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[RP] Cathédrale Saint Lescure

Vanwolk
Monseigneur Vanwolk, arriva apres quelques jours de voyage à Toulouse, nouvelle ville ou il allait devoir guider ce diocèse vers la Vertus et la Paix. Son cprtège s'arréta sur le parvis de la Cathédrale de Toulouse, il fut impréssionné par sa majesté, sa grandeur et ses magnifique vitraux. Ilse posta ici quelques instant afin d'aller à la rencontre des paroissiens de Toulouse

Sebastien


C'est sa "première sortie" du Château, depuis qu'il est reconnu Coms-Régent de Tolosa.
Désormais obligé d'êstre escorté par quelques gardes Comtaux de par sa position,
Sébastien décide de se rendre de bon matin en la Cathédrale Saint Lescure afin de se recueillir et se retrouver un peu "seul" en tête à tête avec le Créateur.
Le jeune Plantagenêt fait signe à son escorte de rester en dehors du Saint Édifice, ne pouvant tolérer aucune arme en ce lieu sacré et surtout,
Surtout profiter de cette aubaine pour les tenir loin de luy quelques temps.
C'est que déjà enfant, il n'avait pas l'habitude d'avoir une nounou constamment sur le dos, alors à présent des nounous en armure .. !!

Sébastien pénètre donc seul dans la Cathédrale, referme derrière lui les lourdes portes,
Puis s'arrête dans un premier temps devant le bénitier afin d'y tremper ses doigts et se signer, avant de gagner un Prie-Dieu parmi le premier rang face à l'effigie de Christos.

Pieusement installé, les mains juxtaposées et le visage humblement baissé,
Le jeune Régent entre alors, en communion avec le Très Haut..

In Nomine Patris Et Filii et Spiritus Sancti.. Amen.

Ô Seigneur, je te demande d'accueillir sous ta bienveillance ton enfant Devil, Coms de Tolosa et homme de qualité, contesté mais aimé, qui nous a quitté bien trop tôt.
Fasse qu'il trouve enfin la paix qu'il mérite, loin de ce monde de querelles qui n'a plus rien à envier..


Il relève doucement le visage afin de contempler la statue qui lui fait face.

Donne-moi la force et accorde -moi ta bénédiction afin d'honorer la périlleuse mission qui m'est confiée à la tête du Comté.
Que l'espoir et la paix reviennent entre nos hommes et nos femmes, afin que nous puissions œuvrer pour le bien commun, chassant les ambitions personnelles et les attaques futiles qui détruisent trop de vies.
Ne nous abandonne point, ô Seigneur, à l'heure où le Royaume sombre et nous entraine dans sa folie meurtrière.
Je resterais Fidèle à mes convictions, ne déviant de mon chemin, t'accordant tout mon amour à Toi ainsy qu'à mes semblables.
J'en ai fais le Serment sur le Livre des Vertus et ne l'oublierais jamais.


Sur ces mots, il se signe une nouvelle fois, puis se relève doucement.
Tout en revêtant ses gants de cuir, il regagne le parvis de la Cathédrale où l'attendent son escorte Comtale.

Le Régent fait signe au chef des hommes-d'armes de s'approcher afin de lui donner des instructions à l'abri des oreilles indiscrètes :

Avec quelques de tes hommes, tu vas me faire le plaisir de trouver un homme ou une femme d'Église.
Il est grand temps de sonner les cloches à nos Clercs, et de réveiller la Foy de nostre peuple !


- A vos ordres, Vostre Grandeur.


Et depuis le parvis, Sébastien prend quelques longues minutes à contempler la Capitale, savourant une légère brise qui lui caresse le visage.
Le climat Occitan, ça vous gagne !
Pepita_de_dommart


Pepi arriva en fin de matinée devant la cathédrale elle fit un arrèt pour regarder la façade magnifique, un long soupire sorti entre ses lèvres elle était pas trop du genre à rentrer dans ces lieux. Elle monta les marches doucement le coeur serré, se retrouvant devant la grande porte de bois elle se demanda une dernière fois si elle devait vraiment y entrer! Puis pris une grande inspiration la tête basse les yeux rivé sur sa main qui poussa la porte et entra.
Elle fut parcouru par un grand souffle froid, le regarde maintenant droit devant elle quelque pas vers le bénitier, une main pas trè sur plongeat dans l'eau bénite pour se signer.
Se dirigeant vers le couloir de l'Autel elle mit un genoux à terre bessan la tête pour saluer le très haut. Se signa une nouvelle fois et se relevant pris place sur un banc.

Il y avait bien longtemps qu'elle n'avait pas prié elle avait surement beaucoup de pêchés à ce faire pardoner, ses pensé était tourné vers l'homme de son coeur, ses prières était pour lui, qu'il ne lui arrive rien qu'il lui revienne vite.
Dans un soupire elle demanda un signe du très haut, lui montrer le bon chemin celui qui serait le plus sage. Un frisson la parcouru une image devant les yeux celle de sa déstination, Elle reconut bien cette ville y ayant vécu autre fois! Dans un murmure elle laissa sortir " il en sera ainsi!"

Elle fini par réciter le credo.

Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Se leva et reparti en direction de l'écurit pour sceller son cheval, reprendre la route une dernière fois, lasse de tous ses voyages.

_________________


Ledigue
En silence en silence, entre les murs sacrés,
Loins des folles mégères corrompues,
Il prie pour elles.
Loins des faibles murmures et des lâches chuchotis
De ceux qui n'ont pas courage de défendre leurs fausses opinions,
Il prie.
Il prie en son esprit,
Prononce mots que nul ne peut entendre.
Mais ce sont des mots bons et doux, musicaux.


Paix à leurs âmes
Toto.dangely
Il venait de recevoir ce message, il ne savait que penser, il était si près du but... non cela ne pouvait finir ainsi, non ! Errant dans les ruelles, ses pas le menèrent dans ce lieu de prière, la cathédrale. Sur le parvis de l'église, lever la tête, contempler un instant le bâtiment, puis pousser les lourdes portes. Grincement des gonds, se signer de la main après dans le bénitier l'avoir tremper, puis s'avancer dans l'allée centrale.

Prendre place sur un prie-dieux, baisser la tête, et commencer sa prière.


Dieu Créateur de toutes choses, nous te remettons cette journée et cette nuit !
Guide-nous dans nos actes, nos pensées les plus intimes,
Toi qui sais tout, purifies-les afin qu'ils soient conformes à Ta volonté.
Toi le Très Haut, qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin,
inspire ceux qui s’écartent de ta parole Divine,
Pour qu’ils nous aident à préserver le monde.

Et je t'en prie, protèges mes amis des combats de cette nuit, donnes leur la force de repousser l'assaillant, et veille sur celle qui fait battre mon cœur

Je crois en toi, en ta force, en ton pouvoir, protèges les innocents

Amen


rester un moment tête baissée, puis se relever, regarder la nef puis redescendre l'allée, se signer à nouveau, et quitter le lieu
_________________
Logannn
Logann se rendît dans le silence protecteur de la Cathédrale , il s'agenouillât et doucement dit :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Il fît une prière plus intérieur , pour le salut du comté , pour le renouveaux de Toulouse et pour les montalbanais massacré par les amis du coms de Toulouse.Il se signât , se relevât et sortit de la cathédrale
_________________
Ledigue
Entrant calmement, imité et suivi par son fils Diwan,
Il posa un genou à terre devant l'autel:

Que le très-haut soit avec tous, en notre corps et en notre esprit.
Avec notre famille et dans le coeur de chacun,
Sachant par la pensée éloigner le malin.
Car nous sommes évangélistes, savons lire et enseignons ce que nous avons appris,
Aimons l'Ecclésiaste et les psaumes, les cantiques des cantiques qui chantent l'amour et le vin.
Qu'Aristote par ses idées, sache fleurir notre esprit,
Comme champ en jachère en plein été.
Bonheur particulier, bonheur commun.
Nous voulons aller sur ce chemin.
Ledigue
Justice et droiture, morale et conviction... voilà ce qu'il avait appris d'Aristote, voilà encore ce qu'il devait apprendre en suivant ses études dans la voie de l'église.
Voilà ce qu'il devait enseigner à sa progéniture.
Il n'était point encor venu dans le ventre sacré, dans l'antre merveilleuse, depuis la nouvelle année.
Il s'y rendit donc, laissant son chien Dagobert à la porte, accompagné de son fils Diwan encore traumatisé par l'agression:
Il avait crû voir sa mère mourir.
Il avait crû voir le jour finir.
Encore souffrante Bourgi, sa douce blonde, n'avait pu les accompagner.
Il lui prodiguait soins quotidiens et elle allait de mieux en mieux, toujours aidé et soutenu par des amis soucieux de la revoir en bonne santé.
Attendant, espérant son rétablissement, il avait décidé de mener l'enfant en la sainte Voûte, pour qu'il se souvienne, que tout n'est pas que mal et viles corruptions, qu'il est des lieux saints et aristotéliciens, où le bien existe aussi.

Prions mon fils, prions. Posons un genou à terre, baissons le chef en signe de soumission au Très-haut, et prions, méditons.

Le doux enfant docile et attentif, imita son père sur la dalle froide.
Azalniole
azalniole alla vistée la cathédrale de sont nouveau comtée

en temps que garde épiscopal c est une logique de venir ici aussi

elle mit a genou au milieu de la cathédrale

et récita une texte de l ordre teutonique



Nous sommes Tes humbles serviteurs spirituels.
Nous sommes Ton bras armé et intransigeant.
Ô Toi notre Juge et notre Créateur,
En Toi nous croyons et à Toi nous nous soumettons.

Nous nous en remettons à Ta sainte volonté,
Pour la Paix et la Justice, la Vérité et le Bien,
Pour la Foi et l'Espérance, la Vertu et la Tempérance,
Par le verbe ou par le fer, accorde-nous la victoire!

Déploie Ton bras divin au-dessus de nous,
Rends-nous forts et valeureux d'esprit et de corps,
Permets-nous d'éclairer les ténèbres du Sans-nom,
Sois le témoin de notre loyauté à Ton service.

Pour notre sacrifice accepte-nous en Ton sein,
Ne détournes pas le regard de nos âmes fidèles,
Et le jour venu délivre-nous de nos enveloppes sur Terre
Pour que de là-haut nous T'aidions dans Ta lourde tâche
Ainsi que nous le faisons de notre vivant.

puis elle se releva mon dieu faite que mes frère soeur d armée dans leurs escort
éclastique il ne leur arrive rien

amen

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Vacant
De passage à Toulouse, le nouvel évêque de Lausanne souhaita célébrer. Il fit donc sonner les cloches de la cathédrale afin d'appeler les fidèles au recueillement.



Puis il attendit que les fidèles le rejoignent.
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Julian.de.calderon
C'est la première fois que le bougre entends sonner ces cloches ! Il interrompit sa ronde pour aller se prier et ainsi renforcer sa foy.

Le soldat s'installa à l'avant dernier banc de la cathédrale et regarda l'évêque au loin.


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Vacant
Après avoir attendu, il se dirigea vers l'autel, s'agenouilla en se signant, puis se dirigea vers le présentoir où était posé le Livre des Vertus.



Mes biens chers frères, mes bien chères sœurs,

Je vous souhaite la bienvenue pour cette messe qui n'était pas du tout prévue. Je suis Frère David, actuellement de passage en votre ville et en l'absence de curé et d'évêque en cette bonne ville de Toulouse, je vous propose donc de célébrer la messe tous ensemble. Sachez que c'est un immense honneur pour moi de célébrer en votre belle cathédrale.

Avant de débuter la lecture, implorons le pardon du Très-Haut sur nos fautes par cette prière...


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.

Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Nous voici à présent purifiés de nos pêchés, et nous pouvons à présent proclamer bien fort en donnant la main à notre voisin:



Prions pour nos défunts qu'ils puissent monter auprès du Très-Haut et que celui-ci, dans son infinie bonté envers les hommes, leur pardonne leurs pêchés.

Amen.

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Vacant
Je vais à présent vous lire un passage du Livre II des Vertus, chapitre XIII

Citation:
Aristote avait été invité à une réception chez un riche marchand athénien exerçant également les fonctions d'archonte. Il s'appelait Polyphilos. C'était un homme riche et puissant, passionné par la philosophie. Il venait souvent écouter Aristote, aussi souvent que ses charges et son statut le lui permettaient. Sa maison était pleine à craquer, et les tables regorgeaient de victuailles.

Aristote tenait une coupe de vin qu'il venait de remplir au cratère. Il prit une feuille de vigne farcie quand Polyphilos s'approcha de lui.

Polyphilos : Aristote, cher maître. Comment trouvez-vous cette réception ?

Aristote : Je vous avoue que je préfère les plus petits comités, on ne s'entend pas, ici. Mais votre maison est splendide et le banquet est digne des plus grands rois.

Polyphilos : Merci pour ces compliments. Mais rien n'est trop beau pour mes amis et j'aime à les avoir tous autour de moi.

Aristote : Tous ces gens ici, sont donc vos amis ?

Polyphilos : Bien entendu. Nul n'entre ici qui ne soit mon ami.

Aristote : Je vois pourtant des gens de toutes extractions sociales et occupant diverses fonctions pour la Cité.

Polyphilos : Et alors ? Je ne suis pas hautain. Je laisse ça au nouveaux riches.

Aristote : Certes, c'est tout à votre honneur. Mais il ne peut s'agir d'amitié véritable. Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. Un roi ne peut rien attendre d'un mendiant, ce dernier est incapable de l'aider en cas de besoin, or l'entraide est la base de l'amitié. Donc il n'y a pas d'amitié possible entre personnes par trop inégales.

Le jeune fils de Polyphilos s'était approché.

Eumónos : Je le répète sans cesse à mon père. Ces gens ne sont pas ses amis et il doit prendre ses distances.

Aristote : Ce serait tomber dans l'excès inverse, jeune homme. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociale et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle.

Eumónos : Mais comment trouver un parfait égal ?

Aristote : Ce n'est pas nécessaire. Il faut surtout que l'intéressement ne soit pas trop prononcé dans le chef d'un des prétendus amis. Le juste milieu, celui de la vertu, c'est de savoir s'entourer d'amis véritables, de gens qui peuvent compter sur vous et sur qui vous pouvez compter.

Polyphilos et Eumónos hochèrent la tête pour marquer leur accord. Aristote s'éloigna de quelques pas avant de se retourner.

Aristote : Ces feuilles de vigne sont délicieuses, aussi délicieuses que le conseil d'un ami, vous ne trouvez pas ?

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Vacant
David prit alors la parole.

Mes amis,
Ce texte doit nous faire réfléchir sur le sens et l'importance de l'amitié dans nos vies. Nous sommes tous des amis ici, personne n'oserait dire le contraire. Mais les amitiés véritables se nouent dans des situations particulières, quand nous sommes d'égal à égal comme le dit le prophète Aristote. Ainsi, combien d'amitiés véritables ont vu le jour quand il a fallu défendre valeureusement notre cité ? Combien d'amitiés véritables sont nées autour d'un pichet de bière dans une taverne chauffée cet hiver ? Énormément. Aussi, je ne peux vous conseiller qu'une chose : développer cette amitié, entretenez-là et n'hésitez à en nouer d'autres mais n'oubliez jamais que l'amitié véritable demande aussi de l'entraide et donc du temps pour ses amis.

_________________
Vacant
Grandis de cet enseignement, nous pouvons à présent partager le pain et le vin.

L'évêque de Lausanne alla bénir le pain et le vin, puis s'approcha des paroissiens.



Sois béni ma sœur, sois béni mon frère.

Allez dans l'Amitié Aristotélicienne et au plaisir de vous rencontrer en taverne pendant mon séjour !!


David referma son Livre des Vertus, et se dirigea vers l'entrée de la cathédrale afin de pouvoir bavarder avec les fidèles.
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