Aliena.
Marie était partie faire les courses. Aliéna en profita pour rassembler ses affaires: une besace qu'elle s'était confectionné dans un morceau de tissu donné par Marie, une bourse contenant quelques écus qu'elle avait gagné en faisant de menus travaux de couture, du nécessaire à couture que lui avait donné Marie et la carte que lui avait donné Jean Bissac, sa cape, son chapeau et son bâton.
Elle savait que son amie, car oui elle étaient devenues amies, voulait qu'elle reste encore un peu, mais elle savait également qu'elle était un poids pour elle. Elle attendrait donc qu'elle revienne pour lui dire au revoir puis elle partirait. Maintenant qu'elle s'était remise de son agression, elle comptait bien se trouver un endroit où loger, et travailler dans les champs des paysans voisins.
Tout en préparant ses affaires, Aliéna repensait à l'agression dont elle avait été victime, à la peur qu'elle avait ressentie lorsqu'elle était sous l'emprise du brigand, au soulagement qu'elle avait ressentit quand elle vu Marie, qu'elle avait pris e pour un ange, arriver, à l'angoisse qui l'avait tenaillé jusqu'à ce qu'elles arrivent à l'hôtel, et surtout à la façon dont Marie avait pris soin d'elle.
Elle sourit. Il était temps pour elle maintenant de partir.
Pas très loin. Aliéna n'avait aucunement l'intention de faire un long voyage et de passer du temps sur les routes. C'était bien trop dangereux !
Un bruit dans le couloir la tira de ses pensées. Puis on frappa à la porte. Surement quelqu'un qui venait voir Marie ... Aliéna ne connaissait quasiment personne ici.
Elle alla ouvrir afin que le visiteur puisse patienter dans la chambre, et non pas dans le couloir. Un paysan se trouvait là.
Bonjour !
Marie est partie faire les courses, mais elle ne devrait plus tarder à rentrer. Vous voulez entrer pour l'attendre ?
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Et Aliénor devint Aliéna ...
Elle savait que son amie, car oui elle étaient devenues amies, voulait qu'elle reste encore un peu, mais elle savait également qu'elle était un poids pour elle. Elle attendrait donc qu'elle revienne pour lui dire au revoir puis elle partirait. Maintenant qu'elle s'était remise de son agression, elle comptait bien se trouver un endroit où loger, et travailler dans les champs des paysans voisins.
Tout en préparant ses affaires, Aliéna repensait à l'agression dont elle avait été victime, à la peur qu'elle avait ressentie lorsqu'elle était sous l'emprise du brigand, au soulagement qu'elle avait ressentit quand elle vu Marie, qu'elle avait pris e pour un ange, arriver, à l'angoisse qui l'avait tenaillé jusqu'à ce qu'elles arrivent à l'hôtel, et surtout à la façon dont Marie avait pris soin d'elle.
Elle sourit. Il était temps pour elle maintenant de partir.
Pas très loin. Aliéna n'avait aucunement l'intention de faire un long voyage et de passer du temps sur les routes. C'était bien trop dangereux !
Un bruit dans le couloir la tira de ses pensées. Puis on frappa à la porte. Surement quelqu'un qui venait voir Marie ... Aliéna ne connaissait quasiment personne ici.
Elle alla ouvrir afin que le visiteur puisse patienter dans la chambre, et non pas dans le couloir. Un paysan se trouvait là.
Bonjour !
Marie est partie faire les courses, mais elle ne devrait plus tarder à rentrer. Vous voulez entrer pour l'attendre ?
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Et Aliénor devint Aliéna ...