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[RP] *Les Jardins de Lysand'*

Lolitaspace
Lolitaspace entre pour la premiere fois dans les jardiens de Lysand' et tombe en admiration devant tant de beauté .
Levant la tête pour admirer la cime des arbres , la baissant pour regarder le sol jonché de fleurs , par ci, par la et tournant à droite et à gauche , Lolitaspace n'en peut plus de trouver tant de beauté dans le jardin de sa marraine .
Se mettant à rever de son avenir et se souvenant de ces années passées , la mélancolie la gagna , ce qui la poussa à s'asseoir sur un nid de fougéres et de révasser .


-Pourquoi ne suis-je pas ne dans ce paradis ? Peut être alors ma vie aurait été tout autre . Je ne sais pas mais aujourd'hui J'éspere et je rêve d'une vie meilleure....

Et cette réverie mena Lolitaspace à s'endormir dans ces jardins merveilleux qui pour elle ne pouvait être que l'antre d'une bonne fée .
Lysandral


Lysand qui avait fini son travail du jour de bonne heure avait décidé de se rendre dans ses jardins.

Une pelle et une brouette en main elle partit donc, afin de déblayer comme elle put les allées enneigées et parfois verglacées. Elle ne voulait que quelqu'un glisse, tombe, se fasse mal et la maudisse de tout les noms...
Commençant par le début elle prit son courage a deux mains et commençat à déblayer la cathédrale de rose. Cela lui prit une bonne heure, en effet celle-ci etant large et profonde le temps qu'elle en fasse le tour, le soleil avait bien tourné.

Continuant son chemin elle s'engagea dans l'allée au topaires et aux vues du travail, de plus visualisant les autres allées qui traversaient de part en part ses jardins, elle décida de déblayer une petite tranchée au milieu de celles-ci, rabattant la neige sur les côtés.
La manoeuvre était longue et fastidieuse, souvent lysand se redressait, une main sur la hanche, soufflant bruyamment et rapidement. Elle sentait ses doigts s'enquiloser mais elle se devait de continuer.

Elle avançait, l'allée du fond et elle avançait, ne regardant pas trop au loin pour ne pas se décourager, regardant à ses pieds mais pas plus loin...
Elle raclait le sol, sa pelle parfois glissait le long de la surface gelée n'arrivant à la transperser, elle redoublait alors de force afin d'enlever ces morceaux de patinoire qui jonchaient le sol à certains endroits.

Au détour d'un chemin, alors que la lumière du jour déclinait, elle aperçut sur un banc une forme qu'elle ne reconnut pas imédiatement. S'approchant un peu plus près, elle reconnut alors sa fillote allongée et recroquevillée, Lolitaspace...

Doucement, elle posa sa main sur ses cheveux et l'apella afin de la réveiller...

Lolita, ma lolilol, réveille toi!
Lolilol allez réveille toi c'est Lysand, loli...
Lolitaspace
Sentant une main lui carreser les cheveux , lolitaspace ouvrit doucement les yeux et se mit a sourire .

- je suis au paradis! se dit elle

Mais trés vite sa marraine lui remit les idées en place et lui fit comprendre qu'elle s'était assoupit dans ces jardins et que si elle ne se levait pas elle mourrait de froid .
Trés vite en effet lolilol (surnom que lui donne sa marraine) , transie de froid se leva et demanda :


- Mais Lysand' ou vais je aller , je n'ai pas du tout envie de regagner ma vieille maison , j'etais si bien ici . Dans ton jardin marraine j'oublie tout . J'ai froid mais j'ai tellement envie de me recoucher dans tes jardins !

- Soit raisonnable ma lolilol , tu ne peux pas consciemment rester ici , Rentrons ,allons boire une tisane et plus tard si le coeur t'en dit tu regagneras ta demeure et tu travailleras a ton champs pour qu'un jour tu es toi aussi un aussi merveilleux jardin !

- Merci Lysand de me remonter ainsi le moral ! Je t' adore . Alors allons y buvons ce thé !

c'est ainsi que bien plus tard dans la soirée , lolitaspace , repue et heureuse se décida a quitter la demeure de sa marraine et reprit le chemin de sa maison en revant et pensant a des jardins merveilleux ......
--Jeantin
[La Nuit]

Cette nuit là était froide mais soutenable, et Jeantin, jeune vagabond de son état, vétue de couleur creme et marron, portant sur la tête un tricorne bon marché et vieilli sur des cheveux longs et brun se promenait...
Il était un habitant reconnu des jardins de Lysandral et il errait observant les reflets de cette lune d'argent sur la neige et la glace éparse...

Il ne trouvait pas le sommeil... Il ne savait que faire... Il décida donc de marcher tant que la force le maintiendrai debout. Il les connaissait bien à force les jardins de la Chataigne se dit-il...
Sa cabane, cacher quelque part dans les jardins, invisibles de tous, à l'abris de tous, et connue de peu, il avait eu le temps durant l'automne de la consolider, de la colmater, d'en faire un petit chez soi qui lui convenait parfaitement.

Il repensait souvent à cette belle damoiselle qui lui avait permis de rester icelieu à conditions de ne pas faire de bêtises...
Il ne la voyait guère plus dans son royaume végétal, peut être cette saison la rendait triste, se disait-il...
Il regardait autour de lui, le calme imposé par la nuit donnait une atmosphere étrange à ses jardins. Brouillard et légérs fumerolles de brume, rendant la chose presque mystique...

Il décida d'aller d'un coup d'un seul d'aller se coucher. Il avait prit une décision et voulait en parler à Lysandral.

Demain je me leves tot et je vais lui parler de mon idée à la chataigne!...
Avait-il dit l'air décidé et le visage serein et confiant.

Il quitta les chemins tout tracés pour s'enfoncer dans les profondeurs des bosquets et autres sous bois des jardins...
Selene59
Celecia entra dans les jardin de lys et trouve que rien n'a changer mais que c'est toujours aussi magnifique. Elle contempla cette vue magique puis marcha tout le long des arbres vert sous un petit manteau de neige pour arriver jusqu'au petit lac.

Elle resta assez longtemps les yeux fixer sur l'eau un peu glacé par se froid, elle ferma les yeux et écouter le chant des oiseaux.

Qu'elle silence se murmura pour elle même, puis après avoir rester quel temps la, elle pris un autre chemin qui la mener dans une allé enneigé et elle entendit un bruit.

Elle dit d'une voix douce.

Lys c'est toi ?

Celecia espérer entendre la voix de lys puis resta dans cette aller pour voir qui étais la.
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Selene59
Celecia étais dans cette allé depuis quelque temps déja, et commencer a avoir très froid elle attendit qu'une personne répond mais rien.

Alors elle décida de faire demi tour et repartir en direction des tavernes pour qu'elle se réchauffe.

Marchant tout le long elle vit que le lac étais encore plus gelé que tout a l'heure, elle s'arrêta pour voir encore cette vue magnifique, qui serais encore plus belle en été, elle baissa la tête puis repris la marche le coeur gros de tristesse de ne pas avoir vu son amie.


Arrivant près des grilles elle se retourna une dernière fois, puis partir d'un pas rapide dans la direction des tavernes retrouver celui qu'elle aime.

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Ozane
Ozane qui avait ces derniers temps beaucoup voyager et travailler pénétra dans les jardins en pensant que malgrés tout son chemin parcouru elle naurait pu apercevoir ailleurs telle merveille, tellement ce lieu était unique par sa beauté, son calme et sa grandeur.

Elle decida de prendre son temps pour arpenter les allées et de profiter de chaque instant passé dans ce paradis qui lavait enchanté au premier instant, elle sentit le doux parfum des roses et se resourca en sassayant un moment pres du kiosque , elle se dit quelle pourrait passer ici la journée voir la nuit sans aucune apréhension.

Elle toucha lécorce dun arbre , en admirant la force de cette nature qui malgré la rudesse de lhiver passé avait su garder toute sa splendeur.
Elle s'atarda lontemps reveuse...
Lysandral
Lysand se hâtait ces derniers jours à remettre un peu d'ordre dans ses jardins.

Elle récoltait ses légumes de saison dans ces jardins puis se mit arpenter les nombreuses allées et espaces de son jardin.
Elle allait bientôt pouvoir planter ses boutures et nouvelles graines afin de donner aux jardins tous les charmes qu'elle pourrait lui donner. Près de sa cheminée, elle en avait pris soin, leur parlant et les soignant chaque jour.
En effet, on pouvait y voir en pot des pousses de plantes diverses ou autres graines germées, au formes et couleurs variées.

La nuit précédente, des vents assez rapides et violents avaient mis du désordre un peu partout, arrachant quelques branches d'arbre, déplumant des buissons et faisant tomber quelques barrieres de bois.
Il fallait se mettre au travail...
Lluwella
Depuis qu’elle était revenue de sa retraite au couvent, Lulu ne se sentait pas très bien. Elle était triste et sur les nerfs.
Triste parce que l’anniversaire de la mort de son père approchait.
Sur les nerfs pour une autre raison qu’elle préférait ne pas approfondir pour l’instant, bien qu’au fond elle sache très bien de quoi il s’agissait. Mais faire l’autruche, elle savait très bien.

La veille, elle avait bien tenté d’aller se calmer chez Letiti, à l’Antre du Philosophe, mais elle l’avait trouvé dans un état extrêmement préoccupant. Il souriait d’un air béat.
« Fait beau hein ? Les oiseaux chantent. » Il était GENTIL !!! La dernière fois, qu’il s’était montré aussi charmant, elle avait cru qu’il était en train de mourir. Là aussi d’ailleurs. Elle lui avait demandé s’il avait bu, s’il s’était drogué, mais non rien.

Elle lui avait piqué son chapeau pour voir s’il n’avait pas pris un coup sur la tête. Vu son état il aurait dû avoir une bosse de la taille d’un œuf mais rien. Pire il n’avait même pas crié au crime de lèse couvre chef quand elle lui avait piqué le chapeau. Il s’était contenté d’un « il est beau mon chapeau non ? ». Terrifiant, consternant, pathétique…

Elle avait bien été obligée d’admettre que c’était l’effet magique Linon qui le rendait comme ça. C’était très reposant, mais pas destressant. Si on peut même pu compter sur les casse pieds professionnel pour passer ses nerfs où va-t-on ?. Le pire, c’est qu’à chaque fois qu’il ouvrait la bouche, elle avait l’impression de voir des petites fleurs qui accompagnaient ses paroles.

Quand elle était sortie elle avait eu l’impression qu’il avait grandi. Elle ne voyait pas ses pieds derrière le comptoir, mais elle avait supposé que c’était parce qu’il était en train de flotter à au moins 30 cm du sol.

Ce soir, c’était une nuit particulière pour Lulu, c’était la nuit du chant. Tradition familiale que son père avait instaurée pour l’anniversaire de la mort de sa mère.
Ils se réunissaient autour d’un feu de camp son père ses deux frères et elle, et ils chantaient pour sa mère.
Lulu était triste parce que c’est la première année où elle était toute seule pour cette date. Elle avait décidé de le faire quand même, pour ses deux parents cette fois, espérant que l’an prochain elle pourrait retrouver ses frères.

Il était bien une heure du matin quand elle était sortie, entièrement vêtue de noir et s’était dirigée vers les jardins de Lysand. Tout était calme. C’était une magnifique nuit. Le ciel était dégagé, et la pleine lune éclairait tout de sa lueur argentée.
Elle se dirigea vers l’ « arbre à l’écureuil » comme elle l’appelait, elle y avait grimpé, s’était assise sur la première branche, le jambes pendant dans le vide.
Elle avait contemplé un petit moment le reflet de l’astre de la nuit dans le petit lac.
Puis elle avait commencé à chanter. Elle avait une jolie voix, bien qu’elle n’ait rien d’exceptionnel.

Et j'ai souvent souhaité
De partir avant les miens
Pour ne pas hériter
De leur flamme qui s'éteint
Et m'en aller
En gardant le sentiment
Qu'ils vivront éternellement


Tout en chantant, elle sentait les larmes lui venir aux yeux. Par moment sa voix cevritait un peu.
Blanc bec choisit ce moment pour se poser à côté d’elle sur la branche et chanta avec elle.
Elle le regarda d’un air attendri, contente qu’il soit venu.
A la fin de la chanson, elle lui dit en souriant:
mon cœur, tu es peut être le plus grand chanteur parmi tes congénères, mais franchement d’un point de vue strictement (et bassement) humain c’est une horreur, sans vouloir t’offenser. Mais je suis contente que tu sois là, alors chante avec moi.

Elle ferma les yeux puis reprit le chant.

Le roi a fait battre tambour
Le roi a fait battre tambour
Pour voir toutes ces dames
Et la première qu’il a vu
Lui a ravi son âme
….

Elle chanta les indispensables chants de Noel « Douce nuit » et « Les anges dans nos campagnes » que les jumeaux tenaient absolument à mettre au répertoire tous les ans. Elle sourit à se souvenir. Et aussi Frère Jacques bien sûr. Sans canon aujourd’hui puisqu’elle étaient seule.
Elle continua encore et encore.

…..
Elle disait que vivre était cruel,
Elle ne croyait plus au soleil,
Ni aux silences des églises.
Même mes sourires lui faisaient peur,
C'était l'hiver dans le fond de son cœur

….
D’étranges rêveries hantent mes nuits
D'un long voyage où rien ne vit
D’étranges visions couvrent mon front
Tout semble revêtu d'une ombre

….
Je suis d'une région d'une langue d'une histoire
Qui sonne loin qui sonne batailles et mémoire
Celle qui m'a vue naître
Celle qui m'a faite ainsi que je suis faite
Une terre, un caractère celle que je reste

….
Moins de haine, moins de guerre
Moins de larmes et moins de sang
Moins d'espoir d'être puissant
Moins de pouvoir et moins d'argent
Et plus de sentiments


Après avoir chanté pendant près de 2 heures, elle laissa sa voix mourir doucement. Elle se sentait beaucoup mieux, plus sereine. Elle contempla encore quelques instants le reflet de la lune dans l’eau en pensant à son père. Puis décida qu’il était temps de rentrer se coucher.

Daniel Balavoine, Francis Cabrel, Mylène Farmer, Patricia Kaas, Michel Berger.
Hosta
Epée nouvellement acquise au côté, cheveux attachés en une queue de cheval, et habillée un peu trop légèrement pour la saison, Hosta traverse la cathédrale des roses, continue sa route dans l’allée géométrique, pour ensuite se retrouver près du lac. Regard en direction de l’arbre sur lequel elle était montée autrefois. Marche qui ce fait alors plus rapide, au cas où un écureuil soit dans le coin et aurait l’idée de voler quoi que ce soit à quelqu’un pour ensuite le percher en haut d’une branche. Faire de l’escalade une nouvelle fois, c’est bien une chose dont Hosta se passerai, surtout pour dégringoler après.

Quelques minutes plus tard, elle se trouve dans le sous bois, et pose sa main gauche sur la garde de son épée. Non, elle ne compte pas détruire la végétation. Enfin...Peut-être bien qu’elle enlèvera quelques mauvaises herbes au passage, histoire d'aider Lysandral dans ses travaux de jardinage...Mais elle n’est pas venue ici dans ce but précis.

Son intention ? S’entrainer à l’épée, chaque jour, à l’abri des regards. Bientôt, elle sera sur les chemins. Explorant chaque recoin du Royaume de France...

Plusieurs fois elle a songé aux avantages, mais surtout aux inconvénients que pouvait donner ce périple. Oui, elle pourrait faire de nombreuses et inoubliables rencontres, mais elle pourrait toujours ce faire décimer par des truands alors qu’elle serait sur des chemins trop dangereux. Alors, s’exercer au combat est la meilleure des méthodes pour s’en sortir au cours de ce voyage. Chercher à donner de la difficulté à de futurs ennemis, il n’y a que ça à faire pour réellement ce préparer. Puis, rencontrer la faucheuse, c’est un destin peu reluisant, quand on n’y pense, alors elle préfère l’éviter autant que possible.

Epée en main, Hosta fend l’air maladroitement, et s’essouffle vite alors qu’elle combat des ennemis invisibles. Mais l’assurance viendra, la technique avec. Tout n'est qu'une question de temps...
Hosta
[Les départs donnent souvent l’illusion d’une renaissance]


Nouvelle journée...Non, les journées qui défilent ont toutes un goût de déjà vu. Ce n’est pas de la nouveauté pour elle. Trop longtemps qu’elle est au même endroit, qu’elle fait les même choses. Trop longtemps qu’elle souhaite bouger et qu’elle ne fait rien...

Aujourd’hui, elle a envie de tirer l’ancre hors de l’eau. Elle veut partir de Saumur, de l’Anjou, pour se changer les idées...Pour renaître. Et elle prépare ses bagages, ou plutôt son sac, car elle a peu de choses à emporter. Des quignons de pain, de l’eau, des vêtements et des draps qu’elle ne prend pas le temps de plier, un nécessaire à écrire, sans oublier quelques piécettes...Tout ce qui est essentiel pour sa survie, en fin de compte. Et elle sort de chez elle, après avoir jeté un ultime regard à l’intérieur pour voir si elle n’a rien oublié. Enfin, elle ferme la porte à clé, qu’elle jette ensuite au loin dans un buisson.

Une brise de vent vient lui caresser le visage, fait danser ses cheveux, continue sa course, et fait voler la poussière sur les pavés pour la faire retomber autre part. Comme pour lui dire d’avancer dans la vie. Sourire qui étire le visage d’Hosta, qui marche donc dans Saumur, et qui imprime chaque image dans sa tête, pour pouvoir se remémorer plus tard chaque recoin de son ancien quotidien. Elle ne sait pas quand elle reviendra...Mais elle est bien capable de revenir deux jours après, comme elle change d'avis tout les quatre matins. Mais faut savoir que là, elle est décidée comme jamais à mettre son arrière train ailleurs que dans Saumur.

Plusieurs fois elle a pensée aux avantages, mais surtout aux inconvénients que pouvait donner un périple en dehors du duché. Oui, elle pourrait faire de nombreuses et inoubliables rencontres, mais elle pourrait toujours ce faire décimer par des brigands alors qu’elle serait sur des chemins trop périlleux. Malgré tout, qui ne tente rien n’a rien, et ce n’est pas en restant enfermée toute sa vie dans une ville qu’elle va s’épanouir. Même si c’est une ville qui lui plaît. Même si elle a ici tout le confort qu’elle souhaite avoir.

Elle est maintenant assise au petit lac, a retiré ses bottes et laisse tremper ses pieds dans l’eau. Nostalgie. Elle se souvient comme si c’était hier de la mésaventure en haut d'un fameux arbre. Mais elle ne ce rappelle pas que de ça. Les moments qu’elle a passé en taverne, les rencontres avec des personnes formidables, sa maladresse...Elle pense aussi aux dires d'Ozane, à propos de sa naïveté qu’elle a toujours en elle. Cœur qui ce resserre, ce départ est un arrachement, aussi...Elle gigote, fait des petites vagues qui vont au loin, avant de retirer ses pieds de l’eau et de les sécher au soleil. Une fois cela fait, elle se relève, remet ses bottes, et remet le sac sur son épaule.

En route pour un dernier tour en taverne, avant d'emprunter un autre chemin...
Abraxes
C'est le printemps, les cochonniers bourgeonnent… Abraxes se sent d'humeur bucolique, il lui vient l'envie d'aller jeter un coup d'œil sur les jardins de sa fillote, que d'ailleurs il n'a pas rencontrée depuis un sacré bout de temps… Peut-être la trouvera-t-il en train de travailler d'arrrache-pied, ou du moins d'arrache-broussailles ?

Parvenu devant l'entrée, il hésite : le souvenir de son évanouissement sous le dôme de roses le poursuit de son parfum entêtant. Manquerait plus que de se ridiculiser une seconde fois ?

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Le plus pimpant éleveur de cochons de toute la côte ouest, et un vrai Saumurois s'il en est.
(la petite Reyne de l'Anjou, le 21 avril 1457 à Bourges lors du 5e GFC)
Lolitaspace
AAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaah ces jardins comme elle les aimaient !!!! elle avait vécue déja tellement de chose . ils sont merveilleux ces jardins
Voila les pensée qu'avait Lolitaspace en ce moment . Elle était essouflée certe mais ne pouvait s'empecher de regarder ce charme qu'elle avait oublié à force de vivre recluse dans sa chaumiere . Aujourd'hui elle les retrouvaient ces jardins , les jardins de sa marraine ou elle s'était endormis une fois .
Elle été fatiguée d'avoir tiré Althamus afin d'arriver plus vite dans cet endroit qu'elle aimait tant . Il n'aurait pas pu choisir un meilleur lieu pour rester avec elle . N'entendant pas Althamus , mais sachant qu'il était là car elle avait toujours la main dans la sienne , elle se retourna et vit qu'il était éssoufflé et completement éreinté . Ne pouvant s'en empecher , elle éclata de rire, non pas pour se moquer de lui mais plus parce que la situation était comique . il lui avait proposé ce lieu afin de faire connaissance et voila qu'elle lui avait coupé le souffle tellement elle avait été vite .
Trés vite elle s'arreta de rire , car elle pensa qu'il allait croire qu'elle se moquait de lui , ce qu'elle lui expliqua .


- Althamus , n'ayez crainte je ne me moque pas de vous , mais je riais de la situation .

Lorsqu'enfin il fut de nouveau en état elle regarda autour d'elle et vit à quelque distance de la , la mare aux grenouilles et tout autour son jolie parterre de pivoine avec ces bancs qui accueillaient les visiteurs . Dailleurs elle vit en y allant quelques unes des personnes qu'elle connaissait de lorsqu'elle allait à la taverne de Sir abraxes . Elle les salua promptement et proposa à Althamus d'aller s'asseoir sur un de ces bancs .
Malgré qu'Althamus est repris un peu de vigueur il ne put parler et elle se demanda si c'était du encore à la fatigue qu'elle lui avait provoqué ou à autre chose , et lorsqu'il lui fit un signe de tête pour asquiecer , ce fut elle encore qui le guida , en le tirant par la main , doucement cette fois , vers le banc le plus proche .
Assis tout les deux cote à cote , mais ne disant rien , elle n'osant pas et lui peut être par fatigue , il y eut un long moment de silence . Cela permit à Lolitaspace de repenser à ce baiser qu'il lui avait donné avant de venir ici et elle se disait que comme elle n'avait pas réagit beaucoup , il croyaiy peut être qu'il ne l'interessait pas et que donc c'était pour cela qu'il ne parlait plus ...
Alors se levant du banc , lui lachant la main elle s'approcha doucement de lui et se pencha au dessus de son visage pour lui rendre son baiser . Mais quand sa bouche toucha celle d'Althamus et qu'elle vit qu'il écarquillait les yeux , elle crut qu'il était outré (une femme n'embrassait pas un homme ), elle se rendit compte de ce qu'elle faisait et s'exclama :


- Au mon dieu pardonnez moi Althamus , je ne sais pas ce qui m'a prit !!!! J'ai cru que je pouvais vous rendre votre baiser .

Puis ne sachant pas ce qu'elle devait faire , elle voulut partir en courant mais trébucha sur une souche d'arbre et tomba dans la mare aux grenouilles
Althamus

Althamus poussa un hurlement !
Aussitôt il plongea sans réfléchir plus avant dans la mare !
Las ! L'eau était sombre, presque noire, assombrie par la vase et les nénuphars qui empêchaient le soleil d'atteindre le fond...
Déja il suffoquait et devrait bientôt remonter à la surface remplir à nouveau d'air ses poumons, perdant un temps précieux.
Soudain il aperçut plutôt qu'il ne vit une étoffe claire au plus profond de l'étang !
Dans un dernier souffle, il s'en approcha le plus vite qu'il put : c'était bien son aimée qui gisait par le fond.
La prenant dans ses bras, il donna un vigoureux coup de pied qui les propulsa à la surface et la tira sur la berge.
La malheureuse respirait à peine...
Sans se soucier des convenances, il appuya vigoureusement sur sa poitrine à plusieurs reprises, lui faisant cracher l'eau infiltrée dans ses poumons.
Cependant, elle ne respirait encore que faiblement et restait fort pâle...
La reprenant dans ses bras, il courut aussi vite qu'il le pu vers la demeure de Lysandral et défonça presque la porte d'un coup d'épaule !


Lysandral !!!
Vite, du feu, des vêtements secs, un lit !!
Lolita est tombée dans la mare...regarde, elle se meurt !!

Il reprit son massage, n'osant la gifler, quand il vit ses joues rosir et ses yeux s'entrouvrir faiblement...
Prenant doucement sa main il la couvrit de baisers brûlants...

Lolitaspace
Lolitaspace sentait l'eau autour d'elle mais n'arrivait pas à remonter ! Que lui arrivait il pourtant elle savait nager . Elle avait du se cogner la tête en tombant .
Elle commençait à avoir du mal à respirer et puis elle avait froid . Et soudain elle sentit des bras la maintenir dans osn inconscience et pensa tout de suite à Althamus .
Elle devait rever car il est impossible qu'elle sache tout ce qui se passait alors qu'elle etait inconsciente.
Elle sentit tout à coup qu'on la sortait de l'eau et qu'on lui touchait la poitrine .
Dans son insconcience elle se disait que c'était indécent mais elle ne put rien faire .
Puis elle se sentit soulever et emmener plus vite que jamais vers un endroit , elle crut entendre " lysandral " . Elle sentit qu'on lui touchait encore la poitrine et se fut la qu'elle reprit connaissance comme pour dire à celui qu'il lui faisait ça d'arreter , que cela ne se faisait pas . Mais lorsqu'elle sentit les baisers d'Althamus lui inonder le visage , elle ne put rien dire d'autre , d'une toute petite voix :


- Althamus ! Althamus ! Calmer vous , je vais bien ! J'ai seulement un peu froid .

Et ce fut sur ces mots qu'elle se rendit compte qu'elle était dans la demeure de sa marraine et avec un sourire à celle ci et à Althamus, elle ne put s'empecher de s'endormir .
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