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[RP-Joutes Angevine]Campement.

Rosebudy
Un pichet de vin à la main, qu'elle sirotait doucement, la baronne s'étonnait des réactions du jeune Penthievre,-
- moins réactif que son frére ainé, mais pas moins de caractere-

Elle avait vu juste question "humeurs" quand l'enfant se "précipita" l'œil brillant comme une pierre sertie sur une couronne, et la mèche ajustée très vite au devant d'une splendeur en devenir. -altière, fière, et l'allure pourtant sauvage , mais la moue encore tellement enfantine - Rose vit"" La Nayria"" suivre cette beauté juvénile, et la ressemblance ne pouvait tromper il y avait là du sang commun.

Ses pensées continuaient à tourner à toute vitesse dans sa tête et voyant l'heure tardive, elle se décida enfin à interrompre La Duchesse.


Kilia, j'ai une requête à t'adresser .


Je suis venue en Anjou si vite, à l'appel de Joffrey, que j'en ai laissé tout mon équipement mes voitures et mes gens loin derrière moi sur la route.

J'ai fini le trajet sur mon cheval, et je n'ai que lui pour les jours qui viennent, et quelques affaires dans mon havresac.

Peux tu m'offrir l'hospitalité le temps des joutes ?

Je ne voudrait pas gêner Joffrey et son tit poulet, dans leur campement, ils ont bien besoin d'un peu d'intimité. hummmm du moins, au milieu de tous ce monde, d'un peu moins de famille sur leur dos.

A moins que je trouve un coin dans une tente complaisante sur le campement, auquel cas tu seras aussitôt débarrassée de ma présence bien sure.

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Thomasdeclerel
[Le meilleur pour la fin ?]

Peu de temps avant le commencement des joutes angevines, le cortège ducal berrichon arriva enfin au campement des jouteurs.
La troupe avait fait un long et désagréable voyage depuis le Berry pour venir honorer de sa présence la terre d’Anjou qui il y a peu souillée par le sang.

Durant le voyage le Duc s’était demandé s’il y aurait quelques nobles angevins qui participeraient à ces joutes ou si les jouteurs seraient essentiellement composés de non angevins…au sortir de la guerre, après une telle débâcle, Thomas se disait qu’un noble angevin devait être soit mort, soit en train de se remettre de ses blessures….

La bannière du Berry portée haut vers le ciel, le cœur tourné vers le Berry et les pensées occupées à se demander s’il y avait une forte récompense pour le vainqueur de ces joutes, les berrichons pénètrent plus en avant dans le camp.
Le jeune Duc aperçus de nombreux nobles, qui semblaient souvent être de basse noblesse. En voyant tous ces hobereaux, Thomas pensa que seul l’espoir de décrocher une forte récompense avait pu tous les attirer.
Grimace du Duc qui se dit que s’il avait su, il serait venu plus tôt, et peut être même qu’il se serait entrainé un peu, afin de mettre toute les chances de son côté…mais surtout, il n’aurait pas prit pour destrier CV…

Le petit groupe trouva un espace libre, et les berrichons commencèrent à monter les tentes, sous le regard bienveillant et les ordres du Duc qui accompagnait ses hommes dans l’effort en croquant une pomme.

Une fois la pomme complètement avalée et le campement achevé, quelques bannières Berrichonnes furent disposées afin que par leurs beauté, elles illuminent le cœur de ceux qui passeraient devant elles.



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Chancelier de Berry et Duc de Dun-le-Roy.
Kilia
[ Tente taverne]

Discussions, sourire, rire, oeil sur sa nièce qui semble aussi nerveuse qu'un bougre qu'on emmène à la potence. Elle l'observe, suit son regard, et ressent la crispation d'Azurely lorsqu'il est dans la direction de son père. Elle a envie de lui chuchoter que tout va bien aller, qu'elle le trouve agréable son jeune prétendant. A propos des choses de l'amour, même si elle éduque ses nièces et ses fils avec sévérité (enfin ce qu'elle croit), elle sait au plus profond d’elle qu'une fois le coeur chaviré, les aînés ne peuvent pas faire grand chose. Elle a envie de la câliner sa Zuzu, mais ici cela ne se fait pas. Une chose est certaine, on allait pas le noyer dans un tonneau son prétendant. Quoique, ça faisait longtemps qu'on n'avait noyé personne pensa-t-elle. Un petit sourire en coin, elle s'empêche de rire à ces idées farfelues.

Elle boit tranquillement, savourant cette soirée. Elle regarde du coin de l'oeil son fils s'ajuster. S’arrête de boire net. Les yeux de la duchesse cherchent où va et surtout pour qui est destiné le sourire de Kildéric. Elle examine une à une les personnes se situant vers l’entrée. La demoiselle apparaît. Elle la considère le plus discrètement possible. La jeune fille est ravissante. La duchesse soupire. Inquiète pour son petit. Si les sentiments ne sont pas partagés son petit va en baver. Nonchalamment, elle pose sa chope, mais ne quitte pas la scène du regard. Mère protectrice qui se retient de dire ou faire quelque chose. Elle sait qu'une mère doit savoir s'effacer, mais que c'est difficile.

La demoiselle a un sourire à croquer. Pas étonnant que Kilderic marche si vite. Elle aurait bien aimé entendre ce que Nayira disait à son fils. Sûrement son consentement au vu du baiser échangé juste après. Le regard de Kilia croise celui de la mairesse d'Angers. Ne pas intervenir, mais quand même, ils se bécotent les deux jouvenceaux. Elle se lève d'un coup, s'excuse auprès de la tablée prétextant le besoin de saluer Nayra.

Mais à peine eut-elle fait deux pas qu'elle se trouve devant Ramon.
Elle cache son étonnement comme à chaque fois qu'elle le voit, mélange de sensations.



Mes salutations, Sieur Ordenmarschall, j’espère que votre séjour parmi nous sera agréable. Nous essayons d’oublier les désastres qui nous ont cloué au sol et de continuer à vivre et de profiter de cette vie.


Elle sourit à l’homme, et se retourne vers la tablée étant prête à lui offrir un verre mais déjà elle le voit regardant ailleurs. Elle rebrousse chemin et reprend sa place en oubliant quelques minutes Nayra, la damoiselle et Kildéric.

Kilia, j'ai une requête à t'adresser .

Je suis venue en Anjou si vite, à l'appel de Joffrey, que j'en ai laissé tout mon équipement mes voitures et mes gens loin derrière moi sur la route.

J'ai fini le trajet sur mon cheval, et je n'ai que lui pour les jours qui viennent, et quelques affaires dans mon havresac.

Peux-tu m'offrir l'hospitalité le temps des joutes ?

Je ne voudrais pas gêner Joffrey et son tit poulet, dans leur campement, ils ont bien besoin d'un peu d'intimité. hummmm du moins, au milieu de tous ce monde, d'un peu moins de famille sur leur dos.


Elle sourit à son amie.


Tu ne penses pas qu’en Anjou tu vas dormir dehors quand même ?
Bien évidemment que je vais t’héberger sous ma tente, tu vas voir, elle est très confortable. J’ai fait apporter une charrette de peau de mouton. Et puis maintenant, j’ai plus de mal avec le froid. J'ai des briques chauffées pour les pieds, un feu entretenu tout le temps, on va y être bien.
Quand on n’a pas d’homme pour réchauffer son lit, on a d’autres moyens.

Elle rit de ses propres bêtises, cela ne se fait pas mais aujourd’hui elle est joyeuse.
Je vais donner l’ordre de préparer ta couche, tu dois être fatiguée.

Fitzounette
[Tente Taverne]

Le cri de Vad la sortit de sa transe. Beaucoup de monde s'était entassé dans la petite tente et la chaleur humaine aidant, l'ambiance était devenue électrique.
La Duchesse était ivre, ronde comme un rond... Demain, elle aurait la tête des mauvais jours pour assister à la parade...
Et dans un éclair de lucidité, elle commenca à se frayer un passage vers la sortie.


Hum, pardon, excusez moi, hum, pardon pardon, tsss tss...
Hum excusez moi, poussez vous, poussez moi, excusez vous, houla !


Jouant des coudes et du popotin, elle tomba face à Dame Marie-Alice.

A Ma Dame, le bonsoir. Je m'appretais à rejoindre ma tente pour y passer la nuitée.
J'espère avoir le plaisir de vous recroiser demain pour la parade ?


Elle lui adressa une jolie révérence, parvint à ne pas tituber, et se faufila dehors. Elle noua autour de son cou gracile la petite étoffe qu'elle aurait du remettre à son champion, si elle avait recontré le beau noble digne de receuillir ses faveurs. Le froid la mordait avec avidité et elle sentait de petites aiguilles s'enfoncer sur chaque centimètre carré de peau nue.
Les gardes, trop occupés à bavasser et à picoler ne la virent pas s'éloigner. Et elle, ayant l'habitude de se déplacer librement, n'eut même pas le réflexe de les prévenir de son départ. Elle se mit donc à divaguer le long de l'allée menant à sa tente, à pas précautionneux, les pupilles dilatées de trop d'alcool et incapables de s'accomoder à l'obscurité. Quand enfin elle arriva devant sa tente, elle eut un hocquet de suprise. Ce n'était pas son étendard. S'était elle perdue ?
Certes, les buses ont un sens de l'orientation "légendaire", mais à ce point là...

Quand elle vit de petits fanions flottants aux quatres vents, un peu plus loin... D'azur aux trois fleurs de lys d'or, à la bordure cousue de gueules... La bordure semblait danser, des vagues l'animaient... Mais ses prunelles aussi se mouvaient au rythme de l'ivresse... Elle haussa les épaules, s'avança et chercha à tatons l'entrée de la tente Berrichonne, persuadée d'être chez elle...

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Otissette
[ Campement]

Otissette était en retard mais pour une fois elle n’était pas fautive de ce retard, elle avait attendu son mari des heures durant, lasse de l’attendre, elle se décida à rejoindre le campement sans lui.

La nuit était déjà tombé depuis un moment lorsqu’elle arriva, alors qu’on montait sa tente Tiss fit un tour, sur le campement. Elle aperçu au loin une silhouette titubant, elle cru reconnaître sa Duchesse mais n’en était point sure elle s’avança doucement pour vérifier s’il s’agissait de Fitz’.
Une fois plus près elle reconnu Fitzounette, Tiss ne put s’empêcher de grogner en la voyant bourrée, toute la journée elle l’avait cherché au conseil pendant qu’elle s’amusait, ah elle s’était bien gardé de dire a Tiss qu’elle partait s’amuser pendant qu’elle bossait comme une acharnée.
Elle avait bien envie d’aller râler un peu mais c’était peine perdu, Fitz ne comprendrait plus rien vu son état. Tiss allait s’en aller lorsque son regard croisa l’oriflamme planté devant la tente, elle fut surprise de voir que Fitz s’apprêtait à entrer dans la tente du Duc du Berry, elle était tenté d’aller prévenir la duchesse qu’elle se trompait de tente avant de se raviser en pensant que finalement Thomas l’y avait sans doute convié.
Une journée d'absence et la voilà qui avait certainement manqué beaucoup de choses, elle pesta de ne pas avoir quitté plus vite son bureau.

Otissette s’en retourna vers sa tente qui était désormais monté, il ne lui restait plus qu’à mettre la touche finale.


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Vadikura
Tente Taverne

Regard sombre à l’arrivée d’une de ses filles, le pédant l’accompagnant lui fit peu impression. Trop lisse à son gout, le conformisme de sa tenue en disait long…Mais peu importe l’habit ne fait pas le moine.

Regard de buse à la recherche de sa proie, il aperçut Rose, lui fit un signe de la main et sourire radieux apparut de nouveau sur son visage. Pincement de jalousie à la vue de Kilia parlant avec Ramon, sourire entendue au départ de sa fillotte Fitz et nouveau regard circulaire du chasseur, proie dans le viseur, la petite lumière rouge s’alluma et le signal FIRE (Force Intervention Rapide d’Engrossage) apparut dans les rouages de son cerveau.
Il ôta la sécurité et prit route vers la Chef du secrétariat d’état.


Oh, bonjour vous voila !

Puis je vous inviter ?


N’attendant pas la réponse et considérant déjà la taverne comme le bien de la familia, il claqua dans ses mains et d’une voix ne donnant pas envie d’aller à l’encontre de ses désirs

Que l’on tamise les lumières, que les musiciens jouent ce morceau propice aux rencontres et que nous puissions danser cette nouvelle danse venue des contrées anglaise !

Que le SLOW enchante notre soirée…

Dame Marie Alice, venez donc ! Je vous apprendrais le frotti frotta de cette danse !


Passant à proximité de sa fille Azureley, il lui fit clin d’œil et lui tint ce langage

Si le plumage est à la hauteur du ramage, enfin bref, amuses toi…. J’arrive !
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Duc de Charney
Ficus 1er
Nayriagrimwald
Moi? Mais où avez-vous vu que je me précipite?
Fichtre, vous ne me connaissez pas!


Non ca je ne vous connais pas il est certain, et vostre éducation devrait estre revue…

Ne préférant pas se retourner pour ne pas voir, elle laissa le coeur de pierre évoluer avec son nouveau prétendant, cela changera de l’autre malandrin se dit elle au moins celui là à une mère.
Long soupir puis elle se retourne enfin, l’observant de son regard de jais, n’aimant pas la façon dont il lui parle et préférant oublier son nom, elle préféra s’adresser a son engeance.


Tu as du travail mon ange… Il est loin d’être commode, et d’avoir du respect pour ses ainés, La Dame n’appréciera pas.

Sachant qu’elle avait compris, elle s’était résigné à rejoindre Killia, et les surveiller de loin cependant la voix de son valet se fit entendre dans son dos.

Maitresse, un pli urgent pour vostre personne, l’homme patiente prés de vostre tente.

Second soupir, Nayria ne se retourna pas alla vers Killia et salua elle et Rosebuddy.

Pardonnez moi les filles, je tenais à vous saluer avant de filer, j’espère vous revoir sous peu, cependant je me permets Killia de te les laisser sous responsabilité, vu le tempérament que peut avoir ton fils, il serait très très fâcheux qu’il se passe quoique ce soit. Sur ce je m’excuse une urgence.

Saluant les deux angevines elle fit volte face et retrouva le jeune couple, ignorant toujours Kilderic elle parla à sa fille.

Comporte-toi comme une Grimwald.

Sur ce et entrainant Theodore son valet dans son sillage la Dame au Faucon, ou dicte aussi La Reyne mère, s’éloigna vers a tente.

[Absence irl 48h je pallie donc ainsi]
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Mariealice
[Tente taverne - mais qu'est-ce que c'est encore que cela?]

Une Duchesse à l'allure un peu plus chaloupée que d'ordinaire et à l'haleine un brin chargée lui fait une révérence, l'invitant à la parade du lendemain avant de disparaitre.


Bonsoir Vostre Grasce. Parade... Euh oui j'y serai.


Regard sur les gens restant avant de se retrouver face au Secrétaire d'Etat angevin.

Bonjour Vadikura. Comment allez-vous?

M'invitez?

Pas le temps de répondre qu'il demandait à ce que les troubadours présents jouent un air venant de l'autre côté de la Manche dont elle ne retint pas le nom.

Et de se retrouver entrainer dans son sillage.


Frotti frotta? Serait-ce de l'angevin? Je ne me souviens point avoir entendu cela lors de mon passage à Saumur.

Froncement de nez, regard interrogateur tandis qu'une musique douce s'élevait dans les airs.

Comment cela se danse-t-il?


Une petite cloche était doucement entrain de résonner à son oreille. Encore une idée farfelue du Ficus?
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Tcharly
[TENTE TAVERNE]

Quelle cohue dans cette taverne, il y avait vraiment un monde fou. Le Vicomte s'était senti comme asphyxié par le bruit des discussions animées de la tente taverne. Ou alors était ce du à la bière qu'il venait tout juste de boire ? Lui qui arpentait ce Royaume depuis quelques temps avaient ils perdu toute résistance à l'alcool ou on avait tenté de l'empoisonner comme sa paranoïa aiguë aimait à lui souffler ?
Un mouvement de tête pour la secouer et il se rend compte que ce sont bien les effets de l'alcool, bien connu du noble tourangeau, qui se font ressentir. Et voilà qu'il reprenait le fil de la situation, essayant de ressituer chaque phrase dans leur contexte pour que bout à bout cela puisse donner naissance à une once de compréhension pour le Vicomte.
Il voit son écuyer, un peu en retrait, qui le regarde d'un air insistant. Lui avait bien gardé à l'esprit le problème assez problématique qu'était une tente à terre. Et ses armes et son cheval qui traînait dehors ? Le Vicomte fit grise mine.
Alors que Kilia proposait déjà une partie de sa tente à une noble angevine, T'Charly saisit l'opportunité pour relancer la discussion au sujet de sa nuit futur.


Hum... Raclage de gorge un peu forcé pour gagner son attention parmi toutes ces conversations. Un petit sourire lorsque l'attention de la duchesse se porte à nouveau sur lui et le voilà lancé. Excusez moi mon amie, je crois que la fatigue fait que la bière m'emporte plus vite que prévu... D'ailleurs mon écuyer dit vrai, mes bougres qui me servent de serviteurs n'ont pas réussi à monter ma tente, ils auraient "oublié" de prendre quelques éléments.

Baissant la tête d'un air honteux et malheureux, il continua.

Si vous pouviez m'avancer quelques piquets ou bouts de bois que mes gens puissent tailler avant la nuit, je vous en serais redevable. Je crois que la température extérieure ne se prête pas à une contemplation des étoiles malheureusement...

Décidément rien ne changeait pour T'Charly, première fois était toujours égal à premier faux pas... Et c'était sa première joute.
Azurely
[TOUJOURS DANS LA TENTE TAVERNE ]

Tabouret vacillant sous ses gesticulations, Azurely se calma quelque peu au son de la douce voix de son compagnon, croisant le regard rassurant de sa tatie aimée ...

Un serviteur posait les verres sur la table, sa tante revenue auprès d'eux, offrait hospitalité à dame Rose. Azurely allait aussi évoquer leur propre manque de logement mais déjà, sa tante fut de nouveau accaparée par un messire. La jeune fille ne s'en formalisa pas et attendit la disponibilité de sa tante, tournant son regard vers celui qui avait capturé son cœur.

Tous sourires pour cet homme, les lumières se tamisant, musique douce flottant comme par magie dans les airs, elle s'attendait pas à entendre son père lui murmurer à son oreille, accompagnant le tout d'un clin d'œil...

Si le plumage est à la hauteur du ramage, enfin bref, amuses toi….

Azurely leva la tête vers son père, un sourire heureux illuminant son visage qui trembla légèrement quand elle perçut ...

J’arrive !

Étrange phrase qui l'invitait à s'amuser ... Il était temps pour elle de laisser son angoisse de coté de profiter de son compagnon, lui serait toujours temps de savoir si le "j'arrive " ,par l'odeur alléchée, sentirait le fromage ...

Elle reporta son attention vers Wilou, le regard reflétant ses sentiments, levant son verre, elle trinqua avec Wilou, souriante ...

Bienvenu en Anjou, mon doux ... Que cette soirée nous soit douce ...
Wilou61
Les verres arrivaient et Wilou s'en réjouissait sauf que... du vin ! Pouah ! Rien ne vaut une bonne bière mais à défaut d'autre chose, il s'en contenterait. De tout façon il lui fallait de l'alcool pour se détendre.

Il fut surpris de voir le bouffon s'approcher et parler à sa douce. Il ne parvint pas à entendre les propos échangés mais trouvait cela très curieux. Pour qui se prenait donc ce gueux pour parler ainsi à sa douce Azur ?

Il allait intervenir, mais le bouffon repartait déjà au bras d'une belle Dame et Azur lui tendait son verre pour trinquer.


Bienvenu en Anjou, mon doux ... Que cette soirée nous soit douce ...


Le regard d'Azur fit emballer son coeur et fit disparaître toutes ces craintes. Comment faisait-elle pour arriver ainsi à le faire fondre seulement avec ses doux yeux. Wilou dû presque se retenir pour ne pas lui sauter au cou et déposer un tendre baiser sur ces lèvres. Il se dit que ce n'était peut-être pas une façon noble de se tenir à table, devant la vieille tante de son amour

Merci Damoiselle, elle ne pourra être que douce puisque tu es là. et il ajouta plus bas ta présence est si rassurrante, sans toi je ne serai surement pas ici

S'apercevant de l'évidence de ses dernières paroles - il est sûr que sans Azur il serait encore en Armagnac - il éclata de rire et but son verre d'une gorgée, recherchant du regard le deuxième qui rejoindrait le premier

Au fait Azur, que te voulais le bouffon à l'instant ? Il ne t'a pas manqué de respect j'espère !
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Sniper67150
[Tente du couple De Montmorency]

Les écuyers du couple venaient de finir de monter la tente, et commençaient déjà à l'aménager. Le lit de camp rentrait doucement, au dessu de la paille mise pour assècher l'endroit et du tapis.
Certains portaient les coffres à l'intérieur, alors qu'un écuyer s'affairait à faire tenir les blasons du couple sur un chevalet :




Peu de temps après, les armures arrivaient à la tente, elles venaient tout juste de Candée, et avaient étées briquées.

Snipy prit sa salade en main, et regarda son visage s'y reflèter.


Alors ma belle Rouquine, cette fois-ci nous gagnerons pour l'Anjou, pour une fois que nous joutons à domicile ?
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Yunagrimwald
[Tente Taverne]

Yuna s'était stoppée sur le seuil de la tente d'où émanait un brouhaha entre rires et paroles.
Il était là au milieu d'une multitude de personnes venues trouver refuge et se désaltérer en attendant le début des joutes, bien attifé, un peu plus jeune qu'elle mais ne manquait pas pour autant de charme .
Ses pupilles se mirent à pétiller et au creux de son ventre une nuée de papillons entamait un ballet qu'elle n'arrivait à contrôler, du moins jusqu'à ce qu'elle croise le regard de sa mère à lui et entende la voix de sa mère à elle qui s'interposa rapidement entre eux.

Levant les yeux au ciel, elle se demanda si l'épée d'amoclesse n'était réellement qu'une métaphore...quand son champs de vision revint à la normale, Kildéric avait réussi à se faufiler pour la rejoindre et l'embrasser. Le rose aux joues, Elle lui prit discrètement la main, la tenant cachée derrière les pans de jupons et lui murmura


J'suis contente que tu sois là !

Sourire naïf et plein d'innocence adressé à sa mère, elle savait très bien que peu importe le jeune homme ou l'homme qu'elle lui présenterait, il aurait toujours les pires défauts...Quant à la Dame, à côté Nayria était un ange tombé du ciel, d'autant que Yuna savait pertinemment qu'elle ne la reverrait pas de sitôt, la menace était donc mineure mais elle se montra docile et acquiesça sa mère avant qu'elle ne s'éloigne.

T'es arrivé y a longtemps ?
Tu vas bien ?
Alors c'est comment ?
T'as bu un verre déjà ?


Les mots sortaient de sa bouche sans même qu'elle n'ait le temps d'y réfléchir, une musique étrange s'élève dans la tente au même moment.
Bilichilde
[Sur la route]

Un coche bringuebalant, plus de la moitiée du royaume à traverser. Une femme, sans rien de particulier, emmitouflée dans une houppelande qui la sépare du froid pénétrant qui l'entoure. Une main blanche hors de la tiédeur fait des boucles d'une mèche de cheveux échappée du chignon.

En face d'elle se tient un vicomte. Pas franchement bel homme, non, disons... quelconque. Cependant, la jeune femme se plait de temps à autre à l'imaginer sans sa moustache. A bien y réfléchir, il pourrait parfaitement être élégant...

Quoiqu'il en soit, la conversation n'est pas follement passionnante... L'un, peut-être, s'inquiète pour sa première joute, quant à l'autre, elle est plongée si profond dans ses pensées que rien ne pourrait l'en tirer - à part, peut-être, le baiser d'un prince charmant, le même que celui de la Belle au Bois Dormant...

Des joutes... Elle n'y avait jamais assisté. Longuement entendu parler, oui, longuement entendu louer, surtout. Les yeux fermés, elle se demandait bien ce qu'elle allait pouvoir y trouver d'intéressant. Et pourquoi elle avait tant insisté pour accompagner le Lavergne. Certains se rendaient aux joutes pour se prouver qu'ils étaient les plus forts, d'autres pour approcher un peu plus la personne convoitée, d'autres encore pour se montrer... Mais elle ? Qu'était-elle venue y chercher ?

Le voyage, peut-être. L'envie de quitter le comté un moment, qui la taraudait depuis sa sortie du couvent, et qui avait été presque comblée avec cette imitation de voyage vers la Bourgogne. Ou alors, encore, cherchait-elle à le revoir. Se faire mal à nouveau. Ou peut-être, au contraire, se permettre de l'oublier en le revoyant une dernière fois. Ou peut-être un autre ? Qui sait ? Toutes ces envies inconscientes qui la poussaient à se rendre en Anjou, elle-même ne les connaissait pas. Il en restait peut-être une, peut-être...

Un cahot. Les yeux de la demoiselle s'ouvrent soudainement, et tombent sur son compagnon de voyage. Et sa moustache... Tout de même, il faudrait bien qu'il essaye de la raser, un jour. Forcément, il n'en serait que plus élégant. Peut-être même en serait-il agréable à regarder. Quoiqu'il en soit, elle était bien heureuse que son cocher, au moustachu, ne soit pas le suppot de saradanaple de la baronne de Lignières ! S'imaginer se retrouver projetée à nouveau contre l'iritant, et plusieurs fois pendant le voyage, la faisait frissonner.



[Quelques heures plus tard, à l'approche du campement]

Vot' magnifience... Nan ! Magifignence ! Nan, pas ça non plus... Vot' magicience ! Euh... Nan, ça reviendra pas, hein. Trouve aut' chose mon gars, va bien falloir qu'tu lui dise où qu'on est hein !

A l'avant du coche, l'animation est toute autre. Depuis quelques minutes, déjà, que de nombreuses tentes sont en vue et que le cocher marmonne entre ses dents. Pas très vif, comme gars, mais le vicomte n'avait guère le choix que de se contenter de celui-là. Au moins avait-il l'avantage de ne pas être porté sur la boisson.

Allez, zou, faut y aller, au bout d'un temps, y va s'demander pourquoi qu'on bouge pu, sinon. A moins qu'il soit trop occupé pour s'en rend' compte ?

Sourire fugace sur le visage du cocher. Car oui, une qualité n'en valant pas une autre, la perversité remplaçait chez lui l'ivrognerie.

Mais les trois coups qu'il frappa contre la paroi n'eurent pour seul effet celui de réveiller Bilichilde.


M'sieur le vicomte ! On arrive ! Quoi que j'fais ?
Kilia
Pardonnez moi les filles, je tenais à vous saluer avant de filer, j’espère vous revoir sous peu, cependant je me permets Killia de te les laisser sous responsabilité, vu le tempérament que peut avoir ton fils, il serait très très fâcheux qu’il se passe quoique ce soit. Sur ce je m’excuse une urgence.


Elle regarde Nayra, et ne peut s'empêcher de faire une petite moue.
Dommage que tu soies obligée de partir, mais c'est vrai qu'on a du travail dans les mairies.
Ne t'inquiètes pas Nayra je vais les surveiller.


Se retournant vers TCharly.

Je vais de ce pas demander à ce qu'on vous donne tout ce dont vous avez besoin, et sinon mon fils Kilderic à une tente pour lui seul, je suis certaine qu'il pourra vous accueillir dans la sienne.

Petit éclaire de lucidité, avec quelqu'un dans sa tente son petiot ne fera pas de bêtise.

En plus la tente de Kildéric est montée. Vous y serez bien, il se fait tard et monter une tente à cet heure est compliqué.
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