[RP] Défilé de l'Ost de Bourgogne

[Quelque part mais pas dans la cour]


Coïncidence? C'était plus que certain. Qui aurait pu croire, lorsqu'elle avait lancé l'idée de ce défilé que des troubles et des menaces pèseraient sur la Bourgogne? Personne et certainement pas elle car elle avait fini par se dire que cette revue des troupes de Bourgogne ne se ferait jamais. Elle avait fait part de son projet dès juillet, au début de son premier mandat et pour des raisons diverses et variées voire avariées, le projet était resté à l'état d'idée.
Et voilà que finalement aujourd'hui, le défilé aurait lieu, relancé par la Général de Bourgogne. Le climat dans lequel il se déroulerait, ferveur patriotique, inquiétude, vengeance, fierté toute bourguignonne, ajouterait à l'exceptionnel de l'événement.
Coïncidence? Oui et ô combien heureuse.


Le somptueux collier de la Toison d'Or fut déposé sur ses épaules, le petit bélier de vermeil rejoignit sur sa poitrine les décorations déjà épinglées : médaille de Grand Officier de l'Ordre de l'Etoile d'Aristote, Etoile de Rubis de Chevalier d'Isenduil et médaille de Grand Officier de l'Ordre de Sainte Kyrène. Elle était désormais prête ou presque. Elle se leva, défroissant machinalement la jupe de la robe qu'elle avait passée tantôt. Toujours vêtue de soie noire, rien ne la ferait déroger à cette vieille habitude mais en prévision de ce qu'elle devrait faire aujourd'hui, sa vêture était plus pratique et confortable : cotardie aux manches collantes, pas de jupons pour la gêner, bas de la robe lâche et souple. Elle avait également passé de solides bottes de cuir, plus appropriées en ce jour. Et à l'image de ses vêtements, sa coiffure elle aussi était des plus simples : une longue natte lui tombant dans le dos. Une fois debout, on lui ceignit autour de la taille un baudrier au cuir finement travaillé et on lui remit son épée qu'elle rangea dans le fourreau pendant sur sa jambe droite. Du noir, des pieds à la tête. Pourtant, en ce jour, quelques couleurs et pas des moindres : celle de la Bourgogne. Azur, gueules et or du blason ducal dont une grande reproduction avait été cousue sur le dos d'une cape de velours noir doublée de zibeline sombre. Le lourd et précieux manteau fut à son tour passé sur ses épaules, retenu à son cou par un fermail ouvragé et on lui remit des gants à crispin.
Ainsi harnachée, elle quitta ses appartements, entourée de ses hommes; l'un d'entre eux portait sur un coussin de velours cramoisi la couronne ducale qui brillait de mille feux.

Il s'agissait de ne plus perdre de temps afin de ne pas contrarier le déroulement du programme. D'un pas pressé, elle rejoignit donc le lieu où les soldats de Bourgogne devaient se trouver. Au fur et à mesure de sa marche, elle sentit son cœur battre plus vite, tant à cause de l'allure adoptée que par l'appréhension qu'elle sentait sourdre en elle. Elle était pourtant habituée à la manœuvre, ne dirigeait-elle pas les armées du pape? Mais là, c'était différent, il s'agissait des troupes de Bourgogne, de cette Bourgogne où elle s'était réfugiée et qu'elle avait appris à aimer, jour après jour et qu'elle aimait à chaque aube naissante davantage.

Le point de rendez-vous, dissimulé à l'abri des regards dut finalement rallié. Les militaires arrivaient les uns après les autres et elle adressait de petits sourires, ses yeux clairs cherchant la silhouette de Felipe, Général de Bourgogne.
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Lysdwinn ne fut pas longue à arriver à son tour et vit sa soeur qui lui faisait signe ainsi qu'a Gwendoll, c'est pourquoi elle s'approcha curieuse de savoir de quoi il retournait et lu l'affiche, et fit interessant en effet !! fit elle ! nous allons donc regarder cela ensemble ! elle regarda de tout coté et vit que les gens commencaient à arriver aussi, attirés par l'e spectacle qui allait suivre...

Gwendoll eut l'esprit detourné par l'appel de Solarion, il la rejoignit et fit que se passe t'il donc? Solarion lui montra l'affiche qu'il lut posément, ho un défilé !! Lohan y sera certainement bon on reste regarder alors !! lorsque il vit Kevin lui faire un signe amical de l'autre coté de la rue, il lui repondit tout aussi amicalement...;

GARNISON DE THONANCE

Le capitaine fièrement vêtus de son plus bel uniforme arriva pour faire la revus de sa garnison avant le commencement du défilé .
deux soldats étaient déjà présent et attendaient le reste de sa garnison
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[A DIJON, LE JOUR J]

Une brise fraiche parcourait la ville en ce doux mois d’octobre. Calmement la capitale émergeait d’un sommeil tranquille, et le Général Felipe se trouvait déjà sur la place du marché pour acheter quelques provisions. Une fois ses emplettes terminées, il se rendit au Château de Savigny pour superviser les actions militaires ça et là à travers la Bourgogne. Il prit soin d’indiquer aux soldats le lieu du défilé qui se déroulerait le jour même. Le Général prit donc la route pour le lieu dit afin d’être le premier en rendez-vous et ainsi accueillir les soldats pour les préparer à l’événement.

Une fois là-bas, il constata avec plaisir que tout avait déjà été préparé et qu’il ne manquait plus que les soldats, et bien sur la duchesse, pour le défilé.

Après quelques minutes d’attente, il vit arriver quelques soldats ainsi que quelques Bourguignons venus assister à l’événement.

Les forces Bourguignonnes étaient à l’honneur aujourd’hui, et les villageois allaient se rendre compte de la puissance et de l’héroïsme des soldats Bourguignons.

Mais Felipe fut sortit de ses pensées lorsqu’il remarqua l’arrivée immanquable de Sa Grâce Ingeburge. Aussitôt, il avança vers celle-ci. Arrivé à porté de voix, il fit une révérence ainsi qu’un salut militaire, car c’était elle le chef suprême des armées Bourguignonnes.

Bonjour Votre Grâce. J’espère que vous avez fait bonne route jusqu’ici !

Il sourit, puis posa la main par habitude sur le pommeau de son épée.

GARNISON d'EPINAC

Les Moutons Bleus arriva et avait pris soin de sa tenue pour le défilé, elle chercha son adjudant qui ne devait pas tarder et pris place en attendant sa garnison.
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[Epinac]

Le Capitaine d'Epinac arriva au lieu où le défilée devait avoir lieu, plusieurs soldat d'Epinac étaient déjà arrivé sur place

Epinac en formation ! L'heure approche et nous devons être prêt !
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"N'interrompez jamais un ennemi qui est en train de faire une erreur" - Napoléon Bonaparte

Doudou arriva également et rejoingnit ces compagnons d'arme
Bonsoir, alors vous savez c'est pour quand le début?

Bmos arriva dans sa plus belle tenue, regarda autour de lui déjà plusieurs soldats étaient là mais personne de Saint-Loup,
il fit donc le tour des soldats pour les saluer et alla se mettre dans un coin afin d'attendre les autres membres de la garnison de Cosne

Sereine la dame d'Eclemy se pointa tout sourire. Un défilé, qui plus est de l'une des plus grande institution Bourguignonne. Parré de mille joyaux elle était arrivé pour assister à ce spectable et honorer les différents soldats qui oeuvraient chaques jours pour la Bourgogne.
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[Un peu à l'écart]

Le jeune sergent Ragondindam regardais les garnisons se prépare à défiler et aperçut son ancienne garnison qui venait de quitter pour la garnison de Marzy. Il attendait le moment ou il pourrait défilé avec sa garnison.
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Point ne recule, point ne dévie !

Corneliane arrivait calmement pour ce défilé en compagnie de ses camarades de Garnison: Saint Loup serait présent, dans toute leur splendeur. Ils défileraient en cadence avec leurs homologues et montreraient fièrement leur couleur: celle de la Bourgone!

Consciencieusement, elle se mit à la place qui lui était indiqué et sourit à Bmos près d'elle...
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"Même si le vent froid me souffle dessus, de toutes mes forces je lui donnerai un coup de pied pour le franchir"

[En Dijon ~ Dans une rue adjacente]

Très beau jour pour un défilé, il n'y avait pas un seul nuage, même s'il ne faisait particulièrement chaud...
Robi marchait d'un bon pas pour commencer, avant de s'arrêter distraitement presque à deux pas de la place, apercevant au bout de la rue déjà les estrades montées pour la Noblesse et le Conseil à n'en pas douter... Rien n'avait encore commencer pour son plus grand soulagement et se reprenant alors, elle arrêta de rêvasser... Certes, elle n'était pas en retard, mais ce n'était pas une raison pour l'être ensuite !

Reprenant donc le fil de ses pas, elle arriva finalement sur la place. Pas la peine de se perdre lorsque tout se dressait presque devant sois...
Regardant donc tout autour d'elle, elle resta un instant immobile... Un sourire naissait sur ses lèvres au fur et à mesure des personnes qu'elle voyait déjà présentes, comme la Dame d'Eclemy, Esmeraldaa, ou bien le Seigneur de Sermages, Olivier1er, sans oublier ce cher CAC, Sarrasin... Tous à leur places !
Une pensée vola également vers ses amis de l'Ost qu'elle verrait bientôt défiler, c'était une belle idée que ce défilé !

Puis, finalement sortant de nouveau de ses rêveries, toujours aussi incessantes malgré ses nombreux efforts, elle regarda de nouveau la place et se demanda bien où donc elle irait bien se placer...
Si seulement elle pouvait voir quelqu'un non trop loin et non inconnu...
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Le sang se lave par les larmes. Et non par le sang [Victor Hugo]

Les Moutons était auprès de sa garnison d'Epinac et attendait que la Duchesse arrive et que tout le monde soit présent!!!
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Devant la porte de la chambre de la Duchesse de Nevers.

Noir.
Ce noir dont je m'habillais désormais, deuil d'un frère si pas tant aimé au moins respecté et aujourd'hui, regretté.
Je savais que Béatrice affectionnait le bleu et pas n'importe lequel. J'avais eu la grande joie d'ailleurs, depuis que je la suivais, de porter des robes toutes plus bleues les unes que les autres, offertes généreusement par elle et cousue par des maîtres es aiguilles.
Mais je ne pouvais, aujourd'hui, troquer le noir contre le bleu.

Et la porte s'ouvrit !
Quelle ne fut pas ma surprise de constater que le même noir habillait ma Duchesse !
A toute vitesse, je réfléchis, creusai...mais non, je n'avais pas souvenance d'un décès dans ses proches. Et puis, la petite note bleutée, malgré tout, m'ôta tout doute.
Ce n'était que du noir, pas un deuil.

Je lui souris, chaleureusement, car je lui trouvai un visage fermé, sans éclat.
Elle, jeune encore, aux yeux magnifiques et à l'allure princière, elle qui avait tout et plus encore, paraissait tellement triste...
Quelques fois, lorsque nous papotions, de façon informelle et plus intime, elle se laissait aller à un sourire, à un rire, même. Dans ces moments-là, elle était ravissante, redevenait jeune fille...
Mais là, là, devant moi, ce n'était pas une jeune fille. C'était une Duchesse presque revêche...

Vous êtes très élégante, Béatrice.
Elle comprendrait ou pas que mes mots en cachaient d'autres.

Mais il n'était pas question de copinage à cette heure, seulement d'aller regarder défiler des soldats. Je lui offris mon bras pour avancer avec elle. Geste amical qui se voulait réconfortant aussi, connaissant la frousse qui devait gagner peu à peu l'entièreté de l'âme de Béatrice...Sortir et affronter la foule, les gens...
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[(Epinac)-En Dijon]

Jack se trouvait avec les autres soldats de sa garnison,attendant que la duchesse arrive et que le défiler débute...Le stress s'installe...

Et encore un noble ! Décidément, ceux-ci n'ont vraiment rien à faire de leurs jours ! Car oui, on l'avait convié -presque de force en effet- à un défilé de l'armée de Bourgogne et il attendait cela avec une certaine impatience car ses critiques et ses propres idées quant à l'armée de Bourgogne ennuyaient souvent et irritaient parfois : Asdru n'aimait pas faire dans la dentelle.

Ainsi donc, il avait quitté son Hôtel particulier de Dijon, une riche et grande bâtisse en plein cœur de la capitale reflétant l'étendue des possessions du Duc et de sa Maison, pour se rendre à cette démonstration de l'armée.
En effet, le Duc était assis sur un vrai trésor : Sombernon la forteresse d'un autre âge n'était certes pas très prospère, mais Avallon, carrefour des routes au beau milieu de la Bourgogne, l'était bien davantage, d'ailleurs tout l'artisanat de cette ville était à souligner par l'expérience de ses maîtres. Et même plus, les terres tourangelles qu'il avait eu par mariage lui apportait d'immenses revenus et ce n'était pas sa fille réservée qui dépensait les recettes de ces fiefs.

Malgré cela l'homme affectionnait une tenue noire, qui bien que confectionnée à partir de riches étoffes n'était pas ornée de fioritures. La seule exception qu'il faisait au deuil éternel était la toison d'or qui flottait sur ses épaules.

Quoiqu'il en soit, cela faisait un noble de plus, ceux-là même qui possédaient comme ultime privilège de leur condition d'être toujours en première ligne lorsqu'un conflit éclatait, toujours à l'avant cette fière armée qui souvent souffrait de sa ligne de commandement.
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Ato en attendant le début du défilé, regarda si sa tenue était correct, puis se concentra pour resté calme tellemend elle était impatiente. Elle serait la seule sans arme ni armure.[/img]

Joey comme tout les Toisonnés , avait été convié au défilé de l'OST dans la cours du Palais des Duc de Bourgogne.

En tant qu'ancien Colonel de l'OST il ne pouvait manquer ça pour rien au monde. Voir les hommes aujourd'hui officier , que lui est ces anciens collegues avaient formé etait une trés belle récompense.

L'Ex-Colonel se placa un peu en retrait , son collier d'Airain au tour du coups , pour observer la parade.
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Une pensée pour la famille de Hennfield, Adieu Gaborn ...

Le colonel arriva un peu avant le début du défilé en uniforme de parade en passant il reconnut plusieurs personne dans la foule mais il ne s'attarda pas et essaya de se mettre en place pour être prêt lors du départ.
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cultivateur de blé et boulanger à cosne, n°3 rue du roy

[Toujours pas dans la cour^^]


Le soleil avait commencé sa descente, marquant par là l'avancement de l'après-midi.

Celui qu'elle recherchait tranquillement fut tout à coup visible, s'avançant vers elle et la saluant tant courtoisement que militairement. Elle répondit d'une légère inclinaison de la tête, murmurant :
— Général...
Puis, elle répondit à sa question :
— La route a été des plus agréables car assez courte au final, je me trouvais en effet jusque lors en mes bureaux.

Autour d'eux, les soldats continuaient d'arriver, se regroupant par garnison, se saluant amicalement et lançant quelques phrases à d'autres camarades. L'excitation montait, devenant de plus en palpable. Et cette excitation, elle la partageait, elle avait hâte de pouvoir commencer. Mais elle s'inquiétait quelque peu, n'ayant pas l'impression que tout le monde soit arrivé, les colonels de l'Etat-Major notamment. Mais elle ne demanda rien à Felipe, taisant sa préoccupation elle aussi grandissante. Aujourd'hui était jour de fête, il fallait faire confiance à la Fortune et cesser de douter, ne serait-ce qu'un bref instant. Le défilé serait une réussite, c'est ce qu'elle devait se répéter. Et les militaires se pressant autour d'eux, rejoignant d'un pas décidé leurs compagnons de cantonnement étaient bien le signe que tout irait bien. Autant donc, ne pas attendre plus longuement, cela ne ferait que l'angoisser inutilement.
Elle dit encore :
— Je pense que nous pouvons y aller, il est temps. Ne faisons pas patienter davantage les Bourguignons s'étant déplacés et ne faisons pas non plus languir les soldats qui doivent avoir envie de se dégourdir les jambes!
Sa déclaration fut ponctuée d'un petit sourire et un de ses propres hommes, répondant à sa volonté, lui amenait le cheval qu'elle monterait pour ouvrir le défilé.

La bête était superbe, il s'agissait d'un palefroi à la robe couleur d'ébène profond et parfaitement lustrée. Cette monture était plus appropriée pour la parade qu'un destrier au lourd carapaçonnage; constituaient ainsi son seul harnachement un filet et une selle de cuir noir sous laquelle avait été placée une couverture ornée des armes bourguignonnes.

Un des Lombards déposa sur la tête de sa maîtresse la couronne ducale puis Ingeburge passa ses gants, attendant que le cheval fut parfaitement immobilisé. Quand ce fut le cas et que le montoir fut avancé, elle grimpa sur celui-ci, se saisit fermement des rênes et s'assit sur le côté gauche du cheval. Elle cala ensuite ses jambes dans les fourches saillant de la selle au niveau du pommeau, la gauche en dessous, la droite au-dessus. Elle avait toujours apprécié de monter en amazone, trouvant même qu'elle se tenait mieux à cheval ainsi assise plutôt qu'à califourchon, monte qui manquait d'ailleurs furieusement d'élégance.
Une fois correctement installée, elle lança à Felipe :
— Me voilà prête Général, allons-y!
Elle attendit nénanmoins que totu le monde fut en ordre de marche et quand ce fut le cas, elle fit claquer sa langue contre son palais et le cheval s'ébroua, répondant à l'ordre.


Et c'est ainsi que le défilé de l'ost débuta, la Duchesse de Bourgogne en tête et à cheval. Ingeburge déboucha au pas dans la cour du Palais des Ducs de Bourgogne, suivie de près par ses compagnons...
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[A DIJON, DEBUT DU DEFILE]

Les soldats étaient tous présent –ou presque !-

Le général acquiesça d’un signe de tête les paroles de la duchesse, le défilé pouvait commencer. Il se hâta jusqu'à son cheval, plus blanc que la neige et plus majestueux qu’un aigle. Une fois dessus, il lui donna un petit coup de talon pour que celui-ci avance, il passa ensuite devant les garnisons en formation au trot.

Soldats ! En formation !

Pendant ce temps, la Duchesse avait entamé la marche et avançait à la tête de son armée, s’apparentant à suivre. Aussitôt le Général se mit en marche, dégainant son épée, faisant signe aux soldats d’avancer.

Beaucoup de Bourguignons étaient venus assister à l’événement, si bien que Felipe vit de nombreux visages familiers parmi la foule. Sans s’en soucier, en bon soldat, il continua sa marche juste derrière la duchesse, précédé de l’Etat-major et des soldats.

Le nouveau Capitaine d'Epervans était arrivé paré tous comme les autres de ses plus beaux habits militaires,luisants de fiertés, a la demande du général elle alla rejoindre l'adjudant Xamarius

Salutations Adjudant,beau temps pour une parade n'est ce pas? Vous donnez fière allure a Epervans et le nouveau drapeau est magnifique,Placons nous ce sera bientot a notre tour,allons donné le gout aux civils l'envi de nous rejoindre
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Discrètement, Keltica entra dans la Cour, puis longea les murs pour s'installer à la place qui lui avait été désignée. Elle s'installa au moment même où la Duchesse faisait son entrée à cheval dans la Cour avec le Général Felipe, annonçant le dégut du défilé.
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Bmos était au garde à vous Devant l'Adjudant Corneliane, et attendait que le tour de Saint-Loup arrive, il était habillé avec son uniforme de cérémonie et avait mis ses boutons de manchettes en or pour cette occasion.

Zeus patientait avec ses compagnons d'armes d'Epinac et attendait de suivre le porte étendard de sa garnison, quand tout le défilé commmencerait...
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La mort est plus légère qu'une plume, le devoir plus lourd qu'une montagne

Lohan verifia une fois encore son uniforme mais en pur perte puisque tout etait parfait, il s'etait habillé avec soin mais ce demandait quand allaient ils commencer, le trac et la nervosité commencait à monter partout lui meme il pouvait le ressentir nettement, maintenant que le général était là qu'attendaient t'ils donc !!....
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S'il n'avait pas promis à Ode d'assister au défilé, il ne serait pas venu. Les défilés, et plus généralement toutes les cérémonies dépassant allégrement les deux heures, étaient d'un ennui....Puis on ne forme pas les soldats en les faisant marcher au pas, à l'ombre des bannières immaculées. Mais dans les batailles, dans la gloire des combats et le don du sang à la terre....

Théo considéra avec satisfaction sa blessure à la jambe. Elle serait vite refermée, à présent. Bientôt d'autres grandes chevauchées, à la tête de ses Dragons, en compagnie de frères d'armes, et les marécages politiciens n'englueraient pas les sabots de leurs montures.

En attendant, il se redressa à l'annonce du début du défilé, lorsqu'il vit Asclepiade.

Bonjour, Excellence, dites-moi, savez-vous quel est le nom de la garnison de Sémur?
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Partage des RP
Les Terres d'Arquian

Le vicomte de Mellecey prit la place réservée au maire d'Autun dans les gradins, afin de voir au mieux le défilé de l'ost de Bourgogne qui s'annonçait sublime...
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Armes en cours de réfection.

Bon quand est ce que cela debute, parce que je commence serieusement à avoir des fourmis dans les jambes moi fit Lohan à Monna placé à coté de lui , ca commence a faire franchement long là, qu'attendent ils donc !!? et Lohan se dit qu'il fallait patienter mais combien de temps allaient il tenir encore ? la pire des epreuves d'un soldat est d'attendre ainsi sans rien faire, sur place !!! pensa t'il ...
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Dans la Cour... En retard...

Les pas rapides raisonnent dans les rues à présent désertes de Dijon. La raison de son retard ? Gabriel... Trouver quelqu'un pour le garder le temps du défilé fut une tâche plus complexe qu'elle l'avait cru, pourtant l'enfant était un ange... non ? Bref, la donzelle arriva quelques minutes après l'entrée de la duchesse dans la Cour.

Discrètement -art exercé à la perfection- Rodrielle entra dans la cour, elle aussi en longeant les murs, et pris place dans la foule en s'y fondant totalement. Personne n'avait dû remarquer son retard qui, de toute façon, n'était pas un crime. Regards alentours après avoir admirer la duchesse et sourire face aux visages qu'elle croisait.

Ce fut tout d'abord un vieil ami... Ce bon vieux Asdrubael dans toute sa splendeur, était concentré sur le défilé même si son esprit semblait ailleurs... Robinette toujours aussi joyeuse... Keltica, dans la foule, prête à applaudir les soldats... Puis ce cher Baron d'Arquian, pris dans une discussion avec un autre bel homme. Petit sourire de la donzelle alors que son attention revint sur la duchesse.

Ah l'OST ! Le symbole de l'unité, de la force et de la fierté de la Bourgogne. Rodrielle se rappelait de ces années où elle avait servie cette armée, avant de partir vers d'autres aventures. Oui... l'unité de cette armée était incomparable ! Et c'était donc avec fierté qu'elle assistait à ce défilé, prête à applaudir les garnisons et surtout ses ami(e)s...
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Cayssa avait aidé Ptolémée à se préparer...
Enfin surtout lui dire et redire qu'il était parfaitement en beauté,
il aimait être impecable et surtout qu'on lui dise qu'il était le plus beau.
Ce qu'elle fit à plusieurs reprises, il fallait qu'à ce jour il soit sûr de lui et que rien ne vienne entacher son humeur.
Elle le regarda partir dans son élégant habit de Colonel, puis une fois la porte franchie, elle en profita pour se préparer à son tour, elle mit beaucoup moins de temps que lui, ne voulant pas lui faire d'ombre.
Elle habilla Mathias et lui coiffa sa jolie chevelure dorée.

Voilà ptit homme, tu es magnifique.
Allez, allons rejoindre ton papa.

Ils se dépêchèrent de retrouver l'endroit où devait avoir lieu le défilé.
Ils arrivèrent juste à temps, et se faufilèrent à travers le peuple, essayant de se mettre devant pour que Mathias puisse voir le spectacle.
Ils virent de loin la personne la plus importante pour eux deux, celui pour qui ils avaient fait le déplacement.
C'est avec fierté qu'ils lui firent signe et attendirent la suite du défilé.
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Zeus jouait avec son épée et son bouclier en attendant le lancement du défilé...
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La mort est plus légère qu'une plume, le devoir plus lourd qu'une montagne

Aussitôt le porte-étendard lancé, Zeus suivit dans l'ordre prédifini par avance, se mettant derrière son Capitaine, et marcha au pas imposé par le général et la Duchesse.
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La mort est plus légère qu'une plume, le devoir plus lourd qu'une montagne

Elle n'avait pu résister, quand elle entendit parler du défilé, de rejoindre la foule de curieux. Se frayer un chemin n'avait pas été des plus simple, mais elle avait enfin réussit à se trouver une bonne place.
La duchesse en tête, elle vit à la suite les soldats de la garnison d'Epinac, la plupart des amis. Voyant le drapeau flotter dans l'air, elle ne put s'empecher de sourire.
Que de souvenirs pensa-t-elle. Elle regrettait souvent cette époque, même si sa raison lui revenait rapidement en pensant à tous le bonheur qu'elle avait ces temps-ci. Enfin, c'était quand même le bon vieux temps pour elle.
Elle aperçut Lea au loin, elle aussi devait penser au passé en voyant le défilé. Elle en était sûr.
Elle reporta son regard sur le défilé, la moindre des choses était de penser à tous ses soldats, si fier d'eux, et non à son passé.
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Garnison d'EPINAC

Le soldat Les Moutons Bleus avançait au pas en compagnie des ces camarades, après que le Colonel, l'Adjudant Khalgroth ( porte drapeaux), le Capitaine Le Seigneur Noir et les sergents Doudou et Zeus007 soit passé
elle salua à son tour et continua à défiler fière de porter les couleurs de sa garnison.
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Garnison d'Epinac

La recrue Jacklepetit s'avançait au pas,avec les autres soldats de sa garnison...Il salua à son tour et continua...

[GARNISON D'EPERVANS, pendant le défilé]

Anté qui était depuis quelques temps au monastère, avait eu vent dans la journée de ce qui se préparait. Il était donc partit le plus vite possible dans les vestiaire de sa garnison pour enfiler ce qu'il jugeait être ses plus beau habits ce qui en outre n'était pas forcément le cas.



Il courut le plus vite possible des vestiaires de sa garnison au foyer de l'agitation.

Il était un peu perdu à cause de la foule de soldat de l'armée de bourgogne, il ne pouvait circuler qu'à petit pas. Essayant de repérer un signe des membres de sa garnison, Anté vit le magnifique drapeau d'Epervans. Avec un sourire étendu jusqu'aux oreilles il se dirigea vers se drapeau et enfin vit apparaitre le capitaine Basset125 et l'adjudant Xamarius.

Il vint vers eu, les salua et s'excusa de son retard quelques peu embarrassant.

Puis il intégra les rangs du défilé et suivit le suite des évènements. Lui qui venait de sortir du monastère, il était un peu perdu parmis toute cette agitation mais essaya de suivre les autres soldats.
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[Au Défilé]

Le défilé était enfin parti. Frottant rapidement sa tunique pour effacer les quelques plis qui pouvaient encore s'y trouver, Black se mit en marche suivant ses compagnons. L'épée dans son fourreau accroché à la ceinture, le pommeau dans la main droite, le bouclier au bras gauche.

On marchait en silence, fier. Tout se passait pour le mieux, aucun nuage à l'horizon qui pourrait annoncée une pluie, aucun fauteurs de troubles parmi la foule, du moins pour le moment.

L'on apercevait enfin la tribune ducale. L'on s'en rapprochait. Tout avait été organisé pour que ce défilé soit agréable à regarder.
La tête droite, sans même jeter un regard à la foule et pourtant il en eu l'envie, Black continua d'avancer...
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Ex-capitaine de la garnison d'Epinac.
Redevenu Soldat.
http://vincent.biesbrouck.free.fr/macon-rr/Armee/Epinac/Soldat.jpg

Le defilé n'avancant pas Solarion alla trouver Kevin et lui fit alors comment ca va Kevin ? dis tu ne m'avais pas dit que tu etait allé à Autun avec Lohan, il parait meme que tu as été dans la compagnie du tambour pour faire un combat de lutte, cela devait etre impressionant !? dire que j'ai manqué ca fit elle !!

Kevin vit Solarion le rejoindre et à sa question il répondit de sa voix rauque et grave oui en effet et j'ai eu parmi eux un exellent acceuil, cela m'a plongé dans des vieux souvenirs d'antant mais dis moi vous etes venus tous ensemble a ce que je vois, et le manoir ca tourne ?
t'as vu le cheval que Lohan a offert à Monnaliza, elle etait tres heureuse !!

humm tout un art evidemment , et bien quand à moi un jour je repartirais peu etre à Autun, juste en visite pour voir si la compagnie est toujour là, on ne sait jamais mais rassure toi je reviendrais fit il en souriant

La recrue Lonufiel était avec les autres soldats de la garnison de St Martin, il en était fier y d'être à ce défilé.
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Mathias essayait tant bien que mal de voir son père défiler, il passa sur le côté des gens de gauche à droite, se levant sur la pointe des pieds, mais rien n'y faisait, il ne voyait pas grand chose.
Cayssa le voyant faire l'appela.

Viens par là Mathias, je vais te porter.
Tu le verras mieux.
Approches et tournes toi.

Elle passa ses mains sous les bras du Bonhomme et le souleva pour le mettre sur ses épaules, puis s'avança un peu plus, pour qu'il puisse admirer Ptolémée.

Tu y vois mieux maintenant ?

Oui, l' est la bas, sur son cheval, avance encore un ptit peu s'il te plait.
Il est fort mon papa, c'est le plus fort !
Je veux être comme lui quand je sera grand.

Il le regarda emerveillé, les yeux remplis de petites étoiles étincellantes, un grand sourire aux lèvres, et gigotant tout excité par le spectacle.

D'accord mais ne bouges pas trop, tu vas nous faire tomber, et puis tu pèse ton poids dis donc pour un grand garçon de quatre ans.

Elle fit un grand sourire et avança encore un petit peu, voyant l'élu de son coeur, fière comme un paon sur sa monture.
Elle était aussi fière que lui d'avoir la chance de partager sa vie puis discretement, attendant qu'il la regarde, elle lui envoya un doux baiser de sa main.
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Eléinir se tenait aux côtés d'Ode et Lonufiel était venu les rejoindre avec un enthousiasme qui faisait plaisir à voir. Eléinir regardait en tâchant de paraître blasée les différentes compagnies qui défilaient mais ses yeux brillaient et elle tournait la tête en tous sens pour ne rien perdre

Lonufiel était avec Eléinir et d'Ode, il se dit que ce que le défilé de l'OST de Bourgogne avait de l'allure, cela présentait bien, les soldats et les gradés avaient tous revêtus leurs plus beaux uniformes.

Une certaine fierté montait en lui, il essaya en tournant la tête d'apercevoir des personnes qu'il connaissait mais en vain.
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Gwendoll attendait et attendait encore mais rien ne venant, il commenca a s'ennuyer ferme, c'est pour quoi il decida de regagner ses penates, beaucoup trop long fit il .... il s'en alla rapidement

Le défilé avançait lentement mais sûrement. La garnison Saint Loup de Cosne attendait de se mouvoir.
L'adjudant Corneliane tenait l'étendard et ses bras commençaient à fatiguer; elle allait le baisser lorsque Blaireau lui chuchota rapidement un ordre à l'oreille. Elle sursauta, se redressa et brandit son drapeau.




Corneliane se mit à avancer lentement, vérifiant que derrière elle suivait sa garnison. Rassurée, elle releva le menton et regarda droit devant elle pour remonter la grande rue montant vers le château. La loge de la Duchesse Inburge en vue, Blaireau lança un ordre et l'Adjudant Corneliane s'arrêta devant la Dame.
En rythme parfait, la garnison salua respectueusement la Duchesse avant de reprendre le chemin et rejoindre dignement les autres soldats d'Epervans.
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"Même si le vent froid me souffle dessus, de toutes mes forces je lui donnerai un coup de pied pour le franchir"

St Loup étoit en marche.

L’étendard porté par le plus fidèle soldat de la garnison déployoit

fièrement les armes de Cosnes. L’adjudant Corneliane gravissoit d’un pas

martial l’avenue qui menoit au château.

Quelques pas derrière et précédent le groupe de soldats Blaireau avançoit

le regard au loin.

Ils ont traversé le rhin…

La voix du sergent couvrit les murmure de la foule. Il donnoit le ton et

la garnison reprit d’un seul chœur.

Ils ont traversés le rhin
Avec monsieur de Turesne
Aux sons des fiffres et tambourins
Ils ont traversé le rhin !

Lon lon la laissez les passer
Ils ont eu du mal à la guerre
Lon lon la laissez les passer
Ils ont eu du mal assez !

Ils ont pris tous les chemins
D’Anjou d’Artois et du Maisne
Ils n’ont jamais eu peur de rien
Ils ont pris tous les chemins

Lon lon la laissez les passer
Ils ont eu du mal à la guerre
Lon lon la laissez les passer
Ils ont eu du mal assez !

Corneliane souriait intérieurement en chantant ce chant d'ardeur et de courage. Avec fierté elle avançait...

A la Bourgogne! termina-t-elle la chanson.
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"Même si le vent froid me souffle dessus, de toutes mes forces je lui donnerai un coup de pied pour le franchir"

Il a rejoint l'Ost il y a très peu de temps, il n'est qu'une recrue, mais déjà le solitaire qu'il est se sent comme chez lui dans cette garnison dans laquelle il a été affecté, la garnison de Saint-Loup.
Bien sûr la vie militaire a des désavantages, et ce sont ceux-ci même que le brunet mettait en avant lorsqu'il songeait déjà, il y a des mois, à rejoindre l'Ost bourguignon, mais aujourd'hui il s'aperçoit qu'ils en valent la peine. Il est heureux d'avoir franchi le pas, d'avoir fait la démarche de poser sa candidature - et la campagne de recrutement du soldat Bmos n'y est pas étrangère non plus, c'est peut-être même ça qui a fait pencher la balance.
Sa candidature a été acceptée, puis il a effectué son baptême militaire, aujourd'hui il défile dans la cour du château ducal, sous les yeux de la duchesse, mais aussi de beaucoup d'autres bourguignon qui ont fait le déplacement pour voir le défilé.

Il se souvient des mots de Son Altesse Armoria, qui à l'époque lui avait conseiller l'armée, mais il ne s'était pas senti prêt pour cette expérience. À cet instant c'est à elle qu'il pense, à sa gentillesse, à sa bienveillance, à cette main qu'elle lui a généreusement tendu alors que lui arrivait en terres bourguignonnes. C'est pour elle qu'il défile fièrement, pour lui montrer qu'il remercie la Bourgogne pour l'avoir accueilli comme elle l'a fait.

À l'annonce du sergent Blaireau et à l'instar de ceux qui sont maintenant ses compagnons, ses frères et sœurs d'arme, il se met en marche et avance, tête haute sous les fenêtre de la duchesse Ingeburge.
Il avance au pas, suivant l'adjudant Corneliane, porte-drapeau, et lorsque le sergent Blaireau entame son chant, il le reprend en cœur avec les siens.

Pour la Bourgogne.
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« Souviens-toi que tu n'es qu'un homme ! »

[garnison de Dijon/longvic, juste avant de défilé ]

Ericlebon tenant le drapeau de la garnison de Dijon, fit un tour d'horizon pour voir si tout le monde était présent, c'était à la garnison de Dijon/longvic juste après Saint Loup.

Soldats et recrues de Longvic, rappelé vous les consignes et soyez fière de représenter l'Ost, en ce jour.
Faites honneur à votre colonel et à votre garnison.

Pour l'ensemble.
Gard'vous


Eric, déplia son drapeau, se mit en position, prêt à donner le départ qui n'allait plus tarder.
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[garnison de longvic/Dijon, défilé]


Le soldat Ericlebon avait reçu l'insigne honneur de porter les couleurs de la garnison de Longvic/Dijon.

Nous y voilà compagnons, c'est à nous, soyez bons.
Pour le groupe, en avant marche.

C'est fièrement qu'il pris la suite de ses prédécesseurs, essayant pour le moins de ne pas faire d'erreur, il commençait à avoir l'habitude des défilés mais un faux pas été si vite arrivé.

Arrivé à hauteur de la duchesse et de l'Etat Major il tourna la tête tout en continuant d'avancé, une fois les officiel dépassé, Eric se rangeât au coté des autres garnison drapeau en avant attendant que le capitaine le rejoigne et le reste de la garnison derrière eux, dans l'attente de la revue des troupes devant s'opérer une fois que toutes les garnisons aurait défilé.

Ça y était Ericlebon souffla un peu, le plus dur était fait pas de faux pas, il lui fallait maintenant attendre patiemment la suite des événements.
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Monnaliza, recrue de la garnison de Longvic , vit le soldat eric ouvrit le défilé avec le drapeau entre ses main
suivit du soldat Lohan copiant les pas et les geste sur Eric.

Ca y était,c'est son tour a elle enfin elle chuchotter tout bas

elle faisait partie du défilé, confiante elle commence ces pas et en faisant comme lohan, lève la tête et regarde tout droit avec un air sérieux et fier...

la voilà arrivé au niveau de la tribune officielle, comme ses prédécesseurs elle tourna la tête en direction de L'Em et de la duchesse,et avec un sentiment de contentement et de satisfaction ,

voilà c'était fait il ne lui restais plus qu'a se ranger derrière le drapeau de la garnison, se qu'elle fit avec soulagement.

Brute se mit en marche, la tête bien droite, et tout en gardant un alignement parfait avec sa garnison, il entama le champ de Longvic.

Au rayons du soleil levant :
Ainsi se lève notre patrie !
Sous ses étendards s’élevant,
L’Armée s’éveille, à Savigny !


Armée du peuple bourguignon,
Bien épais sont nos boucliers :
Fidèles pour nos compagnons,
Nous faisons de fort bons alliés.


Lève toi, fils de Bourgogne, la paix a un prix !
C’est à Savigny que se défend le pays !
Lève toi, viens et protège avec nous tes amis !


Tous, de Lugny à Epinac,
Contre l’ennemi, droits et forts,
Nous restons debout, à l’attaque :
La Bourgogne jusqu’à la mort !


Volontariat, initiative,
Rendront chaque agression caduque ;
Nos garnisons toujours actives
Serviront toujours notre Duc.


Lève toi, fils de Bourgogne, la paix a un prix !
C’est à Savigny que se défend le pays !
Lève toi, viens et protège avec nous tes amis !


Bon vivant, nous contons le soir,
Tous assis près de hautes flammes,
Le récit de chaque victoire
Arrachée du bout de nos lames.


Jamais, jamais nous n’oublierons
Ces fourbes se nommant brigands,
Qu’ils craignent que nous relancions
Une opération « Mars de Sang »


Lève toi, fils de Bourgogne, la paix a un prix !
C’est à Savigny que se défend le pays !
Lève toi, viens et protège avec nous tes amis !

Arrivé à hauteur de la duchesse et de l'Etat Major il tourna la tête tout en continuant d'avancé, une fois les officiel dépassé, il se rangea à côté d'Eric son porte drapeau et attendit, toujours au garde à vous le reste du défilé.

le capitaine Torpille s'apperçut que le tour de sa garnison etait tres proche .
Il se retourna devant ces hommes et femmes soldats et leur fit signe de se tenir pret .
L'adjudant Zandar etait à l'affut portant fierement le drapeaux de otre ville ,tous les soldats etaient impatient de commencer ce défilé et de montrer à toute et à tous leur fiertée d'etre militaire.
Dans un bruit assourdissent par les champs , nous nous preparions à partir ,toutes les tenues etaient flamboyante et les chausses briqués aux plus pret .
Le capitaine cria "garde à vous " et à la suite de l'adjudant il termina par " en avant marche et tous se mirent à suivre l'adjudat Zandar et moi meme
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L'Adjudant Zandar avait roulé le drapeau de Thonnance-lès-Joinville autour de sa hampe, il regardait les autres garnisons prendre le chemin du défilé les unes après les autres...
Qu'ils étaient beaux ces soldats de l'OST, ils avançaient fièrement en rythme et au pas... Oui ils étaient magnifiques, ils montraient parfaitement la grandeur et la force de l'armée bourguignonne...
Bientôt ce serait son tour...
Il attendait patiemment son heure... et plus les secondes qui s'égrenaient le rapprochaient de l'instant fatidique où il exhiberait fièrement aux yeux de tous les couleurs de Thonnance-lès-Joinville, il ressentait un stress immense monter en lui.

Pourtant il était un militaire aguerri, il ne craignait pas les batailles, aucun combat ne l'avait fait douter, nul brigand ne le faisait frémir ni aucun ennemi de la Bourgogne ne le faisait jamais trembler... alors pourquoi ses jambes étaient elles aussi tremblotantes tout d'un coup ?
Pourquoi ressentait-il cette impression étrange de sueur froide qui lui coulait dans le dos et cette inquiétude grandissante ?
Craignait-il de trébucher et chuter ? Craignait-il le regard des citoyens ?

Heureusement, l'Adjudant savait se contenir et ne laissait rien paraître de ses angoisses et de son stress, il affichait un regard impassible, froid, décidé et déterminé à mener la mission qu'on lui avait confié.

Lorsque le Capitaine annonça le départ pour sa garnison, L'Adjudant déploya fièrement son étendard aux couleurs de Thonnance, cala la hampe sur sa hanche et la dressa haut vers le ciel afin que chacun puisse apercevoir le drapeau, il se mit au garde à vous et fit le salut aux couleurs.



Aussitôt le drapeau hissé, tout son trac s'évanouit et il se mit au pas de marche, son Capitaine le suivait et derrière lui l'ensemble de la garnison de Thonnance.
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[defilé de la Garnison de Thonnance-lès-Joinville]

tranquille et bien détendu le sourire aux lèvres suite au petit tour a la taverne de la place il se dit grande attente grande choppe de bière ca détend super avant un défilé

hop hop

je reste au pas
je reste au pas
je reste au pas je suis fort moi
ont est des bêtes de guerre a joinville

Pavois claquant dans le vent, pas battant la mesure en cadence fierté clairement affichée, cœur en bandoulière, les soldats de l'Ost de Bourgogne défilaient devant ceux qu'ils défendaient, jour après jour, sans se poser de question. Et à ces bruts compacts et forts, s'adjoignit la puissance des voix tonitruantes des soldats débutant leurs chants. Le rendu était impressionnant et beau et Ingeburge, toujours en tête de la parade, ne put s'empêcher de laisser échapper un frisson.

Ce défilé la renvoyait à Rome, parmi ses hommes des Saintes Armées et elle sentait ce qu'elle avait déjà éprouvé en tant que chef d'armée : une cohésion, une force, une solidarité qui ne pouvaient qu'être porteurs d'espoir pour l'avenir. Car elle y croyait, résolument, déjà toute prise, constatant un peu surprise qu'elle tenait à l'ost plus qu'elle ne l'aurait cru.

Et elle avançait toujours, à la tête du cortège, porté par les hommes le composant, soulevée par leur enthousiasme et leur joie d'être là. Elle en aurait fredonné, conquise, et promenait autour d'elle ses yeux grands ouverts, ne voulant pas perdre une miette de l'événement.

Un peu en retrait, les colonels et le général suivaient et puis loin, les troupes, diverses mais mues par le même sentiment d'appartenance.

La Duchesse de Bourgogne, fait rare, se laissa aller à un franc sourire.
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Reine était fière du porte drapeau de thonnance,
il se tenait droit comme un I majuscule,
les boutons de son uniforme brillaient au soleil et bien sûr
le drapeau était beau aussi.

Reine chantonna avec toute la troupe d’une voix
Fine mais pleine de convictions.


Au rayons du soleil levant :
Ainsi se lève notre patrie !
Sous ses étendards s’élevant,
L’Armée s’éveille, à Savigny !


Armée du peuple bourguignon,
Bien épais sont nos boucliers :
Fidèles pour nos compagnons,
Nous faisons de fort bons alliés.


Lève toi, fils de Bourgogne, la paix a un prix !
C’est à Savigny que se défend le pays !
Lève toi, viens et protège avec nous tes amis !


Tous, de Lugny à Epinac,
Contre l’ennemi, droits et forts,
Nous restons debout, à l’attaque :
La Bourgogne jusqu’à la mort !


Volontariat, initiative,
Rendront chaque agression caduque ;
Nos garnisons toujours actives
Serviront toujours notre Duc.


Lève toi, fils de Bourgogne, la paix a un prix !
C’est à Savigny que se défend le pays !
Lève toi, viens et protège avec nous tes amis !


Bon vivant, nous contons le soir,
Tous assis près de hautes flammes,
Le récit de chaque victoire
Arrachée du bout de nos lames.


Jamais, jamais nous n’oublierons
Ces fourbes se nommant brigands,
Qu’ils craignent que nous relancions
Une opération « Mars de Sang »


Lève toi, fils de Bourgogne, la paix a un prix !
C’est à Savigny que se défend le pays !
Lève toi, viens et protège avec nous tes amis !


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[Garnison de Lugny - Macon defilant]

Bilok arriva dans le defile pour defilé lui aussi . Les cernes sous les yeux suite au defense de la ville l'avait fatigué. Son bureau était bourré de projet et de demande mais le temps était venu de faire une pause dans tout ça et prit en main l'étendard qu'il avait confectionné lui même.



il se mis a chanter un chant qu'il avait déjà entendu

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[Garnison de Marzy, Au défilé]

Le jeune Sergent se mit en route pour le défilé de sa garnison, il suivit l'étendard et les Coustiliers, lui même était suivit par les recrues ainsi que par d'autre garnison qui attendait pour défilé.

Ragon avançait avec la garnison sortit de son paquetage des parchemins qu'il avait terminé dans la matinée avec l'historique de la garnison, il les envoya aux crieurs de rue pour annoncé ce qu'il en était de la garnison de Marzy.





Ragon entouré des Coustiliers de Marzy, il cria :

Zao venait d'arriver ... mais loin de se préparer à défilé, il resta sur le coté auprès des Bourguignons : il admirait tous les militaires qui défilaient les uns après les autres.

En regardant certains, il se souvenait des combats passés et en regardant les autres, il pensait aux missions futures.
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La chair de poule venait occupée tout le corps de Cayssa à l'entente du champs des soldats.
Mathias lui gigotait toujours sur les épaules, heureux du spectacle.
Elle chercha du regard le Colonel de son coeur en vain.
Mais où était t'il passé ? surement que la foule la gênait pour le trouver.
Elle était contente d'être là et surtout de faire parti d'une aussi grande famille qu' était l'Ost.
Ils avaient tous fière allure, dans leur costume de l'armée.
Elle reconnu plusieurs de ses amis qui défilaient.
Elle fit un signe de la main quand Reine passa à son niveau.
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Leur tour était arrivé et les valeureux soldats de Saint Martin étaient prêts. Un dernier regard pour inspecter les tenues, ajuster une épée, remettre une mèche de cheveux en place à Ali,niveau coiffure Jb était impeccable, un sourire pour Eleinir et Lonufiel, Abram, Zebosse et les autres, bien en rang, un regard à l'Adjudant pour l'encourager... parfait, ils étaient tous parfait!

Prenant l'étendard, elle le leva bien haut et marcha au pas derrière Zao.
Aujourd'hui ,elle était fière, fière d'être avec eux, fière d'être soldat !



Regard discret dans la foule, voir si son blondinet et sa 8eme merveille du monde si trouve, et on marche au pas....

Eléinir était à la fois fière de défiler avec ses compagnons et intimidée autant par la foule que par les autres garnisons qui avaient été assez impressionnantes il faut bien l'avouer.
Droite comme un i, elle se mit à marcher au pas derrière Zao et Ode, aux côté des autres soldats de Saint Martin.

Le capitaine d'Épervans se mit en marche derrière le drapeau et entama le chant de la garnison d'une voix forte,la tete haute, l'épée et l'uniforme étincelantes,elle marcha laissant ses yeux dériver sur le public

Sous le ciel de Savigny,
Il est un beau régiment
Qui pour sa belle patrie
Est prêt à partir en avant!
Ce régiment plein de gloire
Est formé de gars sans peur,
Qui n'ont qu 'un but: la victoire!
Et vous montrer qu'ils ont du coeur.

Quand ils vont au son du clairon
Etendard au vent, le coeur sur le plastron
Tes soldats font bien des prouesses
Oh! Garnison d'Epervans
Toujours tes chevaliers vainqueurs
Marchent unis pour la gloire et l'honneur
Riches ou pauvres tous soldats pour Chalon
Tous soldats Bouguignons !

S'ils passent dans nos villages,
Nos soldats bons enfants,
Epoux de femmes volages
Tirez le verrou promptement!
Nos gars savent comment faire
Pour leur causer d'amour,
Ils ont ce qu'il faut pour plaire!
Cependant ils n'aiment qu'un jour...

Si, un jour, à nos frontières,
Pour en chasser l’ennemi
Il nous faut partir en guerre,
Nous ne ferons rien à demi.
Nous marcherons pleins de courage,
Unis dans un même effort,
En bataillant avec rage
Nous avancerons jusqu’à la mort!!!
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