Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >   >>

[RP] : Ainsi va la vie, va!

Zeiss
Zeiss salua Isis et entra dans la maison,une atmosphère oppressante régnait en ce lieu.Il suivit Isis dans la chambre de Mc et vit Tophe auprès d'elle.Il constata que son amie allait au plus mal,cela l'attristait.Mais c'était ainsi,personne ne pouvait y changer quoi que ce soit.

Au moment où il entrait dans la chambre,Mcchipie faisait un cauchemars.Un lourd silence s'était installé,personne ne disait plus que ce qui était nécessaire,et à vrai dire,il n'y avait pas grand chose à dire.La seule chose à faire était d'accompagner au mieux leur amie dans ses derniers instant.Lorsque celle-ci se réveilla et qu'elle demanda si ça allait bien,Zeiss fit un pâle sourire.


Voyons,ne te préoccupe pas de notre bien être à nous...

Le jeune homme se tourna vers Isis.

Je peux faire quelque chose pour aider?
_________________
Isis25
Isis ne quittait pas le chevet de sa soeur.

Lorsqu'elle entendit Zeiss proposer ses services, elle lui sourit


Merci, Zeiss. Mais pour le moment cela va.Je sais que tu es là ainsi que Tophe. Je me sens rassurer.


Puis, elle remit à nouveau les oreillers correctement à sa soeur et lui sourit tendrement.


Veux-tu quelque chose, boire, manger?


Les larmes continuaient à couler sur ses joues, mais Isis n'y faisait pas cas. Elle laissait le chagrin faire son office.

Elle cherchait ce qui pourrait soulager un peu Chipie pour qu'elle souffre moins. mais les seuls remèdes qui pouvaient l'aider , Isis ne voulait pas les utiliser. Elle savait que sa sœur ne les supporterait pas. Elle ne lui donnerai que si Chipie le lui demande avec une grande insistance.
Et Isis saurait alors quoi faire. Et cela lui faisait peur. Elle redoutait cette instant bien plus que tout ce qu'elle avait pu endurer par le passé.

_________________
Mcchipie


Mcchipie regarda ses amis et tenta un trait d'humour.

Bon faites pas cette tête... On dirait que vous êtes à un enterrement. Je vais finir par devoir raconter une de mes blagues moisies

Mcchipie se mit à rire, rire qui se voulait joyeux mais qui tourna à la quinte de toux. Elle prit l'écritoire, et s'installa pour écrire.

Elle pensait à son oncle, cet oncle qu'elle adorait plus que tout.

Mon cher oncle,

J'espère que tu vas bien, cela fait bien longtemps que je ne t'ai vu.

Ma santé s'est détériorée, c'est pourquoi je tiens à t'écrire ce petit mot qui se veut d'adieu. Sache que tous les bons moments, comme les plus tristes que nous avons partagé, restent des moments que jamais je n'ai oublié. J'ai des souvenirs pleins la tête de toi.

Je me souviens particulièrement de ton cours de révérence, avec ta voix fluette.


Mcchipie sourit à l'évocation de ce souvenir, elle se rappela aussi les coups de pieds aux fesses pour l'obliger à être plus vigilante, ou alors ces roses qu'il lui offrait chaque fois qu'il se voyait.

Sache que je te voue une affection autant infinie qu'éternelle. Je t'embrasse mon oncle adoré.

Tendrement,

Ta nièce Mcchipie.


Mcchipie mit ce parchemin de coté, elle aurait bien le temps de les nouer.
Elle regarda Zeiss et lui dit.

Zeiss, sache que je ne t'oublierais jamais. Tu m'as souvent fait rire. Tu es un brave jeune homme. Prends bien soin de ta belle épouse. Cette jeune femme au tempérament bien trempé. Avoue qu'il lui faut au moins ca pour vivre avec toi,hein?^^. C'est une jeune femme qui m'a toujours fasciné, elle dégage une énergie incroyable, elle a un humour débordant. Prends bien soin d'elle, car je la pense fragile sous ces épaisseurs protectrices. Fais un doux baiser à toute ta famille de ma part. Jamais je ne vous oublierais.

Mcchipie les larmes aux yeux, avait de moins en moins de courage. Ce qu'elle faisait lui prenait une énergie folle.

Elle se tourna vers Tophe.

Quand à toi... Oui toi, Tophe, tu sais tout ce que je pense de toi et ce depuis bien longtemps. Tu as été mon ami le plus proche. Tu m'as donné plus qu'un coup de main à la mairie, tu as toujours été une épaule, une écoute. Tu es une perle. Prends bien soin de toi et de ta famille.
*sanglots controlés, les larmes se mettent à couler* Merci milles fois.

Mcchipie ne peut plus parler, elle regarde dehors pour contrôler son chagrin, ce chagrin qui masque la peur.

Elle prends un second parchemin.

Ma chère Vic,

Je t'écris cette lettre et c'est bien la dernière que tu recevras de moi. Je suis au plus mal. Je tenais à t'écrire, car nous avons eu des hauts et des bas. Je t'ai toujours dit ce que je pensais, ce qui est mal passé parfois, avec ton tempérament volcanique.
Malgré tout, tu es ma sœur adoptive, et je te garde une place affective en mon cœur.

Prends soin de toi,

affectueusement,

Ta soeur Mcchipie


Mcchipie reprit un parchemin :

Ma chère Ellebasi,

Ma toute belle, je t'écris cette ultime lettre, pour te faire parvenir mes amitiés les plus sincères. Je n'ai jamais oublié tout ce que nous avons partagé, les rires, les pleurs. Tu es une chouette femme. Tu incarnes la beauté, la sensibilité, la féminité et le courage. Reste telle que tu es, c'est à dire : un ange.

avec toute mon affection
Mcchipie


Les larmes coulaient sans discontinuer. Les meilleurs moments de son existence remontaient à la surface. Elle comprenait qu'elle n'en vivrait plus beaucoup.

Elle but un peu de tisane tiède pour dessécher sa bouche et ferma les yeux comme pour s'abandonner. Elle souffrait tant qu'elle désespérait de s'en aller. La tristesse n'améliorait en rien sa souffrance, mais en remontant les souvenirs, elle oubliait la douleur physique. Pallier un mal par un autre...

_________________
Zeiss
Zeiss écouta Chipie avec attention,se dépêchant d'essuyer la larme qui venait tout juste de couler.Il lui fit un faible sourire.

Moi non plus,je ne t'oublierai jamais.Ton souvenir sera toujours dans mon coeur.

Il se pencha et posa un baiser sur la joue de son amie.Malgré le fait que la fin s'approchait,et que c'était visible,il gardait l'image d'une Mcchipie souriante dans son esprit.

Il s'accroupit afin d'être à sa hauteur,avoir plusieurs personnes toutes debout autour de sois devait être pénible.C'est aussi pour ça qu'il prenait bien soin de ne pas la plaindre,et encore plus de ne pas avoir pitié,ce qui serait le pire.Il se contenter d'être avec elle pour ses derniers instants dans son enveloppe charnelle.


Si tu veux que je te rende un dernier service,vas-y,je le ferai.
_________________
Uriel
Il avait chevauché toute la journée.
Prévenu par Isis lors de son départ d'Epinal, il avait du passer par Nancy pour affaires ecclésiastiques ; à plusieurs reprises, il s'était demandé si il arriverait à temps.

La jeune hospitalière avait une fois encore "vu" juste et ses prédictions allaient une fois de plus, hélas, se réaliser. Elle maudirait certainement le destin.

Arrivé près de le bâtisse, il vit les fenêtres légèrement ouvertes ... un bon point pour l'aération des miasmes, l'on n'était jamais assez prudent.
Il pénétra silencieusement dans l'édifice et entendu quelques bruits feutrés venant d'une pièce.

Passant la tête, Uriel salua Isis, Zeiss et Tophe. Ses yeux tombèrent alors sur Mc.

Ce qu'il vit ne lui laissa pas vraiment de doute, il s'y était préparé psychologiquement tout le long du voyage.
Fort de sa formation de médecine chez les Lescuriens, il n'y avait plus qu'une seule chose à faire : s'en remettre au Très-Haut.

D'une voix douce et calme, il prit alors la parole.


Alors, mon Amie, ... me voici, je viens te saluer.
Sur bien des routes mes pas m'ont porté et parfois ensemble nous avons voyagé.
Au delà des sentiers, la belle campagne lorraine nous avons exploré.
Puis tels des oiseaux colorés nous sommes partis chacun de notre côté.
Et aujourd'hui, telle la vague qui revient de la mer, me voici de retour à Verdun pour avec toi, refaire un bout de chemin.


Il lui sourit alors, ne s'approchant guère plus, pour l'instant.
_________________
Victorinne, incarné par Flavien_von_frayner
La brune était en train de travailler sur des dossiers héraldiques qu'elle ferait parvenir à Oedipe faute de pouvoir se déplacer en ce moment tout en veillant sur sa fille qui lui ressemblait un peu plus chaque jour. Un page de son hostel particulier vint frapper à la porte du bureau ducal pour lui remettre un pli portant les armes des Von Frayner. La vescomtessa le congédia afin de pouvoir lire cette missive des plus intrigantes. Gardant son calme pour ne rien laisser paraître devant sa fille, elle se dirigea vers son bureau pour prendre un parchemin afin de répondre à sa sœur



Citation:
Ma chère soeur,

J'aimerais comprendre pourquoi tu ne m'as rien dit plus tôt sur ton état qui semble être des plus alarmants? Etait ce pour m'épargner bien des tourments ?

Je reconnais que nous avons eu bon nombre de disputes toi et moi, chose que je déplore fortement parce que nous avons gaspillé notre énergie pour rien au lieu de profiter pleinement de la vie et de ce qu'elle nous apporte.

Il a fallu que je quitte la Lorraine pour réaliser que notre père avait raison avec ses sermon que je n'ai jamais prit le temps de réellement écouter auparavant.

C'est triste à dire mais je constate que nous ne changeons que lorsque nous sommes au bord du gouffre.

Sache que tu es et que tu resteras toujours ma sœur adorée.

Ton enquiquineuse,

Isis25
Isis ne quittait plus le chevet de sa soeur. Elle ne voulait pas perdre une seconde de sa présence.

Lorsqu'elle entendit des pas qu'elle reconnut fort bien, elle se retourna et fit un pâle sourire à Uriel. A son regard, elle comprit qu'il avait enfin comprit ce qu'elle lui avait dit un jour. Leur regard se croisèrent mais celui d'Isis bien que triste indiquait qu'elle était à nouveau en colère contre le destin.


Merci d'être venu si vite Uriel. Je craignais que tu ne puisse arrivé à temps.
Il ne lui.......... il ne lui reste..........
..

Isis n'arrivait même plus à finir ses phrases tant le chagrin la tenaillait.

Elle le laissa s'approcher et sourit lorsqu'elle l'entendit parlé à sa sœur. Elle entendit à nouveau du bruit et vit un messager arrivé avec une missive. Elle alla prendre la missive, donna une piécette au messager et retourna près de sa sœur .

_________________
Sybille_von_frayner
C'est le lendemain de son arrivée sur les terres de Dounoux qu'on apporta à Sybille un pli cacheté. Elle fut étonnée et pensa tout d'abord à Uriel. Inquiète elle s'empressa de vérifier le sceau car elle le savait en route pour Verdun. Pourvu que rien ne lui soit arrivé !

Quelle ne fut pas sa surprise, quand elle constata qu'il s'agissait en fait d'une lettre de son amie McChipie. Intriguée, elle décacheta le vélin avec empressement et se plongea dans la lecture...


Citation:
Ma chère Sybille,

J'espère que cette lettre te trouvera en bonne santé. Je prends la peine de rédiger cette lettre car je sais que je n'aurais bientôt de force pour tenir ma plume. Quand à savoir, si j'aurais encore assez de vitalité, de vie?
Tu as longtemps été ma meilleure amie, celle à qui je disais tout. Les souffrances que la vie m'a infligée, m'ont éloignée de toi. Je n'arrivais plus à te parler. Et souvent, à travers la douleur, je t'en ai voulu, car tu me manquais. Je sais à présent que j'étais la seule coupable, et je te demande pardon du plus profond de mon coeur pour cela. J'espère que tu me pardonneras.
Je te souhaite le meilleur de la vie, être heureuse. Je te demanderais de transmettre mes amitiés les plus sincères, à ta famille, à Enorig que j'admire tant, à Arman qui m'a beaucoup amusée, ainsi que son épouse. Tu diras à tes deux autres frères Chlodwig et Feddy, que je les adore, et que là ou je vais, je penserais toujours à eux, avec force affection.
Je garde en souvenir de toi, ces soirées en taverne, à chanter, ces longues soirées à veiller au coin du feu, parlant de choses et d'autres. Je garde le meilleur.

Je te demande une dernière fois de me pardonner.
Sache que même si je ne te l'ai pas montré, tu m'as terriblement manquée.

Ton amie,

Mcchipie


C'était à croire que le sort s'acharnait. Après son jumeau, voilà que c'était son amie qui était malade. Malade apparemment au point d'en froler la mort à chaque instant.

Elle poussa un long et profond soupir de découragement et laissa tomber le parchemin qui vint mourir sur le sol en silence. Elle était épuisée moralement par toutes ces mauvaises nouvelles. Ses yeux clairs s'emplirent de larmes. Elle porta une main à son front, prit place sur un siège et se mit à sangloter... Combien de temps ? Elle n'aurait su le dire...

Un soupire, encore... Elle se décida enfin à relever les yeux, se leva, et se dirigea vers une fenêtre. Regard jeté sur le domaine... La nature se mettait en sommeil... L'automne la rendait si belle... Tout était si flamboyant et dans son coeur, tristesse et détresse. Si seulement Uriel était là. Ses bras lui manquaient tant !

La jeune duchesse frissona. Elle fit appeler un domestique.

Un valet fit son entrée alors qu'elle s'installait à une table de travail. Elle griffonna rapidement quelques mots sur un parchemin...


Citation:
Ma très Chère Amie,

Ta missive m'a bouleversée.

Je suis désolée d'avoir mis autant de temps à te répondre. Seulement ton coursier ne m'a pas trouvée à Herbéviller mais à Dounoux. Je me trouve au chevet de Frédéric-Guillaume qui est souffrant lui aussi.

Je prends toutes les dispositions nécessaires pour venir te rendre visite au plus tôt. Promets moi que j'arriverai à temps...

L'émotion est si vive que j'en ai du mal à écrire correctement. Puisses-tu me pardonner ?

Avec toute ma tendresse et mon affection,
Sybille


Elle cacheta rapidement le pli et le tendit au valet en exigeant de sa part une promptitude exemplaire. L'homme aussitôt se retira. Déjà Sybille s'en retourna auprès de son frère pour lui annoncer qu'elle s'absenterait quelques heures tout au plus. Qu'il ne s'inquiète pas... Elle prit soin également d'aller trouver Choupinette pour lui expliquer la situation...
_________________
Isis25
Isis du à nouveau quitter sa soeur. Un nouveau messager venait d'arriver. Elle lui donna aussi un piécette et retourna très vite près de sa soeur.

Curieuse de nature, elle regarda le seau et vit que la missive venait de Sybille. Elle fronça légèrement les sourcils se demandant si elle devait donné la missive à Chipie ou pas. Puis après avoir réfléchit rapidement, elle lui tendit le parchemin et attendit soucieuse sa réaction.

Elle regarda ses amis qui était là pour veiller aussi sur la soeur. Et des souvenirs lui revint en mémoire.

Chipie, tu te souviens de nos soirées en taverne? Lorsqu'on avait des fous-rire avec nos amis. Et nos longues conversations sur le chemin de nos maisons.

Voyant sa sœur fatiguée, elle mit sa main sur son front. Il était brulant.
Elle regarda Uriel, lui demandant des yeux un conseil. Elle prit un linge propre et alla chercher un bol avec de l'eau fraiche. Elle mit le linge humide sur le front de sa sœur en soupirant de tristesse.

Isis sentait la fatigue la gagner mais elle ne voulais pas s'endormir. Pas encore. Elle voulait profiter de sa sœur tant qu'elle le pouvait. Ses yeux lui faisaient mal mais elle n'en avait cure. Elle serai forte jusqu'au bout.

_________________
Uriel
Tandis qu'il était au chevet de Chipie, il se retourna lorsque l'on frappa à la porte ... mais ce n'était qu'un messager qui délivrait missive.

A voir la mine de Isis, Uriel se demanda ce qui la tracassait, puis ses yeux tombèrent sur le sceau qu'il reconnût comme celui de la Duchesse d'Herbéviller.
L'image de la douce Sybille se superposa en filigrane et vint balayer la scène, tel un vent d'automne emportant les feuilles roussies tombées des arbres ; ainsi, comme la vie s'en allait, tous y assistaient, impuissants.

Un instant, il resta pensif, sachant qu'il serait dans quelques jours aux côtés de la jeune fille qu'il chérissait tant.
Mais il fut vite rappelé à la réalité, croisant le regard d'Isis.

Il soupira et hocha la tête négativement.

Il n'y avait plus grand chose à faire, excepté s'en remettre à Dieu et à Sa grande mansuétude.
Si Celui-ci n'intervenait pas dans ce monde, tout du moins avait-Il Son mot à dire dans l'autre ...

Il voyait le désespoir gagner les personnes qui étaient présentes dans la pièce ... la perte d'un proche était toujours abominablement douloureuse ...
Et cette souffrance qui était la leur, était aussi celle de Dieu, car l'humain faisait partie de Lui et en souffrant, Il souffrait aussi.

_________________
Tophe69
Tophe avait les yeux remplit de larme, le cœur lourd et l'esprit ailleurs;
les parole de chipie raisonnait dans sa tête.

Ils avaient vécu tellement de chose ensembles, de grands moment de complicité, de bonheurs, d'amour, d'amitié.
Tophe essaya de répondre à Chipie
Toi aussi, tu est mon amie
Il s'arrêta la sens pouvoir plus rien dire la gorges nouées, des larmes coulaient sur ses joues.

Tophe ne pouvait se résigner à voir son amie aussi faible, aussi mal.
Il ferma les yeux quelques instant revoyant des scènes de leur vie; des moments de joies; des fous rires.
Il sourit et et ajouta,
Je ne t'oublierais jamais.
Tophe ravalla sa salive
tu va me manquer
_________________
Bientôt a venir
Lavania
Lavania avait vu rapidement Mcchipe à l'Ost, elle ne semblait au mieux de forme. Pourtant, Lavania avait toujours un peu de difficulté à aller voir Mc. Elle avait été la première personne que Lavania avait rencontré. Elle avait été une de ses bonnes amies, jusqu'à un certain moment et ensuite tout avait changer.

Encore aujourd'hui, la jeune femme se sentait mal à l'aise d'aller voir Mc et pourtant, en se promenant en ville, elle ne pouvait se résoudre à rester ainsi sans rien faire. Prenant une grande respiration, elle tourna le coin qui la mènerait à la maison de l'ancienne mairesse de Verdun. En espérant qu'elle n'avait pas pris trop de temps à se décider...

Une fois devant la maison, elle attendit quelques secondes avant de s'avancer et de frapper à la porte, toujours un peu incertaine de la décision qu'elle venait de prendre. Puis résolument, elle toqua à la porte, attendant qu'on vienne lui ouvrir ou qu'on lui dise qu'elle pouvait entrer.

Pourvu qu'il ne soit pas trop tard...
_________________
Mcchipie


Mcchipie fût étonnée de voir Uriel arriver. Elle en ressentit une vive émotion. Les larmes qui coulaient sans discontinuer, ne purent se tarir sous cet effet. Les sanglots, elle les contrôlait, mais elle ne parvenait pas à endiguer la fuite de ce chagrin. Elle en venait à craindre de s'étouffer, sous le chagrin car parfois l'air venait à lui manquer.

Elle regarda Uriel.

Je suis heureuse de te voir. Sache que je ne te l'ai jamais dit, mais tu es et tu as toujours été mon Ami.

Mcchipie aurait voulu lui parler en privé, mais le temps lui manquait.

Je te remercie d'être parmi nous. Je sais pertinemment que tu as beaucoup à faire. Prends bien soin de toi, Uriel.


Elle reçut des missives qu'elle lût, submergée par les larmes. Elle aurait préféré ne pas montrer sa détresse à qui que ce soit. La seule image qui leur resterait serait donc celle d'une personne triste?

Elle reprit sa plume pour écrire aux dernières personnes qui lui tenaient à coeur.
Citation:


Mon cher Elenion,

Tu es un formidable ami. Sache que tu es un mec bourré de talent. Tu vaux bien plus que tous tes détracteurs réunis. Mais le talent, ce coté travailleur, ce coté sympathique fait peur à ceux qui ne sont pas fichus d'en avoir un dixième.
Je te dis adieu, et te souhaite le meilleur du monde.

Mcchipie


Puis, regarda Tophe.

Tophe, Tu as su être mon ami, sans me juger, sans jamais me demander plus. Tu as été la, quand j'ai eu besoin de te parler de ma vie, de mon coeur, de mon travail. Tu es l'ami idéal. Je te remercie, de toute mon âme. Ne m'oublie pas, s'il te plait. Pense toujours a la Mc que tu as connu.


Elle entendit frapper, et eut le temps de voir que Lavania était entrée. Une joie immense la fit sourire. Elle la regarda avec dans ses yeux un merci infini. Mais le chagrin la rendit muette. Elle referma l'encrier, et repoussa l'écritoire. Puis elle regarda Isis, et la serra dans ses bras, sachant que le lendemain ne la verrait pas.
Elle n'arrivait de toutes façons plus à parler. Elle se sentit très faible. Besoin de dormir, oui dormir, s'envoler.
Elle ferma les yeux, sa respiration devint rauque. Le seul mot qu'elle parvint à balbutier fût : Fi....

Soudain, le silence, la vie avait quitter Mc. Elle n'aurait pas le temps de finir sa phrase.

Elle se sentit porter par un vent tiède, une couverture chaude la ceint. Une béatitude l'envahit. Elle eût l'impression de voler, et durant son ascension, elle vit quelques images de sa vie défiler, comme pour l'accompagner vers les ténèbres. Une impression de sourire, une impression de joie la submergea.



Je me permets de faire un encart à la censure, pour faire ce petit aparté HRP. Ici, s'arrête la vie de Mc. Je remercie tous les joueurs qui ont fait vivre mon personnage. J'y ai rencontré des gens réellement formidables, des gens qui sont aujourd'hui devenus mes amis. Je vous souhaite à toutes et à tous de vous amuser autant que j'ai pu le faire.
Surtout, n'oubliez pas que la vie est belle
Au revoir à tous et à toutes

_________________















Isis25
Isis ne quittait plus sa sœur d'une seule seconde.

Elle lui passait les missives au fur et à mesure qu'elles arrivaient.
Tant qu'elle lisait et continuait son courrier c'était du temps de prit sur l'ange de la mort.


Alors qu'Isis serrait sa sœur dans ses bras, elle comprit d'un coup que Chipie s'était éteinte. Ainsi sa dernière pensée fut pour Fiha. Elle l'avait donc aimer malgré tout.
Elle poussa un cri de douleur. .



Non!!!!!!!!!! Pas maintenant. Chipie revient. J'ai encore besoin de toi.Nous avons encore tant de chose à faire et à se dire.
Je te maudis à jamais le destin.



Elle serra encore plus fort le corps de sa sœur et l'embrassa plusieurs fois.

Puis, elle se reprit et demanda à ses amis présents de faire chauffer beaucoup d'eau. Elle voulait s'occuper seule de sa sœur. La préparer pour son dernier voyage mais en faisant les rites de son pays d'adoption.

Elle savait que cela ne plairait pas à Uriel mais elle n'en avait que faire. Elle sorti de son sac une tunique en lin blanche et un pot de natron.
Elle prit l'eau bien chaude et fit la toilette de sa sœur et l'habilla avec la tunique tout en prononçant des mots dont elle seule savait la signification.
Puis, Isis fit elle-même sa toilette et mit une tunique aussi noire que la tunique de sa sœur était blanche et un voile noire sur ses cheveux qu'elle avait laisser tomber sur le dos.


Une fois prête, elle alla ouvrir la porte et fit signe que les personnes désirant voir chipie une dernière fois pouvaient enter dans la chambre en attendant que l'on vienne chercher le corps.

Isis ne pleurait plus. Elle était dans un état second mais savait ce qui se passait autour d'elle. Intérieurement, une sourde colère la tenaillait mais elle arrivait encore à la contenir.

Maintenant qu'elle avait perdue sa sœur, il lui fallait aller de l'avant pour les jumelles et Frédérick. qui eux auront besoin de soutient. Mais quand les reverrait-elle?

_________________
Ellebasi40
Ellebasi apres avoir reçu une lettre de son Amie Mc avanca avec prudence envelopper dans un manteau le vent glacial ,me fit trébucher sur une pierre et arriva à se retenir .

Ne sachant pas comment elle allait , elle frissonna se demandant comment je la trouverais.mon dieu prenez soins d'elle ...

laissant ma peine me submerger, soufflant un grand bol d'air elle toque et entra voyant autant de monde autour Mc elle reste un peu à l'écart pour laisser les personnes lui parler ou prier ..


Se rappelant le contenue de sa messive elle la déroule et la peine me pris en larme elle s'essuyant les yeux avec une étoffe ..Et parcourt le parchemin .

Citation:


Ma chère Ellebasi,

Ma toute belle, je t'écris cette ultime lettre, pour te faire parvenir mes amitiés les plus sincères. Je n'ai jamais oublié tout ce que nous avons partagé, les rires, les pleurs. Tu es une chouette femme. Tu incarnes la beauté, la sensibilité, la féminité et le courage. Reste telle que tu es, c'est à dire : un ange.

avec toute mon affection
Mcchipie


Elle senti ses yeux se remplir de larme et attendis Isis crier de douleur .
S'avançant vers son amie elle pris Isis dans ses bras et la réconforte ..
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)