Ayant marche toute la nuit, la miss la tête pleine avait tout de même préférer rentrer afin de se reposer quelque peu.
Quelques heures plus tard ayant plus tournée en rond dans son lit trop tracasse par les derniers évènements la ch'tite Ney se mise en tête de se rendre a l'atelier.
Cela lui faisait mal de savoir qu'elle ne le verrai plus.
Son ami avait toujours tout fait pour la faire sourire.
Lorsque son petit frère était arrivée d'Irlande malgré son jeune age il n'avait pas hésite a l'accepter en caserne.
Et lorsque Alexis leurs frère était parti en vadrouille il avait fait en sorte de la rassurer avec ses mots a lui.
Depuis un bon moment deja la miss le considérai comme un grand frère qui était la pour la guider alors qu'elle était perdu.
En flânant un peu la miss voyait dans la rue la plupart des habitants le visage grave.
Castel avait connu pire certain dirait, les brigands, les menteurs et tout le reste.
Mais Adelin et Az c'etait pire que tout.
Tous et toutes avaient le cur en pleur même si certain pour rassurer les plus faible essayaient de ne point le montrer.
Ayant marcher sans se rendre compte, la miss se retrouva devant l'échoppe.
Fronçant les sourcils légèrement on entendait du bruit.
En espérant que quelques nouveau venu n'en avait pas profiter pour s'installer, la miss mit la main sur la garde de son epee.
Si c'etait la cas, elle les virerai rapidement et on les entendrait hurler jusqu'en Suisse.
Poussant la porte légèrement au cas pour surprendre les coquin qui avaient osée profaner l'atelier, au moment de passer la tête oui, elle reconnaissait ses deux voix.
Ouvrant la porte de manière normale au final, la miss reconnut Duflan et Antinaelle.
Faisant un petit sourire malgré la peine, Ney se dirigea par réflexe vers Antinaelle la miss se jeta dans ses bras.
Ne pouvant plus se retenir la miss laissa couler ses larmes qui depuis plusieurs jours refusaient de sortir ne pouvant y croire au fond de son cur.
Murmurant des pardons tel une litanie, la miss était tellement triste de ne point avoir été la suffisamment se trouvant égoïste d'avoir préférer aller a Foix.
Relevant la tête, les yeux rougit par les larmes la miss se tourna vers Duflan.
Le pauvre, Adelin était un très bon ami pour lui et il le connaissait depuis bien longtemps.
Elle ne savait que faire ni que dire tellement la peine et la peur de dire une bêtise lui coupait la voix.
Essayant de se reprendre dans un souffle que elle même ne trouvait point convainquant elle dit:
Je crois que Adelin et Az n'auraient point aimée nous voir trop triste.
Baissant la tête la miss était sure que si l'un ou l'autre avait été la tout deux auraient trouve chose a dire.
Mais ils n'étaient plus.
Adelin lui aurait dit que quelqu'un lui avait coupée la langue vu du peu qu'elle disait.
Az quand a elle aurait surement parlée de soule ou même de pâtisserie afin de lui changer les idées.
Tout deux connaissaient leurs amis mieux que eux même dans le fond.
Et ceci faisaient d'eux des êtres d'exception.