Duncan.
Vous accompagner ? avec grand plaisir ! Mais quant aux honneurs, je vivrais très bien sans vous savez et ce même si je reconnais l'attention première qui vous anime, je doute que mes joues ne résistent très longtemps à cette couleur rosée qu'elles ne manqueront pas de prendre.
Duncan sourit, la faire rougir, il n'allait pas se gêner, non seulement, il voulait que chacun puisse connaître les talents de Merenwen mais en plus, voilà une nouvelle façon de la taquiner et Aristote sait qu'il aime ça...
Petit détour pour que la Dame se change, elle avait été plus réservée que lui, tout à son honneur d'ailleurs, non pas que Duncan n'aurait pas apprécié d'admirer sa nudité mais une Dame digne de ce nom ne devait se dévêtir devant un homme, sauf peut être devant son époux mais les circonstances étaient différentes dans ce cas...
Les voilà repartis pour Tournai, il fallait rejoindre la place du village et retrouver Dame Rosa afin de lui présenter le costume.
Une fois la blonde des Flandres trouvée, Duncan la salua respectueusement et commença la description.
Voici une création d'une de nos couturières locale, Dame Merenwen.
Nous l'appellerons...il se stoppa un instant, remarquant qu'il avait gardé son épée et du coup, il fallait l'intégrer au costume. Petite réflexion avant de se retourner vers Merenwen et de lui faire un clin d'il complice puis il reprit auprès de Rosa...Le protecteur de la Blanche.
Épée au ceinturon, bouclier décoré d'une chope et de feuilles de houblon, feuilles que l'on retrouve au centre de la chemise et porté sur le chapeau en guise de plume.
Accessoire indispensable à tout protecteur de blanche, le tonnelet, ici, accroché sur mon épaule gauche, laissant la main droite libre de tirer l'épée si nécessaire.
Duncan, tout au long de la description, bomba légèrement le torse pour accentuer le côté "protecteur".
Fier de son costume, il tourna sur lui même afin que chacun puisse en admirer toutes les parties puis se replaça aux côtés de Merenwen.
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Duncan sourit, la faire rougir, il n'allait pas se gêner, non seulement, il voulait que chacun puisse connaître les talents de Merenwen mais en plus, voilà une nouvelle façon de la taquiner et Aristote sait qu'il aime ça...
Petit détour pour que la Dame se change, elle avait été plus réservée que lui, tout à son honneur d'ailleurs, non pas que Duncan n'aurait pas apprécié d'admirer sa nudité mais une Dame digne de ce nom ne devait se dévêtir devant un homme, sauf peut être devant son époux mais les circonstances étaient différentes dans ce cas...
Les voilà repartis pour Tournai, il fallait rejoindre la place du village et retrouver Dame Rosa afin de lui présenter le costume.
Une fois la blonde des Flandres trouvée, Duncan la salua respectueusement et commença la description.
Voici une création d'une de nos couturières locale, Dame Merenwen.
Nous l'appellerons...il se stoppa un instant, remarquant qu'il avait gardé son épée et du coup, il fallait l'intégrer au costume. Petite réflexion avant de se retourner vers Merenwen et de lui faire un clin d'il complice puis il reprit auprès de Rosa...Le protecteur de la Blanche.
Épée au ceinturon, bouclier décoré d'une chope et de feuilles de houblon, feuilles que l'on retrouve au centre de la chemise et porté sur le chapeau en guise de plume.
Accessoire indispensable à tout protecteur de blanche, le tonnelet, ici, accroché sur mon épaule gauche, laissant la main droite libre de tirer l'épée si nécessaire.
Duncan, tout au long de la description, bomba légèrement le torse pour accentuer le côté "protecteur".
Fier de son costume, il tourna sur lui même afin que chacun puisse en admirer toutes les parties puis se replaça aux côtés de Merenwen.
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