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[RP]L'Auberge de la Chope Joyeuse

Pittbull89
Le hasard, pitt n'y avait jamais cru, cela c'était confimé ce matin.De bonne heure , un individu était venu à la choppe joyeuse, une carriole élégante s'était arrêtée devant la porte .
Elle était tirée par deux magnifiques chevaux.

Pitt réveillé en sursaut était descendu et avait ouvert à un homme à l'allure noble, très noble , beaucoup plus que le meunier en braies, torse nu face à lui.


"Bonjour je voudrais entrer, je cherche le sir pittbull"

"Ben asseyez vous je vous prit, pitt c'est moi même vous voulez manger quelque chose, un verre de calva???"

l'homme poudré face à lui le toisait de haut il regardait partout autour de lui, regardant la choppe si bien décorée par Mabelle.

"Hé bien enfin sir pittbull vous voilà, je vous cherche depuis plusieurs mois j'ai traversé une moitié du royaume en partant de Tonnerre en bourgogne, là ou vous avez été adopté, c'est bien cela n'est ce pas, puis j'ai suivie pas à pas vostre trace jusqu'a cette ville , charmante d'ailleurs, j'y ai croisé le tribun qui m'a envoyé ici, vous vivez donc dans ce heuuu très charmant endroit"

pitt interloqué regarda le noble en goguette sans trop comprendre Tonnerre en effet oui il y avait été receuilli par les parents de Damémeline, mais cela était si loin depuis il avait fait un chemin immense, il avait marché des lieux jusqu'a cette ville qu'il avait l'impréssion d'avoir toujours connue.

"Allez donc droit au but messir, je vous écoutes, vous maniez le verbe comme les gens de bonne famille alors cessez donc et séance tenate videz donc vostre besace que me voulez vous donc??"

Le "poudré", fit un signe à son cochet qui lui amena une besance élégante, fouillant de dans il en sortit un parchemin scéllé.

"Je suis Hubert de la motte friquée, je suis disons euhhhh marchand de biens, je m'occupe d'honnorer des volontés de défunt, vous concernant voici ma venue"


il décacheta le sceau, libérant ainsi trois parchemins

"Vous êtes sir pitt bull, fils d'un marchand assez aisé vostre mère partie en couche vous à laissé vous et vostre soeur, oui vostre soeur Dame hapie, qui vit du côté de la bourgogne, vostre père avant son trépas avait investi diverses fortunes dans la pierre, ami d'un ancien duc normand et marchand de meubles connus des faubourgs il possédait trois maisons la première à depuis subie les maltraitance de nos guerres, la seconde est depuis quatres mois propriété de vostre soeur et la troisième se situe en normandie, ici même ou vostre père y venait afin de retrouver son ami ducale, oui Monsieur en voici l'acte de propriété vous y verrez les sceaux officiels apposés au bas, voici également missive de vostre père, les raisons pour lesquelles vous avez été receuilli à Tonnerre y sont expliqués il était en affaire dans cette région, vous trouverez enfin sur ce troisième ban, missive de vostre soeur Damehapie portant son adresse au cas ou, voilà donc messire raisons de ma visite, mes explications vous paraissent elles claires, justes"

Pitt était abasourdis, il enfila deux godet de calva de suite, avalant un bout de galette au miel de Mabelle, silencieux quelques instants il fût tiré de sa torpeur par le poudré endimanché comme les gens de la haute qui se leva


"Voilà Messir je me trouve donc acquitté de ma mission, je prends donc congé de vous et de euhhh ce charmant endroit"

Sur ce il quitta les lieux remonta dans le carosse et sans mot quitta le quartier, pitt resta seul un long moment réfléchissant réalisant enfin comme il le pouvait, puis il se leva prenant soins de prendre les parchemins, siffla termi chien et monta à l'étage auprès de sa douce qui dormait, il voulait simplement un peu d'aide afin de digérer l'annonce, ainsi donc il avait raison pas de hasard a son arrivée dans la plus belle ville de Normandie, pitt allait quitter la choppe, avec Doty, il allait avoir leur chez soit, la page serait donc tournée une vie recommencerait sans jamais oublier le passé, jamais oublié sa cabane sa première maison de Dieppe, arriane rien juste tourner la page, aujourd'hui maintenant....
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PAX NORMANIA , votez normand
Kaline
"Bonjour à vous, voilà de passage à Dieppe, je viens vous faire un petit bonjour et vous donner de mes nouvelles.
Lors du mariage de ma Marraine Jenjitai à Rouen, j'ai retrouvé mon frère Baldik que je cherchais depuis 10 ans.
Je suis venue à Dieppe pour vendre mon champs, je quitte cette ville, pleines de bons et mauvais souvenir, je pars à Labrit en Gascogne avec mon frérot, nous ne nous quittons plus, la bas sa femme est malade, je vais certainement y emmménager.
Je vais vous regretter, vous rester mes amis (es), sans doute repasserais je par Dieppe un de ces jours mais qui sait ....
Je vous fais à tous un gros bisou d'amitié et vous souhaite pleins de bonheurs.
Kaline


Mithryn


Mithryn et Lilie avaient fait un long...très long voyage...En effet, ils venaient de Fécamp. Bon d'accord, c'était a côté. Mais le voyage fut périlleux. Mith avait eu pour idée de prendre un tonneau avec eux pour le voyage. Mais il est de source sur que le terrain n'est jamais plat...De ce fait après avoir couru plusieurs mètres après le tonneaux ils décidèrent de, non pas de le laisser sur le bord de la route, malheureux, mais de le boire.
La chose fut aisée, mais la route sembla soudainement beaucoup moins droite, même sinueuse. Après de multiples prisent de tête avec des branches tenues par des arbres, ils finirent par trouver le bon chemin. Quel ne fut pas leur réconfort de se trouver enfin a Dieppe. Ils voulaient a tout prix arriver avant le départ d'Angelyheart pour les moines. Une épreuve assurément.
Les soucis débutèrent donc de nouveau en entrant en ville. Après de multiples prisent de tête avec des pigeons trop peu loquaces, ils trouvèrent finalement une auberge. Il était inscrit, d'après l'esprit embrumé de Mith:

Bah heeu..*Hips* c'est beuooon? Attaends! Aloreuh on eeestt "La, la beeeerge.. de la Joeeeel cajoleeeeuse". Yipeeeeee!!


Ni une ni trois, ni quatre d'ailleurs, il entra dans l'auberge en poussant la porte et se prit le pied dans la margelle. Il se rétama avec fracas. Il se releva péniblement et s'épousseta.

Bon! C'est où qu'on peut pieuter et boire la canoleuse?! Nienn???


Il regarda derrière son épaule voir si Lilie suivait...

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.lilie800000.


Comme Mith l'avait conté précédemment, leur voyage n'avait pas été des plus facile!
Partis très tard dans la nuit...ou tôt...en fait elle n'en savait plus rien, ils dûrent marcher pendant des heures, à emprunter des chemins vertigineux... Enfin à son impression!
C'etait avec un grand soulagement qu'ils arrivèrent à Dieppe!
Après s'être précipités dans les tavernes Dieppoise pour surement y trouver Angy afin de lui souhaiter un bon courage avant sont depart chez les nones, ils décidèrent de trouver un endroit calme et chaleureux pour y passer la nuit.

C'etait donc tranquillement qu'ils s'avancèrent vers le centre de la ville.
Lilie, assez consommée par la boisson (oui oui, au bout d'un moment c'est la boisson qui consomme la femme), était en extase devant n'importe quoi...un ivrogne, une mauvaise herbe, un caillou...Tandis que plus loin, Mith se battait avec des pigeons pour des raisons assez obscures.
Soudain elle l'entendit aboyer :


Bah heeu..*Hips* c'est beuooon? Attaends! Aloreuh on eeestt "La, la beeeerge.. de la Joeeeel cajoleeeeuse". Yipeeeeee!!

Toujours tête relevé a regarder le ciel, elle ne prêta aucune attention à ses brailleries et continua de rêvasser en suivant mith sans vraiment le regarder.
Elle le vit entrer dans ce lieu. Elle voulu le rejoindre quand son esprit se figea sur l'enseigne. Tout en continuant a avancer, elle tourna donc sa tête vers le haut pour lire l'écriteau... Alors que Mith s'était relevé, Lilie arriva au niveau de la margelle, toujours tête tournée dans un angle assez impressionnant, se prit également le pied sur cet obstacle...Elle tomba sur mith de tout son poid et ils s'étalèrent sur le sol tel...tel des ivrognes en fait!


Sa mauvaise foi prenant le dessus, elle s'exclama:

Non mais Mith!! *hips* Fais gaffe a ce que tu fais mince! *hips* Pfff quel tête en l'air celui là! BLLUUURRRPP oh pardon!

Elle se releva péniblement, en s'aidant de Mith, se recoiffa et attendit que le propriétaire daigne pointer le bout de son nez.
Pittbull89
les clients partis, pitt avait rangés, entre la garde , la choppe, le moulin et le reste pitt était occupé, il adorait cela il en avait besoins.

Hormis les appartemen,ts privés de sa grande soeur de coeur pitt avait ouvert nettoyé et aérré toutes les pièces de la choppe.

Il avait passé du bon temps avec guert mais sa maistresse n'allait point tarder a ramener sa houpellande dans les parages.

Elle lui avait manqué, son ventre était rond a son départ, à présent cela devait être rigolo, il imaginait souvent mab en voyant guert marcher et courir.

Il prépara un peu de pain au cas ou elle arrive bientot, sinon ben il l'emporterait sur le chemin du Mont, il y était convoqué, il allait s'y rendre.

Ange le cheval était prêt , presque aussi propre que la choppe.

Pitt allait partir, il referma dèrrière lui siffla guert et pris le chemin de son habitation

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PAX NORMANIA , votez normand
Mabelle
Tant de jours, tant de semaines, tant de souvenirs...Mabelle marchait hésitante vers la porte de son auberge. Elle faisait un pas, soufflait puis repartait. A présent postée devant la porte fermée, elle posa une main sur son ventre à la limite de l'énormité, et de l'autre tourna le loquet.

Sa première réaction fut un sourire...Pitt était passé par là sans aucun doute. Lui seul entretenait les refuges de ses amis. Elle reconnut sa façon de ranger, la propreté, l'odeur fraiche du jardin venue des fenêtres ouvertes récemment, et le bon pain qui trônait sur la grande table...
Les souvenirs s'entrechoquaient à la vue de cette table...Les fêtes, les amis, les allers venues incessants, les galettes au miel, ses tartes, le Calva, les bouquets de fleurs...Ythares. Tout avait disparu comme si tout cela n'avait été qu'un songe vaporeux. Le gorge serrée elle effleurait les meubles du bout des doigts, chacun avait son lot de souvenirs...elle se retrouva face à l'escalier. En haut leur chambre. La chambre blanche, leur préférée.
Mabelle s'appuya sur la rambarde, son ventre se tendait et même se contractait, une nausée soudaine la saisit. Elle posa sa main sur le bas ventre, se plia légèrement, inspira profondément puis doucement se redressa.
Un débordement d'émotions, un trop plein de douleurs, un déferlement d'angoisses, une peine semblable à un gouffre s'étaient emparés d'elle.

Tous ces jours passés sans savoir, sans comprendre, errant dans un brouillard si dense qu'elle avait songé au pire. Elle avait tenu avec le soutien de ses amis mais surtout grâce à sa sœur Alizarine et par la persévérance de Khan fidèle depuis tant de temps à l'amour qu'il lui portait. Aliz veillait sur elle, Khan la protégeait, toujours là encore et encore quand elle sombrait. Et elle sombrait. Et cette fois elle se réfugia dans ses bras à bout de souffle.
Non elle ne monterait pas. Elle décida à l'instant même d'embaucher une gouvernante à son retour de voyage qui l'aiderait et ainsi elle n'aurait plus besoin de s'occuper des chambres à l'étage.
Confiante sur l'avenir qui s'offrait à elle, sur la Lumière que Khan lui avait tendue avec tant de délicatesse et de respect pour la sortir de sa brume funeste, elle esquissa un sourire, installa les provisions destinées aux voyageurs, puis griffonna un parchemin à leur attention :



Citation:
Chers Voyageurs,

Je suis Mabelle l'aubergiste. Je me suis absentée quelque temps. Cette auberge vous est ouverte. Vous y trouverez quelques menues provisions ainsi qu'un bon tonneau de Calva pour vous sustenter. Vous pourrez dormir dans les chambres situées à l'étage et profiter aussi de la petite salle destinée à la toilette pourvue d'un grand baquet. Vous trouverez de quoi vous approvisionner au marché non loin d'ici.

Je vous souhaite un agréable séjour parmi nous.

Mabelle

PS : Ne mangez pas mon oie GUERTRUDE. Elle est actuellement dans son enclos avec ses amis Groignack le cochon et Neuguetz la poule. Elle cacarde de temps à autre lorsqu'elle se promène au village pour se nourrir mais demeure une oie très agréable. Elle chassera les éventuels brigands, dormez sans crainte !



Elle déposa le bon pain de Pitt dans sa besace, emporta tous ses onguents et ses flacons de remèdes divers, des linges propres puis accrocha le parchemin sur la porte. Elle sortit, nota d'écrire à Pitt pour le remercier et le prévenir de son absence, et partit avec un sourire confiant vers la Yourte de son Mongol avant le départ.

- Viens mon Brennus, une nouvelle vie nous attend.
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Jenjitai


Jenjitai et Rogue de passage à Dieppe pour deux jours, prirent le chemin de l'auberge afin d'y installer leur affaire pour la nuit qui allait suivre
Jen connaissait bien les lieux , regrettaient de ne pas pouvoir voir Mabelle, traversa le jardin
Les deux chevaux furent attaché a la barrière en bois créé à cet effet, et Jen emmena son mari découvrir les lieux
Tout d'abord l'entrée , salle de repas , elle se servit de suite un verre de lait , servit son mari, mangea un morceau de pain
Une fois rassasiée elle emmena son mari à l'étage pour prendre possession d'une chambre
Le voyage les avaient un peu épuisé, ils en profitèrent pour se reposer un peu

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Rochane
Rochane, nouvelle arrivante à Dieppe, partit à la découverte du village. Elle se balladait dans les petites ruelles etroites, flanant, l'esprit un peu ailleurs. Après quelques dizaines de minutes, au detour d'une rue, elle tomba sur une grande place, au centre de laquelle se trouvait une jolie petite batisse. Elle leva les yeux et vit une pancarte indiquant "taverne la chope joyeuse". Elle sourit. Après deux ou trois seonde d'hésitation, elle se dirigea vers la porte. Le seul moyen de rencontrer du monde était encore d'aller passer un peu de temps en taverne autours d'une chopine de Calva. Elle ouvrit la porte et se dirigea vers le bar.

Bonjour Dame.
Je me présente Rochane, nouvelle dans le village.

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Jenjitai


Après le repos , la balade, l'église , la taverne, petite boulasse sans gravité, Mabelle manquait terriblement à Jenjitai qui aurait tellement aimé la voir
L'heure du départ, on charge, refait le plein de victuailles et d'eau
Jenjitai, laisse un mot pour Mabelle


Citation:
Bien dormit avec mon mari, bien profiter de ton auberge, une seule chose manque Toi
A bientôt ma mie, je repasserais dans un mois en espérant t'y voir
Amitié
Jenjitai et Rogue

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Mabelle
La porte grinçait légèrement, son cœur s'affolait, submergée d'émotions Mabelle entra tremblotante. Depuis leur retour elle n'avait pas encore trouvé le courage, trop d'empreintes, de sillons de souvenirs, trop de Lui...
Elle respira l'odeur du bonheur qui inondait son auberge, les larmes ne mirent pas longtemps à perler sur son visage blême.

Elle découvrit le petit message de Jen et afficha un sourire attendrie.
Lasse, troublée elle s'assit sur son fauteuil près de la fenêtre. Brennus et Guert frétillaient de joie à se retrouver. Mabelle les regardait les mains sur son ventre...Ythares, Khan...Khan...Ythares...Khan...ces hommes qui faisaient sa vie...tour à tour ils se bousculaient dans son esprit. Khan...inlassablement là...il s'était relevé après son empoisonnement, il n'avait plus jamais renoncé, il était là encore et toujours, son amour pour elle encore plus fort, plus grand plus fidèle que jamais. Ythares subitement parti au monastère sans donner de nouvelles.
La douleur avait été si forte qu'elle pensait avoir perdu son enfant. Mais il s'était accroché à la vie ce petit d'homme...un têtu comme elle ?

Le départ à Avranches....oh elle n'avait pas eu besoin de réfléchir et avait même demandé la première ligne ! Khan était noir de colère à l'instar de Lud et Aliz mais Mabelle n'avait qu'une envie...en finir. Mais rien. Les bretons l'avaient épargnée, les avaient épargnés...Puis le départ vers Cosne avec Khan. L'Alençon menaçant, profitant d'une absence de Khan, et malgré les dangers révélés par le Prévôt, elle prit la route seule et tant qu'à faire bien chargée d'écus et de toutes sortes de choses.
Mais rien encore une fois...Elle jouait avec sa vie mais sa vie semblait être plus coriace qu'elle. De guerre lasse, elle attendit Khan désespérée.
Son Oriental, sa Lumière qui la guidait aveugle dans ce brouillard funeste ombrageant son esprit depuis tant de semaines.
Mabelle effleura son front, le souvenir de ce baiser que Khan déposa il y a cela des mois, ce torrent d'émotions qui l'avaient assaillie ce jour là...Ce jour là...avant qu'elle ne parte, le cœur déchiré, le front à jamais estampillé.
Puis la suite qui remuait dans son ventre toquant à la porte pour qu'on lui ouvre et qu'il découvre le monde.
Quel monde...quel monde vais -je te montrer mon bébé...? Celui-ci, où nos frères s'assassinent entre eux et torturent nos femmes ? Celui où l'amour nous tord de douleurs ? Celui où tu ne connaitras pas ton père naturel ? Celui où l'hypocrisie et le paraître gouvernent majestueusement ?
Où celui de la sagesse et la douceur orientales....celui de la fidélité, la sincérité, de l'intégrité de l'amour, des épices odorantes, et des saveurs d'autres terres...
Long soupir....la tête appuyée contre le mur, les mains caressant inlassablement son ventre, Mabelle laissait la brume de son esprit s'évaporer pour laisser l'évidence montrer le bout de son nez...
C'est dans cet état d'esprit qu'elle s'assoupit partie loin dans ses songes qu'elle espérait prometteurs...


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Hadelize
Frigorifiée, crottée par la poussière des chemins, Dany espérait trouver une bonne auberge à Dieppe.
Depuis plusieurs jours qu’elle visitait la Normandie, elle n’avait pas trouvé une auberge accueillant.

Quand elle vit la pancarte et surtout la belle maison, elle se dit qu’elle allait enfin pouvoir s’occuper d’elle et passer une nuit agréable.

Elle poussa la porte qui grinça un peu et sourit en sentant la chaleur qui régnait à l’intérieur.
Elle posa ses quelques affaires et visita le lieu.
Le bar avait l’air pourvu et elle s’enhardit à monter à l’étage.

Elle aperçut une petite pièce avec un baquet et s’affaira à se faire chauffer de l’eau pour prendre le bain dont elle rêvait depuis plusieurs jours.

Quand elle se plongea dedans, elle poussa un
HUMMMMMmmmm de plaisir et se frotta vigoureusement avec un savon parfumé à la lavande.

Ses longs cheveux enfin propres, elle s’enroula dans une serviette et redescendit pour récupérer sa besace.

Elle remonta vivement les escaliers, poussant une porte au hasard et voyant un lit accueillant, s’y installa.

Elle brossa longuement sa chevelure, l’attacha avec un nœud bleu revêtit une jupe de la même couleur et descendit voir si le repas était aussi bon que le promettait l'atmosphère

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Pedroroy
Pedro après plusieurs jours de chevauché à travers la Normandie arrive à Dieppe avec son amie de voyage Dany .

Il visite ce charmant village et s'arrête à la première auberge dont une deur de bien-être si en dégage .......

Épuisé du voyage il pousse la porte vitrée aux rideaux de multiple couleur...Le sourire au lèvre il y rentre en se présentant.........


Bonjour Missiou D'me chui Pedro un voyageur de passage dans votre beau village .

Regardant tout autour de lui , il admire la disposition des meubles et la décoration étincelante à l'approche des fêtes ................

Bon ben pas grand monde pour l'instant , vais en profiter pour me décrasser un peu !! arftttt !! un bon bain ne me fera pas de mal la !!

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Pittbull89
Pitt passait tôt, avant la mine et le bureau, juste vérifier comme souvent en cas d'abscence de la plus belle aubergiste de Dieppe.

arrivée devant la choppe il chercha guert du regard, l'oie la plus voyageuse de Normandie, elle traînaît au moins autant que sa propriétaire.

Pitt imaginait Mabelle, mantel et burel sur les épaules, harpentant les chemins le ventre rond le nez sous la brise Normande.

Sans elle dieppe n'était pas excactement la même, enfin sa dieppe à lui.

Chassant ses pensées il fît le tour de la bâtisse, commençant par l'arrière puis revenant sur la rue passagère, les calèches et les brouettes soulevaient les poussières des rues.

Pitt était suspicieux, inquiet devant lui la porte était mal fermée, pas le genre de la mule cela..
Il poussa le chambranle, celle ci s'ouvrit, chose rare, Mabelle serait rentrée?? sans le dire...

La salle était sombre mais pitt distinguait les traces de terre au sol, fort bizzard mabelle était soignée point de terre en ses murs..

Peut être était elle rentrée tard en nuit, la pénombre n'aidant pas elle n'aurait pas vue, ou alors son ventre proéminent empêcherait il la belle de délasser ses bottes.

Pitt avait envie de l'économiser un peu la fin arrivait bientôt le petit mabéliton allait apparaître, elle devait dormir, pitt attrapa le balai de pailles et livra bataille contre la terre.

cet intermède guerrier terminer, il s'attarda au déjeuner, les galettes mabellienne, enfin une pâle copie, miel et farine.

l'odeur montait.....

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PAX NORMANIA , votez normand
Hadelize
Dany avait passé la meilleure nuit depuis longtemps , le bain sûrement mais aussi les draps agréables, fleurant bon.
Elle ouvrit les yeux, soupira d’aise, s’étira et pensant qu’elle pouvait encore profiter du lit, elle remonta la couverture sur elle.
Un bruit…………..un balai ça ! La vie reprenait.
Elle repoussa la couverture et alla remettre quelques bûches dans la cheminée y plaçant de l’eau à chauffer.
Elle fit une rapide toilette quand une bonne odeur de cuisine lui arriva.
Elle réalisa qu’elle avait faim
et cette odeur……….hummmmmmmmmmmm………..elle chercha………..des crêpes ? ou quelques choses qui y ressemblaient.
N’y tenant plus, elle rangea ses affaires et descendit les escaliers.

Elle aperçu d’abord des galettes et en eut l’eau à la bouche, puis le messire qui avait l’air tranquillement installé.

Bonjour Messire, euh.......ça sent bon !
Je m’appelle Dany, je suis de passage dans votre belle cité et j’ai eu plaisir à passer la nuit dans cette auberge si agréable.
Un petit déjeuner et je reprends la route


Elle lui fit un grand sourire

C’est possible ? vous êtes bien l’aubergiste ? hein ?

Elle s'installa à coté de lui, se servit un bon verre de lait et prit une galette en lui souriant.

Elle mangea de bon appétit, remercia le jeune homme et sortit ravie de son étape à Dieppe
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Puccino
Après de très longues heures de marches sous le vent glacial d'hiver Normand, Puccino arriva tant bien dans un petit village. Il fit le tour de celui ci mais ne vit pas grand monde dans les rues.
Il passa devant une taverne quelques peu animé. Voyant son état général, Puccino mit quelques minutes avant de se décider à rentrer se réchauffer autour d'une choppe...

Il poussa la porte avec tremblement et lanca un "Bonsoir" hésitant. Il n'arriva d'ailleurs qu'a souffler " 'soir" et toussa, ses cordes vocales n'ayant formulé aucun mot depuis maintenant quelques jours.

Il s'installa sur une chaise bancale et posa son vieux sac à bandoulière ainsi que son couvre chef, qui laissa paraitre son crane rasé.
Il regarda sa bourse, compta ses quelques pièces et soupira..


"Pourrai-je avoir euh... un peu d'eau ?"
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