus agréable,je vous informe des lois de notre comté et des décrets en vigueur dans nos villes.

Vous trouverez toutes les lois ici:
http://chateau-narbonnais.forumactif.com/salle-des-actes-f59/

N'hésitez pas à les consulter afin de vous informer entre autre des décrets concernant la réglementation du marché.

Si vous voyagez en groupe armé (lance ou corps d'armes), vous aurez besoin d'une autorisation du connétable Messire Aru, ou de moi même son adjointe.

Vous trouverez la loi relative aux groupes armés et le formulaire à remplir ici: http://serenity.nuxit.net/univers-rr/toulouse/groupes/
Si les membres d'un groupe armé continuent à voyager sans demander d'autorisation ou bien restent en groupe armé alors que leur demande a été refusée, ils seront accusés et poursuivis pour Trouble à l'Ordre Public.

Cordialement,
Cricri Dame de Lazenay et de Soires
Adjointe au Conestable du Comtat de Tolosa
Douanière d'Albi


concernant cette missive, ce jour là il y avait ....... elle consulta ses notes... feuilleta ses parchemins ... heuuuuuuu!!!
il y avait ce jour là dix sept étrangers devant les portes d'Albi, je n'ai reçu aucune réponse, pas une...

Ensuite j'ai adressé également une missive au meneur de cette armée Messire Lelmax dont voici également la teneur

Citation:
27/09 11.56 armée du BA Lelmax
bonjour,
je vous informe que les frontières du comté de Toulouse sont fermées,
je viens de voir votre armée stationner devant les portes d'Albi.
Je vous demande de bien vouloir me faire part de vos intentions, il vous faut une autorisation pour traverser notre comté.
J'espère que vous comprendrez ma position de douanier.
Dans l'attente de votre réponse
cordialement
Cricri Dame de Lazenay et de Soires
Adjointe au Conestable du Comtat de Tolosa



Cette personne n'a pas daigné me répondre non plus...

Toute la journée la ville a été en ébullition afin de prendre toutes les mesures à sa défense au cas où cette armée, dont le meneur et les membres n'avaient répondu à aucune de nos demandes, se prenait l'envie d'attaquer la ville et la mairie...
La défense fût mise en place... défense dont je faisais partie et dans la nuit l'armée a bien attaqué, mais les villageois, la maréchaussée et les militaires sur place ont si bien défendu leur ville que l'armée a été mise en déroute, le meneur a quitté la ville sans demander son reste en abandonnant certains membres de son armée blessés ou mortellement blessés dont les deux prévenus que je vois ici faisaient partie.

Je ne pense pas avoir autre chose à rajouter... je me tiens à votre disposition si vous avez d'autres questions à me poser.Je serais bientôt rentrée à Albi
respectueusement votre

Dame Cricri de Lazenay et de Soires
Adjointe au Connétable du Comté de Toulouse
Douanière de la ville d'Albi
Citation:



















Citation:












Maître Little, Procureur Momose avez vous une réaction par rapport à ce témoignage avant d'ecouter le premier temoin de la défense?

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Heimrich
Heimrich suivait avec attention le déroulement du procès, plusieurs points lui semblaient peu clairs et il avait du mal à se faire une opinion sur cette affaire. Il en était à se demander si quelqu’un avait réellement reconnu les accusés pendant l’attaque de la ville et s’il viendrait témoigner à la barre de cela, le doute était permis que cette affaire ne soit qu’un horrible malentendu…

C’est avec grand soulagement qu’il accueille la suspension de séance pour se restaurer un peu et prendre l’air devenu lourd dans la salle…

Quelques temps plus tard la séance reprend, Heimrich rejoint sa place, des questions lui brûlant les lèvres, il les poserait un peu plus tard au moment adéquat… C’est alors qu’on évoqua une sombre affaire de paperasses administratives, il écouta attentivement le témoignage par procuration, ne sachant si cela était bien légal…
Momose


Le procureur écouta l'accusé Domy qui depuis le départ n'avait fait que souffrir en silence et qui prit la parole à bout de force, pour essayer de sauver son honneur. Une fois que l'accusé eu terminé, il se mit à réfléchir sur ses paroles, il entendit le juge demander que le témoin de la défense avance à la barre, puis l'avocat de la défense prit la parole il l'écouta attentivement, quand soudain un petit sourire au coin de ses lèvres apparue et il commença à prendre des notes et attendit la fin.

Le juge leva la séance à la demande de la défense, il se leva et alla manger.

Il revint à l'audience et s'installa et écouta le juge, quand il se tourna vers lui pour lui demander s'il avait des questions sur ce témoignage.

se leva légèrement


Non votre honneur pas de réaction tout est clair, merci

se rassit et attendit le témoin de la défense
Little_dheimet
Environs deux heures après la suspension de séance, la garde pénitentiaire leur fit savoir que le procès allait reprendre d'un moment à l'autre, et qu'ils devaient, Dhei et les accusés, être en salle pour attendre le juge et la reprise du procès.

Domy paraissait moins souffrir, et était surtout plus calme; mais plus qu'à elle, ce temps de répit avait également calmé Fabrizio.

Dès la reprise, le juge lu, après leurs accords, la déclaration de la connétable adjointe, Dame Cricriultras de Lazenay. Il l'écouta attentivement et fut soulagé que les choses aient ainsi été clarifiées...

Le juge demanda si la défense ou l'accusation avait quoique ce soit à redire; l'atornat décida de ne rien dire...


Votre Honneur...

Dhei se leva,

Si vous le permettez, je vais juste relever certains points de la missive par vous lue.

Votre Honneur, Mesdames et Messieurs les jurés; vous avez dans ce témoignage de la personne qui était en faction ce jour même, et qui de surcroit est certainement la douanière la plus expérimentée du Comté, car occupant la fonction de connétable adjointe depuis quasiment l'ouverture du Comté par notre bon Roy.

Nous pouvons retenir de son témoignage que mes clients ont bien reçu le courrier standard remis à toute personne arrivée à Albi; et seulement celui là; Pas une série de pigeon qui leur aurait été envoyé, non; un seul courrier standard.

Qu'ont ils fait lorsqu'ils l'ont reçu? ils ont avisé le meneur; quoi donc de plus normal pour des personnes escortées? Maintenant, lorsque ce meneur vous informe qu'il se charge de tout, et que tout sera réglé; que faites vous? d'autant plus qu'après ce courrier, vous ne recevez aucune relance quelconque.

Dans le courrier, la connétable nous dit qu'Albi, de par la présence de l'armée, était en ébullition, et se préparait à se défendre; ...

Une question me vient à l'esprit; où étaient mes clients? au bord du Tarn à vivre leur amour, à s'aimer; à attendre patiemment l'heure du départ...

Le nuit tombante, au lieu de départ, ce sont des hommes et femmes en furie qui tombèrent sur eux, les molestant; que dis-je? les battant jusqu'à les laisser pour mort; allant même jusqu'à enfoncer une lance dans l'abdomen de ma cliente Domy ci-présente.


Se retournant vers les jurés...

Mesdames et Messieurs les jurés;

Je vous demande encore une fois; à la place de mes clients, auriez vous agi différemment?

Pour ce qui est de l'attaque, vu que je n'ai pas les tenants et les aboutissants, je n'argumenterais point dans ce sens; cependant il me revient de dire...

Imaginons même que le meneur ait voulu prendre la mairie d'Albi, ceci est une décision personnelle... bien sur, qu'ils étaient escortés par cette armée, et non membre, comme on voudrait le faire croire; mais cela les rend t'il responsables des agissements du meneur?
C'est bien là toute la question Mesdames et Messieurs...

Ce témoignage vient donc répondre à une question cruciale et battre en brèche le principal argument de la procure qui est que mes clients ont agi en toute connaissance de cause.

Maintenant, je serais tenté de vous poser qu'une seule question... qu'est ce que l'accusation a réellement contre mes clients qui prouvent leur participation à une tentative de pillage?

Mais avant que vous répondiez; je vais appeler ici même, la personne qui a présenté mes clients au meneur; la personne grâce à laquelle mes clients ont bien pu être escortés. Elle viendra ici pour nous dire comment mes clients sont entrés dans ce groupe, et quel rôle ils y tenaient...

J'appelle donc Donà Sofio à la barre...

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{Pour toi, avec toi... pour l'éternité. Dans mon cœur tu demeures à jamais, reposes en paix}
Jalna83
De témoins en témoins Jalna avait suivit le procès de ceux pour qui elle avait fait quérir le médicastre ce jour funeste de la grande « bataille des vaillants » .

Assise dans les premiers rangs, le maire d'Albi observait...Le juge, digne et professionnel, les témoins un peu évasifs, les jures légèrement perdus et enfin les accusés …

Tout restait dans sa mémoire... le bruit des fers.. les plaintes des blessés... les cris de Fabrizio réclamant de l'aide pour son épouse...
Des images, des visages de colères, du sang s'épandant, des vomissements de trouille...

A l'annonce du nom de Sofio, Jalna se pencha légèrement en avant; elle avait rencontré la dame la veille des affrontements...

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Milite contre le port du baillon.
--Jules_le_paysan



le regard torve, une barbe en broussaille, les cheveux gras et long, une bouches édentée, Jules suivant le procés coincés entre un meunier et un boucher de forte carrure.

N'y tenant plus, il voulait voir du sang, il venait de son village pour assister à une execution, il ne comptais pas repartir en ayant rien vu.
Soudain, à la fin de la plaidoirie de la défense, il s'exclama apres un rot sonore:

Qu'on les brule, qu'on les écartele, à mort , à mort, c'est comme çà que l'on doit traiter les étrangers qui viennent égorger nos compagnes et vider les caisses que nous, paysans se tuons à la tâche pour remplir. Laissez moi les, je vais bien m'occuper d'eux !!!!
Le juge reclama le silence en tapant avec energie avec le marteau,

Citation:
Qu'on fasse taire cet homme, on est pas à la foire ici !!!


Ce sont les dernieres paroles qu'il entendit avant d'être bousculer, tirer vers le fond du tribunal et à moitié assommé par les gardes.


--Soso
quand elle entendit que c'etait son tour de témoigner elle se leva, lanca un regard autour d'elle se gratta la tête pensive

Messieurs dames,

a tellement a dire, en fait déjà arrêtez de dire que c'est une armée du BA, cela m'irrite profondément, vous avez vu un étendard auvergnat vous?si oui faut penser a réviser les couleurs.pas bon

hochement de tête

alors se qui c'est passé c'est simple domy c'est une amie on s'est croisé par le nord la haut elle m'a dit,...... on descend a Toulouse les routes ca craint fabrizio vieillit se ramollit j'ai peur de me faire attaquer, j'ai dit on a une armée monte dedans on te descend sans soucis tu crains rien, elle et son drôle sont venue et ont suivie chaque jour, sans savoir car seul le meneur peut savoir .

Elle regarde l'assemblée, des hommes des femmes, certains ont dans leurs yeux ce que l'on peut appeller de la compréhension d'autres ont le regard pétillant comme si on pouvait y voir un feu dedans.

Et vous messieurs dames, vous auriez fait quoi sachant les routes en insécurité, vous sachant pas de taille a braver le danger, une femme frêle, son époux faiblard z'auriez fait quoi vous? si on vous avait proposé un voyage sans risque?
Garriguette
Garri avait écouté en silence le juge, le procureur, les témoins de la défense comme la lecture de la lettre envoyée par son amie Cricri, témoin de l'accusation. Elle avait écouté la plaidoierie brillante de l'avocat, son ami également.....ainsi que les accusés dont ses yeux ne pouvaient se détacher... Plus qu'écouté, elle avait entendu les vociférations d'un paysan dont la dureté des paroles l'avait fait frémir...Elle était loin de s'être fait son intime conviction, tant de points restant à ses yeux, trop inexpliqués et inexplicables ! Elle attendait la suite des débats espérant que ceux-çi allait l'éclairer un peu plus. Une question la taraudait pourtant depuis un moment. elle se leva et s'adressa au juge Aldindethau

Votre honneur , puis-je, je vous prie, poser une question ?
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Aldindethau


Aldin ecoutait les dépositions impassible et sans montrer une quelquonque émotions qand un jurés se leva pour prendre la parole.

Bien sur juré Garriguette, vous pouvez intervenir à tout moment dans ce procés.

Greffiers, veuillez prendre note de l'intervention du juré.

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Fabrizio05
Assis sur un banc au côté de sa femme,entourés tous deux de gardes et de lourdiers. Mains sur ses genoux,Fabrizio observait en retour d'une suspension de séance l'intervention de leur amie mais néanmoins meneuse de leurs groupe incriminé.

Un immense sourire se fit à l'écoute des propos le concernant, se retenant par pudeur de ne pas rire franchement, il continua donc à écouter ses élucubrations.

Le temps de cette " pause" lui avait permis de pas répondre franchement à l'un des jurés, lui qui croit dur comme fer à leurs responsabilités et surtout à leurs culpabilité l'affichant très vite.

Mais que répondre à un homme qui croit que son ancien statu lui permet de pas répondre de ses actes, lui qui croit qu'il se prévaut de pas se devoir d'être dans un procès coupable ou non.

Son regard s'attarde un instant sur l'homme, si il savait...si il savait que tous les actes commis il les a assumés et ce la tête haute.

Pendant la durée de leurs séjours dans le bureau;Fabrizio ressent un nouveau parfum les concernant enfin lui plus tôt.
Les lourdiers gardent continuellement la main à leurs pommeaux d'épées et en serrent l'autre sur la hampe de leurs lances.

Fabrizio les regardent brièvement, si elle lui donne sa permission , il sait où frapper, où déchirer les chairs, meurtrir ses hommes ,les blessés grièvement voir les tués.

Son attention à fait tout le tour du bureau il sait où trouvé ce qui lui manque mais il ne fait rien. Pas un muscle de sa part bouge. Il ne fait que attendre,cachant au plus profond son dégout.

Les prendrent eux pour des bandits, de ne pas la soutenir comme il le devrait;car au moindre geste qu'il fait un de ses gardes l'en empêche.

Mais que dire devant l'intervention du persécuteur?.Rien si ce n'est de le remercier de son geste d'humanité. Fabrizio le regarde en douce, il détail ses mains, il sait où frapper afin qu'elles en deviennent mortes, qu'elles ne servent plus.

Mais il ne fait rien, il dit si peu gardant tout en lui, cachant son bouillonnement, sa colère. Gardant à l'esprit que seul un membre du jury s'est déjà exprimer sur le verdict et que lui, soit par fausse prétention ou par dédain et de non respect pour ce procès, les crois coupables et ce par sa faute.

Alors il la regarde, les yeux meurtries de la voir ainsi, un chagrin immense l'envahit sur ce banc, sa main va vers la sienne et tendrement il al lui prend et la serre très fort. Lui insufflant ainsi le courage qui peut lui manquer.

Mais Fabrizio sait, il sent. Des regards lui vrille la nuque, les cries se sont tues devant l'expulsion de cet homme, ils se font pitié parfois et questionnement devant les paroles de leur avocat.

Alors il est là le visage tourner vers un autre membre du jury prêt à répondre au cas où. Main dans la main avec Domy , assis sur se banc.

Face à leurs accusateurs et surtout face à un homme qui pense que l'hypothèse fait l'action...que l'hypothèse fait les actes et les accusés.
Alors que répondre à tant d'ineptie devant ses paroles...juste un silence.Car on ne peut condamné quelqu'un sur des suppositions.
Garriguette
Merci votre Honneur ! Voilà, maitre Dheimet a fait état tout à l'heure des états de service impressionnants de l'accusé Fabrizio et certains d'entre eux relèvent de bien nobles qualités de coeur... Toutefois, il peut arriver que certaines personnes aient, comment dirais-je, une sorte de double personnalité ! Aussi, ma question sera bien simple : y a t'il dans le passé de l'accusé, des actes au delà de celui dont l'accusation le soupçonne d'être l'auteur aujourd'hui, qui aient été répréhensibles et qui tendraient à confirmer cette double personnalité ? L'accusé a t'il déjà fait l'objet de poursuites pour atteinte à la sécurité du royaume ou de ses habitants ? Parce qu'il me semble que, sauf à avoir une motivation supèrieure ce qui, pour l'instant, n'a pas été démontré en ces lieux, on ne peut devenir sans raison, du jour au lendemain, un être vil et sans honneur ! Voilà votre Honneur, la question qui m'interroge en cet instant !

Garri se rassit....
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