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[RP-Joutes Angevine]Campement.

Azurely
Azurely observait son doux à loisir, bien apprêtée à "s'amuser" sur le conseil paternel.

La phrase énonçant évidence, ne trompa pas la jeune fille. Il devait se sentir bien mal à l'aise , son rire confirma ses doutes et la vitesse à laquelle Wilou engloutit le contenu de son verre, arracha un sourire attendri à Azurely.

Elle était bien consciente de l'épreuve qu'elle obligeait Wilou à affronter, lui paysan tranquille côtoyant des nobles, tous inconnus pour le jeune homme.
Elle serra sa main qu'elle n'avait lâché tout ce temps, pour le rassurer, lui sourit tendrement portant son verre à ses lèvres, buvant doucement sans le quitter des yeux ... Elle faillit s'étrangler en l'entendant ...


Au fait Azur, que te voulais le bouffon à l'instant ? Il ne t'a pas manqué de respect j'espère !

Elle toussota puis éclata de rire, espérant ne pas vexer Wilou. Elle ne savait comment trouver les mots pour lui dire , ne voulant pas qu'il se sente encore plus mal à l'aise devant sa bévue, aussi trouva t-elle jolie parade qui lui ferait oublier ce qu'elle allait lui annoncer ...

Euh ...Comment te dire cela ... le bouffon est ... mon père, le duc de Charnée ... et il souhaite que l'on amuse ...

A peine sa phrase finie, elle posa un doux baiser sur sa joue , plus près de ses lèvres que la bienséance autorisait , priant que les aînés n'aient rien vu ...
Kilderic
Sans même qu'elle se retourne, elle se dirigea vers sa mère. Puis, elle revint. Drôle de personnage... Il ne savait pas trop comment interpréter ces va-et-viens: des incantations de sorcellerie, une forme avancée d'intimidation, un rituel Grimwald, ou alors avait-elle simplement trop mal aux jambes pour rester en place? Mystère... Il ne le sera surement jamais...

Trêve de plaisanterie, Yuna lui prit la main. Elle avait sur ses joues cette petite couleur rose; celle de l'amour... Quand il vit cela, il se mit à sourire tendrement. Puis, quelques mots... Sa voix raisonnait en lui, comme s'il était emporté. Sensation étrange qu'est celle-ci, mais en même temps si douce... Il resta une seconde la tête un peu penchée sur le côté, un sourire passif aux lèvres, à la regarder. Puis un bruit. Le fracas d'un verre par terre, brisé en mille morceaux. Le jeune Penthièvre fit un brusque sursaut, puis cligna des yeux. Retour à la raison... La transe était passée, pour le laisser là, juste avec elle, dans la taverne. Puis une multitude de question, enchainées les unes après les autres, à la suite, sans que la jeune Angevine ne s'arrête un instant pour reprendre sa respiration.


Bha... Euh... Je vais bien oui, ici, c'est pas trop mal, même plutôt bien.
Chui arrivé il y a 3 ou 4 heures maintenant, et je n'ai eu qu'une bière... Pauvre de moi...


Petit rire malicieux envers sa tendre. Mais bientôt, quelque chose allait perturber ce moment de tranquillité: sa mère.

Je vais de ce pas demander à ce qu'on vous donne tout ce dont vous avez besoin, et sinon mon fils Kilderic à une tente pour lui seul, je suis certaine qu'il pourra vous accueillir dans la sienne.

Sans même réfléchit, il tourna d'un geste brusque son buste, ses épaules, et sa tête. Il les tourna tellement vite que tout s'est mis à craquer d'un coup. Face à ce bruit très étrange, il fait une tête apeurée. Pour finir, il tourna aussi les talons, et entraina doucement Yuna par la main pour ne pas la laisser toute seule derrière. Il fronça les sourcils envers sa mère, et surtout envers ce qu'elle venait de dire. Il allait ouvrir la bouche quand elle continua. Petit grognement qui va bien, il tapa un peu du pied pour attirer le regard de sa mère. Quand celle-ci eut enfin compris le message, il leva les sourcils bien haut et fit un non de la tête. Puis, prudent, il s'arrêta en cas que l'homme à côté le regarde.
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Wilou61
Douceur du contact de la main d'Azur sur la sienne, réconfort de sentir le fluide alcooleux s'épandre en lui. Wilou avait enfin trouvé ce qu'il cherchait et sa main allait à la rencontre d'un second vers quand la voix d'Azur lui chatouilla les oreilles

Euh ...Comment te dire cela ... le bouffon est ... mon père, le duc de Charnée ... et il souhaite que l'on amuse ...

Sa main resta en suspend sur la route vers le verre plein et se met à trembler sous l'effet de la surprise. En même temps ces yeux s'arrondissent et son sourire s'efface. Sa bouche s'ouvre pour prononcer une parole mais rien ne sort. C'est à peine s'il prend conscience de la présence des lèvres de sa douce sur sa peau.
Comment est-ce possible ! Cet homme, le père de sa bien aimée ? Il s'attendait à un homme imposant, droit et digne et il avait en face de lui un homme ivre, sans bonnes manières et... aimant s'amuser. Après tout c'était surement mieux ainsi, Wilou avait plus l'habitude de parler avec les piliers de taverne qu'avec les nobles se prenant au sérieux.
Enfin un son parvint à sortir de sa bouche et Wilou éclata de rire à gorge déployée et le second verre rejoint le premier à la même vitesse. Son regard se porte alors sur l'homme, puis sur Azur, puis de nouveau sur l'homme.


Lui, cet homme ton père ! Mais il n'est pas du tout comme je l'imaginais, comme tu me l'as décrit... Je.... je

Une nouvelle crise de rire empêcha Wilou de continuer sa phrase et un troisième verre vint rejoindre ses camarades. Wilou le reposa bruyamment sur la table et s'essuyant la bouche du revers de la main

Aaaah, ça va bien mieux à présent... ça se danse comment ça ? Encore un verre et je t'invite sur la piste de danse, d'accord ?

Et Wilou de chercher du regard le frère des 3 autres.. 3 c'est pas équilibré.. l'en faut un 4ème
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Armoria
Quelque part dans le campement, au hasard des rencontres

Ventre de nouveau sanglé de bandages, tête bien haute et dos bien droit, c'était un plaisir de chevaucher de nouveau sans avoir à songer aux conséquences. Oh, pas encore de folles galopades, non... Mais le doux balancement du cheval au pas, les muscles de la bête roulant sous les jambes de la cavalière, c'était déjà beaucoup... En guise de folle cavalcade, celle suite à l'attaque du Roy et celle de son enlèvement avaient suffi. Pas de lien particulier avec sa monture : elle n'en avait pas retrouvé qui arrivât à la cheville - ou plutôt au boulet - de 421. Et puis, elle allait sous peu en gagner un, de cheval : le prix d'une chasse que le prédateur allait perdre...

Elle ne cherchait personne en particulier, le regard plus ou moins dans le vague, avec comme une impression de déjà-vu. Enfin, au moins ces tentes-là, ces bannières et oriflammes ne parlaient-elles pas de guerre. Là aussi, c'était déjà beaucoup.

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[Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique]
Vadikura
[la tente taverne toujours]


Il entraina Marie Alice par la main et s’arrêtant dans un endroit dégagé possédant parquet lustré par des glissements de multitude de chausses et de bottes auquel on aurait pu donner le doux nom de piste de danses. ou un heaume de fer blanc en forme de sphère accroché au plafond et tournant sur lui même projeté les scintillements des lanternes et bougies brulant de ci et de la.
Vadikura saisit la première secrétaire d’état par la taille et murmura

Il serait trop long de vous expliquer ce qu’est le frotti frotta à l’angevine. Laissez vous guider et vous comprendrez de vous même.

Dans le même temps, il se colla à elle et commença a tourner lentement au rythme de la mélodie et se dit que c’était le moment de lancer la phrase magique transmise de génération en génération dans le milieu mal.

Vos yeux sont si purs que je me noierai dedans si je soutenais votre regard mais au fait vous habitez toujours chez vos parents ?
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Duc de Charney
Ficus 1er
Mariealice
[la tente taverne - mékékidi?????]

Marie suivit donc Vadikura, se trouvant alors sur un plancher brillant et visiblement glissant.

Marchant avec précaution, la PSE était désormais tenue par la taille par le Duc angevin, collée à lui sans crier gare et s'entendant dire qu'il n'avait pas le temps de lui expliquer mais qu'elle allait comprendre.

Et pour finir sur une phrase qui lui fit hausser un sourcil.


Je doute que ce soit mon regard dans lequel vous voulez vous noyer Vadikura et non je n'habite plus chez mes parents depuis très longtemps.

Comment dites-vous que cette danse s'appelle?


Bizarre cette danse d'ailleurs. Tout comme elle trouvait étrange la façon dont son Secrétaire d'Etat la regardait.

Tout comme ce truc qui tournait en l'air. Quelle diablerie était donc à l'oeuvre.

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Gustavev
[TENTE TAVERNE]

Gustavev avait accompagné son ami Ramon Seigneur de Bon en Chablais jusqu'à l'intérieur de la taverne se sentant pas a sa place au milieu de tout ces nobles l'écuyer de Ramon avait préféré s'éloigner et s'installa a une table seul attendant que le Baron Ramon finisse les salutations a ses amis et connaissances
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Thomasdeclerel
Le jeune Duc était assis et lisait le livre des vertus lorsqu’il entendit des pas qui venaient vers sa tente, levant le nez de son livre, il distingua une forme entrer. Norf de norf, se dit-il, j’avais pourtant demandé à ne pas être dérangé…

Fixant la silhouette Thomas distingua celle d’une jeune femme et grommela :
Non, non et non, je n’ai pas besoin des services d’une catin …Le Duc pensa que c’était une de ces malheureuses qui venaient vendre leurs faveurs lors des tournois, et qui finissaient la nuit dans un fossé avec un écuyer pour y gagner 3 sous…

Il se leva, et s’avança vers elle, d’abord un sourire moqueur aux lèvres, puis son visage afficha sa surprise en voyant qu’elle était parée d’une bien jolie robe pour une catin et enfin il blêmit en voyant que c’était…norf… la Duchesse d’Anjou…

Mi gêné, mi indisposé par l’odeur d’alcool qu’elle dégageait, et par les mauvais souvenirs que Thomas gardait de Fitzounette bourrée, le berrichon dit :
Bonjour jeune fille, tu es perdu ou tu viens abuser de… mon hospitalité ?
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Chancelier de Berry et Duc de Dun-le-Roy.
Fitzounette
[Dans la tente Berrichonne]

Après s'être débattue un certain temps avec les lourds pans de tissu constituant l'entrée de la tente, la pucelle parvint enfin à y entrer. A peine se redressait elle qu'une voix masculine tonnait. Un long frisson d'adrénaline lui parcourut l'échine jusqu'à lui faire dresser les cheveux sur la tête. Un peu terrorisée, elle ouvrit de grands yeux sur celui qui se tenait face à elle. Thomas... La stupéfaction s’empara de ses traits quand il la traita de vulgaire catin...
Puis la consternation quand il la reconnut enfin et fit une moue de dégoût.
Elle se décomposa, se liquéfia littéralement de honte, de déception, et de tristesse.
Elle avait dessaoulé d’un coup et réalisait avec effroi le déshonneur qui s’abattrait sur son nom si on la trouvait là, sous la tente du Duc, totalement ivre, tandis que celui-ci lui demandait si elle venait abuser « de… son hospitalité ».
Elle baissa la tête, et dans un murmure souffla, le vouvoyant ce qui n'était pas du tout l'usage depuis qu'ils se connaissaient :


Ce n’est pas ce que vous croyez, pardonnez moi si je vous ai indisposé, il ne s’agit là que d’une méprise.

Puis elle lui tourna le dos, et se dirigea vers la sortie, tremblante. Elle s'imagineait déjà le lendemain dans la tribune d'honneur, dévisagée par les vulgaires pécores de palefreniers, raillée et roulée dans la boue, sa réputation à jamais entachée...

[Tente Ducale]

Des plaintes, des pleurs. Voici le bruit inquiétant qui s’échappait de la tente ducale. La môme cauchemardait, ses angoisses suintaient par tous les pores de sa peau. Peu de gens la connaissaient ainsi, noire et rongée par la peur, le désarroi, la peine.

Comme tout les Angevins, elle n’était que sourires, drôleries, défis fantasques, et beuveries orgiaques. Mais derrière ces masques que tous portaient, par pudeur, par fierté, se dissimulaient des esprits torturés, tourmentés. Derrière cette rébellion et cette insoumission, n’y avait t’il point de colère, de rage, de haine parfois ?

Elle avait vu sa première guerre à l’âge de cinq ans à peine. Elle avait eu le goût du sang, la vision des corps déchiquetés, fuis de toute vie. Elle avait même achevé… Quelle était donc cette destinée, celle que d’être née dans un peuple guerrier, et d’en refléter l’avenir ? Etrange et cruelle vocation que celle de porter un peuple différent et mal aimé.

Combien manquaient à l’appel aujourd’hui ? Trop, beaucoup trop…
Et elle se mit à murmurer une étrange contine, agitée et transpirante, ne parvenant pas à échapper aux ténèbres de ses chimères.


Citation:
Je me réveille et plane sur mes rêves
Les cadavres debout de mes amis d'enfance
Et je me réveille dans l'éther acide de la mort
Qui ronge ma peau, mon moral
On y passera tous
Les petits lutins de ma mémoire
Mes compagnons d'histoire
Qui me dira pourquoi.

Étions-nous si méchants
Qu'on doive le payer si chèrement
Étions-nous vraiment de trop
Que cette vie nous efface si tôt

Qui a choisi pour nous
De nous mettre tous dans le même trou
Tous avant l'heure
Et chaque matin je me réveille
Avec dans la sueur
De ma nuit froide et pénétrante
Le cadavre de l'enfant que je fus hier
Encore naïf et romantique

A croire encore que la mort est un jeu
A croire encore que je suis la plus forte!

Mais Meroot et Patity dansent
Le tango désarticulés dans la tourmente
Pantins de glace, miroirs de mon destin.


Edit pour complément...

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Tcharly
[Toujours dans la Tente Taverne]



Je vais de ce pas demander à ce qu'on vous donne tout ce dont vous avez besoin, et sinon mon fils Kilderic à une tente pour lui seul, je suis certaine qu'il pourra vous accueillir dans la sienne.

En plus la tente de Kildéric est montée. Vous y serez bien, il se fait tard et monter une tente à cet heure est compliqué.




Ne regardant pas le jeune homme qui s'agitait au côté de sa mère, le Vicomte réfléchit à la proposition de son amie. D'un côté il pouvait avoir le matériel nécessaire pour sa tente mais pas forcément le personnel qualifié pour la monter, ils avaient déjà échoué une fois.
Et de l'autre la tente du jeune fils de la duchesse. Il avait beau avoir une bouille sympathique, il sentait une tension certaine entre le fils et sa mère même en ayant loupé toutes les interventions du jeune homme. Par contre la tente était montée et ça n'était pas pour lui déplaire. Pensant qu'il était de bon ton qu'un jeune homme obéisse à sa mère, il se tourna vers le jeune pour faire sa demande, plus par politesse que par nécessité.


Tout jeune messire, auriez vous la bonté d'accueillir un de vos voisins tourangeau dans votre tente ? Et si vous pouviez prévoir une paillasse pour son jeune écuyer, je vous en serais très reconnaissant.

Un beau sourire au jeune Kidéric, le vicomte pensait que l'affaire était pliée : lui bien au chaud et ses gens incompétents, dehors à se peler les miches.
Kilia
Un regard vers son fils, il en serait ainsi. De toute façon elle ne voyait aucune autre solution et elle avait envie de se rentrer.

Mais évidement Kildéric est d'accord, il n'est pas angevin pour rien, nous ne laisserons personne dehors!

Regard assassin vers son fils.

N'est-ce-pas Kildéric?
Vadikura
[Tente Taverne ...Hé hé, c'est moi qui la colle la premiére secrétaire d'état]






La lune par sa position indiquait sur le cadran lunaire qu'il était tard, le duc reprit esprit.
Les affaires de la familia l’appelaient.


Dame, votre parfum n’enivre, je dois m’en éloigner avant de succomber mais n'avez vous pas l'envie d'initier d'autes personnes à cette danse que l’on appelle SLOW

Il la salua et chercha du regard le tavernier, l’ayant aperçu il se dirigea vers lui, l’attrapa par la peau du cou.

A te voila Maraud, tu ne m’as point pris au sérieux tout à l’heure, il est temps de faire les comptes maintenant, et ne te plains pas, j’ai lancé ton affaire !

Se souvenant des paroles ironiques du départ et l’alcool aidant, la petite aiguille arriva rapidement dans la zone rouge signifiant danger pétage de plomb proche.

La colère faisant accéder l’adrénaline a une vitesse effarante au cerveau, ses forces en furent décuplées et le tavernier fit un vol plané le projetant plein sur le poteau central en le brisant net.

Vadikura suivit son projectile en criant, façon angevine


TOUNGAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
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Duc de Charney
Ficus 1er
Kilia
Un Mot, un cri, que dire LE Cri qui avait bercé toute sa vie. D'un seul homme, enfin d'une seule femme, enfin elle ne put s'empêcher de répondre à l'appelle rituel, plus fort que "tous pour un , un pour tous".
Elle ne sait pas ce qui s'est passé mais ce cri réveille en elle la buse qu'elle est. Un des sien à lancé la trans.
Elle se retourne d'un bond et court vers le centre de la tente. Plus personne n'existe.

TOUNGAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!


Le regard de Vad montre la cible elle saute sur lui à terre. Mais à peine eut-elle le temps de l'attraper toute dent dehors, qu'un craquement peu encourageant la fait revenir à elle.
Le Poteau central de la tente bisé, se déchiquette et penche d'une façon dangereuse...sur sa tête!!!!

Elle hurle.

TOUT LE MONDE DEHORS, LES NOBLES ET LES TONNEAUX D'ABORD!!!!

Elle se relève piétinant le tavernier, cherche la sortie. Pas de panique, enfin si courage fuyons.

Fitzounette
[Du fin fond de ses rêveries funèbres]

Elle erre, quand... Instinct de buse, sixième sens, l'appel de la meute, insistant. Elle se redresse sur sa couche d'un seul coup en hurlant :

TOUNGAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!

Les yeux exhorbités, elle tente d'entrevoir la cible. Rien ni personne, elle est seule, à part la grosse Bertille à qui elle vient de faire la frayeur de sa vie.

Quand un énorme craquement se fait entendre au coeur du campement. Elle se lève d'un seul bond, enfile sa cape sur sa chemise de nuit, et sort, pieds nus et tignasse en bataille sur le pas de sa tente.

La tente taverne, que l'on reconnait, puisque plus imposante que les autres, semble trembler. Elle blémit. Mais qu'est c'que c'est qu'ce bings, sont ils en danger ?
Vad, Kilia, sont ils toujours à l'intérieur ? Elle est sur le point de se précipiter quand un nouveau craquement effroyable la cloue sur place.

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Mariealice
[Tente taverne enfin du moins elle le croit]

Et d'une Marie plantée là tandis que le Duc s'excusait et lui proposait d'apprendre cette danse étrange à d'autres.


Je vous remercie mais non je ne prévois point d'enseigner ceci à qui que ce soit.

Du moins personne qui était présent sous la tente pensa-t-elle mais se garda bien de le dire.

Ce fut alors que les évènements se précipitèrent.

Un cri étrange, un tavernier volant, un craquement sinistre, une Duchesse attaquant le poteau central et une toile tanguant dangereusement.

Un soupir tandis qu'elle suivait Kilia vers la sortie. Bonne idée d'être venue? Elle en doutait fortement d'un coup.

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