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Info:
Ce RP est le campement des joutes Angevines qui se trouve sur le forum 2 -lice St Antoine, Domaine Français

[RP-Joutes Angevine]Campement.

Joffrey
Malgré le report des joutes, le campement avait été aménagé avec beaucoup de soin.

Le terrain avait été aplani, des tentes pour se restaurer avaient été dressées. Des forgerons avaient pris place , ainsi qu'une taverne.

La ripaille , les vins et autres boissons , étaient mises à dispositions de toutes et tous.

Sur une affiche , une missive avait été placée, à la vue de tous.

Citation:
Bien le Bonjour,

Suite à l'incident au Poitou, Le bon Roy Levan est immobilisé pour 10 jours.
Nous nous devons donc de reporter les joutes angevines organisées en son honneur. Nous vous remercions de votre compréhension.
Les Joutes débuteront le 16 décembre . Ainsi, nous pourrons aussi fêter le rétablissement du Roy.
Le campement sera et reste à votre disposition dès ce soir, j'espère vous y croiser tous.

Bonnes joutes ,

Joffrey.

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Geulederat


GdR arriva tranquillement, sachant que les joutes étaient repoussées .....
Mais pour une fois qu'il arrivait en avance .....

Il fit signe à ses serviteurs d'installer la tente par là ... Et il planta son fanion.




Puis il se mit à la recherche des autres Angevins, et de la sainte bibine ....

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Morkar
- Fais péter le tonneau et sors le Calva !
- Vostre Grasce, tu as déja bu à chaque dizaine de lieues suffisamment.
- Benoit, ne m'oblige pas à me lever !
- J'aimerais bien voir cela...

Le Duc d'Evreux tenta de se mettre debout, mais s'affaissa en arrière, sur une banquette. Certes oui, il avait probablement trop bu. Ils étaient, lui et sa troupe, arrivés tôt le matin, afin de préparer le campement normand. Les oriflammes flottaient un peu partout. Basculé en arrière, Estienne ne put s'empêcher de s'endormir...


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Juliette
Des joutes en l'honneur de Roy quelle belle idée! La Baronne de Mervans était ravie de pouvoir de nouveau jouter : il y avait bien que cela qui puisse la réjouir actuellement sauf peut-être de retrouver une personne particulière mais elle ne pensait pas le trouver de jour. Juliette avait sûrement tort. Le campement avait été ouvert en attendant l'arrivée du Roy retardée par un incident plus que diplomatique.

Ses gens avaient disposé la tente, ranger le matériel et disposé l'étendard de Mervans à côté de celui de Bourgogne.



Pour se dégourdir un peu les jambes, elle prit la décision de se promener dans le campement. Un peu songeuse, elle repensait sans cesse à ce qui se passait chez elle : un gueux devenu conseiller ducal, le même qui ne cessait d'insulter la noblesse à tout bout de champs quoi qu'on lui dise, une duchesse de Bourgogne qui le défendait et pire n'assurait pas la protection due à la noblesse de par les liens créés lors de l'allégeance préférant protéger un paysan qui n'avait qu'un seul but déstabiliser le duché, bouleverser l'ordre établi pour mettre à la fois la noblesse et l'armée dehors. Non la Bourgogne allait mal ! A côté de cela, le Roy se faisait sérieusement attaqué : où allait-on ?

Tout en marchant, elle vit l'étendard de Normandie se dresser devant elle. Qui disait Normandie, disait pour Juliette, un chevalier servant dans les parages. Mais elle n'avait aucune certitude que ce soit lui. Après tout, il n'y a pas qu'un seul noble normand ! Elle continua de marcher dans la même direction jusqu'à ce qu'elle atteigne la tente juste 'à côté de laquelle se trouvait le fameux étendard. La tente était fermée mais la curiosité de Juliette était trop grande pour qu'elle s'arrêtât à ce détail. La Baronne s'avança donc encore un peu.


Y a-t-il un Normand ici ? Drôle de question! Elle n'y pensa que quelques secondes plus tard.
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recherche une joueuse pour jouer Aliénor, fille de Juliette et Milamber de Lasteyrie
Geulederat
GdR voyait le monde arriver .
Il se dit que ces étendards annonçaient sans doute des alcools sinon frelatés, du moins différents de ceux du cru ....
Ca valait sans doute le coup d'aller déguster , puisqu'il y avait plusieurs jours à tuer ....
Il partit donc prendre contact avec ses voisins.....

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Saradhinatra
Sara pointa son petit nez de fouine par l'entrebaillement de sa tente et jeta un oeil à l'extérieur. Le camp s'animait, les participants aux Joutes Angevines arrivaient progressivement mais toujours pas trace de celui qu'elle attendait. Par l'ouverture, elle sortit sa tête pour vérifier si d'autres couleurs toulousaines étaient présentes. Rien. Personne à qui demander de l'aide. Elle poussa un soupire à fendre une pierre.

Voyons, Khânom ! Arrêtez de vous mettre dans cet état. Il a dit qu'il viendrait, il tiendra parole. De toute façon, j'ai planté votre étendard hier. Il le verra en arrivant.

A ces paroles, elle tourna la tête pour voir si son oriflamme était toujours là.



Oui, ses couleurs étaient bien visibles. De guerre lasse, elle regagna la minuscule banquette et s'y affala.


Tu t'en sors, Berhooz ? demanda-t-elle à son serviteur qui examinait les pièces de l'armure.

Moui, j'ai réussi à les identifier ou à peu près. Cette pièce, je crois, vu la forme, doit protéger votre coude. Le nom est cubi-quelque chose comme ça. Elle le vit regarder un bout de chiffon attaché à la pièce. C'est cela, cubitière ! J'ai réussi à assembler les pièces pour les jambes ... mais le reste ... C'est bien d'avoir indiqué les noms des pièces, Khânom mais il aurait fallu ne pas oublier le parchemin sur lequel était consigné le montage de votre armure. Et surtout il aurait fallu essayer votre armure avant de venir ici !

Je sais, Berhooz, pas la peine de râbacher comme une vieille pie. Excédée par les reproches de son serviteur, elle se leva et le rejoignit.
Devant la table sur laquelle étaient étalées les pièces éparses de son armure, Sara sentit le désespoir la prendre mais se reprit aussitôt. Il lui fallait un remontant d'abord.

Berhooz, ordonna-t-elle, va me chercher un tonneau de bière. J'en aurais besoin.
Devant l'air étonné de son serviteur, elle rajouta : Je vais la mettre cette armure, dussé-je rester confiner ici jusqu'à ce qu'elle soit complètement assemblée.

Comme vous voulez, Khânom. C'est vous qui commandez, dit-il en haussant ses épaules.

Elle attendit qu'il sorte avant de murmurer : Nécro, par pitié ...
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Myrtillia
Toulouse Anjou, Anjou Gascogne, Gascogne Toulouse, Toulouse Anjou, la boucle plus que bouclée la Baronne de Mazamet se rendit au campement pour les Joutes angevines, suivie de prêt par sa vassale Dona Lhessa de Caucaliere.

Pendant qu'elle faisait un rapide tour d'horizon, les gens s'afferaient a monter la tente de la Dénéré avant d'y mettre la touche finale.



Bien loin de chez elle, ou le temps d'un retour aux sources, les deux etaient vrai, son esprit vagabondait, ses futures noces, mais aussi la pensée qu'un vicomte toulousain ai anobli un spinoziste et une femme qui ne cessait de cracher sur la noblesse, dame, si on pouvait la qualifier ainsi, au comportement plus que négligé... Autant de choses qui faisaient qu'elle n'etait pas vraiment la.

Déjà, la Noblesse des quatre coins du royaume se presentait, prête a jouter et surtout passer une dizaine de jours a attendre. La blonde regardait la scene l'air blasé, lassée.... C'est d'un pas glissant, qu'elle se refugia sous sa tente afin d'y trouver un peu de repos. Elle aurait bien le temps de saluer quelques connaissances plus tard, quand elle serait d'humeur plus courtoise.

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Fabien74
Campement des Joutes angevines:

Fabien était tout excité, il n'avait cessé d'être pénible au Domaine de Challiers. Gaspard et Leontine étaient toujours trop lent à préparer ses baluchons, Dragonet, son écuyer, toujours trop rêveur, et Astir, son cheval, toujours trop buté. C'est qu'il participait à ses premières joutes, il était impatient de briller pour Challiers et pour Mauriac. Et s'il ne brillait pas, il repartirait certainement plein de rêves et d'histoire à raconter aux enfants du village.

La route jusque l'Anjou fut longue, mais ils arrivèrent à temps. Fabien avait appris la triste nouvelle venant du Poitou. Nul ne savait à quoi ceux-ci jouaient. Il pensait aussi au triste sort de l'AdC, qui avait fort à faire ces temps ci avec cette dernière affaire. Mais autant être présent en avance pour être totalement préparé. Et en cela, Fabien était aidé.

Son épouse Noeline l'avait accompagné, de même que son jeune écuyer, Dragonet. Celui-ci rêvait de Chevaliers, de capes et d'épées. Son père était venu frapper à la porte du Château, dans l'espoir que Fabien et Noeline lui trouvent une occupation digne de lui, et de l'honneur qu'il portait. C'était donc quasimment tout désigné qu'il devînt écuyer de Challiers. Bien qu'il fût jeune, il témoignait d'autant de courage et de détermination, voire plus, que certains nobles du BA.

Arrivés au campement angevin, Fabien et Dragonet montèrent les tentes. En effet, ce brave Gaspard était trop vieux pour les accompagner, il était resté au Château pour veiller sur Challiers. Pendant ce temps-là, Noeline s'occupa des chevaux et les déchargea du matériel et des baluches. Pendant que le couple rangeait tout ceci, Dragonet alla planter l'oriflamme à quelques mètres de là.


Puis le jeune garçon alla faire le tour du campement, pour repérer les lieux et se dégourdir les jambes, il était tout fier de son nouveau costume aux armes du Domaine.

Ne t'éloigne pas trop Dragonet! Nous pourrions avoir besoin de toi ici!

Fabien sourit en voyant le garçon qui disparaîssait déjà entre deux tentes.
Puis il alla rejoindre Noeline.


Alors, chère épouse, Il rit, nous voilà encore fourrés dans une drôle d'aventure!
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Joffrey


Jo avait longtemps hésité avant de s'inscrire aux joutes , mais de toutes façons, elle avait décidé de s'installer au campement.

Elle y revint donc en soirée avec ses gens.

Pendant que ceux-ci montaient la tente et préparaient un diner tardif, elle partit se balader.

Le campement se remplissait doucement , malgré l'ajournement des joutes.

Elle en fut ravie. Passant entre les tentes , elle reconnut l'oriflamme de Mymy.

Tout en saluant les personnes qu'elle croisait, elle fonça vers la tente.

Sans se faire annoncer , elle entra.

--Mymy , tu es arrivée , quelle joie de te retrouver.

hummm tu es seule.?

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Fitzounette
Tente Ducale :



L'angoisse l'avait envahie. Elle, la petite sauvageonne, l'enfant rebelle, l'insoumise. Elle a la volonté de fer, au caractère invaincu.
Elle s'investissait beaucoup depuis un certain temps, peut être trop. Et la nouvelle infamie Poitevine après ces mois de haine, de guerre, qui avait laissé la terre d'Anjou ruinée et orpheline, n'avait fait que porter un coup supplémentaire à son moral.
Elle qui aurait dû, dans son état normal, chahuter sa domesticité, restait là, plongée dans son mutisme, les yeux dans le vague, la mine déconfite.
Elle se refusait à sortir de sa bulle, et aller à la rencontre des jouteurs. "Non, pas tout de suite, laissez moi souffler, juste un instant..."
Et la petite poupée Angevine resta donc là, au chaud, et protégée des sollicitations, se blottissant dans le confort de cette tente cossue, comme un enfant encore en le bienveillant sein de sa mère...

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Morkar
[Camp Normand : Tente d'Evreux]

Une voix résonnait étrangement dans l'oreille d'Estienne. Elle gênait son sommeil, lourd et peu reposant, en le faisant remonter vers la surface et l'éveil. Morkar se retourna sur sa banquette en grommelant.

- Fout'dieu... Benoit, fais taire ces voix !

Il roula sur lui même et tomba sur le sol. Cela acheva de le réveiller entièrement. Il se leva alors, surpris, dans sa tente vide. Benoit était parti. Et la voix se fit entendre une nouvelle fois...

-Y a-t-il un Normand ici ?
- Oui ! Heu oui... Attendez !


Estienne sortit précipitamment de la tente, un peu débraillé, mais tout de même présentable. La lumière du jour l'éblouit un peu, il mit donc sa main pour parer le soleil agressif. Il fit alors face à la Baronne de Mervans. Et dire qu'il venait de songer à elle, dans son rêve. Il se garda bien de lui annoncer. Il sourit, un peu vaseux toujours, et s'inclina dans une révérence.

- Madame... J'espérais vous voir, mais je n'osais miser trop dans cet espoir. Je suis heureux de voir la Providence de mon coté, et qu'elle vous ai fait venir jusqu'à ma tente. Vous plairez t il de... hum... marcher un peu ?
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Vaninava
Vaninava, qui avait surveillé de près l’installation de la tente de la noble Dame, la Baronne de Mervans, regarda pendant quelques instants les étendards qui flottaient gracieusement, bercés par quelques passages du vent. La bourgogne… Ce duché qu’elle aimait tant, ses engagements envers cette terre et ses habitants, elle y croyait certes toujours, mais le courage de se battre pour certaines causes commençait à se faire de plus en plus faible.
Elle chassa rapidement ses idées noires, ce n’était pas le moment ni le lieu pour penser à tout cela. Surtout qu’un des domestiques se prit les pieds dans un des cordages qui fixait la tente, manquant de tout faire s’écrouler. Elle vint rapidement à la rescousse des ces pauvres, et incapable pensa Vani, domestiques, marmonnant quelques reproches envers eux, tout en scrutant les alentours pour voir si Juliette revenait de sa balade.
Noeline
[ Campement - sous la tente ]

Enfin ils étaient installés, enfin elle avait pu enlever ses chausses et s'allonger sur le lit de camp certes pas excellent mais salvateur après cette longue route à cheval, encore.
C'est que depuis quelques semaines, ils en avaient parcouru des lieues sur leur chevaux. Elle avait les fesses tannées tant elle avait passé d'heures à chevaucher. Elle adorait cela, battre la campagne mais ses cuisses et son dos rendaient l'âme aujourd'hui.

Fabien vint la rejoindre, leurs affaires étant en ordre et l'oriflamme bien planté. Il avait l'air tellement heureux, elle lui sourit, caressant ses cheveux et sa joue lentement.

Le jeune Dragonet, à peine sortit de l'enfance, avait peiné pour monter la tente, Fabien avait du l'aider à maintenir la toile et empêcher ainsi que tout s'écroule sur le dos de Noeline qui était sortie en hâte, se voyant déjà empêtrée dans les lourds tissus.

Elle avait commencé à le sermonner puis avait vu le regard un tantinet moqueur de son époux, sans doute riait il intérieurement à l'idée de sa femme disparue sous la tente. Elle finit par se calmer, il allait falloir éduquer ce garçon forcement.

L'agitation régnait déjà dans le campement, certains se retrouvaient, d'autres feraient connaissance autour d'un feu et d'une chopine .
Des cris, des mots, des rires et des embrassades se mêlaient autour d'eux.

Elle irait faire un tour plus tard, déjà ses yeux se fermaient et elle se laissa aller à une douce torpeur enroulée dans une couverture en peau de mouton, la tête posée sur les genoux de son homme.
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Juliette
devant le campement normand

La Baronne s'apprêtait à partir pensant qu'il n'y avait personne dans la tente lorsque l'habitant daigna enfin entendre sa question. Elle tomba alors nez à nez avec Morkar. A la fois surprise et peu étonnée, elle perdit légèrement son assurance face au Duc qu'elle regarda avec beaucoup de curiosité. Il semblait peu préparé à une visite.
Il fallut quelques secondes à Juliette pour reprendre un peu de contenance.


Bonjour Monsieur le Duc, j'avoue que... j'ai aussi espéré que ce soit vous dans cette tente. Le Blason normand m'ayant poussé à la curiosité. La lice est donc notre lieu de rencontre le plus probable.

je veux bien marcher de nouveau à vos côtés ! je vous promets je ne boiterai pas et voit correctement ce que j'ai en face de moi.
Elle rit de ces petits souvenirs qui ont fait leur rencontre. Il valait mieux en rire qu'en pleurer de toute évidence.

Elle jetta un regard en arrière tout de même pour voir ce qui se passait du côté de sa tente. Apparement Vaninava gérait bien la chose. Juliette se conforter dans l'idée qu'elle avait trouvée une perle rare.

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recherche une joueuse pour jouer Aliénor, fille de Juliette et Milamber de Lasteyrie
Chevalier_dide
[Campement Hospitalier, Gascon ]



Dide était arrivée Seul au Campement, fatigué pars son voyage du Sud dans la neige, il commença à monter sa tente et de planter c'est étendards avant d'aller rencontrer les autres jouteur et de boire quelques chope de bière local.
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