Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, ..., 12, 13, 14   >   >>

[RP-Joutes Angevine]Campement.

Felian
La Duchesse d'un mouvement rapide avait refourgué sa chope dans les mains de Felian, prenant celui-ci assez au dépourvu et le laissant dans l'incapacité de suivre la hola, peux imitée par les autres dans la sale en même temps ... Quelques secondes après, le visage souriant, elle avait repris sa chope des mains de Felian.

Merci Felian, j'espère que vous êtes tout deux bien installé dans le campement.


Eh bien Madame j'allais justement demander au Vi ... moment habituel où Felian imite une léger éternuement ... comte, pardon, ce qu'il était advenu de son tref qui n'est point monté ... Je voulais également lui montrer que j'étais arrivé avec son équipement dument astiqué par mes mains. Si sa ... euh ... vi-grandeur voulait bien m'indiquer ce que je devais faire par la suite.

Il se demandais si après avoir servi de page astiqueur d'armure, de muletier à cheval transporteur de la précédente armure, il devait servir également de Grand-échanson vicomtal et lui aller chercher de la bière ou s'il pouvait repartir courir la prétentaine et continuer de se vanter d'être l'écuyer du "très bon et très puissant" vicomte de Montrésor, ou quelque autre qualificatif qui l'eût glorifié lui, Felian, en même temps éventuellement que son maître.
Puis arriva un jeune jouvenceau qui regarda étrangement T'Charly et Felian.


Mère, je suis arrivé. J'espère vous retrouver dans un endroit plus calme et moins fréquenté.
Veuillez m'excuser si je vous ai coupé, je me ferai tout petit.


Il se mit en retrait, c'était le début d'une conversation entre nobles, la roture devait se mettre en retrait. Il se plaça derrière T'Charly et attendit qu'on le sonnât.

Ljd T'Charly mettra peut-être quelques jours à répondre, il est en retraite. Ça dépendra s'il a transmis un RP à quelqu'un qui le postera.

_________________
Felian,
Écuyer du Vicomte de Montrésor,
Soldat de la deuxième compagnie des dragons de Touraine,
Ambassadeur de Touraine auprès du Comté de Limousin et de La Marche
Wilou61
[ ENTREE DU CAMP ]

Anjou, ils étaient arrivés en Anjou, but de leur voyage. La route depuis le Béarn avait été longue, quoique Wilou aurait sans doute aimé que ce voyage dure encore un peu plus. L’euphorie du début du voyage avait été remplacée peu à peu par une inquiétude de ce qu’il allait découvrir, de ceux qu’il allait rencontrer. Il avait fait tout son possible pour le cacher à Azurely, mais c’est avec une boule au creux de l’estomac qu’il avait fini ce voyage.
Que de chemin parcouru depuis leur première rencontre à Mauléon ! La jeune fille qu’il avait rencontré et séduit s’était peu à peu dévoilée, et avait réussi à le convaincre de faire ce voyage avec elle. Wilou gardait toujours en tête ce sentiment de s’être fait un peu berné, Azur ayant attendu qu’il accepte de l’accompagner pour lui parler de ce qui l’attendait.

Et à présent, nulle chance de se dérober. Ils étaient arrivés à destination, à l’entrée du camp où des joutes auraient lieu. Au moment d’entrer dans le camp, Wilou eut un geste de recul, qu’Azur avait contrôlé comme bien souvent en le tirant par le bras. C’était la première fois qu’il voyait autant de faste réunis en un seul endroit. Les tentes qui s’alignaient devant lui auraient fait pâlir d’envie la tente du gouverneur de l’Ost Armagnacais, la plus somptueuse qu’il connaissait jusque là. Et puis toutes ses oriflammes alignées, comme autant de cartes de visite, l’impressionnaient également. C’est la première fois qu’il voyait autant de noblesse concentrée en un seul lieu. Pour une entrée en matière, Wilou avait l’impression de s’attaquer directement au plat de résistance. Sans doute aurait-il préféré rencontrer la famille d’Azur dans un lieu plus intime, pour s’habituer en douceur à la conduite à adopter. Azur avait bien essayé de lui indiquer les gestes et postures, avait bien essayé de lui indiquer quels étaient les membres de sa famille et leur lien de parenté, mais Wilou ne l’avait toujours écouté que d’une oreille distraite, et surtout ne parvenait pas à faire entrer toutes ces nouvelles informations dans sa tête. Il verrait au moment voulu pensait-il alors. Et à présent le moment voulu était arrivé, et il regrettait son inattention.

Wilou n’avait qu’une seule idée en tête, à part celle de trouver un moyen s’échapper, ne pas mettre Azur dans l’embarras. Aussi s’efforçait-il de masquer son étonnement que néanmoins ces yeux ébahis dévoilaient. Hésitant mille fois sur les gestes à avoir, se demandant s’il devait saluer ceux qu’ils croisaient, ayant peur de faire quelque bévue, il décida de calquer son comportement sur celui d’Azur, saluant d’un signe de tête ou d’un sourire lorsqu’elle le faisait. Toutefois il n’avait pas assez de ses 2 yeux pour observer tous les détails du camp. Il aurait voulu s’arrêter devant chaque tente pour en admirer le faste, pour étudier de plus prés les oriflammes, pour demander à Azur à quoi ils correspondaient. Mais il n’osait pas, se contentant de suivre Azur avec un air faussement sûr de lui, sans un mot. De toute façon il avait la gorge bien trop sèche pour parler. Mais pourquoi donc le Destin avait-il choisi de lui faire vivre pareille épreuve ? Cette fois c’était à Azur de se sentir à son aise, était-ce un juste retour des différents moments où les rôles étaient inversés ?

Plus ils pénétraient dans le camp, plus Wilou était anxieux. Il sentait la sueur couler dans son dos, malgré le froid piquant qui régnait en ce lieu. L’instant le plus important s’approchait inéluctablement, bientôt il serait en face du père d’Azur. Comment s’appelait-il déjà ? Comment fallait-il le saluer ? Sa main se crispa dans celle d’Azur. Lui avait-elle dit comment il devait l’appeler ? Il n’en avait aucun souvenir.

Pensée positive… vite une pensée positive ! …. Ah oui, un chat…je suis un chat… donc tout ira bien… sinon…. Je cours vite, non ?

A ce moment Azur se retourna vers lui et il lui sourit, espérant que son inquiétude ne se lise pas trop dans ce sourire.

Azur… quelle épreuve me fais-tu subir ? En as-tu la moindre idée ?

Wilou suivait Azur dans ce camp, sans se rendre vraiment compte du chemin parcouru, et il fut très surpris de voir le panneau au dessus de l'entrée de la tente dans laquelle ils s'engouffraient : "Tente Taverne".
Sa famille n'avait-elle pas de tente somptueuse avec un oriflamme ?


[DANS LA TENTE TAVERNE ]

Wilou était un habitué des tavernes, son lieu de prédilection, mais il n'avait jamais vu de taverne offrant un tel spectacle ! Tous ces nobles réunis en un seul endroit ! Par contre, lui qui s'était toujours imaginé les nobles comme des gens droits et dignes, quel ne fut pas son étonnement en voyant le spectacle d'un homme perché sur un tonneau. Surement un bouffon embauché pour l'occasion.
Perdu, complètement perdu, voila ce que ressentait Wilou. Sortir...vite...retourner en Armagnac, auprès de ces amis, là où il maitrisait ce qui se passait. Si Azur ne le tenait pas, sûr qu'il lui aurait déjà faussé compagnie.
Et voici que celle-ci, après un temps d'arrêt, repart en avant l'entrainant plus en avant dans cette taverne, au plus grand désarroi de Wilou. Non, la sortie, c'est de l'autre côté ! Et puis soulagement, la main d'Azur qui le lache, un espoir ? Mais déjà la voix de sa douce qui le présente à la dame qu'elle vient de rejoindre. Ma tante ? Wilou essaye de se rappeler... tante... qui est la tante d'Azur ? Ah oui...

Allez, courage ! Wilou se retourne vers la dame, exhibant son plus beau sourire et s'inclinant respectueusement :


Bien le bonjour Dame Kilia, je suis enchanté de rencontrer un membre de la famille de Damoiselle Azurely. Si ces dires sont vrais, et je n'en doute pas, vous êtes tout aussi charmante qu'elle et je me ferai un plaisir de partager un verre avec vous

Soulagement, Wilou est parvenu à surpasser son mal être et n'est pas mécontent de sa phrase. A croire que la simple présence d'une femme parvient à lui faire reprendre ses esprits. Et puis si tout allait bien, il serait bientôt le verre à la main, cela lui donnerait sans doute plus de prestance
_________________
Kilia
[ Toujours en taverne]

Sourire à son fils pour qu'il ne pique pas une colère par le geste de Rose, avec sa progéniture elle préfère prendre les devants. Elle attrape un verre sur un plateau qui passe et le donne à Kildéric.
Un regard vers Felian qui s'est sentit obligé de se mettre en retrait, et petite inquiétude vers le Vicomte, à cette heure sa tente n'est pas montée, et par ce froid ils n'allaient pas dormir dehors. Elle allait devoir s'enquérir tout à l'heure de cela, personne ne dormirait à la belle étoile cette nuit. Il y avait de quoi loger au Château, même si les festivités avaient donné envie à tous de s'installer au campement.

Son attention est détourné par le "Mouhaaa " de vad . Elle se lève et applaudit. Cet homme quel homme ! Elle ne l'aurait jamais cru aussi agile, son beau-frère l'étonnera toujours.

Bravo Vad, t'es le meilleur!!!

Elle profite du moment, sourire et joie de vivre...ça faisait longtemps.
Elle va pour s'asseoir avec Rose, lorsque c'est sa Zuzu qui apparaît, petit cri de surprise et de joie.
Ma Zuzu, C'est les grands bras ouverts qu'elle l'accueille et se fait bisouter. Qu'elle est belle, une vraie femme maintenant. Elle qui la considérait encore comme une petiote il n'y a pas si longtemps, elle la trouve ravisante.

Ma tatie , je te présente Wilou , mon compagnon de voyage ...

D'un geste machinal elle défroisse sa robe, faut être présentable devant les pièces rapportées.

Je suis heureuse que vous ayez pu venir jusqu'ici. Bienvenu en Anjou. Wilou! La table est grande, venez boire un verre avec nous.

Nayriagrimwald
Domaine de Cévillé

Branle bas de combat chez les Grimwald, le carrosse ne désemplit pas, et va finir par craquer sous les malles, l’heure tourne, les joutes vont débuter sans elle, quelle horreur ! La Dame au Faucon descend les marches principales du château observant d’un œil étonnée l’amoncèlement sur le carrosse noir frappé de l’écu au faucon.

Hum… Théo ! On aurait oublié de me signaler le déménagement du Clan ?!

Euh…Non Dame, mais vostre fille, et les affaires, les malles et puis aussi je… enfin…

Le jeune valet semble un peu perturbé et Nayria lui passe devant, trop de malle pour Yuna, ah ces filles alors, haussement d’épaule.

Sacrifie une malle elle verra ce qu’elle aura, nous sommes déjà en retard les affaires en Angers ne m’ont que trop retardé il nous faut partir Theodore !

Après cris de désapprobation et autre moue enfantine, le carrosse finit par partir, le faucon plane deja bien haut dans le ciel, Yuna semble mecontente mais Nayria, elle, aime voyager léger, un peu de chouchen, une jolie robe et ca ira bien, après tout elles ont passés tant de temps sur les routes cet été que cet enchevêtrement de malles ne doit être du qu’aux amourettes de sa cadette. Sourire amusée mais bien dissimulée de la Dame au Faucon, il ne faudra pas qu’elle croit que sa mère l’approuve, le devoir avant tout…


Arrivée au campement

Le cochet a su trouver le campement adéquate des étendards reconnus et trop connus flottent au loin, il lui faudrait trouver sa duchesse, Cheeky voir d’autres angevins, arriver un chouilla en retard déplait fortement à la Grimwald.
Cependant a cœur amoureux rien d’impossible surtout d’oublier des joutes auquel elle est censé assiter. Sortant de sa tendre rêverie Nayria pose les yeux sur sa fille, qui semble satisfaite, préférant se pincer les lèvres plutôt que dire une taquinerie, elle se tait. Le carrosse ballote, les fioles que transportent toujours les Grimwald tintent pour la dernière fois, et l’équipée sauvage arrive à destination et les hommes de Cévillé commencent déjà à s’atteler.


Il va nous falloir trouver occupation engeance… Le temps de l’installation nous n’allons pas rester ainsi à poireauter. Cependant je suis presque sure que tu as déjà une idée.

La titiller, lui faire dire, voila ce qui est le mieux, manipulation doux art diplomatique mais aussi maternel que Nayria sait usité à merveille.

Aurais-tu une envie particulière mon ange ?

Sa voix se fait douce, amadouer l’enfant un brin sauvage qu’elle mit au monde il y a dix sept ans n’est point chose aisé, car la bougresse ressemble bien trop a sa mère et connait ses travers. Remettant comme si de rien n’était les plis de sa longue robe cramoisie, mettant en valeur son teint d’opale, la Grimwald cherche à détecter la faille tout en faisant semblant de prêter attention à sa mise.
_________________
Yunagrimwald
[Sur les chemins]

Routes chaotiques, nids de poule, le coche tanguait mais résistait comme toujours...Nature endormie, la vie semblait suspendue en cet hiver froid, par contre à l'intérieur la température atteignait des sommets.
La cadette pestait et sa mauvaise humeur avait la conséquence de rendre le trajet beaucoup moins serein.

Pourquoi sa mère ne voulait pas comprendre que par des températures aussi basses nombre d'accessoires lui étaient indispensable pour sortir. Elle avait déjà consenti à laisser Bélial à Cévillé, si en plus la couleur de ses jupons dénotait avec celle de son col et pire du corsage...Bien que ce dernier n'est pas la moindre utilité la concernant.
Rare fois où elle se rendait aux joutes avec sa mère, évitant soigneusement ce genre de manifestation, mais le tumulte hormonal qui agissait comme un ouragan chez la jeune fille depuis quelque temps l'avait poussé à l'accompagner, les sautes d'humeur avec....


[Arrivée au campement]

[i]L'intempérie cesse aussi soudainement qu'elle est survenue, Yuna descend d'un bond du carrosse, ses yeux émeraudes contemplant le campement.
A présent un sourire radieux accroché à ses lèvres.
Entièrement vêtue de noir, quelques mèches de cheveux virevoltant devant son visage opalescent.
Haussement de sourcil étonné, la voix maternelle se fait mielleuse presque moqueuse...


Il va nous falloir trouver occupation engeance… Le temps de l’installation nous n’allons pas rester ainsi à poireauter. Cependant je suis presque sure que tu as déjà une idée.

Bien évidement qu'elle avait une idée...Toute la matinée à préparer les malles lui avait ouvert l'appétit ainsi qu'une appétence à savourer un verre d'une bonne cuvée au chaud ou du moins à l'abri.
Le mot taverne se mourut au coin de ses lèvres, alors que sa mère enchainait sournoisement efficace.


Aurais-tu une envie particulière mon ange ?

Haussement d'épaule irrité par le fin stratège, Yuna tira dans un caillou avec la pointe de sa chausse et tenta de prendre un air nonchalant.

Bah je sais pas moi...
Si nous allions un peu visiter le campement ?


Yuna prit le bras de sa mère un sourire innocent au coin des lèvres et l'entraina sur la gauche.
Elles se glissèrent entre les hommes attelés à l'ouvrage contournant les diverses malles, pans de tissus attendant d'être hissés poursuivant entre les tentes aux divers oriflammes. Elles finirent par longer la tente taverne . La minois surpris de la cadette se tourne vers celui de la matriarche qui feint aussi l'étonnement.


Oh Man' regardes !
Pourquoi n'irions nous pas boire un verre sous la chaleur de la tente taverne en attendant que la notre soit prête ?


Voix enjouée, sourire dévoilant une rangée de petites dents, Yuna regarde sa mère, comédie toute feinte qui amuse aussi bien la mère que la fille, la jeune brune précède sa mère est pénètre dans la tente taverne.
Kilderic
Dans la tente taverne

Fatigué du voyage, il n'avait même pas aperçu la dame à côté de sa mère et ce vicomte. Elle portait bien, avait une bonne allure, était assez grande. Il se dit que c'était encore une grande noble des environs de l'Anjou. Il lui fit un sourire avant qu'elle ne prenne la parole. On aurait dit une de ces mémés qui prennent de la sorte leurs petits enfants. Une petite moue sur son visage délicat se dessina, et ce jusqu'à qu'elle finisse, enfin. Il n'eût même pas le temps d'ouvrir la bouche pour parler, que sa mère lui fit un sourire. "Je lui en mettrait moi des manuscrits..." se dit il. Puis, un verre... Enfin. Il s'empressa de le prendre, puis en bue deux gorgées. Petit soupir, car le moment tant redouté arrivait... Le début de l'ennuie. Il s'étira d'un geste ample -faut bien entretenir le mythe-, et se décontracta. Il survola encore la taverne des yeux, puis, à sa grande surprise, un ange au milieu des hommes.

Elle était là, sans bouger, avec sa mère -bha oui, on peut pas tout avoir hein-, entrant comme une déesse dans la tente. Le jeune Penthièvre ne sachant que faire, s'empressa de se diriger avec une grande flaque d'eau transparente. Il regarda dans le reflet sa chevelure, remit dans la droiture quelques mèches rebelles et s'enleva une paille. Il tira sa chemise, des braies, et son mantel pour essayer d'enlever les plis. Il se frotta les mains, puis se dirigea vers elle.

[Edit: correction des grosses fautes.]
_________________
Mariealice
Après quelques repos pris et parce qu'elle commençait à tourner en rond, vu que Flaiche et les enfants ne l'accompagnaient pas, elle sortit de sa tente, chaudement emmitouflée sous la cape portant licorne sur le dos.

Elle était restée en tenue de voyage, même si en avait changé pour en mettre une propre. Braies, chemise et bottes, épée au côte et se promenait parmi les tentes. Comme d'habitude, moult blasons claquaient au vent, certains connus, d'autres aucunement.

Elle finit par arriver devant une d'où sortaient rires et bruits et s'y engouffra.

[Taverne]


Bonjour tout le monde.

_________________
Rampa
Le Chambellan de Bourgogne s'installa alors avec ses gens près du camp de son ami Ramon, ainsi un camp teutonique se formait.

Secondes joutes pour lui, les dernières avaient été trop rapide à son gout et durant tout le chemin il avait penser à sa position sur sa jument pour être des plus éfficaces. Hélas les routes d'Anjou étaient trop courtes pour pouvoir en réfléchir trop longuement.

Il sourit en voyant toutes ces armoiries mélangées par ces chenapants, il posa donc les siennes avec volonté.



_________________
Azurely
[DANS LA TENTE TAVERNE ]

Azurely fut attirée par un esclaffement emplissant la taverne , voix qu'elle reconnaissait entre toutes . L'angoisse se fit plus présente en la jeune femme qui la dissimula tant bien que mal, en s'installant à la table de sa tante remarquant la dame et le vicomte ...
Polie, elle les salua ...

Messire, madame , bien le bonjour ... je me présente Azurely, fille de ... nièce de la duchesse Kilia... Euh ... du coté de la fesse Chandos ...

Tournant le regard vers le rire tonitruant, la jeune fille pâlit, tentant malgré tout de se rassurer ... Son père est dans un bon jour, tout ira bien ...
Courte distraction avant de se retourner vers son compagnon , lui souriant pâlement et revint aux amis de sa tante et celle ci ...

Je vous présente Wilou , mon compagnon de voyage ... Nous venons du Béarn et je suis très heureuse de voir les belles terres d'Anjou ...

Azurely partait dans un long monologue pour cacher l'angoisse grandissante ... Le duc était inoccupé et risquait de la remarquer ... Agitée , se dandinant sur son tabouret, prenant discrètement la main de Wilou sous la table, elle ne fit que ce qui pouvait l'aider à oublier cette angoisse , elle cria ...

Tavernier !!!! Une tournée pour cette table ...

Regardant Wilou, elle se dit qu'eux deux en avaient bien besoin et tatie ne serait pas choquée que la nièce commande ...
_________________
Fabien74
[Tente-taverne, retour au sérieux]

Dans la tente-taverne l'ambiance était à son comble, les nouveaux arrivants commandaient pichet sur pichet, tournée sur tournée, et plus rarement, godet sur godet. Mais vraiment rarement. Pour l'heure, les joutes allaient bientôt débuter, et Fabien ne perdait pas son objectif de vue, c'est ainsi qu'il prit congé du groupe angevin. Il prît congé de cette tente festive et se dirigea vers la sortie. Noeline l'accompagna, il ne voulait point qu'elle resta seule; la route l'avait fatigué, et ces semaines à chevaucher avaient été plus qu'incommodantes. C'est ensemble qu'ils quittère la tente.
Déambulations dans le campement.


Mais! Où est donc notre tente? Mais...nous l'avions pourtant plantée ici... Mais, C'EST notre tente, ce sont nos chevaux...notre escuyer mais... Ce n'est assurément pas notre étendard qui flotte ici!



Mais... Qui est le malandrin qui a échangé notre étendard? Celui-ci est beaucoup moins...original. Je préfère notre "Salamandre de gueules"!

Il rit.
Puis en attendant de connaître fin mot de l'histoire, il planta, cette fois pour de bon, son deuxième étendard.




Puis il se mit à préparer son entrée prochaine sur la lice, avec l'aide du petit Dragonet.
_________________
Nayriagrimwald
Tente taverne

Mordait elle a l’hameçon ou était elle bonne comédienne, vu le sang qui coulait dans leurs veines, Nayria su que la comédie était joué a la perfection, ceci dit elle la suivit sans mot dire.


Oh Man' regardes !
Pourquoi n’irions-nous pas boire un verre sous la chaleur de la tente taverne en attendant que la notre soit prête ?


Une taverne évidement ! Pas cueillir des fleurs ou quoi, non, non une taverne... Je vous jure !

Puis tel un scintillement dans ses yeux elle eu une lueur de lucidité, ou seraient les angevins, ou serait le jeune homme ailleurs que dans la taverne. Décidant de lever le pan de tissu lourd qui bloquait l’entrée, la reyne mère comme l’avait surnommé un jour l’impudent, entra. Ses yeux s’habituèrent à la pénombre, et elle n’attendit que quelques instants avant de voir le jouvenceau venir vers elle.

Bien décidée à lui faire calmer ses ardeurs Nayria s’interposait entre les deux, cachant ainsi à la vue du Chandos-Penthièvre son engeance bien trop jolie. Un fin sourire apparut sur ses lèvres et son regard se porta non pas sur Kilderic mais sur Killia sa mère présente elle aussi.


Holà jeune homme ou te précipite tu ainsi ?!
_________________
Wilou61
[TENTE TAVERNE]

Wilou était satisfait de son entrée en matière, apparemment il avait évité la moindre bévue et il se voyait même très bien accueilli par Dame Kilia qui apparemment ne se formalisait pas de ne pas le connaître d’avantage.
Il soupira discrètement en prenant place à la table en souriant à la Dame et au Messire auprès d’eux. Ne sachant pas comment se présenter, n’ayant aucun titre à coller à son nom, il préféra garder le silence et s’inclina légèrement pour les saluer.

Le comportement de sa douce l'étonnait beaucoup. Elle gesticulait en tout sens, parlais sans cesse. Jamais il ne l’avait vu dans un tel état d’énervement auparavant. Il préféra mettre ce comportement au compte de l’excitation des retrouvailles.
Il commença alors à observer les gens autour de lui. Ca et là de petits groupes, des jeunes nobles, des plus âgés, des femmes splendides mais sans cesse son attention était attirée par les cris de l’homme qui venait de descendre du tonneau. Il s’étonna que personne ne s’émeuve du vacarme provoqué par le bouffon. Il en faisait trop à son avis, surement espérait-il gonfler son salaire en faisant le plus de bruit possible.

C’est alors que la voix d’Azur pris le dessus pour commander au tavernier. Décidément, celle-ci n’était pas dans son état habituel ! Mais quelle bonne idée, son estomac criait famine et la boisson l’aiderait à se décontracter. Il se penche alors et murmure à son oreille


Excellente idée mon cœur, j’ai grand besoin de quelques chopines.
_________________
Victorinne
[HRP] faites comme si j'avais pas posté
_________________
Kilderic
Le voila, s'approchant de plus en plus d'elles. Un tendre sourire commençait à se dessiner sur son visage. Il ne savait auparavant pas si elle allait venir, mais maintenant, elle était là... Autant en profiter!

Ce large sourire se transforma en moue quand sa mère se mit devant. La reyne mère, source de nombreux conflits, mais aussi source de nombreuses et longues discutions. Des jours, elle pouvait être "agréable" -oui le mot est fort-, mais d'autres fois, elle pouvait être bestiale. Comme quand le jeune Penthièvre décide d'aller la voir... Même un chien serait plus poli et amical. Heureusement, Kilderic n'a jamais eu sa langue dans sa poche, et il prenait un malin plaisir à la remballer.


Holà jeune homme ou te précipite tu ainsi ?!

Le jeune Penthièvre fit l'étonné. Il n'allait quand même pas laisser la Grimwald gâcher leur retrouvailles...

Moi? Mais où avez vous vu que je me précipite?
Fichtre, vous ne me connaissez pas!


Puis, alors qu'il vit Nayra regarder sa mère, il en profita pour se faufiler derrière elle et retrouver Yuna. Il lui fit un beau sourire, et approcha ses lèvres des siennes. Cela faisait maintenant une bon bout de temps qu'ils ne s'étaient pas vu, et le temps commençait à se faire long. Il l'embrassa pendant un court moment, de peur que la grande diablesse se retourne et ne lui en colle une.

Tu as pu venir, quelle joie de te revoir.

Ses paroles s'accompagnèrent d'un tendre sourire. "Quelle joie de la revoir" se disait-il au fond de lui-même.
_________________
Ramon
[TENTE TAVERNE]

Ramon arriva devant la tente dressée pour l'occasion et faisant office de taverne. Déjà de nombreuses voix se firent entendre au travers de l'épais tissu. S'avançant à l'intérieur, il salua tous les nobles gentilshommes et les gentes dames présentes.
Il regarda l'assistance cherchant quelques connaissances, il aperçu La duchesse Killia, il était toujours quelque peu troublé a chaque fois qu'il la rencontrais. Mais, ce devait d'aller lui présenter ses hommages.
Attendant le moment propice, Il se présenta donc, prenant la main de la duchesse pour lui faire un Baise main.

-Duchesse, je vous présente mes respects. Votre Beauté est toujours aussi troublante. Je pense que vous vous souvenez de moi et je suis heureux de pouvoir jouter dans se beau duché qu'est l'Anjou. Je tiens par votre personne à remercier grandement les angevins qui nous offre un accueil chaleureux, malgré les problèmes qu'ils ont traversé.

Il fit un petit sourire, puis se recula de quelques pas. Regardant l'assistance encore une fois.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, ..., 12, 13, 14   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)