Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 12, 13, 14   >   >>

[RP-Joutes Angevine]Campement.

Rosebudy
Waaaaaaaaaaaaoohhhummmmmmmmmm.

Rose baille et s'étire en descendant de son cheval. Sale et crottée elle est méconnaissable, mais seulement pour ceux qui ne l'ont jamais vue sur un champ de bataille, ou couloirs des mines, ou futailles à inspecter avant le bucheronnage de ses fermiers, ou tout simplement après une journée de pêche dans les marais, échevelées, jupons relevés et coincés dans la taille des ses braies, pour monter ou marcher plus à l'aise.
La faim la tenaille, et un état de manque avéré prouve que la dernière gorgée de vin est déjà loin de son gosier.
Elle retire les gants de cuire qui lui couvre les mains, et les coincent aussi dans un des replis que font ses braies avec les jupons, et la ceinture fine et longue qu'elle porte toujours pour y suspendre toutes sorte de clés.
Avec ce geste, elle fait apparaitre la seule partie de sa personne qui soit encore propre, et sente bon comme un bouton de sa fleur préférée.

Décidée à manger et boire avant toute chose, c'est dans cet équipage qu'elle entre dans la Tente taverne.

Se faufile parmi la foule, et fonce droit sur le pauvre tavernier déjà pas mal en butte avec les pinailleries Angevines.


Holaaaaa tavernier, à boire et à manger, voilà pour votre peine, 10 écus sortent des replis de ses manches,

elle entend comme un écho à sa commande et une clameur, derrière elle, lui confirme qu'elle est bien en terre Angevine. Elle reconnait la voix de la duchesse Kilia, et esquisse un drôle de sourire en songeant qu'elle est comme à son habitude d'une rare élégance.

Hummmmm voilà qui ne va pas arranger mes affaires, se dit elle, fallait que je trouve quelqu'un pour m'héberger le temps des joutes, mais dans l'état où je me trouve, qui sait, je risque de faire choux blanc. Bon allez un peu de courage, que diable, Rose, fonce qui ne demande rien n'a rien .

Toussotte dans le dos de la duchesse,

keuff tss tss , hummm, kilia ? je peux te parler ?
_________________
Jeanpolc
Charmante porte le guerrier qu'elle connaît depuis toujours, ses pas lourds claquent sur les chemins, suivi de ceux des boeufs et chevaux qui tirent les chariots qui transportent l'intendance vers le campement des joutes. Le blason de Aviré est porté haut vers le ciel .


- Montez le camps ici !

_________________
Johanara
…Enfin. Elle en aurait presque pleuré tant le voyage avait été long et malplaisant.
Seule , blottie contre la banquette de velours pourpre , elle avait vu défiler les sylves les plus verdoyantes , les bois les plus sinistres , les villages aux chaumières colorées jusqu’aux terres angevines.

La fatigue et l‘ennui avaient manqué la rendre folle…Plusieurs fois , elle avait intimé l’ordre à son cocher de faire demi-tour , se ravisant quelques lieux plus tard. Promesse avait été faîte à sa délicieuse filleule. Et Johanara avait à cœur de ne jamais décevoir la jeune noble -Combien elle lui rappelait sa cadette !- qui était entrée en sa vie aussi naturellement que le chêne porte ses branches pour s’y faire une place indétrônable.

Chemin faisant , elle repensait avec nostalgie aux joies simples qui avaient rendu son enfance si heureuse alors que sa sœur et elle goûtaient avec délice l’hospitalité bretonne où sa famille s’était établie quelques années. L’Anjou… Ce n’était pas si loin du village qui avait vu naître la blonde Maryan d’Ambroise. Peut être qu’au retour , elle retournerait à Tréguiers voir si le temps n’avait pas enjolivé ses souvenirs.

Les remparts de Saumur se dressaient devant elle et bientôt la frêle silhouette de sa filleule se découpa dans le paysage hivernale , telle une délicate aquarelle illuminée par quelques longues mèches d’or.


Montez. Nous allons tâcher de trouver ce basin de vassal. Je vous préviens , je suis d’une humeur massacrante , des jours que ce rimailleur ivrogne de cocher , ce suppôt de Sardanapale promène le coche sans aucune précaution , butant roches , racines et grosses pierres par unique malice!


Léger soupir tandis que le nez parsemé de quelques tâches de rousseur se fronce.

Je n’en puis plus , je suis moulue. Pour être sincère , j’ai bien failli rebrousser chemin moult et moult fois , mais la perspective de retrouver mon office de Connétable et les manches impotents qui dirigent cette lointaine contrée qu’est l’Armagnac m’a conforté dans l’idée qu’il me tardait de revoir vos mirettes azurées!

Plongeant ses larges prunelles limpides dans les iris pers de sa filleule , un sourire empli du soulagement d’être enfin arrivée à destination étira les lèvres purpurines de la jeune Baronne.

Espérons que Valric fasse honneur à sa suzeraine et à sa compagne. S’il devait en être autrement , foi de Lignières , je ne tolérerais plus ses vantardises! Vous savez cet air arrogant qui le rend irrésistible pour le commun des mortelles…

Tenez j’aperçois le campement. Espérons que Serguei conduise l’attelage correctement devant la noblesse. Savez-vous que le coche a bien failli se renverser devant la grande cathédrale d’Auch? Ce pourceau d’Epicure conduisait bien trop vite! Je ne vous dis pas les railleries des badauds!

Quelques instants plus tard , les deux jeunes fille se mirent à la recherche de la tente du Gambiani.

Voyez vous son blason? Il a la drôlerie d’être orné d’un poulet qu’il prétend être un Aigle! Mais point de crête sur ces grands prédateurs , seul la volaille porte crête!

Resserant les pans de son ample manteau de zibeline doublé de brocart contre ses épaules d’albâtre , la rouquine , la démarche toujours scandée au rythme de sa canne d’acajou, embrassait de son œil vert les alentours à la recherche du fameux poulet de son vassal.
_________________
Valric
Cest que la vieille bique lui ayant tricotté l'blason avait été longue... Le soleil avait bien commencé sa descente vers l'Ouest voilant le ciel peu à peu vers une nuit qui allait les mener à un jour de joute. Le Gambiani, fort expérimenté dans le domaine des Armes, savez les vrais, pas celle de bois où l'on fait mumuse à se rentrer d'dans, nah, les vrais de vrais, avait plutôt prit à la légère tout ce jeu de Noble. À l'aube d'un jour nouveau, alors que la nouveauté de ce sport allait lui charger dans l'estomac, il ne put que soupirer à la baffe qu'il allait se prendre...

Lorsque le temps de s'entraîner était révolue, lorsque le temps nous avait manqué, le jeune et fier Seigneur de Saint-Hilaire en Lignière prit les choses bien en mains pour profiter du temps qu'il lui restait.

Il prit les choses?!

Nah, il prit une bouteille, celle que l'on boit par plaisir, un Sancerre 1454, 55 avait été une année affreuse dû à la guerre et pour sûr le vaillant Seigneur qu'il était avait touché sa part d'écus refillant cette piquette de 55 aux touristes...

La ruse éternelle du Gambiani quoi! C'est qu'il était doté de biens des qualités après tout, fier, bel-homme, fort, brave, charmant, gentil et oh j'en passe après tout, lorsque comme seul défaut l'on vous reproche la vantardise, c'est que les détracteurs n'ont pas encore comprient se que signifie qu'être l'homme qu'il est! M'enfin bon...

Mais encore! Cette vantardise, cet air arrogant et fier, c'était là la recette de son charme parraissait-il... Lui il aurait misé sur le bouc et les cheveux en bataille mais bon... Quand il prenait l'temps de bien y penser, c'est pour cela que sa Miss l'aimait... Sa fièreté sans borne, son audace, son franc-parlé etc... Sa Miss...


Ah bin Norf!!!! Elle est où encore ma Miss!?!

Lorsque le goulon porté à vos lèvres vous rapelle à quel point vous manquez de celles de votre Miss, c'est qu'il est temps de partir à sa recherche! Ainsi fit-il, sortir, bravant froid et vent, marchant de ce pas fier et déterminé, claquant les talons des bottes dans la neige pelotante, laissant rebondir une surnoise et une bâtarde sur lui. La cherche ne fut pas longue... Ce n'est pas cette fois son instinct mais bien l'allure et la direction d'un coche qui attira toute son attention... Cela ne pouvait être que le basin d'ivrogne de cocher de sa */&$?"*$) (très belle marraine voyons!) marraine!

Le bal était ouvert... Les deux (belles) femmes allaient s'en donner à coeur joie à deux contre un sur le Gambiani... Pas qui aurait été déplaisant de se retrouver avec deux femmes sur son cas mais bon, cette époque était révolue maintenant qu'il avait choisit de partager sa vie qu'avec une Miss... Et Quelle Miss! Oh là là... Il allait avoir droit à tout qu'une scène s'il ne la jouait pas diplomate... Mais comme la diplomatie obtient plus de résultat avec une arme à la main pour le Gambiani, c'était pas chose aisé! Et quoi encore?! Vallait mieux la fièreté à un traité Armagnac / Orléans que seul un enturbanté givré telle la fenêtre d'hivers pouvait faire!

Lorsque le coche, passant près de lui rouler les bottes à la cheville s'arrêta, Valric alla ouvrir la porte et offrit son bras à sa chère et tendre marraine ainsi qu'à sa Miss.


Bienvenu aux plus belles demoiselles de ce Royaume en ce campement aux couleurs du Seigneur de Saint-Hilaire en Lignière vassal de la plus charmante et tempéré marraine que le Très-haut pouvait déposé sur terre et en plus, soulignons que ce cher Vassal a bien sûr le joyau de Savoie en compagne! Bienvenu à vous deux seules Dames de mon coeur...

On ne s'improvise pas charpentier, pas plus que poête...
_________________
Kilia
Après la Hola ou sa niece et elle avait prient comme un vent, pas grave l'Angevin aime cela, elle avait reprit sa chope.

Merci Felian, j'espère que vous êtes tout deux bien installé dans le campement.

Son regard scruta à la recherche de son petit dernier qui ne semblait pas encore être sorti de sa tente.

keuff tss tss , hummm, kilia ? je peux te parler ?

Encore une voix qu'elle connaît bien, entre mille elle ne pourrait se tromper. Elle se retourne en clamant son nom dans une grande exclamation.

Roseeeeeee!!!

Et lui tend les bras pour aller la bécoter. Un regard sur la Baronne, qui lui indique qu'elle vient d'arriver.

Tu as l'air d'être euh... fatiguée par le voyage, installons nous à une table un verre et un plat chaud vont te remettre d'aplomb.
Elle attrape une serveuse par le bras et lui crit à l'oreille.

Commande express! Une chope et une tourte de boeuf aux lentilles, pour remettre en forme la Baronne. Et puis 3 autres verres pour nous!
Kilderic
Le chemin entre la tente familiale et la tente-taverne n'était certes, pas si long que ça, mais pour le jeune Penthièvre, si. Il avait écouté l'indication d'un vieil homme: prend l'allée, tout droit, puis tourner à gauche. Il parait même que c'est indiqué... Sur la neige tassée, Kilderic marchait. Il regardait les gens: certains avaient des visages familiers, d'autres inconnus au bataillon.

L'ambiance lui plaisait bien. Rires, joie, folie... Tout semblait comme dans un rêve douillet, où chacun vivait dans la joie, sans se soucier des conséquences de leurs actes... C'est alors qu'il vit la tente-taverne, enfin.


[Dans la TT (tente taverne...)]

Ouf! Arrivée, et... le choc. Que de monde! Quelle animation! Il en reviendrait presque à se demander s'il n'est pas dans un monde imaginaire. Il survola tous les gens du regard, puis il vit sa mère. Chope à la main: normal; En train de rire: normal aussi; entouré d'hommes: pas normal!

Il se précipita vers elle, d'un pas assez rapide. Puis s'approchant d'elle, il prit un air distingué, comme tous ces jeunes nobliots de Paris. Il essaya d'étendre son visage sur toute sa longueur, ce qui lui donna un air particulièrement moche.


Mère, je suis arrivé. J'espère vous retrouver dans un endroit plus calme et moins fréquenté.


Un grand rire mi-juvénile mi-viril retentit dans la taverne. Puis, toute en grâce et en beauté, lui fit une belle révérence. Il se tourna vers le "compagnon" de sa mère et s'inclina respectueusement.

Veuillez m'excuser si je vous ai coupé, je me ferai tout petit.

Ne sachant pas trop comment l'homme allait prendre cette soudaine apparition, il se mit un peu en retrait -on est chiant ou on l'est pas-, attendant la réaction d'un des deux.
_________________
--Salesgosses
[Campement, les sales gosses en action]


Depuis plusieurs jours, une bande de gains traînaient entre les tentes, personne n'y faisait attention. La coutume Angevine voulait que les gamins se débrouillent au plus vite par eux-mêmes. Très top, on leur enseignait l'art de se camoufler, un angevin n'était pas un vrai angevin tant qu'il n'avait pas fait l'expérience du pique-nique Angevins, enfin bref, les mômes traînaient partout.
Le petit groupe de va-nu-pieds se faufilait partout. Si on avait prêté l'oeil, on aurait pu les voir autour d'un feu déserté par ses propriétaires, levé de bras au ciel et cris "oui on le fait!!!!!". Mais des gamins, tout le monde s'en moque.
Nos petits rebelles au sang Angevin, futur Tydual, Meroot et autre Grakovic, avec l'éducation reçue, avaient du mal à tenir en place.
Un invité angevin est sacré, personne n'a le droit d'y toucher, il y en allait de l'honneur du Duché.
Bien avant que les invités et que le cortège Royal entre en Anjou, tous avait été mis au courant. Pas de vol, ni de racket, les visiteurs devaient repartir avec leur bien, si une chose manquait, la potence attendait le coupable. Un Angevin qui trahit les siens n'est rien qu'un futur cadavre. Les parents répondraient de leurs enfants, et les frères de leurs soeurs...

Ce soir, les mômes étaient frustrés. Depuis quelques jours, les enfants au sang bouillonnant se trituraient la cervelle. Mais l'illumination fut, et les sales gosses couraient à toutes jambes dans la nuit déjà bien avancée.
Certains Oriflammes étaient baissés, mais à une vitesse digne de tous les porte drapeau du Royaume était remonté. Les bouts de tissus circulaient à toute vitesse dans le campement.
Patcho attendait que le garde pique du nez et se glissait en haut du poteau en décrochant le précieux tissus. Ratiti lui beaucoup plus rondouillard faisait tourner doucement le poteau sur lui-même et arrivait à le défaire de la terre afin de le pencher. Les petits agiles remettaient les drapeaux, les autres courraient se faufilant sans bruit.

la tente de Joffrey de Beaufort, arborait le blason de Cosmik-Roger, seigneur de Pannard



Le campement de Geulederat, avait les couleurs de Morkar, Duc d'Evreux qui flottaient au vent



Du côté de Saradhinatra, c'est l'oriflamme de Erel de Dénéré



La tente de Myrtillia, battait pavillon du Chevalier_dide, Seigneur de Torau,



Le logement de Fabien74, stationnait sous le drapeau de Cheeky du Layon



La tente ducale de Fitzounette, arborait le fanion de Juliette, La Baronne de Mervans




Comme celle de Chevalier_dide, au couleurs de Barahir_de_malemort,



Chez Cosmik-Roger, c'était l'oriflamme de Myrtillia, Baronne de Mazamet,




La tente Barahir_de_malemort, avait au dessus d'elle fièrement dressés les couleurs de Lhessa,



Cheeky du Layon se retrouvait avec celle de Penelopedefrance,





Quand à Erel de Dénéré, sa tente battait au pavillon de Valric, ,



Pour Flex, on pouvait voir l'oriflamme d' Erel, Seigneur d'Herlies,



Du côté de Adriendesage, pavillon de Kédérick de Saint-Prigent, seigneur de la Rué ,



La tente d' Erel, avait pris pavillon de Maccornell,



Pour Lhessa, on voyait celui de Saradhinatra,




Quand à Valric, celle de Fabien74, Seigneur de Challier,



La belle tente de Kilia, avait oriflamme de Flex, seigneur de Soirans ,



L'aménagement de Kédérick de Saint-Prigent, s'affichait en rayé bleu et blanc de Geulederat, Seigneur de Cosmières,



La tente complétement délabré avec des trous et qui penchait dangeureusement de Tcharly, avait le blason de Kilia, Duchesse de Chateau-En-Anjou,



Du côté de celle de Feanaro56, c'est les couleurs de l'Anjou et de la Duchesse Fitzounette, tente ducale,



Pour celle de Penelopedefrance, c'est les lions de Morkar, Duc d'Evreux



Celle de Maccornell, avait un blason aux couleurs de Joffrey de Beaufort



Les gamins couraient partout, certains oriflammes avaient même disparu. Les gens auraient du mal à retrouver leur tente dans la pénombre de la nuit, les enfants attendaient cachés les premiers cris de surprise. Ils étaient certains que cela allait mettre une bonne pagaille dans le campement et l'on pouvait entendre déjà des rires de plaisir à la bonne farce qu'ils avaient faite.
Valric
La Baronne commençait à enfin toucher l'sol... Sa Miss suivait derrière... Le Gambiani voulu que tout soit parfait. Vous savez si les deux demoiselles avaient l'malheur de commencer à chigner il était pas sortie du bois! Prenant l'avance il alla s'assurer que son blason flottait au mieux pour sa suzeraine! Pour sûr qu'elle allait aller matter cela en premier!

Oh Baronne! Je suis certain que vous avez hâte de voir l'oriflamme que je me suis fais faire ici lieux pour afficher nos couleurs! Croyez-moi, les trois étoiles en l'Azur et l'Ai...

Les yeux du Gambiani tombèrent sur son "nouvel" oriflamme...




Une Salamande?!!!! M'enfin! Norf!!! Foutue Conneries! Mangeur de moulles! Espèce de maraud portant l'turban! Truite sans pudeur! NORF!!!!

C'est qui l'basin qui est venu me shipper un oriflamme aussi laid!!!! Norf!!!! Êtes tous jaloux du miens!!!

Jaloux!!!

M'enfin! Que l'on me redonne mon oriflamme ou je vous en coupe une et vous pend par l'autre si j'vous trouve!!!


Il filla droit dans sa tente allant chercher son bouclier portant ses couleurs et dans un regard furieux regarda Kathy-Kathe et Johanara lui disant de ne pas en rajouter!
_________________
Kilia
Regard amusé vers son petit dernier, elle se demanda un instant si ce que voulait dire cette grimace. Elle sourit et regarda vers le Vicomte de Montrésor.


Un endroit plus calme et moins fréquenter? Et bien pour une fois qu'il y a une fête et du monde on va pas gâcher notre plaisir.

Kildéric je te présente le Vicomte de Montrésor, c'est un ami. Il est venu combattre, avec ses amis, durant la guerre contre les Poit... enfin contre les envahisseurs des marrais. Assis toi et restes prendre un verre avec nous.?
Mariealice


En retard ou en avance... Aucune idée à vrai dire.

Depuis quelques jours, Marie avait la tête ailleurs. Trop d'évènements, trop de choses à gérer alors qu'elle ne pouvait rien faire à part attendre, rager, se sentir impuissante. Colère, Culpabilité. Inquiétude. Epuisement.

Et alors qu'elle se disait qu'elle allait finir par devenir folle, elle avait soudain l'impression de l'être devenue mais pour une toute autre raison.

Un regard semblait la suivre où qu'elle aille, une présence.

Un voyage en coche pour une fois, avec une cape tachée de vin pour la protéger du froid, calée dans un coin, observant sans le voir le paysage qui défilait.

Puis l'Anjou, qu'elle avait quitté il n'y avait pas si longtemps. Trouver le campement, tente montée et installation faite. Pour l'instant se reposer quelque peu avant de musarder dans le village de toiles.

Elle ne doutait, au vu de la taille du campement, de trouver du monde de connaissance en dehors du cortége.

_________________
Legueux
[Ben quoi ? oui on est en retard, et c'est pas de not'faute promis On a un mot.]

Enfin, ils arrivaient, c'était pas trop tôt.

Le campement semblait joyeux, limite viande saoule par endroit dirait on, bref un campement décontracté. Ca allait le changer. Enfin un peu de décontraction après les évènements qu'ils avaient vécu.

Il pénétra dans le camp. Chipa au passage un cruchon à une servante dont les yeux et la bouche s'arrondirent, bouche qui se referma sans rien dire et yeux qui marquèrent un peu la mauvaise humeur mais sans plus quand elle vit le regard souriant du noble qui semblait signifier "Madame désire une bastonnade peut être ?". Le noble en question continua son chemin, suivi de son équipage, cherchant des yeux entre deux gorgées.

D'aucuns jouaient avec les oriflammes, d'autres papotaient. Certaines têtes connues d'autres non.

Au bout d'un moment il lacha entre ses dents :
Macarel de macarel, pas de Languedociens ici...

c'est à ce moment qu'il reconnut l'olivier vaunageol et... Fach de... la fouine vivaraise !

Avec un sourire, il fit signe à son épouse, lui montrant les deux fanions.
Il donna les ordres de monter le campement portant bien haut la bannière d'Alaigne surmonté de l'étentard d'argent aux lettres d'Or formant le Cry de Sa Majesté.




Pendant que les sbires commençaient à oeuvrer pour leur faire un nid douillet, il rejoint son épouse pour prendre un moment avec elle.

_________________

Le grand père était un aigle, le fils un faucon, le petit fils, un vrai.
Vadikura
Yeux prenant l’allure de lanterne de voiture, joue écarlate, le duc s’amusait comme un petit fou.

Il se demanda si il ne fallait pas tenter le fameux chant d’Anjou : Qui ne saute pas, n’est pas angevin mais il abandonna l’idée, certain sourire figé de clients commençait à atteindre une partie encore consciente de la matiére grise qui lui servait de cerveau!

Le conformisme n’étant pas angevin, il continua sa démonstration. Après la hola de ses deux fans qu’il remercia d’un sourire, il reprit sa formule savante.


Nous avons maintenant une approximation des décibels des encouragements et….

Déséquilibre sur le tonneau, chute, salto arrière vrillé, réception parfaite, le voici debout et concluant la leçon par ses mots

Quand on joute, on ne pense pas sinon on se retrouve sur le cul !

MOUAHAHAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

_________________

Duc de Charney
Ficus 1er
Johanara
Galant , comme à l’accoutumée , son cher vassal leur fit fier accueil.
Enveloppant ses deux filleuls d’un regard tendre , Johanara pensait qu’un jour , elle aurait peut être l’heur d’assister à leurs épousailles.

Secouant ses longue anglaises flamboyantes pour chasser cette idée saugrenue bien que plaisante , elle suivit le Gambiani jusqu’à sa tente.

Et là! Stupeur!


Norf de norf! Qu’est-ce que…!? Un lézard orange! Sur mes terres de Lignières!

M’enfin! Des aigles , des lions mais certainement pas cet espèce de dragon rampant!

C’est une plaisanterie Valric?


Voyant son filleul médusé , elle se planta devant l’oriflamme les mains à ses hanches chaloupées et le contempla l’air dubitatif.

On vous aura joué un mauvais tour. Mais attendez …Là bas! Saint Hilaire sur Lignières!

Apercevant les couleurs du Castel de Plaix au loin , le sang de la Baronne ne fit qu’un tour!

On nous pille! Suivez fillot , il ne sera pas dit que nos couleurs seront portées par le premier basin enamouraché de votre poulet! Allons apprendre à ce drôle , que les armes de Lignières doivent rester en famille! Non mais!

Franchissant la distance qui les séparaient de la tente de l’imposteur , nos trois compères levèrent machinalement les yeux vers l’étendard du Gambiani qui voletait fièrement au gré du vent.

Nul doute c’est votre poulet!

Toi là! *s’adressant à un domestique* Fais mander ton seigneur!


Geste agacé et regard courroucé devant le bênet qui visiblement s’était perdu dans les méandres voluptueux de son corsage aux dentelles carminées. Resserrant sa fourrure contre sa gorge victorieuse , elle attendit que le fâcheux se montre.
_________________
Azurely
[A L'ENTREE DU CAMPEMENT]

De longs jours de marche , tant de terres et paysages inconnus traversés, Azureky, fille d'Anjou, découvrait enfin cette terre qui aurait du être sienne.
La vie le destin en avait décidé autre et elle ne connaissait de l'Anjou que les belles histoires que lui contaient sa famille.

C'est le cœur battant que la jeune fille aperçut l'entrée du camp, les oriflammes chatoyants, colorés, flottaient au vent comme une invite à la fête.
Son cœur lui arriva au bord des lèvres prenant conscience qu'elle allait rencontrer les prestigieux angevins, ceux que sa mère avait aimé et détesté à la fois mais auxquels elle pardonnait toujours ...

Se tournant vers son compagnon de voyage, elle afficha un sourire radieux, non feint, se rappelant la raison du voyage. Elle en piaffait intérieurement d'impatience, voir sa famille , enfin...
Elle en oublia la fatigue du voyage les doutes et d'un pas assuré entra dans le camp tenant la main de Wilou.

Son pas s'accéléra à la vue de l'oriflamme de Chasteau en Anjou sur la tente qui ne pouvait abriter que sa tante adorée, sa tatie Kilia.
Circulant entre les tentes, elle put aussi apercevoir d'autres oriflammes donc celui de la duchesse d'Anjou, sa presque sœur. Elle baissa les yeux, rougissante de honte se remémorant leur dernière rencontre . Un peu plus loin, les couleurs de son tendre frère Cosmik s'affirmaient ou encore celles de sa cousine de coeur comme sa mère lui disait, Myrtialla.

Toujours en marche vers la tente de sa duchesse de tante, elle cherchait des yeux les couleurs de Charnée. Elle ne les trouvait pas parmi toutes les couleurs, trop de couleurs ou trop d'angoisse. Elle refit au tour de regard lorsqu'elle aperçut .... la gigantesque pancarte de la taverne.
Si il existait un endroit pour retrouver sa famille au complet, ce ne pouvait être que cet endroit...

Coulant un regard à Wilou, restant silencieuse , trouvant qu'il n'était pas nécessaire de l'inquiéter outre mesure, elle prit la direction de cette tente ...


[DANS LA TENTE TAVERNE]

Entrant discrètement, trainant Wilou derrière elle, son cœur fit un bond ... Sa douce tante était là, Fitzounnette, son père ...

Son père à cheval sur un tonneau ????? Son père sons son meilleur jour, voilà qui arrangeait les affaires de la jeune fille ...

D'un pas, tout à coup bien plus assuré, elle rejoignit sa tante Kilia et d'une voix , peut être un peu trop joyeuse pour l'occasion ....

Bien le bonjour ma chère tante ...

Puis jeunesse oubliant convenances , lachant la main de wilou, elle se jette au cou de sa tante lui posant une grosse bise sur la joue ...

Je suis heureuse de te revoir ...

Reprenant esprit, les convenances, l'éducation stricte du couvent s'affirmant , elle se recula auprès de Wilou et le présenta ...

Ma tatie , je te présente Wilou , mon compagnon de voyage ...


Elle se tourna vers Wilou , le visage souriant .
_________________
Rosebudy
...""Tu as l'air d'être euh... fatiguée par le voyage, installons nous à une table un verre et un plat chaud vont te remettre d'aplomb."".....

Voyant la sollicitude de Kilia et surtout la tourte de boeuf aux lentilles arrivée entres ses mains, Rose ne voulu pas désobliger la duchesse, et avant de reprendre la parole, (humppff, on ne parle pas la bouche pleine, c'est bien connu ) mis tout ce qui lui restait de délicatesse en oeuvre pour manger avec grand plaisir ce met chaud et reconstituant.

Elle vit s'approcher un jeune gringalet qu'elle ne connaissait pas, mais qui, langage, tenue, et gestuelle ne pouvait provenir que du sang de la duchesse.


ohhhhhhhhh, mais comme il a grandit, comme il est mignon, ton fiston, kilia,


joignant le geste à la parole, Rose pinça les joues du presque jeune Homme entre ses doigts,

et en pleine santé, comme le montre ses joues bien fermes,

puis Rose éclata de rire en voyant la consternation se lire sur le visage encore poupin.

Ne te fâche pas, jeune bachelier, j'ai quelques manuscrits de médecine qui nous conseil de tâter les joues des enfançons pour voir s'il ne leur pousse pas déjà quelques pilosités, montrant par là que leur humeur est naturellement changeante, expliquant le courroux que tu montres à nous entendre nous divertir.
Va vite faire des pitreries de ton age dans le campement, et oublie un peu ta mère le temps des joutes,

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 12, 13, 14   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)