Favane
Favane, homme lige de Mittys, frère de Kalamite, de Nemontoni. Favane, fils de Azouzis et d'une belle inconnue. Favane, cousin de Jamalar. Favane, cousin de la famille Loxetla. Favane, courageur guerrier du Clamaxtli d'Octobre -555. Favane, tout simplement. Favane, un homme aimé. Favane, un homme aimant.
Favane était sur le champ de bataille, ce bien triste soir là. Favane parmi les premières lignes. Favane voit arriver Heavy et Xuchimatzin, plus forts que jamais. Il s'avance d'un pas. Les peaux tirées sur des rondins creux résonnent dans le lointain. Le soleil est à son point le plus haut dans le ciel. Les armées de Xuchimatzatzin avancent lentement. Les Tlaxcallans intrépides s'avancent, eux aussi.
Favane est suivi par Mittys, le noble, le courageux, le Bel. Des oiseaux de proies tournent dans le ciel.
Croâââââââââââ !
Ce jour gôuterait le sang. Ce jour était différent. Ce jour sentait la décision divine des Dieux, Tlaxcalla, ou Tepeyac. Ce jour voyait pourtant un regain de forces. Ce jour entendait l'arrivée d'une ère différente. Ce jour toucherait tout le monde. Ce jour serait assurément différent.
Les dieux n'abandonneraient pas Tlaxcalla. Ils avaient uniquement ressentis le besoin temporaire de se joindre aux Aztecs, cette sous-race.
Les guerriers des deux camps avançaient toujours. Force est de constater que Ce Jour aurait raison. Les premiers traits jaillirent, et volèrent dans le camp adverse. Mittys avançait avec sa force, sa témérite.
Les Tepeyacans pressèrent le pas. Chargèrent. Pique en avant. Les Tlaxallans les mimant. Boucliers prêts. Ainsi tombèrent, ou furent grièvement blessés beaucoup de combattants. Favane s'avança, persuadé de la victoire imminente :
Pour Tlaxcalla ! Pour la tlatoani Kalamite ! Pour le Seigeneur de Tlaxcalla ! Pour laver tous ces affronts ! Pour Mittys ! Par la volonté des Dieux !
Favane s'avança. Les deux armées arrivèrent au même niveau.
Les lignes des deux armées s'ouvrirent, se percèrent mutuellement. Des soldats tombèrent des deux côtés. Un soldat se rua sur lui. Sans doute, des ordres avaient-ils été donnés pour l'exterminer, vu son immense valeur. Ce soldat poussa son dernier râle. 5 autres soldats se ruèrent sur lui. Des alliés l'aidèrent à s'en débarrasser. Un peu de calme. Il s'avança, précédant toujours Mittys.
Là !, cria une voix qu'il ne put reconnaitre. Il se retourna. Et vit des guerriers se glisser derrière El Dictator. Il pivota dans leur direction. Abattit sa massue sur quatre d'entre eux, ne leur laissant aucun répit. Du moins, croyait-il. Il ne vit qu'alors un cinquième gaillard, se dirigeant directement sur Mittys, à toute allure.
Attention !, sa voix se perdit probablement dans les bruits des combats. Il prit le cinquième adversaire par défaut. Il lança sa massue sur le cinquième adversaire, pour l'assommer. Désarmé, et sans arme à sa portée, il se fit avoir comme un bleu par un nouvel escadron d'ennemis. Il tomba, voyant déjà des hommes se masser autour de Mittys, pour le protéger. Mittys, vivant. Favane en est soulagé. Il ferma sa yeux. Imagina à nouveau Tezcatlipoca, qu'il avait si longtemps servi.
POST MORTEM :
Des guerriers aztèques revinrent, et s'assurèrent qu'il fût bel et bien mort, en le transpercant son ventre d'une pique de bois. Mort ? Ils continuèrent leur chemin, la soirée arrivant, et encore tant de morts ennemis à piller.
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Favane était sur le champ de bataille, ce bien triste soir là. Favane parmi les premières lignes. Favane voit arriver Heavy et Xuchimatzin, plus forts que jamais. Il s'avance d'un pas. Les peaux tirées sur des rondins creux résonnent dans le lointain. Le soleil est à son point le plus haut dans le ciel. Les armées de Xuchimatzatzin avancent lentement. Les Tlaxcallans intrépides s'avancent, eux aussi.
Favane est suivi par Mittys, le noble, le courageux, le Bel. Des oiseaux de proies tournent dans le ciel.
Croâââââââââââ !
Ce jour gôuterait le sang. Ce jour était différent. Ce jour sentait la décision divine des Dieux, Tlaxcalla, ou Tepeyac. Ce jour voyait pourtant un regain de forces. Ce jour entendait l'arrivée d'une ère différente. Ce jour toucherait tout le monde. Ce jour serait assurément différent.
Les dieux n'abandonneraient pas Tlaxcalla. Ils avaient uniquement ressentis le besoin temporaire de se joindre aux Aztecs, cette sous-race.
Les guerriers des deux camps avançaient toujours. Force est de constater que Ce Jour aurait raison. Les premiers traits jaillirent, et volèrent dans le camp adverse. Mittys avançait avec sa force, sa témérite.
Les Tepeyacans pressèrent le pas. Chargèrent. Pique en avant. Les Tlaxallans les mimant. Boucliers prêts. Ainsi tombèrent, ou furent grièvement blessés beaucoup de combattants. Favane s'avança, persuadé de la victoire imminente :
Pour Tlaxcalla ! Pour la tlatoani Kalamite ! Pour le Seigeneur de Tlaxcalla ! Pour laver tous ces affronts ! Pour Mittys ! Par la volonté des Dieux !
Favane s'avança. Les deux armées arrivèrent au même niveau.
Les lignes des deux armées s'ouvrirent, se percèrent mutuellement. Des soldats tombèrent des deux côtés. Un soldat se rua sur lui. Sans doute, des ordres avaient-ils été donnés pour l'exterminer, vu son immense valeur. Ce soldat poussa son dernier râle. 5 autres soldats se ruèrent sur lui. Des alliés l'aidèrent à s'en débarrasser. Un peu de calme. Il s'avança, précédant toujours Mittys.
Là !, cria une voix qu'il ne put reconnaitre. Il se retourna. Et vit des guerriers se glisser derrière El Dictator. Il pivota dans leur direction. Abattit sa massue sur quatre d'entre eux, ne leur laissant aucun répit. Du moins, croyait-il. Il ne vit qu'alors un cinquième gaillard, se dirigeant directement sur Mittys, à toute allure.
Attention !, sa voix se perdit probablement dans les bruits des combats. Il prit le cinquième adversaire par défaut. Il lança sa massue sur le cinquième adversaire, pour l'assommer. Désarmé, et sans arme à sa portée, il se fit avoir comme un bleu par un nouvel escadron d'ennemis. Il tomba, voyant déjà des hommes se masser autour de Mittys, pour le protéger. Mittys, vivant. Favane en est soulagé. Il ferma sa yeux. Imagina à nouveau Tezcatlipoca, qu'il avait si longtemps servi.
POST MORTEM :
Des guerriers aztèques revinrent, et s'assurèrent qu'il fût bel et bien mort, en le transpercant son ventre d'une pique de bois. Mort ? Ils continuèrent leur chemin, la soirée arrivant, et encore tant de morts ennemis à piller.
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