[RP] La fuite, la tristesse et le manque d'amour.

Une brise glacée parcourut ses épaules lui procurant un intense frisson. La tristesse rongé sa vie, martelé son visage jusqu'au sang. Elle n'en pouvait plus. Elle n'en pouvait PLUSS !
Oui, elle avait beau être mature, elle était une enfant ! Exact, une enfant ! Une petite fille de 13 ans pleine de faiblesse. Depuis la mort affreuse de sa mère, tout avait basculé. Elle n'avait plus la force de vivre.
Alicette marchait, un pas tel un murmure.
Les vagues écumeuse s'échouaient en fracas sur les rochers mousseux. L'atmosphère était froide, noire. Il faisait nuit. Une nuit calme, sans bruit. Elle n'avait pour l'instant croisé personne dans les rues de Bertincourt.
Une larmes froide s'écoula lentement sur sa joue, suivit d'une deuxième. Elle pleurait, elle pleurait pour évacuer ses si grandes tristesse.
Le sable entra bientôt dans ses maigres chausses.
L'eau les mouilla alors. L'eau de la mer.
L'humidité monta jusqu'à ses genoux, jusqu'à son bassin, puis son cou fut submergé.
Elle n'en pouvait plus...

[RP ouvert à tous (se serai bien de me sauver ! hihihi)]
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un petit moment de détente enfin, des jours, voir des semaines que c'était pas arrivée, une petite balade sur la plage lui ferait le plus grand bien, les épaules serrées dans un lourds châle de laine, elle déscendit le petit chemin menant de sa maison à la plage. une légère brise un peu fraiche faisait volté ses jupons mais le nez au vent le visage tournée vers le soleil bien bas de ce début d'automne, nefi profitait de l'instant se promenant le long de la plage mais restant loin du ressac pour ne pas se mouiller les chausses.

des barques au loin montraient quelques pêcheurs en plein travail. se posant dans le sable elle regardait la scène avec plaisir plongeant dans ses souvenirs se demandant quand elle pourrait de nouveau pécher avec son époux. quand une forme attira son attention dans l'eau, une petite forme toute frêle entrait dans l'eau toute vêtu les jupons gonflant autour d'elle.

se levant précipitament sans trop réfléchir et laissant tomber son châle nefi courrut dans la direction de la silhouette et entra dans l'eau pour l'en sortir.

avez vous donc perdu la tête par ce froid entrer dans l'eau ?
voulez vous attraper la mort ?

un petit visage pleins de larmes se tourna vers elle et elle pu reconnaitre la petite alicette.

ohhh alicette, par aristote mais que ce passe t'il ?

prenant l'enfant dans ses bras elle l'emporta vers la plage la sortant de l'eau gralottante de froid et de chagrin.
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L'eau, le froid la tenaillait, mais Alicette se snetait bien. Quand soudain, elle sentit des mains l'attraper et la soulever.

- avez vous donc perdu la tête par ce froid entrer dans l'eau ?
voulez vous attraper la mort ? Dit une voix qu'elle semblait reconnaître, une voix féminime.

Alicette tourna son visage perlé de larme et put découvrir celui affolé de Nefi. La dame s'écria alors :

- ohhh alicette, par aristote mais que ce passe t'il ?

La pauvrette n'avait plus la force de parler. nefi l'amena jusqu'à la plage et l'y déposa.
Alicette avait froid, et la tristesse commençait de nouveau à la sudmergé. Elle armena ses genoux contre sa poitrine et laissa aller ses larmes. Que lui arrivait-il ? Dieu, là haut, ne la voulait-elle pas ? Pourquoi ne pouvait-elle aps rejoindre sa maman ?
Ses sanglots s'intensifièrent.
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transit de froid elle déposa l'enfant sur le sable puis attrapa son châle de laine resté sur le sable et le passa sur les épaules de la petite la frictionnant. elle s'était recroquevillé laissant libre cours à un flot de larme qui la secouer de sanglot.

un peu prise au dépourvu, mais le bon sens médical rattrapant le tout elle prit souleva l'enfant passant un bras dans son dos et l'autre sous ses genoux et l'emporta vers la maison.

je vais te ramener au chaud, c'est quoi ce gros chagrin alicette, je t ais connue plus guillerette pourtant. qu'es qui t'arrive ?

le chemin était court jusqu'à la maison donnant sur la plage, elle poussa la porte et entra, déposant la damoiselle dans un fauteuil prés de la cheminée elle rajouta une buche.

bouge pas d'ici je vais chercher de quoi nous mettre au sec.

montant vite les marches elle entra dans sa chambre pour retirer ses vêtements mouiller et en changer, puis elle prit des serviettes seche avant de passer dans la chambre des enfants prendre une des robes de laureline, et de rejoindre alicette.
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Nefi avait ramené Alicette chez elle, celle-ci ne savait pas si elle devait la remercier ou la maudire. Qu'avait-elle donc essayé de faire ce soir ? Elle n'osait y repenser.
Nefi lui apporta une couverture puis, elle alla chercher des vêtements. Alicette, comme en oubliant sa tendance pudique, se changea sans s'écarter de la vue de Nefi. peu importait, ce soir. mais que répondre aux questions de la dame ?

- Nefi... Oh ! Je me sens si mal... Je me sens si seule... Dame. Nefi...

Le flot de larmes repartit. Pauvre dame, elle lui faisait subir un tel calvaire uqe de la voire se lamenter.
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elle ne se fit pas prier pour se changer bien vite, puis fondit en larme une nouvelle fois. la prenant dans ses bras de nouveau elle l'entraina vers le fauteuil la berçant doucement comme elle le faisant quand sa fille avait un gros chagrin.

pleure autant que tu veux, si ça peut te soulager, et si tu le souhaite tu pourras me raconter ton chagrin. mais tu sais la vie est pleine de surprise et quelques soit la source de ta tristesse les choses s'arrange toujours...

elle se tut, laissant seul le réconfort de ses bras à cette petite damoiselle qu'elle ne connaissait que bien peu.
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Au creux de bras chauds de Nefi qui, de sa douce voix, la rassurait, Alicette se sentait bien. Elle besoin de cela ! De chaleur humaine et San le lui avait refusé. Une boule se forma dans son ventre quand elle pensa à elle. Puis, elle repensa à se qu'elle avait voulut faire. C'était vrai après tout, c'était très stupide ! Ses paupières commencèrent à fermer. Elle n'avait plus froid. La respiration qui soulevait la poitrine de Nefi la berçait doucement.
Ses pensées se brouillèrent, un voile blanc se leva sur ses yeux. Elle s'était endormie.
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Alicette en dormie que très peu de temps. Quand elles e réveilla, elle était toujours dans les bras de Nefi. Il y faisiat si chaud qu'elle ne souhaittait en sortir. Relevant un peu la tête, elle regarda Nefi. Une grande dame cette Nefi, sans un aucun doute. La bonté perçait dans ses yeux. Si bien que Alicette demanda :

- Nefi... Je sais qu'il est pitoyable de ma part de le demander... mais... Pourrais-je rester chez vous quelque temps ? Chez moi c'est vide et triste.... J em'y sens seule. Je vous en prie, dame. Nefi.

La grande dame était, et elle s'en serai jamais douté vu qu'elle ne la connaissiat très peu, une des plus gentille qu'elle eut connut. Elle l'avaits auvé. Oui, c'était sa Sauveuse.
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Alictete entendit de sbruits de pas pressés et des cris retentirent :

MAMAN... C'est moi je suis rentrée.

La juene fille se redressa. Une jolie fille de son âge se trouvait devant elle. Elle devina tout de suite sont identité : c'était Laureline Squire, la fille de nefi. Soudain, Laureline s'écria :

C'est qui ??? Pourquoi elle est habillé comme moi ??? Elle va rester avec nous??? Hein... Dit si elle reste ca me changera de césar et Cathal.

Elle semblait heureuse, Alicette l'était aussi de rencontrer une fille de son âge.

- Bonjour, j'm'apelle Alicette. Tu te rapelle pas de moi ? On s'est déjà rencontré, non ? Enfin, je crois c'est tout. Si je suis habillé avec tes habits c'est parce que... Parce que je suis tombé dans l'eau. Je suis déoslé de te les avoir pris mais j'étais toute mouillée...
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un grand fracas suivit du crie d'un de ses poussins retentit dans la pièce réveillant alicette qui fourbu par les larmes avait cédé au sommeil.

un petit sursaut lui indiqua que la petite était réveillé suivit des interrogations de sa fille. auquel l'enfant répondit, elles se connaissaient déjà vaguement toute les deux.

liline je te confis alicette quelques minutes je vais vous préparer un gouté à toute les deux.

déposant un bisou sur les joues des deux petites elle s'éclipsa, sachant que le babillage joyeux de sa fille serait peut être une meilleurs choses pour consoler le chagrin d'alicette.
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Bonjour Alicette, si si je te reconnais j'avais pas bien vue que c'était toi comme t'était dans les bras de maman.

Tu sais c'est pas grave pour mes vêtements, j'en ai plein, alors je peu te les donner.
Pis c'est mieux d'être au sec sinon on attrape du mal.
C'est maman qu'il le dit, elle est docteur.

Laureline était gentille, cela promettait une grande amitié. Nefi était partie préparer le gouter les laissant seules.

Après le gouté si tu veut on ira jouer, sauf si tu veut te reposer.

Au oui, moi je veux bien ! Tu voudrais jouer à quoi ?
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