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[RP] Cathédrale Saint Lescure

Madrigal
Madrigal tremblait comme une feuille au vent. Elle avait été malade toute la journée. Elle s'avait bien qu'une nouvelle vie d'amour l'attendait. Ce changement de fille au coeur de pierre a femme amoureuse et mariée l'a stressait quand même énormement.

Elle regarda le bouquet que Gigi lui donna et le trouva tout simplement magnifique.

Ok gigi, je suis prête...non non pas maintenant ...oufff ok oui...Jo est la , dis moi tu l'as vue, il est beau? Il me veut toujours, il a pas annulé.... ok ok j'arrête.

Madrigal ferma ses grand yeux gris et prit son courage a deux mains.

Je te suis ma Bourginette d'amour.....Tiens moi fort j'ai peure que mes jambes ne lâches.

Madrigal apparue dans l'Allée de l'église au bras de Bourginette. Elle avanca vers l'Hotel doucement.

Jo1715
Jo se retourna en entendant le murmure de la foule et vit bourgi sortir de la petite pièce.

Il attendait de voir mad et se sentit fort ému de ce moment.


A sa vue son émotion monta encore, bien qu'elle fut trop loin pour le voir, il lui sourit et la trouva magnifique dans cette robe
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Bourginette
Bourginette regarda Madrigal et lui fit un grand sourire.

Elle lui posait des tonnes de questions, hihhihihihih c'était drôle de la voir faire mais elle la rassura..

Ne t'en fait pas Mad, oui il est là, non il n'a pas cancellé et oui il t.adore et il t'attend. Allez viens je te tiens solidement
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Cricriultras
Le coche s'arrêta devant la Cathédrale, Cricri en descendit accompagnée des enfants, Salvien puis de Nelson et Mélodie les enfants de jalna, elle avait laissé les plus jeunes au domaine à la garde de Ninon, Ysée line et Ney étant trop petit ainsi que Jeanne Clémence.


Ils avancèrent vers l'autel Salvien marchant à ses côtés et prirent place dans les premiers rangs sans oublier de se signer.




Elle aperçut Jo prés de l'autel, Mad n'était pas encore arrivée, il est vrai qu'une mariée se fait toujours attendre..

Salvien regardait autour de lui, il ne connaissait pas la cathédrale, il admirait.


Elle déposa un baiser sur son front, tu vas voir mon chéri la mariée va arriver, voilà elle arrive regarde comme elle est belle !!!

Elle avait laissé un petit mot à son mamour, espérant qu'il puisse venir les rejoindre.

Elle avait vu la veille Mad qui était toute stressée, elle espérait qu'elle allait bien, elle savait Gigi prés d'elle, elle sourit en pensant à elle, se souvenant de son mariage, comment elle était angoissée aussi..

Elle fit un petit clin d'oeil à Mad lorsqu'elle passa prés d'eux pour rejoindre Jo devant l'autel.
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Madrigal
Madrigal avanca doucement vers l'hotel voyant Jo au loin. Elle fit un sourire a Gigi quand elle le vue labas au loin dans son magnifique habit rouge.
Madrigal se
retourna vers Gigi et murmura ; Il est la Gigi il est la regarde labas en rouge... il est beau mon futur hein?

Elle arreta de jacasser et avanca en faisant des petits bonjours aux amis présents pour la grande cérémonie.

L'allée de la Cathedrale était longue, mais jamais comme Madrigal la voyait longue en ce moment. Elle trouva l'allé jusqu'a Jo...interminable.


Jessie_james
Jessie prit le bouquet tendu par Jo.

Bien sûr je lui emmene de ce pas..Ding** Dong** Ding** Dong** Ding** Dong** Ding** Dong** Heu en courant même..

Jessie eut à peine le temps de se retourner que Bourgi arrivait demandant après le bouquet de Mad.Elles se dirigèrent toutes les deux auprès de la futur mariée.

Tu es éblouissante ma belle , voici ton bouquet ,souffle un bon coup et fais ton entrée..Tu vas tous les coulés sur place !

Jessie prit son amie dans ses bras et lui souria émue pour elle.
Bourginette
Bourginette avancait avec Mad à son bras et elle se dit..... vas t-elle arrêter de parler ???

Elle lui sourit et sourit aux amis au fur et à mesure qu'elles avancaient dans l'allée. Pis elle l'entendit parler encore...

Citation:
Il est la Gigi il est la regarde labas en rouge... il est beau mon futur hein?


Oui , oui il est là, je te l'avais dis et oui il est beau, mais avance..........

Elle avait le gout d'éclater de rire en murmurant ces paroles mais elle n'en fit rien.
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Jo1715
Jo sentit une émotion certaine en voyant mad venir vers lui.

Il était soulagé que les regards se tournaient vers mad afin de pouvoir se calmer et paraître serein.

Il se retourna un instant vers freg et sourit, heureux de sa présence.
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Viii
1pas la
Akiko
Akiko avait couru dans toute la ville à la recherche de la cathédrale. Essoufflée, elle y parvint enfin et s'arrêta quelques secondes à l'entrée pour reprendre son souffle et recoiffer ses cheveux rebelles.
Enfin, elle poussa le plus discrètement possible la massive porte en chêne et pénétra silencieusement dans le lieu sacré.

La cérémonie avait déjà commencée et Akiko vit la magnifique mariée déjà bien avancée dans l'allée centrale. Au bout de cette dernière Jo attendait, l'air nerveux mais heureux. Akiko sourit en voyant le beau couple que ces deux là formaient.

Rapidement, elle s'installa au dernier rang et assista à la cérémonie un sourire mélancolique aux lèvres.


Je vous souhaite plein de bonheur pensa-t-elle intérieurement
Eric.mrk
Trainer par Garri jusqu'en la cathédrale, il s'installa à ses cotés... Dieu que ces cérémonies pouvaient l'ennuyer... L'amour de deux etres devrait se suffire à lui même, avait il toujours pensé... Que ces salamalecs et ces religiosités lui semblaient bien inutiles et protocolaires... Mais bon, il y était, il faisait bonne figure et était bien heureux pour les "futurs" mariés... Il y vit ses amis, Freg, Zazous, Jessie et d'autres... Tout en tenant la main à garri, il regarda l'immense batisse qu'était la cathédrale, vue de l'intérieur... Une superbe et impressionnant réalisation architecturale... Soudain, les cloches sonnèrent... L'Evèque se préparait déjà à accueuillir les "futurs" époux... Jo était déjà la... Madrigal arriva bientot en robe d'apparat de circonstance... Eric rongea son frein: les longues litanies ennuyeuses allaient commencer... Soupir...
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Toxal
Voyant les premiers invités arrivés, et reconnaissant quelques visages, Toxal les salua.

Toxal était en voyage et n’avait pas vraiment de belle tenue, mais c’est le mieux âpreté possible qu’il était vêtu.

D’un coup, une fois les cloches sonnées, les mariés entrés ; Toxal fut entrainé par les autres à l’intérieur de la cathédrale, mais ne connaissant vraiment personne, il s’installa à l’entré de l’église, tout au fond.

Il prend place et regarde la cérémonie.
--Maudalina
Maudalina, assise au font de l'église appercue quelques personnes qu'elle connaissait. Elle salua Eric son parrain et se sentit si heureuse de retrouver sa ville natale.l'arrivée de la mariée se fut et Maudalina était émerveillée.

Quel splendeur se dit - elle.

Elle admirait la scene et était heureuse pour son amie de toujours.
Sachant son amie comblée de bonheur avec Jo, Maudalina versa une larme de joie pour elle.
Bourginette
Bourginette et Madrigal arrivèrent enfin au bout de l'allée après avoir salué du regard et par un magnifique sourire les invités présents dans cette magnifique cathédrale.

Arrivées devant l'autel, Bourginette déposa un baiser sur la joue de Madrigal en lui disant.....

Soit heureuse ma belle, tu le mérites bien. Je t'aime...

Puis elle prit sa main et la déposa dans celle de Jo qui la regardait avec un amour infini et une admiration sans borne. Elle fit un clin d'oeil à Jo et se retira près de Fregouille, le témoin de Jo.

Son coeur battait la chamade et elle se sentait très émue....
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Nainainus
Mgr Nainainus appela le frère Fregouille afin qu'il lise le passage suivant:


Citation:
Aristote cheminait en Attique alors qu'il avait rendu visite à un lointain parent vivant à Thèbes. Il était seul, ayant laissé la responsabilité de son école à ses meilleurs élèves. Mais à une bifurcation, il se trompa de chemin et au lieu de redescendre vers la plaine et la ville, il s'engagea dans les collines. Au bout de deux heures de marches, il se rendit compte de son erreur et avisa une habitation isolée. Il décida d'y aller demander conseil sur la route à suivre.

Au fur et à mesure qu'il s'approchait, il se rendit compte que ce qui de loin passait pour une maison n'était une mauvaise cabane adossée aux rochers, masquant grossièrement l'entrée d'une grotte.

Il frappa à la porte et héla, on vint lui ouvrir. L'homme, âgé, était à peine vêtu, et seulement de haillons. Il était maigre et hirsute.

Aristote : "Bonjour, vieil homme. Je me suis perdu et cherche le chemin de Mégare."

Ermite : "C'est si tu y vas, que tu seras perdu."

Aristote : "Je n'ai point souvenir que la ville ou les routes alentours soient à ce point peuplées de brigands."

Ermite : "Qui donc te parle de brigands. Elles sont peuplées d'humains. C'est déjà bien assez dangereux. "

Aristote comprit alors qu'il avait affaire à un ermite.

Aristote : "Dis-moi, es-tu heureux ?"

Ermite : "Si je suis heureux ? Et comment ! J'ai tout ce qu'il me faut : l'eau de la rivière, des oliviers, un petit jardin. Et comme je ne suis pas maladroit de mes mains, je fabrique ce dont j'ai besoin. Je n'ai besoin de rien, ni de personne. Je suis parfaitement heureux."

Aristote : "Un homme ne peut pas se contenter d'une telle vie. Ou alors il n'est pas pleinement."

Ermite : "Balivernes ! Je suis le meilleur des hommes."

Aristote : "Comment le saurais-tu, toi qui ne connais pas les autres ? Etre un humain, c'est vivre selon la vertu. Et la vertu est une pratique qu'on ne peut exprimer qu'avec les autres. Tu vis bien certes, mais tu ne pratiques aucune vertu puisqu'il n'y a personne avec qui tu puisses la pratiquer. Tu vis comme un ours, indépendant. Mais a-t-on vu un ours faire preuve de vertu ? Tu n'es pas un homme heureux puisque tu n'es même pas un humain. Un humain a des amis, où sont les tiens ?"

Ermite : "Mes amis sont la nature, mes oliviers, mes légumes."

Aristote : "Une véritable amitié se fait entre égaux. Tu es donc l'égal d'un olivier : planté et immobile. Tu survis en marge de la Cité au lieu d'y participer comme le fait tout véritable humain. Je vais donc te laisser prendre racine, adieu !"

Et Aristote reprit sa route, descendant vers Mégare.


Puis il appela la soeur Bourginette afin de lire ceci:
Citation:
L’éclipse VI: Le soleil

Alors que la petite pièce où je me trouvais avec cette étrange inconnu montait, j’avais la sensation désagréable d’être plus lourd qu’à mon habitude. Mais, lorsque elle s’arrêta, je me sentis un instant extrêmement léger. Je n’avais pourtant ni grossi ni maigri pendant ce court laps de temps. La porte s’ouvrit en deux, comme je l’avais vu plus bas. L’inconnu se retourna alors vers moi et me dit: “Vous êtes arrivé.”. Il arborait un sourire plein de gentillesse et de douceur. Cela me redonna un peu d’entrain et j’osai enfin lui demander: “Mais qui êtes-vous donc ?”.

Il me répondit: “Je suis le passeur, le seul ange à rester pour l’éternité en dehors du Paradis. Mon rôle est d’accompagner jusqu’ici ceux qui n’ont pas encore fait le choix.”. “Quel choix?”, m’écriais-je, interloqué. Mais, sans me répondre, il afficha encore un de ses beaux sourires et tendit sa main vers l’extérieur de la pièce pour m’inviter à avancer. Voyant que rien ne pourrait lui soutirer plus d’informations, je décidai d’avancer. Une fois sorti, la porte se referma derrière moi, ses deux parties se rejoignant, et j’entendis la pièce redescendre.

Je m’attendais à trouver un paysage idyllique, mais, au lieu de ça, j’avais encore et toujours cette détestable pierre bleue qui composait le pic infernal. Elle avait été taillée pour obtenir une sorte de terrasse. Je me demandai comment sortir de ce que je croyais alors être un ignoble traquenard. En effet, j’avais atteint le sommet et n’avais aucune chance de ne pas tomber si j’essayais de descendre par la paroi du pic. Quant à l’étrange porte, je ne savais pas comment l’ouvrir. Je m'asseyais donc, en pleurs, me demandant quel horrible péché j’avais pu connaître pour être ainsi puni.

Quelques instants plus tard, j’entendis un concert de battements d’ailes. Je levai les yeux et vis un magnifique spectacle: sept anges étaient en train de se poser sur la terrasse bleue. Je reconnu l’Archange Michel, saint patron de la Justice, en armure, tenant en main une magnifique épée et un grand bouclier aux merveilleux ornements. Mais mes connaissances théologiques étaient limitées et je demandai, non sans honte à qui j’avais affaire. Je m'attendais à entendre quelque reproche, mais ce ne fut pas le cas. Tous me regardèrent d’un regard plein de douceur et d’amour.

L’un d’eux s’avança et me dit: “Je suis Georges, Archange de l’Amitié. Et voici Gabriel, Archange de la Tempérance, Michel, Archange de la Justice, Miguaël, Archange du Don de soi, Galadrielle, Archange de la Conservation, Sylphaël, Archange du Plaisir, et Raphaëlle, Archange de la Conviction. Nous sept, sous les ordres du prophète Aristote et du messie Christos, sommes chargés de guider les humains sur le chemin de la vertu, qui les mène vers Dieu et Son Paradis.”

J’avais en face de moi les sept humains les plus importants de l’histoire, exception faite d’Aristote et de Christos. Devant un tel privilège, je ne pus que me prosterner à leurs pieds, face contre terre. Mais Georges me dit: “Ne te prosterne pas devant nous : nous ne sommes en définitive que des humains. Seul Dieu mérite cela. Nous sommes Ses humbles serviteurs, accomplissant Sa divine volonté. Mais viens avec nous, car l’heure est bientôt venue de faire le choix. Nous sommes là pour te mener au soleil.”
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