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[RP] *Les Jardins de Lysand'*

Selene59
Les regardes voyant un peu trouble se laisse soigner un peu, puis se laisse tomber sur l'herbe un peu fatiguer d'avoir chercher l'enfant.

bon et bien on rentre quand ? je suis fatiguer la bonsoir karenteg tu fait quoi par ici ? tu aime bien les jardins ? merci pour les soins c'est très gentil mais je ne sais comment je suis tomber et se n'est pas rigolo je t'es entendu rire pfff

elle attendit qu'il parte pour retourner en taverne et sourit a lys et tira la langue a karenteg vu qu'il a rigoler d'elle
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Lysandral


Lysandral écouta l'intervention de Selene et lui rendit son sourire...

Allez ma tite poulette, viens on y va, en avant toute!...

Lysand' se pencha vers elle afin de l'aider à se relever, puis la tenant par les bras, elle se mit dos à elle et lui dit: Allez, monte!...

En effet Lysand faisait le dos rond, les jambes un peu pliés elle intimait Selene de monter sur son dos! On aurait cru qu'elle voulait jouer à saute mouton!...
Le travail à la mine, dans son champ ou ici même avait fait de lysand une jeune femme athlétique et forte.

Selene un peu perplexe, tenta tout de même le coup et hop, elle lui sauta dessus. Le premier essai ne fut pas le bon et selene glissait le long du corps de Lysand, avec des râles et des rires spontannés. Elle l'entendait glousser et se mit à rire aussi.
Elle réessaya et c'était parfait, Lysand tenait fermement ses jambes au dessus des genous et Selene mit automatiquement ses bras autour de son cou.

En avant yaaaaaaaaaa! Et me serre pas trop la gorge hein, sinon je vais défaillir.

En place, les deux amies étaient prête à rentrer. Lysand fit face a Karenteg, le salua et lui souhaita une bonne fin de ballade, ce que fit aussi Selene.
Puis Lysand tourna les talons, ne voulant trop trainer.

Ils les vit s'éloigner dans un brouaha de commérages, badauderies et éclats de rire...
Favole
Petite ballade matinale en forêt avait-elle dit...
Pourtant, en s'éveillant ce matin là, la demoiselle se remémora la soirée passée, les compagnies agréables et conversations délicieuses au détour desquelles un homme aux discours éclairés lui avait conseillé la visite d'un jardin des plus magnifiques, selon les dires de ce derniers.

C'est donc sans regret que la donzelle troqua les bois contre les senteurs hivernales que pouvaient apporter divers plantes vigoureuses. Certes le lieu ne serait sans doute pas aussi fleuri que par une journée ensoleillée de l'été mais la rumeur le disait surprenant et Favole ne demandait qu'à voir s'il était à la hauteur de sa réputation.

Emmitouflée dans une cape de laine, la belle quitta la maisonnée qu'elle occupait avec sa chère cousine Prinelka. Le léger filet de vapeur d'eau qui s'échappait des lèvres de Favole trahissait les basses températures de l'hiver tout proche. Les pleines environnantes étaient recouvertes d'une fine pellicule blanchâtre laissée par le givre. La donzelle resserra son col de laine et s'engouffra dans les ruelles du village à la recherche d'une bonne âme qui saurait lui indiquer l'emplacement du fabuleux trésor. Malgré le froid persistant, nombreux paysans avaient déjà entamé leur labeur quotidien, c'est pourquoi la quête ne fut pas difficile. Les allées du jardin ne tardèrent pas à se trouver devant elle.

Un léger sourire sur les lèvres, la demoiselle admirait la tenue du parc, la propriétaire ne devait pas rechigner à la tâche. Malgré la saison peu encline au jardinage, il n'était pas laissé à l'abandon. Un petit banc de pierres au détour d'un sentier attira l'attention de Favole qui décida de s'y installer un instant.

Elle savourait sa liberté retrouvée après ces trois années enfermée dans un couvent austère. Bien que leurs efforts furent répétés, les soeurs n'étaient pas parvenues à faire d'elle une demoiselle dont les qualités devaient s'apparenter aux différentes vertus que devaient posséder les Dames. Résignées, elles avaient fini par abandonner et lui avaient permis de recouvrir sa liberté perdue. Rapidement, Favole en avait averti sa délicieuse cousine. Les deux complices étaient à nouveau réunies, prêtes à retrouver leurs jeux innocents.
Innocents dîtes-vous?
Lysandral


Lysand' décida de se promener proton minet dans ses jardins. Du travail l'attendait en effet, elle partait en retraite spirituelle pour une dizaine de jours et devait mettre ses différentes affaires en place...

Mais pour l'heure, elle décida d'arpenter son jardin de fond en comble afin d'être sur que tout allait bien. Une brume glaciale avait enveloppée les lieux et couverte comme pas deux, elle prit son courage à deux mains afin d'affronter le froid hivernal bien présent maintenant. Dès quelques pas, elle s'aperçut que de la neige s'était déposé ça et là sur son jardin.
Le spectacle la ravie au plus haut point, ramassant de la neige dans ses mains crispées par la vivifiante etreinte, elle jetta la poignée en l'air. Fine et aérée, la neige retombait doucement sur le sol. Lysandral souriait.

Passant par le recoin du Jardins des topaires. Elle s'arrêta regardant le paysage qui s'offrait à ses yeux. Immobile, elle contemplait, se mettant à rêver à toutes sortes de choses. De la fumée sortait de sa bouche à chacune de ses expirations, s'envolant et se dissipant au grés du vent devant elle. Ses oreilles, nez, oeils étaient congelés, lui rapellant que faire une halte par ce temps se traduirait par finir en bonne femme de neige!...



Elle reprit donc sa route, les tailles des buissons et arbres avaient été faites juste à temps avant que les gelées ne ravagent tout. Que de travaille cela avait donné...
Au détour d'un sentier, elle apercut un magnifique connifère, bien planté, au tronc massif et aux branches bien fournies. Sa cîme semblait transpercer le ciel gris blanc.
Elle se dit que cela aurait été fort sympathique de le décorer et d'en faire un Arbre de noël.




Son parrain le lui avait d'ailleurs sugéré et cela faisant son chemin dans sa petite tête, Lysand' reprit le chemin de sa demeure afin de trouver une première pièce a posé sur le sapin...
Elle n'avait rien de particulier pour ces fêtes, elle ne l'aimait pas trop cette fête d'ailleurs, sa retraite à cette période n'était pas pour rien!...
Toutefois, elle confectionna avec des petits bouts de bois et de la ficelle, des petites etoiles, qu'elle placerait un peu partout dessus. Une fois chose faite elle repartie les accrocher, espérant que d'autres y ferait attention et pourquoi pas laisserait un ti quelques choses dessus aussi.



Passant vers l'entrée des jardins elle s'assura que la grille était bien grande ouverte comme elle le souhaitait, invitant tout passant à s'y aventurer et désenneigea ses pancartes de bienvenue et plan.
Puis, Lysandral rentra chez elle afin de terminer ses paquetages et pourquoi pas allez boire un coup en taverne avant de se livrer aux nonnes et curetons qui, elle l'esperait ne serait pas trop chiants!...
De toute façon elle savait pertinement que dès que l'occasion se présenterait elle leur filerait entre les pattes le temps d'une ballade...
Lluwella
Lulu aimait beaucoup la neige la glace et tout ce qui va avec (sauf quand elle se cassait la figure en dégommant quelques poubelles au passage).
Elle décida d’aller se promener dans les jardins de Lysand’ pour les admirer dans leur manteau blanc.

Elle en avait profité pour amener quelques petits animaux qu’elle avait fabriqués avec des chutes de bois de son atelier de charpentier, au cas où elle verrait le sapin à décorer dont Lysand’ et Abra lui avait parlé à la taverne.




Elle découvrit l’arbre au détour d’un sentier. Effectivement il ferait un magnifique sapin de Noel.
Elle vit que Lysand ou d’autres avaient déjà commencé à le garnir.
Elle escalada le tronc du conifère pour pouvoir fixer ses petits animaux en hauteur.

En redescendant, elle admira son œuvre.
Bon, ce n’est pas encore très garni, mais si chacun apporte un petit quelque chose ça devrait être très joli.
Ozane
ozane regarda le magnifique sapin que lys avait installé et retourna vite chez elle chercher dans le coffre une jolie décoration a apporter
Abraxes
Nowell, Nowell ! chantait Abraxes en cheminant tant bien que mal dans la neige, prenant garde à ne pas faire le toboggan comme il avait vu Lulu le pratiquer à son corps défendant dans la rue principale cet après-midi…

La fête des enfants est aussi celle de la gourmandise. Pour décorer le sapin saumurois, le fermier n'avait pas failli à ses premières amours : il avait déniché un cochon en pain d'épices !



Il le suspendit à une branche basse, pour que les petiots du village puissent s'en régaler le jour venu.

Il avait hésité à y accrocher une réclame, du style : À la boucherie d'Abrax, de cochon on se régale un max ! Mais à la réflexion il avait trouvé que ça risquait de faire un peu vulgaire pour la fête.

Aussi se contenta-t-il d'annoncer, histoire de faire connaître l'ouverture de sa taverne :


Et demain, à la demande de damoiselle Lulu, cochon en pain d'épices au menu de la taverne "À la résistance", tout en bas de la rue des tavernes ! Qu'on se le dise ! Nowell, Nowell !

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Le plus pimpant éleveur de cochons de toute la côte ouest, et un vrai Saumurois s'il en est.
(la petite Reyne de l'Anjou, le 21 avril 1457 à Bourges lors du 5e GFC)
Hernaut
J'avais appris que l'on était invité à décorer l'arbre de noël des jardins de dame Lysandral. Evidement, je n'étais guère en avance, une commande tardive à ma tonnellerie m'avait requis plus longtemps que je ne l'aurais souhaité, le client se montrant par trop tatillon alors que je fournissais déjà quelques unes des meilleures caves de Saumur et d'Anjou.

Sans doute n'y connaissant rien en tonnellerie, avait-il eut peur de ne pas se monterer assez exigeant, prouvant par ses excès même toute son ignorance en la matière. Bref, j'avais perdu assez de mon temps et de ma patience et me promis bien de ne plus travailler avec lui et pris congé avec soulagement.

Je faisais venir mon bois de la forêt domaniale de Tronçais connue comme la plus belle futaie de chêne du Royaume. Une fois mon client ronchon parti, je pus enfin me consacrer à la fabrication de jouets que je confectionnai avec soin dans de larges chutes de bois de chêne.

À l'aide de mes gouges, je sculptai le bois en suivant les veines et en prenant soin de ne pas le faire éclater. Je me surpris en train de chantonner tout en réalisant mon ouvrage. Je pensais à la joie des petiots qui manipuleraient bientôt tous mes jouets. J'avais fabriqué plusieurs fermes avec des cochons et des vaches, mais aussi car Saumur est sur les rives de la Loire, des bateaux à fond plat que l'on trouve généralement sur le fleuve ligérien, et un magnifique bateau de pirates avec deux rangés de canons et un grand drapeau noir flottant en haut du mât d'artimon.

Le ciel était dégagé et un froid vif et piquant me saisit lorsque je sortis de mon atelier.

Sans m'attarder je chargai mes jouets dans ma carriole et me rendis aux jardins de Lysandral où je trouvai sans peine l'arbre de Noël déjà abondamment décoré. Je fis un peu de place et déposai mes jouets au pied de l'arbre dans la neige fraîche en espérant faire quelques heureux.

Satisfait de mon ouvrage, je rentrai à mon atelier en pensant à mon nouveau projet, le Scriptorium de Saumur !
--Vieillegisele


La Vieille Gisèle

La vieille, Saumuroise depuis moults années, avait vu la populace changer, les taverniers se succéder, l'affluence dans son village évoluer, elle arpentait Saumur depuis assez d'année afin d'en connaitre tous les recoins.
Elle était déjà venu se promener dans les jardins de Lysand', bien qu'elle ne l'ai jamais rencontrer. Elle se demandait qui pouvait bien être ce bout de femme qui créait avec l'aval de la nature de tels jardins ravissants le coeur et l'esprit. La vieille, au temps des douceurs automnales avait pris l'habitude de s'assoir sur un banc, dans un espace reculé et calme. Observant la vie de la faune et l'action du temps sur la flore. Elle en avait ramassé des feuilles mortes, juste tombée de la branche, aux couleurs et formes variées, ou encore quelques bout de bois, branches et branchages plus ou moins lourds et longs afin de préparer des réserves avec l'hiver arrivant. Bien que le froid se fasse de plus en plus sentir, elle pensait aux futurs feux de cheminée auprès desquels elle se réchaufferait, un grog à la main...

Pourtant ce jour, elle ne venait ni pour cela, ni dans l'espoir d'y trouver sur un banc une autre octogénère emmitouflée et la bouche pleine de ragots et autres discussions frivoles, courtes, et parfois non terminées...
Non, ce jour, elle venait tout simplement car elle avait aperçut sur le chemin de la sortie, quelques jours auparavant, un arbre qui semblait faire office d'arbre de noël improvisé!
Se rapprochant de celui-ci, elle avait aperçut que certains villageois avaient entreprit de l'embellir, de le rendre apétissant ou encore d'y déposer des cadeaux... Cette manifestation de partage, en cette période de l'année l'avait beaucoup touché et ce malgrés son coeur endurcit et solitaire qu'elle avait porté en elle durant toute sa longue existence...
Elle se jura de participer à cela et avait donc pour l'occasion confectionné, avec de la laine venant de son élevage, quelques écharpes tricotées par ses soins, de longueurs variées, des écharpes bien chaudes pour les cous mis à l'épreuve du vent en ces jours hiémaux. Elle même ayant beaucoup de mal à sortir par de telles températures, étant éprouvée à chaques pas ou actions, les articulations rendues douleureuses et grinçantes, l'équilibre incertain et la force lui manquant de par ces nombreuses années.

Pourtant elle affrontait le froid afin de mener à bien cette action tout comme elle le souhaitait, les travaux mis dans un panier elle avait prit la route des jardins et affronter cette univers qui lui semblait à cet instant bien hostile et rude. Aucune chute ou glissade n'avait perturbé son voyage et saine et sauve là voici au près de l'arbre de noël.
En hâte, elle enroula les écharpes autour des branches, elle ne pouvait rester de trop, le froid prenant sur ses forces physiques un ascendant bien réducteur elle se dépêcha de tout mettre en place.
Regardant à gauche ou à droite, elle vérifiait que personne ne la remarque, c'est qu'elle avait une réputation de vieille mégère ronchon à préserver. Faudrait pas qu'on croit qu'elle fusse un instant gentille, de peur de voir venir à elle toutes sortes de personnes aux intentions douteuses, se méfiait des gens la vieille Gisèle, bougonnant toujours avant de prendre la parole...
Sans s'attarder à fignoller ses cadeaux décorations, elle s'en alla, tranquilement, pensant à son grog et à son feu crépitant furieusement dans l'âtre...
Selene59
Selene entra dans les jardins pour y faire un tour avant son départ en retraite. Elle décida de faire son tour habituelle, elle passa dans l'allée ou il y a de la neige puis vu un beau sapin de noël. Elle accrocha a une branche un noeud de soie d'une couleur or pale pour que sa suivent, avec le grand sapin que lys avais préparer, elle le contempla de haut en bas puis se tourna pour continuer sa promenade. arrivant devant le lac quelques temps après elle mis un pied sur le lac gelé, pour faire quelques glissades mais comme la glace se cassa, elle fit demi tour triste de ne pas faire de glissade, puis espéra voir lys puis lui parler un peu avant qu'elle ne s'en va. Pour cela elle l'attendit sur un banc une heure après ne la voyant point arriver, elle reparti direction des tavernes.
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--Ciceliaetrobyn


Cicelia & Robyn

Les deux fréres et soeurs avaient profité du manque d'attention et du fait que leur mère travaille dur pour s'enfuir pour de folles aventures...
Ils n'aimaient pas rester en place, avaient toujours envi de s'amuser inventant histoire sur histoire.
Ils étaient venus jouer dans les jardins de Lysand', ils aimaient bien ces jardins qui leur donnaient toutes sortes de lieu à explorer...

"Allez Cicelia, on va faire ça! moi je suis un chevalier et toi une princesse prisonnière d'un mechant dragon... "
Ils se trouvaient dans le jardins des topaires, et certains massifs taillés donnait l'impression de formes animals ou extraordinaires pour peu que l'on avait un peu d'imagination.

Cicelia s'executa et se mit contre un massif qui faisait office de dragon furieux et imposant, avec son souffle elle faisait la fumée qui s'échappait des narines de l'affreuse bête...

"Oh chevalier au coeur vaillant venez me délivrer, au secours..."

Robyn muni de son épée de bois, feignait une lutte acharnée avec des gardes aux vêtements et coueur sombre de noirceur. Poussant râle et cri d'attaque... Se jettait derriere un buisson afin de se cacher ou eviter un coup de hallebarde qui l'aurait atteind gravement s'il n'avait pas eu ses reflexes...

"Me voilà dragon, libére la princesse immédiatement espèce de bête affreuse. je ne te crains pas, j'ai mon épée bénit des dieux et je te pourfandrait jusqu'a ce que t'es mort!..."

Robyn avait l'air grave et décider, Cicelia, la mine appeurée et triste de sa captivité lançant à tout va cris, appel à l'aide et autres...

Robyn attaqua le pauvre massif de Lysand', tranchant dans le vif, tranchant profondement ce bourreau princier... Il avait les joues toutes rouges, le souffle court, il avait chaud dans ses vêtements d'hiver...

"Hourra pour le chevalier vaillant qui m'a libérée du dragon fou! Je vous remercie mais faisons vite, j'entends du bruit, il faut nous enfuir..."

Robyn prit la main de sa soeur et ils prirent leurs jambes à leur cou, courant sans s'arreter ni regardr vers ou ils allaient...
Ils arrivèrent droit sur l'arbre de noel du jardin!...
Wahouuuu avait il poussé tout deux...
Hann regarde c'est trop beau robyn... Cicelia observait les etoiles, noeuds et autres sujets de bois accrochés au sapin, ses yeux etaient ronds comme des billes, et son sourire radieux.
Robyn lui, avait plutot remarqué le cochon en pain d'epice qui lui semblait enorme et le faisait saliver. Regardant un coup à gauche, un coup à droite il en défit deux petits morceaux qu'il partagea avec sa soeur et le porta à sa bouche.
Huuuummmm ch'est trop bon, un peu froid mais trop bon hein Cicé?
Oh oui Byn, l'est trop bon ce cochon...Ils dégustait avec joie et precipitation ce cadeau du ciel.
Faut dire que dans sa famille, il n'avait pas beaucoup de bien et les noel ressemblait bien souvent aux autres jours de l'année...

Là, d'un coup, Cicelia poussa un cri strident!
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Byn regarde au pied du chapin, regarde des cadeaux! tu crois que...Tu crois qu'on peut?
Oh! bah mince alors regarde un bateau de piraaaaaate!!!
Ils étaient aux anges et commencèrent a jouer dans la neige avec, ils riaient tout en s'empiffrant de pain d'épice.

Et les heures avaient passées, alors que le jour déclinait, ils décidèrent de rentrer enfin chez eux, Robyn emportant avec lui le bateau et cicelia deux figurines animalieres en bois. Pour leur pauvre mere, ils déroulèrent une echarpes de grande taille, quelque peu inquiet et sur leur garde ne sachant s'il pouvait et prirent le chemin de leur maison.
Ils avaient l'air si heureux, que toutes les personnes qu'ils croiserent furent obbliger d'esquisser un sourire.

Ce fut pour eux, cette année là, le plus beau des noël...
Pailettedargent
Au détour des rues ,Pailette trouva le jardin,elle décida d'y aller promener Orphée son p'tit chien.
Entre deux buissons Orphée niflait les traces laissaient par les petits animaux.
Pailette la regardait faire en souriant,elle s'assit sur un banc pour rêvasser un moment,peut être que Muse pointra son nez...

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La_muse
Muse se promenait tranquillement dans les rues de Saumur quand elle aperçut au loin le jardin de Lysandral, elle avait promis d'aller le visiter...
Elle prit donc le chemin du jardin.

Elle fit quelques pas quand elle vit Orphée sniffer partout et venir à sa rencontre, elle prit le chien dans ses bras et le carressa, elle leva la tête pour voir où se trouvait sa soeur...

Pailette était assise sur un banc, encore en train de rêvasser^^
Muse rejoignit sa soeur et s'asseya à ses côtés tout en admirant les alentours.

C'est joli ici, c'est bien calme et trés apaisant pour venir méditer je trouve, il devrait y avoir des endroits pareils dans chaque ville
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Pailettedargent
Oui,j'suis d'accord avec toi,Muse..Un endroit comme çà à Fougères serait bien mieux que notre lac plein de cadavre!^^

Pailette se mit à rire sur ses dires...Ooohhh!Maelfea serait là,j'me ferais tirer par les oreilles!

Elle replongea dans ses pensées comme à son habitude,rêveuse jusqu'au bout!
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Lysandral


Lysandral n'avait que peu arpenté ses jardins ces derniers jours. Pourtant, elle en avait aujourd'hui un besoin vital.
Besoin de se retirer au calme.
Besoin de méditer.
Besoin de faire le vide en elle.

Elle se sentait bien seule ces temps-ci, elle repensait à ses parents qu'elle avait fuit et à qui elle avait tout de même surement dû briser le coeur... Et sa petite soeur, que dire, son abscence, ses rires qu'elle entendait au loin, au fin fond de ses souvenirs... Ses éclats de révolte face à cette grande soeur trop protectrice et enquiquinante, tout cela lui manquait tellement et pesait de façon si torturante sur son âme.

Le doute l'emplissait, n'était-elle pas un fille indigne?
Une jeune fille aux désirs et souhaits trop ambitieux?
Une impudente révoltée et surement folle?
Avait-elle bien fait de les quitter?
Aura t'elle un jour sa propre famille, qui apaiserait son coeur solitaire?
Retrouvera t-elle sa soeur?...

Elle stoppa net sa ballade, restant immobile, le souffle léger mais etranglé, les bras le long du corps. Elle était là, la neige tombant doucment sur son visage et son corps en mal d'amour...
Elle regardait dans le vague, quelques flocons se collant parfois à ses cils, produisant un effet optique plus que féérique sur le paysage. Elle replia ses bras sur épaules, les haussant quelque peu, un pincement de lèvre, une inspiration troublante et une larme sur la joue, elle était là, où elle avait toujours rêver d'être mais...

Le caquetement d'un oiseau la sortit de sa torpeur psychologique et elle emboita le pas. La neige recouvrant tout de son enveloppe si dense mais fragile, elle avançait, elle ne voulait réflechir de trop... Elle marchait afin de s'épuiser, afin de ne pas penser, afin de s'évader, encore?...

Elle en avait croisé des vagabonds, voyageurs en tout genre depuis son arrivée, elle en avait écouté des récits de voyage, immaginé des contrées magnifiques. Pourtant, elle ne voulait partir, Saumur était son village, sa terre d'asile, rien ne sert de constament courrir à droite, à gauche se disait-elle. Si tu n'es pas bien quelque part, tu ne le seras nullepart, si tu ne te supporte pas toi même, tu ne supporteras personne...

Et ici que de joie et belles rencontres...
Cet endroit l'avait tout de suite séduite, des foux alcooliques et festifs, tout ce qu'elle voulait. Ces histoires de grande famille episodiques qu'elle aimait à savoir, la distrayait au plus haut point. L'anjou, elle l'aimait et ne la quitterai jamais de trop.

Le jour déclinait et la nuit enveloppait les lieux de son absence de lumière, avec elle la température baissa et un fin brouyards'abattit sur les jardins. Elle avait froid et décida donc de prendre le chemin de sa chaumière. Elle se mit à sourire, et tout de suite, elle se sentit mieux, elle se promit de toujours gardés ce sourire réparateur au fond d'elle, pour les mauvais jour et de croire en des lendemains magnifiques et joyeux...

Plus qu'une ombre, elle n'était plus qu'une ombre errant et disparraissant au loin..
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