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[RP] Pour retrouver le monde et l'amour

Dyruvia
après quelques temps à chercher, Dyruvia cru voir le manteau de la comtesse au loin

mais le temps d'arriver sur place, elle avait de nouveau disparut

il n'était guère enchanté d'aller prévenir Rose mais peut être était-ce un ordre qu'il avait reçu

quoi qu'il en soit la comtesse semblait introuvable
où pouvait-elle s'évader comme ça ?

et ses gens qui ne semblait ne pas l'avoir croisé

comment peuvent-ils passer à coté d'une comtesse soigneusement habillé sans même s'en rendre compte; sont-ils aveugle à se point ? Pas étonnant qu'il y ai autant de guerre en se pays

Dyruvia devenait de plus en plus hargneux, empoignant certain des passants d'une façon très brutal

il semble que l'on soit totalement libre en cette région

pas un garde, pas une milice, pas même un officier de justice venant calmer les ardeurs de Dyruvia

dans de tel condition, comment ne pas envisager le pire, pourrait-elle avoir été enlevé ?

le doute commençait à s'immiscer dans l'esprit de Dyruvia
Arielle_de_siorac
Excusez-moy, mon brave... murmuroit Arielle, les doigts effleurant le bras d'un passant.

Hein? L'inconnu la dévisagea d'un air ahuri. Qu'est-ce qu'elle luy vouloit, cette nobliote? Vous m'avez parlé?

Oui, souffla-t-elle, inquiète de ne pouvoir parler normalement. Mais que se passoit-il avec sa voix? Je... J'aimerois savoir où je suis, quel est donc cet endroit? Je...

Hein?

Je vous mande qu...

J'comprend rien à ce que vous marmonnez, ma dame.

Il haussa les épaules et la laissa plantée là, déconfite. Interrogeant silencieusement les regards autour d'elle, la comtesse se sentict plus démunie que jamais.

Elle erra quelques minutes parmi les soieries et les épices, humant les parfums, caressant une étoffe au passage. C'estoit la première foys qu'elle arpentoit ce lieu; l'accent différoit légèrement de celuy en Béarn. Perplexe, elle se contentoit de se laisser imprégner par les sensations qui se frayoient un chemin jusqu'à elle. La journée estoit ensoleillée, l'air vif luy piquoit les poumons.

Un peu plus loin, on s'agitoit, des cris éclatoient. Il sembloit y avoir quelque échauffourée. Plusieurs badauds s'estoient arrestés pour tenter de voir la scène. Fronçant les sourcils, Arielle s'éloigna du danger. Elle se sentoit vulnérable, il ne falloit guère traisner là.

Apercevant l'enseigne d'une auberge, elle y entra pour réfléchir à sa situation.


Quelle est vostre spécialité? chuchota-t-elle au tavernier quand il luy manda ce qu'elle vouloit boire.

Bah pourquoi vous me causez tout bas? Soyez pas timide, ma belle dame. Ici c'est l'Armagnac, on boit de l'armagnac, tudieu!

Ah... ici, c'est l'Armagnac? Ah bon... Un verre d'armagnac, alors, je vous prie.

La comtesse fict mine d'ignorer les coups d'oeil en coin qu'on luy lança, et déposant le contenu de son sac sur la table, elle prict une note dans un cahier tout neuf qu'elle trouva parmi ses affaires. L'Armagnac. Mais que faisoit-elle là?

Au milieu de ses babioles, une missive. Arielle la parcourut rapidement. Oh... Une lettre d'Erel. Voilà qui expliquoit...

Mais qui n'arrangeoit rien.

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Attention: cherche bon rôliste, loyal, drôle et non blasé pour jouer fils héritier, envoyez un MP
Fitzzchevalerie


[Sorti de l'auberge, direction les écuries!]

Ses azurs se posèrent sur Rose qui lui proposait d'aller enfin faire leur promenade tant attendu. Réponse qui n'attend guère en deux temps trois mouvement ils saluent la compagnie, sortent de la taverne et prennent la direction des écuries. Petit sourire taquin adressé à Rose alors qu'elle lui demande s'il est pret pour la défaite.

Oui plutost, je me sens d'humeur galante aujourd'hui et je ne voudrais surtout pasvous gâcher la journée ou encore moins vous perdre en gagnant une éventuelle course. La victoire aurait alors un bien triste goût...

Fitzz s'approcha alors en même temps que rose du box de sa jument. Celle ci contrairement à celle de son amie semablait ravie à l'idée enfin se dégourdir un peu les pattes n'ayant pas eu l'occasion de le faire depuis leur arrivée à Saint Bertrand. Il regarda un instant la bête qui avait été baptisé prdence et n'avait malheureusement de la prudence que le nom. Lui tapant affectueusement la croupe, il la détacha et la mena par la bride à l'extérieur du boxe. Fin pret à partir il patienta quelques instant avant de voir Rose arrivé à son tour sa jument trainant légèrement la patte.

Oh ne vous en faistes pas, ça ira mieux dès que nous serons sorti et qu'elle pourra respirer le grand air...

Accompagnant l'actoin à la parole il se dirigea vers la sortie entraînant les autres dans son sillage. Puis une fois à l'extérieur il se tourna face à Rose qui lui demandait où il allait avant de grimper à son tour sur sa monture et de lui répondre.

Eh bien je ne sais pas nous irons là où les sabots nous porteront je suppose... Petit sourire avant d'inviter Rose à passer devant et de faire troter sa jument dans le sillage de la sienne.
--.lorette.




[Aux jupons frivoles - Bordel de Sent Bertran]

Le coude poser sur le comptoir du bouge, la petite Lorette attendait nonchalamment le corsage légèrement délassé laissant entrevoir la marchandise aux éventuels chalands. Enfin ç'était pas parce qu'elle exhibait ainsi une partie d'sa poitrine qu'il fallait s'croire tout permis! Pas le droit d'tater avant d'avoir porter la main à la bougette! C'était une de une règles qu'elle s'était donnée et qu'elle ne manquait de rapeler à l'inopportun qui tentait de la passer outre.

La catin jetta un coup d'oeil vers l'tenancier, ça faisait maintenant plusieurs années qu'elle travaillait pour l'Jehan et elle connaissait chaque recoin du bougre. En effet avant d'estre son patron et d'ouvrir son bouge l'avait été un de ses premier client . Elle poussa alors un petit soupire, l'après midi n'était malheureusement pas des plus prolifique... Cependant alors qu'elle se faisait cette réflexion, la porte émit un grincement et commenca à s'entre bailler. Lorette se redressa alors rapidement bombant légèrement le buste l'air aguicheuse prête à acceuillir ce qui serait sans doute son prochain client.

Au dessus dans une des chambre la vieille Madeleine était déjà entrain de battre le briquet avec un nobliau du coin qui avait semblablement besoin de réconfort. Au rez de chaussé non loin d'elle, intallés sur une table au fond de la taverne, murmuraient entre eux quelques badauds sans même lui adresser un seul regard .

Sourire toujours sur le visage, elle fixait la porte Mais son sourire s'effaça aussi tôt quand une petite Dame plus très jeune mais fort élégante bien acoutrée entra le regard trahissant son inquiètude. Icelle discuta rapidement avec Jehan avant de se commander un armagnac. Légèrement surprise elle s'approcha d'la Donzelle en question avant d'lui dire.

Ben alors ma p'tite Dame m'semble pas qu'soit vraiment un lieu pour vous ici... Elle se raprocha et lui sussura. Vous estes perdu? J'me rapelle pas d'avoir d'jà vu vostre trogne, si? Faistes gaffe en tout cas faudrait pas qu'un des bougres présents puissent croire qu'vous vendiez vos services... Enfin après si z'estes là pour remplir un peu vostre bourse ç'pas moi qui vous empêcherait tant qu'vous m'piquez pas mes clients...
Par ailleurs la vieille Madeleine s'réserve les nobliaux donc z'estes prévenue! L'aime pas trop qu'on marche sur ses plates-bandes la garce...


Par contre si vous estes là pour vous détendre un peu on vous trouv'ra bien un bougre pour vous satisfaire d'autant qu'vous semblez avoir d'quoi payer!
Dévisageant alors la Dame d'un air perplexe, elle enchaina: En tout cas je s'rai bien curieuse de savoir qu'est ce qu' c'est l'genre d'mâle qu'vous aimez bien vous ?!? Mais d'ailleurs j'en connais p'têtre un qui pourrait faire l'affaire maint'nant qu' j'y pense... Elle lui adressa alors un sourire lubrique lourd de sous entendus, puis se tourna de nouveau vers Jehan avant de s'exclamer:

Allez un autre armagnac pour moi et la p'tite Dame, ç'moi qui paye!
Arielle_de_siorac
Teint d'albastre virant au rouge vif. La comtesse écarquilla les yeux devant la créature qui estoit venue luy parler. Dans quel bouge estoit-elle tombée? Les premiers mots de l'inconnue luy confirmèrent ses soupçons, et c'est avec un sourire vergogné qu'elle répondict à la jeune femme.

Oh, merci pour ce verre, ma damoiselle, murmura-t-elle. Je... Je ne suis ici que pour réfléchir... enfin, je crois.

C'est alors qu'elle prict conscience du parfum d'alcosve qui régnoit dans la pièce. Évitant autant que possible de heurter du regard les deux mamelles qui la toisoient crasnement, Arielle planta ses yeux dans ceux de la jeune femme.

Vous estes bien aimable, mais je ne suis guère hum... attirée par... ce commerce. Je suis une dame mariée, mère de famille. Comtesse du B... Comtesse.

Enfin... C'est ce qu'elle estoit jusqu'à ce qu'on luy prouve le contraire. Après tout, que savoit-elle de ce qui luy estoit arrivé depuys ce jour-là, à Pau?

Et en faict, qui luy disoit qu'elle n'estoit là que pour réfléchir? Peut-estre... Peut-estre estoit-elle désormais à sa place en ce tripot? Cette idée la fict frissonner d'horreur.


Hum... Je suis Arielle de Gilraen de Dénéré, murmura-t-elle dans un sourire incertain, tentant de mener quelque conversation normale, si ce qualificatif pouvoit s'appliquer à la situation. Et vous, ma damoiselle?
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Dyruvia
s'en était trop de cette ignorance

pris de colère il attrapa le premier passant par la chemise
un homme habillé comme les forgerons de son pays natal

nostalgie ;
le sable me manque, ce vent cette chaleur ; ce silence
l'odeur du sable fin glissant entre les plis des habits
arriver où nul ne vie, là où la solitude devient une amie, une présence physique et palpable qui vous accompagne tout au long du chemin
quand la chaleur dessine le reflet des dunes, que cette solitude vous prend le bras pour vous convaincre du point d'eau inexistant au loin
ces millier de lieux menant vers nulle part,
le voyage qui n'a que pour seul but de se retrouver derrière cet horizon bleu.

Voyager, c'est aller de soi à soi en passant par les autres*


l'empoignant violemment par son tablier et le soulevant sur la pointe de ses pieds,

Je cherche une femme, élégante, assez âgé, l'air un peu confus

l'ouvrier, tremblant, pointa du doigt une direction, une grande auberge aux fenêtres sombres très peu fréquenté et légèrement évité par les passants

Dyruvia se dirigea alors vers cette grande demeure aux allures étranges


*proverbe populaire touareg
Rosedeplantagenest


[Quelque part sur des chevaux]

« -Me perdre ! Hum… »

Rose sourit, amusée par ses propos et les deux jeunes gens se mirent à trotter dans ce village ou nulles âmes ne les connaissaient…

Les chevaux cote à cote, Rose commence à sentir son corps se détendre, ne faisant qu’un avec sa monture. Ses mains lâchent le harnais, venant se poser sur son encolure, luy prodiguant des doux murmures et de petites caresses…comme lors de leur évasion.

Penchant son corps contre sa jument, Rose la talonne et le galop commence à se faire sentir.

N’estre qu’un, sentir le vent venir cingler son visage, se sentir heureuse et libre, oublier l’agression de sa mère, profiter du temps qu’on luy offre…
Le corps se cale sur l’allure de sa jument, ne tournant que le visage, elle fict un merveilleux sourire à son compagnon de cavalcade hivernal.
Il est là juste derrière elle…


« -Hum…dis ma belle, on devrait accélérer et essayer de semer nos accompagnateurs…mais sans les perdre…tu en penses quoi ? »

Légère pression de la main sur la jument qui accélère tout a coup.

Non loin, face à elle deux s’ouvrent la forêt, Rose ne veut pas la pénétrer, en ces temps de début d’hiver très froid, elle craint que les loups ne soient là, elle ralentit alors, la jument comprenant son redressement se mit au petit galop.

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Ambassadrice Béarnaise en Alençon
Ambassadrice Béarnaise en Orléanais
--Legrosjean


[Aux jupons frivoles - Bordel de Sent Bertran]

LA mine renfrognée, l’œil brillant de colère contre sa Lorette qui pousse la convers avec une nobliaute.

Le Gros Jean les laisse discutailler un instant, tant qu’elle lui rapporte quelques monnaies sonnantes et trébuchante, il n’est pas contre, mais faudrait pas que ca dure trop.
Et là ca commence à faire !


LORETTE ! J’te paye pas pour faire la causette ! Reprends ta place et fais venir ces hommes un peu ! Si tu veux t’as qu’à la prendre avec toi la brune là.

Le torchon en main, il essuye ses grosses mains en venant vers Lorette et la riche.

Dites moi donc faudrait ouvrir un peu vot chmisier si vous voulez avoir un homme !
Et j’ter moi c’truc de fourrure, vous allez m’faire fuir tout l’monde !


Il entendit son nom, la regarda des pieds à la tête, sachant que quelques clients pourraient la trouver à son gout, quoique un peu viellote mais bon, en détachant ses cheveux, lui mettre une tenue plus saillante, elle f’rait l’affaire

Z’etes mère d’famille ? Z’auriez pas une fille par hasard, j’recrute en c’moment, et si elle est aussi bien foutue qu’vous, j’la payerais un peu plus ! Et Lorette, tu viendras pas t’plaindre si t’manque d’l’argent à la fin d’semaine !

Le torchon est jetté sur l’épaule, posant ses grosses mains sur l’épaule de la nobliaute

Allez ote ca, ouvre ta robe et ton premier client arrive !

La porte s’ouvre au même moment, laissant apparaître une grosse ombre bien masculine à l’entrée.
Dyruvia
Dyruvia se dirigeait a demi temps vers la sombre auberge

HIKE

je ne suis pas ton chameau rétorqua d'un ton sec Dyruvia cherchant du regard qui avait bien pus lui parler ainsi

tu comptes rester là longtemps ? Ou bien allez auprès de ta maitresse ?

Dyruvia chercher du regard, se tournant et retournant de droite à gauche cherchant qui pouvait lui parler comme cela ; il connaissait cette voie pourtant, mais personne autour de lui ne semblait le regarder

Qui es-tu ? Et où te caches-tu ? Dyruvia avait parlé si fort que les passants s'étaient arrêtés et le regardaient plein de questions

près de la porte de l'auberge sombre, une ombre lui faisant signe de rentrer

il connaissait cette silhouette, pourquoi n'arrivait-il pas à mettre un nom sur cet homme

c'était bien un homme, de taille moyenne à l'allure fatigué

Dyruvia se dirigea vers la silhouette d'un pas plus pressé, c'était un maure
un chèche bleu-marine surmontait une robe écru très propre, étonnamment propre pour la région et le temps, en s'approchant encore il vue cette croix à sa ceinture
instinctivement Dyruvia posa sa main sur la sienne,

un kel Aîr ici


personne ne semblait regarder ce maure, cela le troubla un instant
alors qu'il était épié de la tête au pied à chaque rencontre, personne ne semblait se préoccuper de ce second maure

Dyruvia se réjouissait de pouvoir enfin parler dans sa langue natal avec un autre membre de sa famille
il pressa l'allure, presque à courir, quand il aperçût enfin le visage de l'homme
il se stoppa net

Hyru ?!? maitre

Dyruvia posa un genou sur cette terre boueuse couverte de neige légèrement fondu, une main à son coeur.

son bras qui l'avait laissé tranquille, engourdit par le froid, se rappela à lui par une douleur aigüe qui lui tira un rictus presque comique

Maitre, je vous croyais mort

nous en reparlerons plus tard, presse toi ta maitresse t'attend à l'intérieur ; n'oublie pas quel est ton rôle, prend grand soin d'elle et de sa famille en mon nom et en celui de ton peuple

Dyruvia se releva et alors qu'il allait répondre à son maitre il se trouvait seul face à la porte

en cherchant son maitre du regard Dyruvia s'aperçût que les passants le regardaient d'un air si particulier qu'il ne sus analyser
qu'importe il n'était plus l'heure des questions

Dyruvia ouvrit alors la porte, l'intérieur était sombre et légèrement crasseux, une tablé d'homme dans un coin

le clair du jour dans le dos Dyruvia paraissait encore plus impressionnant
bien plus grand que la moyenne des hommes de ce pays, il devait parfois faire attention aux haut de portes,
Dyruvia resta un instant sur le pas de la porte

sa carrure et sa taille encombré si bien le bâti de la porte qu'on aurait pu croire cette dernière encore fermée

puis il trouva enfin la comtesse, une femme dans le plein âge très peu couverte et un gros homme couvert de tache de graisse, ou toutes autres choses aussi dégoutante, une main sur l'épaule d'Arielle

HÔTE TA MAINS DE LA
rugis Dyruvia claquant la porte derrière lui et se dirigeant menaçant vers l'imprudent.
Guilloux
Les jupons frivoles était un lieu certes sordide mais que le Lavergne se plaisait à fréquenter lorsque la chaleur des femmes venait à lui manquer. Assis dans l’ombre, l’esprit embué par l’alcool déjà consommé, il méditait seul dans la pénombre qu’offrait le fond de cette auberge de la débauche.

C’est alors que son ouïe, peut être dernier de ses sens auquel l'alcool ne s'était pas encore attaqué, capta un nom qui ne lui était pas étranger.

Arielle de Gilraen de Dénéré....

La tête qui se tourne difficilement pour apercevoir l’ancienne comtesse de Béarn aux prises avec le maître des lieux.

Plus que surpris de la voir en tel lieu, il se leva pour aller la saluer, bien que la lumière du jour s'invitant par la porte désormais ouverte lui agressait vivement les yeux.


Bien le bonjour votre grandeur ! Quelle surprise que de vous rencontrer en Armagnac et surtout en pareil établissement….
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--Legrosjean
HÔTE TA MAINS DE LA

Ha ben v’loi que l’cureton s’y met !

Y’veut s’la faire la pt’ite Dame le cur’ton ?
Si oui , j’te fais un prix, allez pour 120 écus bien tassé j’te la laisse l’aprem !


La main reste sur l’épaule de la gonzesse, éclatant d’un rire gras

HAHAHAHAHAHA Non mais t’crois ou toi ? T’es chez moi ici alors tu payes ou tu dégage, pigé ?
Tout l’monde ici, marins, paysans, savent qui ch’suis alors l’cur’ton qui veut s’faire la brunette il allonge la monnaie !


Le Gros Jean secoue la tete, touchant sa moustache, un sourire sardonique aux lèvres en regardant le drapé quand un de ses clients s’approche tout titubant, l’alcool dégageant de sa bouche une odeur chaude. Sa main de la moustache se retire et il se recule afin de servir un nouveau verre au client, puis réfléchit un instant et en apporte un aussi au drapé.

Allez tiens bois donc un coup, ca va pt’etre te detendre mon gars.

Puis se tournant vers son client

Dis donc tu attendra que l’cur’ton est fini avec la brunette avant d’y gouter, et comme qu’t’es un bon client , ben p’t’etre que t’ferais un prix a toi

Le Gros Jean ecouta le client appeler la brunette, et commença à se demander si elle était pas vraiment Comtesse elle, quoique ca peut etre vrai vu son mantel. C’est vrai qu’il en voit pas souvent des comme ca d’abords…

Boudiou si jamais je m’retrouve avec sa garde aux fesses !
Balarion
Balarion continuait de chercher Arielle quand il entendit une voix qu'il crut reconnaitre. Il se hâta et aperçut Arielle avec un homme gros et sale la main sur son épaule et Dyruvia qui semblait avoir des envies de meurtre. Il courut vers eux et sans un mot sorti son épée et mit un coup de pommeau dans le nez de l'homme.

Si jamais tu repose un doigt sur elle je te tranche la main!!

Puis il se tourna vers son compagnon.

Désolé d'avoir mis autant de temps a t' il...abusé d' Arielle??

Il regarda la comtesse qui ne semblait pas comprendre ce qui passait, il lui offrit son bras pour l'aider à sortir de cet endroit sordide.
Dyruvia
Dyruvia encore troublé par l'apparition de son maitre, réagit avec un peu de retard Balarion avait déjà pris l'initiative de remettre le gros homme à sa place

un homme très imbiber d'alcool, mais portant le même genre de tenu soigné que la comtesse semblait la connaitre

Dyruvia se ressaisit et regarda Balarion

nous devrions rentrer avec la comtesse à l'auberge, Mademoiselle Rose ne va pas tarder et notre situation ne va pas s'arranger

Dyruvia fit une pause comme pour réfléchir puis continua

part devants, je te rejoins, j'ai quelques affaires à régler avec cet homme pointant du doigt le gros homme

Monsieur, mademoiselle rose ne tardera pas à rentrer de sa chevaucher, elle serait ravie de vous recevoir au côté de sa mère. Si vous n'y voyez aucun inconvénient, nous serions ravie de faire le chemin jusqu'à notre taverne en votre compagnie

il s'avança alors en direction du malotru près de la comtesse

quant à toi, nous allons devoir nous expliquer à l'écart

il empoigna alors violemment le gros homme qui devait peser plus de 220 livres .

il l'entraîna avec lui, vers ce qui semblait être une arrière salle, empoignant son Djambiya tout en continuant à marcher vers la salle sans même regarder si quelqu'un les suivait.

ces évènements s'enchaînèrent si vite que Dyruvia ne pris à peine le temps de porter un regard sur la comtesse
Arielle_de_siorac
Le teint d'Arielle avoit oscillé entre le carmin et le blafard tandis qu'autour d'elle, les événements s'enchaisnoient si vite qu'elle n'avoit nulle chance de répondre, estomaquée qu'elle estoit devant tant d'inattendu.

Les boudins gras servant de doigts à ce vulgaire pourceau pesoient lourd sur sa fresle ossature. Ignorant totalement la raison pour laquelle elle se retrouvoit au milieu de cet imbroglio, à se faire malmener, elle sentict néanmoins l'indignation enfler, luy coupant souffle, luy baillant la chair de poule, luy dressant l'échine comme une épée.

La comtesse se leva, blesme, fulminante, et trucidant des prunelles ce gros lard qui vouloit la tripoter, elle saisit cette main impudente pour la jeter à bas. Sa colère gronda sourdement, telle la menace du tonnerre roulant sur le plat pays.


Vous allez immédiatement me présenter vos excuses, misérable faquin.

Son chuchotement, si faible soit-il, avoit claqué dans l'air moite du bouge.

Elle toisa alors sévèrement Balarion, qui sembloit vouloir la traiter comme une enfant, et un inconnu agressif aux allures exotiques. Iceluy venoit d'empoigner l'homme et de le traisner plus loin. Sans un mot, elle laissa glisser son regard vers la ribaude, puys vers les traits avinés de quelque pilier de taverne qui... qui l'avoit reconnue... Oh! Guilloux Lavergne!


Excellence! Bien le bonjour. J'ignore ce que je fais céans, souffla-t-elle en songeant qu'elle ne se seroit guère attendue à le trouver, luy non plus, en pareil lieu, mais vous pouvez estre certain que je ne resterai guère.

Enfin, Arielle ramena son attention sur le verrat planté là, un peu plus loin, un Maure accroché à la peau du cou. Ils la dépassoient de plus qu'une teste, mais nullement impressionnée, elle les dévisagea avec dignité, attendant leur repentir pendant qu'elle se souvenoit encor de la scène.

Edit suite à l'intervention de Dyruvia.
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--Legrosjean
Hola ! Tout va trop vite pour Le Gros Jean ! Habitué aux bagarres d’hommes ivres à virer comme des malpropres de la taverne d’accords mais que y’en ait un qui ose lever la main sur lui ca jamais !
Il avait beau être grand mais faut pas pousser mémés dans les orties !


Dis donc le drapé là tu vas dégager d’chez moi illico ! J’aime pas les bagarres alors oust j’veux plus d’vous ici ! Et r’prenez vot Comtesse là, j’savais qu’ca allait m’amner des emmerdes tiens !
LORETTE ! Va bosser boudiou ! Laisse donc ces roitelets !


Il posa rapidement ses mains sur les épaules de la Comtesse en lui faisant oui de la tête lorsqu’elle demanda des excuses et la tourna vers la porte en la poussant un peu.

Et toi avec ton épée, si tu veux pas qu’j’appelle à la garde tu rengaine ton truc !
Allez oust oust, j’veux plus vous voir moi ! Vous êtes chez moi ici, et si y’a bagarre qui c’est qui va payer c’est bibi encore !


A ce moment le cureton le prit par le bras et décida de commencer à l’entrainer on ne sait ou.
Par un peu de souplesse et filouterie qui lui reste, le Gros Jean réussit à s’extirper et lui fait signe de partir à lui aussi


Elle a rien vot’ Comtesse mais faudrait penser à la surveiller hein si elle a pas d’mémoire ! On s’demande même comment elle peut être Comtesse tiens !

Mais bon, Vot’Alt..non..Vot’ Maj…non plus…Vot’ Gran…pfff..M’dame la Comtesse, désolé, j’pouvais pas savoir ! Mais maintenant filez vite avant de m’attirer des ennuis !
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