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[ RP ] Aux portes de l'Auvergne

Gmat
[ HRP : RP ouvert à tous dans la mesure de la cohérence et du respect le plus totale de tout rpiste. On suit les couleurs employées en gargotte berrichonne à savoir le bleu/vert pour le berry et le rouge/orange pour l'ADC. Utilisez les MP en cas de besoin. Bon jeu à tous LJD Gmat ]


Il y a trois jours encore, le Cadre Noir avait pénétré les terres auvergnates, contournant le Berry par la Bourgogne.
Une Bourgogne faible certes, mais une Bourgogne désireuse de voir tomber l’Auvergne...


Mercenaires !!!!!
Nous voilà désormais en terres ennemies !
Nous ne sommes qu’une armée détachée de tous et vous comme moi savons que nos chances sont limitées face à un duché tel que celui-là...
Mais ici, nous sommes un groupe soudé, des frères d’armes et chacun sait veiller sur son voisin !
Rappelez-vous les terres brûlantes et fumantes de cadavres Berrichons !!!!!
Ont-ils trouvé une quelconque pitié face à ces braves gens ?!
Alors même si nos jours sont à présent comptés, montrons-leur que nous avons un honneur à défaut d’être reniés de la courtoisie !

! CADRE NOIR !
! POUR LA GLOIRE !


Le lendemain, l’armée de mercenaires était arrivée aux portes de la ville.
Une ville morte, éteinte, dépourvue de toute vie active.....rien.


SOLDATS !
Dirigez-vous vers la ville, mais ne vous ébruitez pas de trop, évitons d’ameuter du monde, cela nous permettra de gagner un maximum de temps...


C’est alors que les sabots des chevaux claquaient sur le dallage de la ville.
Les cavaliers du Cadre Noir se suivaient comme pour une parade de Royauté avec pour destination la mairie de Bourbon... quand bruit sourd retenti suivi de quelques cris...


ATTENTION !!! DES BRIGANDS !!! DES VOLEURS!!!!


Hop hop hop l’alerte était alors lancée ; des cris, des pleurs, des volets et portes qui se claquaient brusquement. Les villageois s’enfermaient dans leur bâtisse...

Drôle de réaction....drôle de village... m'enfin, nous sommes en Auvergne rappelons-le !

CAMARADERIE !?!?
Bande de voleurs que nous sommes ?!
Chargez la mairie sur-le-champ !
Détrônez la ville !
Brisez leur gloire !
AHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!


Le cri lourd des soldats se fit entendre jusqu’à l’autre bout de la ville.
Des coups de talons dans les flancs des étalons et la cavalerie chargea, entrant dans les remparts de Bourbon et pénétrant à cheval même à l’intérieur de la mairie...

Gmat, voleur présent à la tête de l’armée, restait en retrait, les regardant de défouler sur les biens Auvergnats...
Il en descendit même de « Bubuche » son âne de combat afin d’aller se rassasier après ce long périple et se débarbouiller un peu...


- Hey Capitaine ???? Captitaine ???? Gmat ????
- Oula.... On se calme soldat.... Que se passe-t-il ?
- Et bien disons que....heu.... ben....
- Parle l’ami, je n’ai pas de temps à perdre, je vous ai dit de vous servir, alors ne perds pas de temps. Et je ne veux pas régler de chamailleries entre vous pour qui a quoi !!!!
- Oui Capitaine, je veux bien, mais à notre grande surprise, le bourgmestre était dans son bureau, endormi.... On en fait quoi ?
- Hum.... plissant les yeux, laissant entrevoir le fond de ses pupilles noires...
TUEZ-LE !
-Bien Sir !
- ...................................
Attendez !


Le soldat s’arrêta dans sa lancée avant de se retourner vers l’voleur

- Est-ce un maire ou une mairesse ?
- C’est une Dame, Sir
- Hum....... Alors, bâillonnez-la ! On l’emmène avec nous sur Moulins !
Elle poncera nos pourritures et s’occupera de nos breuvages !
Elle sera en charge de ma chambrée ! Une Auvergnate dans mes besoins quotidiens me donnera l’amertume qui accompagne mes journées !
Hum.... je pourrais même par la suite en tirer un bon prix.... héhéhéhé

- Parfait Capitaine !

_________________
A notre ami Fablitos.... LIBERTAD pour lui ! A bientôt petit Andalou
@ooo(]============> Aristote pardonne.....Moi non
Celeste.
( Berry quelques jours précédent)

Le Berry avait eut certes des pertes mais les assaillants aussi, dont la Zoko, ce fut un réel plaisir que de combattre cette bande de mercenaires.
Accompagnés de ses comparses et de l’amour de sa vie, elle avait attendu, les ordres et différentes missions. Leurs armes étaient à la disposition de Poilu, homme qui savait respecter les gens et loin d’être un lèche-bottes, cela changeait des dirigeants du BA.

Elle était sur les remparts à protéger la ville, le manque d’inaction leur pesait à tous.Les ordres étant les ordres, ils ne bougèrent pendant plusieurs jours assurant la sécurité.
Ils se reliaient sur les remparts, la nuit tombait lentement, aux côtés d’Aet, tous deux échangeaient sur l’avenir, un corbeau virevoltait dans le crépuscule, de prime abord, elle ne lui prêta aucune attention. Un homme non loin d’eux tentait de l’intercepter,
* une missive disait-il*, c’est alors qu’elle eut un long frémissement, elle se rua sur la petite bête, plus de doute, * laissez, cette missive est pour moi*.

Main fébrile délivrant le corbeau de son message, regard vide d’émotions parcourant les quelques lignes, petit soupir. Il était non loin, une mission suicide, un au revoir si …
Battements de cœur qui s’accélèrent, le passé ressurgit quand on s’y attend le moins, la missive se froisse dans sa main, son regard se pose sur la silhouette blanche tant aimé.
Dilemme ! Choix ! Le cœur à ses raisons, certes mais sa raison, lui dictait qu’elle devait être auprès de lui dans cet ultime instant. Il ne voulut pas comprendre, c’est les bras croisées et la mâchoire crispée, figée comme une statue, qu’il la laissa prendre la route, au risque de ne jamais la revoir, au risque de ne plus jamais mais … ils savaient tous deux que où qu’ils soient, ils seraient ensemble toujours, la distance n’est rien.
Armes et paquetage prêt, elle se faufila au travers le Berry est passa les armées ennemies avec moult ruses.


( le BA, Bourbon, retour aux sources)


Elle détestait ce Duché d’arriviste, de pervertis, de faux semblants, et pourtant c’est bien à Bourbon qu’elle rejoignait son ancien comparse.
Que de chemins parcourus, que d’aventures et mésaventures, c’est ici, que s’était terminée leur péripétie, le lien qui autrefois les liait tous deux. Après toutes ces années, elle revenait pour être auprès de lui une dernière fois.

Nulles balivernes ou vils flatteries, ils se connaissaient, elle savait, elle le suivrait par delà l’anathème même.
Les ordres furent simples, montrer à ce peuple ce que veut dire l’honneur.
Ils entrèrent à Bourbon, déjà des cris retentirent et nombres de sobriquets.
Eux, Brigands ??? Voleurs ??? Ressemblaient-ils à ceux qui régnaient en leur duché pour être ainsi confondus ???? Probablement.

Aussi se répandirent-ils tel un nuage de poussière sur Bourbon qui ne fut pas long à prendre, aucune résistance pour se divertir, rien. Elle guida sa monture au travers le village, regardant ci et là, les villageois apeurés.


Nous ne sommes pas de vos soldats ! Nous ne tuons ni femmes, ni enfants, aucun sang d’innocents ne coulent sur nos lames. Vaquer braves gens, vous êtes en sécurité !

Elle rejoignit Mat, non loin, regard et sourire entendus.

Un divertissement Cap’tain, petite rire amusé, clin d’œil complice.
_________________

un instant avec lui a un goût d'Aeternitae ...
Ecustiod


Des jours et des jours de marche, de la campagne à perte de vue et des villes traversés de loin. Voila leur quotidien, le Berry était en mauvaise posture et il fallait se faire discret, ravaler sa fierté et se préparer. Se préparer oui, mais à quoi? On ne disait pas grand chose aux hommes de la troupe, si ce n'est de marcher, encore.

Finalement un beau matin, ou frais matin plutôt vu la période, une ville en vue, des remparts, peut être la fin? Les ordres tombent, leur commandant leur donne du courage. C'est nécessaire, le cœur n'y était pas ces derniers jours, ni la paye.

Citation:

-Dirigez-vous vers la ville, mais ne vous ébruitez pas de trop, évitons d’ameuter du monde, cela nous permettra de gagner un maximum de temps...


Ecustiod n'est pas le meilleur des hommes de la troupe mais si la force n'est pas son point fort, la discrétion l'est déjà plus. Au moins une qualité qui lui sera utile ce soir.

Première campagne pour lui, il regarde si son amie est dans le coin, si elle va bien et suit toujours. Pas de soucis elle est là. Ils approchent, tous, pas de réaction, le jeune homme n' a pas une grande expérience de la guerre mais l'absence de guet le laisse perplexe, et puis finalement, si, l'alarme est donnée et la surprise.

Alors qu'Ecustiod pense qu'il va falloir se battre, l'alerte a l'effet inverse, personne ne se précipite pour se battre, tout le monde se sauve. Gmat presse le pas, prudent. Un coup de talon sur les flancs et le cheval accélère. Le paysage défile plus rapidement, les portes sont ouvertes, personnes ne les garde, personne ne s'est approché pour les fermer ou essayer, dans les rues, pas âme qui vivent, les volets sont clos et les lumières éteintes. Qu'est ce que c'est que cette guerre...

La mairie en face, là encore personne, les quelques miliciens et maréchaux ont fuit devant la cavalerie chargeant; Un peu trop d'ailleurs, le bâtiment devient une écurie plutôt qu'une mairie. Tant pis. La ville est prise, victoire sans gloire, mais victoire quand même. Un petit coup d'oeil vers leur commandant.


C'est toujours aussi simple avec vous commandant ou c'est les auvergnats qui ne savent pas se battre ?










Giovanni666


Giovanni avait suivit son fiston Gmat et sa belle fille Grenat pour faire la guerre contre l'Auvergne bien que le maire de Troyes lui avait dit qu'il n'avait aucune chance de survivre. Il rigola à sa parole, ils étaient maintenant en territoire ennemi. Giovanni n'avait plus rien à perdre et peur de rien. Il tuerait si il devait tuer. Il y avait un beau couple dans leur armée peut être plus mais il savait pas qu'il y avait exactement. Le beau couple c'est Grenat sa belle fille avec son fiston Gmat.

Ou sont les ennemis? demanda-t-il.

Je n'en vois aucun.

Voyant que la maire était assommé. Il rigola doucement.

Dommage que ça soit une dame, j'aurai bien voulu étriper un homme tient.

Giovanni était avant un homme honnête mais il en avait marre de Troyes qui était en Champagne, de tous les ragots qu'on disait sur lui, il irait faire sa vengeance un jour et tuerais ceux qui lui avait dit du mal sur lui. Il avait prit dans les caves des tavernes, des fus de bière pour boire à leur première victoire

Venez ici amis. Venez boire à noter première victoire contre l'Auvergne.

Giovanni sourit doucement et prit une chope et la but doucement.
Androlyne
Mairie de Bourbon


Avec la guerre contre le Berry qui fait râge aux portes de la ville, Androlyne et Thibantik doivent prendre des mesures de sécurité demandées par le Duché.

Thibantik est appelée en renfort à Montluçon et des groupes de maréchaux supplémentaires doivent assurer la défense du village.

Elle sait que Balian, son père, maintient l'alerte avec son groupe d'anciens, ce qui la rassure un peu mais l'inquiétude la gagne à mesure que la journée avance et que les rumeurs d'armée de bandits approchant se précisent.

Elle fait appeler sa fille et son fidèle valet Barnabé et s'adresse à ce dernier en premier


Barnabé, les nouvelles ne sont pas rassurantes, la guerre arrive à nos portes, renvoie tout le personnel de la mairie chez lui en famille et que personne ne vienne avant de recevoir un contre-ordre de ma part.

Kénane ma chérie, te savoir en vadrouille toute la journée m'inquiète, je veux que tu restes avec Barnabé et que tu ne le quittes pas d'une semelle.
Tu as bien compris, cette décision est non discutable, il y a trop de danger qui rode aux alentours


Androlyne serre sa fille dans ses bras et la regarde partir avec Barnabé le coeur lourd, mais pour sa sécurité, elle sait que c'est la meilleure solution.

Elle se remet à son bureau et continue à lire le courrier et y répondre en guettant les bruits, se souvenant de ce fou qui l'avait poignardé dans son bureau un soir .... bercée par le silence environnant, la mairesse s'endort ....


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Nectaryne


des jours et des jours de marche aux cotés d'escu. le visage plein de pousiere le corps completement fourbu, mangeant que du mais, c'est dans un piteuse etat que nectaryne arrive bourdon. mais la fierté la fait tenir l'envie de faire plier cette mairie, pour venger, lui donne la force d'avancer.
l'armée avance doucement , en silence pas un bruit ne sort des rangs, on entend que les bruit des sabots.
enfin, enfin apres avoir vu que des champs a perte de vu, des remparts sortent de terre devant ses yeux. son coeur bat, elle sert son epée un peu plus fort. regarde a coté d'elle, croise le regard d'escu lui faisant signe que tout va bien. en position elle attend les ordres d'attaque.

le commandant hurle les ordres donnant du courage aux soldats, un peu décourager par tant de marche et épuisés de fatigue.
attendre attendre encore, attendre l heure de l'attaque.... les minutes, les secondes sont longues tres longues. puis..... la surprise... pas de garde pas de maire pas de defense. une prise de mairie sans bataille.

nectaryne lance un regard inquiet a son ami.

ben tu vois escu c'est tres facile finalement une prise de mairie

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Grenat
[ Plusieurs jours avant au Berry]

Elle avait parcouru les routes du royaume depuis un moment, apprenant tardivement que ses terres en Artois étaient menacés par les royalistes, trois duchés contre un, que des laches qui les dirigaient évidement. Elle se dirigeait vers l' Artois prête à prendre les armes et défendre ses terres ainsi que celles de son suzerain lorsque son ami lui dit se passa en Berry.

La jeune femme prit la direction du Berry, elle avait déjà prit les armes par le passé et combattu les Lucioles ainsi qu'une armée franche venant du BA, de vils traitres, sans remords ses hommes avaient tués des civils en Berry, la jeune femme se rappellait que trop bien cette époque, elle était l'épouse d'un Vicomte Bérrichon au moment des faits, depuis son mari était mort, paix à son âme comme on disait.

Arriver au Berry sans encombre, elle avait donner des ordres à sa suite, ses hommes et elle même avait rejoint les rangs de Gmat, plusieurs jours a garder la ville contre l'invasion de ses étrangers, pilleurs et badits qui portaient les couleurs de l' ADC.

La jeune femme avait fait aiguiser son épée, s'était procurer une hache au cas ou, fallait jamais être trop prudent de nos jours. Ses armes prêtent, son armure prête également, manquait plus que l'alarme soit sonner et hop tout commencerait.

Enfin l'ordre de marche fut donner, sous sa robe de voyage elle avait mit une cotte de mailles, toujours le même paysage, des champs... Des soupirs de consternation s'échapper des lèvres de la jeune femme, elle était pleine de poussière et rêvait enfin d'arriver en vile et de prendre un bain pour se nettoyer et être présentable...


[ Bourbon et ses alentours ]

Encore et toujours des champs, de la poussière.. Enfin le regard d'émeraude se posa sur ce qui semblait être des remparts, dans peu de temps ils entreraient en ville. Durant tout le voyage les routes avaient peu fréquenter, les campagnes étaient désertent les hommes étaient partit en guerre contre le Berry...

Ils entrèrent, l'acceuil laissa à désirer, on les traiter de bandits ou de voleurs elle ne pu s'empêcher de faire une remarque.


Tient donc c'est nous les voleurs et les pilleurs, c'est l'hospice qui se moque de la charité en plus. Lorsque ces auvergnats sont venu aux côtés des lucioles y a quelques années pillés le Berry là ils fesaient les fier et trouver cela normal. A présent que le Berry vient à eux ils nous insultes, du grand n'importe quoi.

Elle continua de suivre la troupe, elle était proche du Capitaine sa monture non loin de la sienne, elle souria en entendant Escudio.

Citation:
C'est toujours aussi simple avec vous commandant ou c'est les auvergnats qui ne savent pas se battre ?


Faut croire l'ami qu'ils savent pas se battre quand on vient chez eux.

Les hommes s'occupaient de la mairie, du regard elle chercha une auberge, en trouva une, son regard croisa, elle descendit de cheval avec l'aide d'un des soldats, s'approcha de lui et lui murmura:

Je vais à l'auberge nous prendre une chambre, je t'y attend..

Elle prit la direction de l'auberge, s'arrêta prés de beau papa, lui sourit, tout en venant prendre une choppe avec lui.

Santé beau papa!
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Ca va péter !!!Il va pleuvoir du sang par hectolitre.C'est le bon vieux temps qui rapplique,La malchance,Les jours de guigne où tu crèves,la poisse!!! Sa revient mais aujourd'hui j'ai plus le choix ,je suis prêt pour la guerre.
Jimmycasas
[ l'arrivée à Bourbon... balade pittoresque]

Lorsque Jimmycasas d'Aragon, épée à la main aux côtés de sa belle Sandy, entendit enfin le cri de guerre de leur chef :

! CADRE NOIR !
! POUR LA GLOIRE !


il s'était attendu à une forte résistance de la part des bourbonnais...
Mais, tudieu ! Seuls quelques glapissements de chiens fuyant le raffut de l'armée "le Cadre Noir" et quelques hurlements éplorés et cloîtrés à l'intérieur des habitations les avaient accueillis...

Etait-ce là tout l'honneur des habitants de Bourbons ! Ils avaient montré plus de courage à brûler la campagne berrichonne et à prendre Châteauroux... A croire qu'il ne restait ici que lâches, enfants et anciens tremblotants de peur...

Lui qui désirait tant venger la mort de ses pairs et amis, il se retrouvait bien déçu... Il entendit Giovanni rameuter pour aller en tav', il ne se fit pas prier deux fois, que faire d'autre ?
Il prit sa douce par la taille et l'aida à monter sur Rayo...prit les rênes et suivit ses compagnons...

— Viens, ma belle ! Allons fêter tout cela... Et festoyons avant que l'armée du COBA ne se rende compte de son erreur... Vive le berryyyy !!! Vive Gmat !!!!

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Yliade
Yliade, debout dans un coin de la rue, les regarda entrer sans grandes difficultés. Elle les scruta tous pendant un instant, et remarqua qu'ils avaient tous l'air surpris. Bien sur, ils étaient entés comme si la porte leur était grande ouverte ! Elle qui avait monté la garde toute la journée du dimanche .. elle cracha pour marquer son dégout et, son fils dans ses bras, s'en alla sans se faire prier, espèrant leur départ de tout coeur.
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La mort ne peut être ni lâche, ni belle, c'est simplement la mort. Seule sa raison peut avoir une signification.
Giovanni666


Giovanni avait servi une bière à sa belle fille qui la buvait avec lui. Elle resta près de lui ce qui le fit sourire.

Santé à toi ma belle fille chérie.

Vive le Berry. Mort à l'Auvergne.


Giovanni souriait et pris un verre de rhum qu'il faisait lui même. Il le but doucement et était près à se battre quoiqu'il arrivait.

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Aiguemarine
Sur les remparts de Bourbon...

Déjà 3 semaines qu'ils étaient là...
3 semaines où, il faut bien l'avouer, ils n'avaient pas fait grand-chose.
La Bourgmestre Androlyne et toute son équipe municipale avaient les choses bien en main. Enfin, ça...c'est ce qu'elle croyait.
Leur groupe était là en renfort, juste au cas où...

La rumeur enfle. Ah ben, non, à ce niveau là, ce n'est, hélas, plus une rumeur, mais une certitude.
Une armée à la solde du Poilu, avec à sa tête un brigand de la pire espèce est aux portes de la ville, depuis la veille. Un nom qui résonne mauvais dans sa tête : Gmat.

Le tocsin résonne dans Bourbon. Nous sommes le dimanche...
Jour de trêve, et de recueil... pour le commun des mortels.
Ce mercenaire sans foi ni loi osera t'il franchir les portes de la ville ?!
Sans nul doûte pour elle. Ces gens là ne respectent rien.
Quoi qu'il en soit, ils seront là encore cette nuit à veiller, faire des rondes afin d'assurer la sécurité du village.
Sauf que... par un concours de circonstances inexplicables et inexpliquées...l'armée "Le cadre Noir" pénétra dans l'enceinte de Bourbon.

Et, c'est impuissante qu'Aiguemarine assiste à ce qui n'aurait jamais dû se produire...


Citation:
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé Grmy, Jemy, l'armée "Le cadre Noir" dirigée par Gmat, Corentin76, un groupe composé de GuilhaindeDebrinskadeKorighan et de Samarel, Xenonphie, et Rafm.
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé l'armée "Le cadre Noir" dirigée par Gmat et Constancedesbaux.


Sa main se serre sur le pommeau de son épée.
Une rage sourde s'insinue en elle...
Rapidement, la mairie tombe. Androlyne est délogée...
Tout bascule en quelques heures.
Le pavillon du "cadre Noir" flotte désormais sur Bourbon.
Un goût de déjà vécu lorsque Fauville a pénétré Agen. Long soupir...
La suite des évènements, Aiguemarine ne la connait que trop bien pour l'avoir déjà vécue, ailleurs... Annexion, pillage en règle...

Le constat est amer.
Mais, au fond d'elle-même, Aiguemarine garde espoir. Infime, certes...mais il est là, ancré au plus profond d'elle-même.
Le BA a toujours été solidaire.
Le BA a été meurtri là, humilié.
Mais le BA se battra et se relèvera... comme toujours.

"A vaincre sans péril, l'on triomphe sans gloire".

_________________
Androlyne
de la mairie de Bourbon .... sur le dos d'un bandit

Une douce brise lui caresse les cheveux, Androlyne court dans un grand champs de blé.... dans le soleil du printemps ....

Une odeur acre lui arrive aux narines et la fait grimacer... puis une vive lumière .... elle ouvre les yeux et l'horreur de la situation la saisit brutalement.

Elle n'est pas dans un champs de blé ensoleillé mais dans son bureau de la mairie.

Une haute silhouette noire est penchée sur elle, le bras levé et avant qu'elle ait pu faire le moindre mouvement lui assène un coup sur la temps qui la renvoie dans son champs de blé instantanément.

Un gout de sang dans la bouche et une forte douleur à la tête la sort de son étourdissement.
Elle ouvre les yeux et comme dans un brouillard voit des ombres noires tourner autour d'elle en riant.

Elle voudrait crier mais ne peut pas ouvrir la bouche, un chiffon au gout amer l'en empêche, ses bras sont entravés dans son dos par des liens trop serrés.

Passé sa première sensation de peur, une froide colère monte en elle.

Androlyne fixe le premier visage devant elle avec toute la rage qu'elle peut y mettre.

L'homme est sombre, une barbe de plusieurs jours lui mange le visage, sale et émacié.

Il la regarde en ricanant et se retourne vers ses compagnons pour les inviter au spectacle



Venez voir, la dame se réveille .... oh mais c'est qu'elle n'a pas l'air commode la bourgmestre ....

Alors ma pt'tite dame, la sieste était bonne


Elle s'attend à ce qu'il ponctue sa phrase d'un rire gras et tonitruant, mais il ne fait qu'un petit gloussement discret que ses camarades reprennent en s'approchant d'elle.

Malgré l'encerclement de toutes ses paires d'yeux ennemis et scrutateurs, elle essaye de garder toute sa colère transparaitre mais la peur la reprend.....

il ne faut pas ... il ne faut pas qu'ils voient que tu as peur .... se répète-t-elle dans sa tête en tentant de chercher une issue à cette situation humiliante.

Des bottes claquent bruyamment et font se retourner tous ses spectateurs, et une voix qui lui glace le sang s'élève de derrière la troupe.


Alors où est donc ma nouvelle femme de chambre,

vous ne l'avez pas trop abimée, parce qu'elle va avoir du boulot avec toute nos bottes à décrotter

_________________
Althiof
Bourbon, sur les remparts, la veille.


Depuis combien de temps étaient-ils à Bourbon déjà ? Plus de deux semaines en tout cas et pendant ce temps ils n'avaient défendu que deux malheureuses journées. Les journées pouvaient sembler longues sur les remparts mais il avait de quoi faire et sa journée était bien reglée. Elle commençait littéralement aux aurores quand les premiers rayons de soleil venaient éclairer la ville aux abords de la grande porte. Un rapport de douane qu'il faisait pour aider son amie Androlyne, rapidement envoyé à Clermont avant de prendre des nouvelles du front situé à quelques lieux de là autour des murailles de Bourges et Chateauroux. Et puis ensuite récupérer les ordres auprès de l'Etat Major et trouver une occupation pour la soirée avant de prendre quelques heures de sommeil.

Cela ne le dérangeait pas, il avait l'habitude de patrouiller depuis près de trois ans mais il savait que ce rythme pouvait en user plus d'un. L'attente n'est jamais très bonne surtout quand peu d'informations filtrent. Ce dimanche serait sans doute une journée comme les autres... Il ne pouvait davantage se tromper...

A peine levé, bien avant le champ du coq, il avait été informé de la présence d'une armée là bas au dehors dans la plaine en direction de la Bourgogne, menée par Gmat, bandit bien connu depuis le temps qu'il sévissait. Il avait fait son rapport tachant de noter toutes les informations supplémentaires et qui permettraient d'identifier le nombre de personnes dans cette armée. Selon lui une quizaine... une vingtaine tout au plus. A peine son rapport envoyé avec un mot adressé au prévôt pour prendre les mesures à la hauteur de la situation il se dirigea vers la mairie pour accrocher une note à l'attention des Bourbonnais. Le mot d'ordre : rejoignez les défenses.

La matinée passa bien rapidement et lorsqu'il entendit les cloches il se rappela qu'il était dimanche, jour du seigneur. Les Berrichons oseraient-ils rompre la trêve dominicale pour entrer dans la ville ? Il ne se posa pas la question bien longtemps. Rome... ils devaient s'en moquer comme de leurs premières chausses et il n'était pas question de prendre se risque. Ce soir il serait sur les remparts de toute façon. L'ordre allait tomber, ce ne serait que simple formalité. Mais combien seraient-ils ?

Balian en bon responsable de la sécurité avait contacté le maximum de personnes et alors que la nuit tombait Althiof put constater trois groupes de maréchaux complets, sa lance composée de nobles et une lance de civils. Sans compter les miliciens qui protégeaient la ville. Bien plus de défenseurs que d'attaquants. Etaient-ils pour autant en sécurité ? L'espace d'un isntant il avait douté car si sa lance était lourdement armée il y avait en dehors des chefs maréchaux bon nombre de villageois qui n'avaient pour armes qui pioches et bêches, leur courage et la volonté de protéger leurs familles pour les mener sur les remparts par cette nuit sombre. Mais il se faisait souvent trop de souci. Et puis on l'avait confirmé dans son idée qu'ils étaient suffisament protégés... Les maisons avaient été barricadées et chacun se préparer à affronter l'ennemi.



Bourbon, dans la nuit de dimanche à lundi.


Les personnes les plus aguéries au combat avaient été placées aux abords de la grande porte au nord de la ville. Les heures défilaient et toujours rien. Avaient-ils disparus ou se cachaient-ils pour mieux les surprendre ? La nuit était sombre rendant difficile le travail des sentinelles malgré les torches qui brulaient sur les remparts réchauffant par moment l'atmosphère dans le froid de la nuit. La tension était palpable mais la réponse à ses question ne tarda pas à tomber quand des cris subvinrent de l'intérieur du village. Comment ? Ce ne pouvait... c'étiat impossible... Comment avaient-ils pu rentrer dans l'enceinte. Il sauta de son rempart pour se diriger avec ses comapgnons Nic, Aigue, Kory, Marty, Balian et les autres vers la source des cris et des bruits... la mairie. Ce qui ne laissait guère planer le doute.

Les miliciens avaient disparu sans doute effrayés par des mercenaires et soldats lourdement armés. Mais par où étaient ils passés ? Pour l'heure ils s'étaient regroupés dans une bicoque isolée du village, bien à l'écart des rues d'ordinaires animées et qui avait autrefois été une taverne. Il fallait faire le point rapidement, réunir le plus de monde et prendre une décision. Les cris avaient cessés et les villageois n'avaient plus apperçu d'ennemi dans les rues. Peut-être étaient-ils tous dans la mairie. Il avait fait l'erreur de les sous estimer cela ne se reproduirait plus. Certains patrouillaient peut etre et il faudrait se montrer prudent et appliqués cette fois ci. Ils avaient l'avantage de connaître les moindres recoins de la ville pour se cacher et préparer l'offensive.



Boubon, au coeur de la journée, lorsque la résistance s'organise.


Les missives partirent vers Clermont dans une envolée de pigeons, hiboux et volatils en tout genre. Après un certain flou, l'ordre qu'ils attendaient était tombé : "se révolter" ! Comment aurait-il pu en être autrement. Mais combien seraient-ils ce soir ? Sans doute pas assez. Balian avait encore fait un travail colossal pour faire passer l'information aux villageois malgré la présence de l'ennemi mais certains travaillaient déjà chez eux. La journée avait déjà bien avancé. Ce soir ils sortiraient mais pour quel résultat ? Peu importe ils le devaient pour montrer à leur amie Andro prisonnière dans la mairie que jamais ils ne la laisseraient tomber et que jamais ils ne laisseraient ces Berrichons en paix. Ne pas leur laisser de répis et leur montrer que les Auvergnats savaient se défendre. Et que jamais ils ne les laisseraient profiter tranquillement de leur mairie.

Dans le silence et le calme tout relatif de son lieu de vilégiature du jour Althiof repensait à cette journée et maudissait ce qu'il s'était passé. Ils étaient nombrreux mais bien trop n'avait jamais combattu. Et puis des soldats regroupés et les chefs maréchaux avaient dû gérer leurs comapgnons du jour. Une erreur avaie été commise, une brèche s'était ouverte, un accès coupé de toute surveillance... Où ? Comment ? Quand ? Cela n'avait aucune importance ils n'avaient pas su répartir leur force. La nuit allait bientôt tomber et avec elle les Bourbonnais seraient de sortie et chaque soir ils seraient plus nombreux jusqu'au dernier souffle de ces suppots du Poilu.

_________________

Adieu Alice
Fathertom
Bourbon, la veille.

Il était encore tôt, le soleil pointait à peine son nez à l'horizon et Father Tom sortait de son moulin pour prendre une bonne bouffée d'air matinal, non sans frissonner. Le froid s'était installé et sa journée sur les murailles ne s'annonçait pas des plus chaleureuses.

Après être rentré et avoir ravivé le feu dans l'âtre de la cheminée, il se prépara une bonne collation: son ventre ne devait pas se manifester de la journée par des gargouillements intempestifs aussi lui fallait-il quelque chose qui lui tienne au corps. Machinalement, son regard se porta sur tout ce qui pouvait l'attirer et en particulier les sacs de blé entreposés depuis un certains temps. Il n'avait pas eu l'occasion de s'en occuper dernièrement et ça serait encore le cas aujourd'hui...
Du moins c'est ce qu'il croyait avant d'apercevoir que certains sacs avaient pris l'humidité:


-Nom de D... Qu'est-ce qui s'est passé?

Fort heureusement le blé n'était pas trop abîmé mais il fallait en faire de la farine dès aujourd'hui s'il ne souhaitait pas en perdre. Voila qui modifiait ses plans.

-Tant pis, pensa-t-il, je donnerai un coup de main sur les murailles demain...


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Bourbon, le jour même.

Une nouvelle journée mais toujours le même rituel. Une bouffée d'air et un coup d'œil sur le panorama, sur Bourbon et ses alentours. Pourtant, quelque chose d'inhabituel sauta aux yeux du médecin: des cavaliers entraient dans le village et ils ne semblaient pas là pour se promener. L'explication logique à ce spectacle était évidente.

-Bravo, tu trouves le moyen de travailler dans ton moulin le jour où il fallait défendre... De mieux en mieux.

Dans un soupir, il tourna nonchalamment les talons. Pourtant, en dépit de son apparente lassitude, son cerveau fonctionnait déjà à plein régime: il devait se rendre dans le bourg pour en savoir plus, essayer de savoir ce qui était arrivé aux défenseurs de Bourbon et à Androlyne. Après tout, c'est le bourgmestre qui intéresserait ces brigands... elle et piller toutes les richesses.

Sa main s'était saisie de la garde de son épée mais il se ravisa bien vite. Se promener avec une épée au beau milieu d'une troupe ennemie, quelle idée! Pourquoi ne pas sonner le tocsin et annoncer ses envies belliqueuses pendant qu'il y était! Il lui fallait être discret et en apparence inoffensif. Son cabinet recèlerait certainement d'avantage d'objets utiles. Précautionneusement, il sélectionna ses meilleurs outils: principalement des lames courtes et discrètes mais non moins effilées, le genre dont il se servait entre autres pour des saignées. Une à une il les glissa un peu partout dans ses vêtements tout en évitant de se couper quelque chose.

Calmement, il prit le chemin de la sortie mais s'arrêta sur le pas de la porte. Une pensée venait de lui traverser l'esprit: et s'il était repéré? Certes il connaissait les ruelles et les recoins de Bourbon mieux que ces pendards mais le risque était réel... Il lui fallait quelque chose... Quelque chose qui le rendrait insignifiant aux yeux des autres...

Un bref regard aux alentours qui s'arrêta sur une bouteille entamée. Le voila cet alibi! Qui pourrait se méfier d'un ivrogne encore imbibé de la veille! Au pire il risquait quelques coups et de se faire voler son picrate... Picrate qui serait bien meilleur assaisonné!

Father Tom ne put s'empêcher de rire: qui aurait cru qu'il déborderait d'idées à cette heure-ci. Un petit mélange alcool-purgatif calmera les ardeurs des curieux ou des soiffards! Mais peut-être devrait-il en boire pour dissiper les doutes... Au cas où, il dévora une bonne quantité de basilic, cela pourrait lui éviter une bonne diarrhée.

La situation était grave mais il prit la direction du bourg, toujours riant.
Debrinska
Le jour ou l’on surprend le maire au lit et ce qui s’en suit !

Sur les toits et dans le bureau du Maire :¨

Deb et son acolyte « Ellimac » font discrètement irruption par les toits lors de la prise de la Mairie…ramper sur les tuiles vernissées…descendre le long de la façade en s’aidant des aspérités fut chose aisée….les gambissons de cuir aident à la reptation !

D’autres camarades font diversion dans les couloirs et les escaliers de la place…. On se bouscule quelque peu le rares Auvergnats à être rester a leur poste… !
Facile, trop facile…même songe Deb en pénétrant dans la pièce ou se trouve le Maire !

Ellimac et elle voient avec surprise la personne qui occupe le bureau ! Une femme…son camarade exécuteur des basses œuvres s’approche sans bruit, un fin lacet de cuir à la main…
La jeune femme se souvient d’avoir entendu la conversation du Capitaine avec un homme de troupe :

Citation:
- Est-ce un maire ou une mairesse ?
- C’est une Dame, Sir
- Hum....... Alors, bâillonnez-la ! On l’emmène avec nous sur Moulins !
Elle poncera nos pourritures et s’occupera de nos breuvages !
Elle sera en charge de ma chambrée ! Une Auvergnate dans mes besoins quotidiens me donnera l’amertume qui accompagne mes journées !
Hum.... je pourrais même par la suite en tirer un bon prix.... héhéhéhé

- Parfait Capitaine !

-
Alors elle saisit la manche de son camarade et lui fait signe de frapper à la tempe, de ne surtout pas tuer la dame, mais de l’endormir seulement !
Bon prince, mais avec l’incompréhension des âmes très simple le rufian frappe un coup et tend les bras !

La Dame se retourne comme au ralenti. Les yeux agrandis par la peur fixent et impriment à jamais l’image du diable moustachu qui s’apprête à la recevoir entre ses bras !
Bon, il faut dire que ce n’est pas seulement l’image, mais aussi l’odeur de l’homme dont la Mairesse va se souvenir.
Deb soupire à part elle….
Comment convaincre Elli que l’eau n’a jamais tué, personne sauf si c’est l’inquisition qui te l’a fait ingurgité ! Mais, on en est pas là… va falloir demander aux autres hommes de foutre le satané bonhomme dans l’abreuvoir d’une taverne avant de repartir !

Deb se penche sur le corps de la Mairesse. Empêtré dans ses chemises de nuit, ses attifiaux remontés a mi-cuisses dévoilent des jambes fort belles ma foi…que le diable d’Elli lorgne avec envie !
« Pas touche mon vieux, c’est pas du lard pour ta couenne ! Tu pues trop pour une Commère de ce genre. Tu m’aide à la porter dans les appartements que Gmat s’est octroyer et pour le reste ….Interdit ou je te les tranche à vif et te les fais bouffer--- tu me comprends espèce de brute ! »

La jeune femme passe un bâillon sur la bouche rouge , encore de colère, de la responsable de la ville et lui attache les main derrière le dos,,on est jamais trop prudent avec ces donzelles ..la vie dans les guerres et les camps au côté de Fablitos, el Toro, Libertad pour Lui, le lui appris
Deb veut s’emparer des épaules de la Bourgmestre, mais Elli la charge sur son épaule comme un vulgaire sac de farine et commence à descendre et à enfiler les couloirs à la recherche du logement du Capitaine !

« Toi, mon vieux je vais t’avoir à l’œil »

Dans les appartements du Prince Noir de Saumur :

Elli et elle arrive devant la porte de la chambre du Seigneur de Guerre… elle frappe… elle entend des rires…

La porte s’ouvre devant leur équipage et leur chargement. Sans ménagement, son camarade jette la femme sur un divan.

Les hommes font cercle autour d’elle…. Elli s’approche à nouveau dangereusement, fort cette fois que la camaraderie masculine va jouer en sa faveur…il ricane :

Citation:
Venez voir, la dame se réveille .... oh mais c'est qu'elle n'a pas l'air commode la bourgmestre ....

Alors ma pt'tite dame, la sieste était bonne
!


Le cercle se referme sur la femme…Le sang de deb ne fait qu’un tour, jouant des coudes et de la pointe de sa miséricorde… elle fonce dans le tas obligeant les autres à s’écarter… elle sait trop ce que c’est que d’être la cible de regards concupiscents, de mains qui frôlent pour permettre que l’on traite comme cela une prisonnière…il y a des filles dehors pour ce style d’amusement !

Reculez…gronde-t-elle entre ses dents de manière à n’être entendue que des hommes …pas besoin que la garce ( HRP féminin de garçon au Moyen-Âge) sache qu’une femme est présente en ci-lieux…Reculez ou je vous troue la panse. Sacs à c….es que vous êtes tous. La dame est réservée… elle est au Capitaine Gmat !

A cet instant, des bottes claquent derrière elle ! Deb, le reconnaîtrai entre tous ! Il n’y a que lui pour marcher de cette manière !...Sa voix retentit dans la chambre :

Citation:
Alors où est donc ma nouvelle femme de chambre,

vous ne l'avez pas trop abîmée, parce qu'elle va avoir du boulot avec toutes nos bottes à décrotter


Deb se retourne, heureuse de le voir :
Le Bonjour mon Prince, dit-elle en s’inclinant, voila, votre nouvelle femme de chambre puisqu’il vous plaît de l’appeler ainsi ! Permettez moi de vous présenter Anrdrolyne de Castellane, maire de Bourbon !
Mais je suis certaine qu’elle vous dira mieux que moi qui elle est si vous me permettez de lui enlever ce chiffon qui l’empêche de parler !


Puis elle lui fait signe qu’elle désire lui parler et l’entraîne un peu à l’écart !

« Mylord, je vous prie empêcher les hommes de la troupe de s’approcher des femmes prisonnières….Elles souffrent assez comme cela ! »
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