Lervia
Tenant les rênes, ils avancèrent assez lentement, afin de ne pas trop user les chevaux. Il fallait encore faire de la route pour arriver enfin là ou le voyage s'arrêterait pour Brigide et ou commencerait le sien.
Aller il ne savait où pour rejoindre son amie et retourner chez lui, où retourner chez lui, faire le plein de bonnes choses, reprendre la route, allez chercher son amie, retour chez lui, ensuite, ensuite... serait il encore vivant pour le ensuite, il ne savait pas ou en était l'état de sa ville, de son comté. Il verrait cela en y arrivant. Monter sur les remparts ou non, intégrer l'armée pour quelques temps, ou alors rester à ne rien faire si cela était revenu au calme.
Ils étaient tout les deux pensifs, tellement que Lervia se trompa de chemin et contourna un bois l'air de rien, vu qu'il connaissait le coin comme sa poche, et reprit la route principale grâce à Brigide qui lui parla un peu.
Pas une bonne compagnie, je ne trouve pas, même si le chemin est calme, la route silencieuse, votre présence suffit à ce que le voyage se passe agréablement.
Je sais que nous approchons de "chez vous", et que cela devient difficile.
Mais quelque part, vous savez qu'il faut que vous y alliez, sinon vous ne seriez pas venu simplement pour un mariage, risquer sa vie pour une fête, cela ne vaudrait aucunement le coup.
Il sourit et continua le chemin vers les remparts de la prochaine ville visible au loin.
Le soleil présent n'arrivait pas à réchauffer ce vent glacial qui transperçait les vêtements. Il arrêta la charrette un court instant, en fit le tour pour voir si tout allait bien a l'arrière, vu que le calme était revenu, et comme chacun sait, quand les enfants ne font pas de bruit, c'est qu'ils sont en parfait accords pour faire une bêtise.
A sa grande surprise, il n'y avait pas de dégat à l'arrière, les enfants dormaient cachés sous les couverture bien au chaud.
Il en prit deux et terminant le tour, en donna une à Brigide et en prit une pour lui.
Ils s'enroulèrent dans leur couverture, bien plus chaudement vétu, ils reprirent la route et, deux petites heures plus tard, Lervia se détendit enfin une fois que les sabot claquèrent sur les pavés de la rue principale dès leur passage sous la porte...
Aller il ne savait où pour rejoindre son amie et retourner chez lui, où retourner chez lui, faire le plein de bonnes choses, reprendre la route, allez chercher son amie, retour chez lui, ensuite, ensuite... serait il encore vivant pour le ensuite, il ne savait pas ou en était l'état de sa ville, de son comté. Il verrait cela en y arrivant. Monter sur les remparts ou non, intégrer l'armée pour quelques temps, ou alors rester à ne rien faire si cela était revenu au calme.
Ils étaient tout les deux pensifs, tellement que Lervia se trompa de chemin et contourna un bois l'air de rien, vu qu'il connaissait le coin comme sa poche, et reprit la route principale grâce à Brigide qui lui parla un peu.
Pas une bonne compagnie, je ne trouve pas, même si le chemin est calme, la route silencieuse, votre présence suffit à ce que le voyage se passe agréablement.
Je sais que nous approchons de "chez vous", et que cela devient difficile.
Mais quelque part, vous savez qu'il faut que vous y alliez, sinon vous ne seriez pas venu simplement pour un mariage, risquer sa vie pour une fête, cela ne vaudrait aucunement le coup.
Il sourit et continua le chemin vers les remparts de la prochaine ville visible au loin.
Le soleil présent n'arrivait pas à réchauffer ce vent glacial qui transperçait les vêtements. Il arrêta la charrette un court instant, en fit le tour pour voir si tout allait bien a l'arrière, vu que le calme était revenu, et comme chacun sait, quand les enfants ne font pas de bruit, c'est qu'ils sont en parfait accords pour faire une bêtise.
A sa grande surprise, il n'y avait pas de dégat à l'arrière, les enfants dormaient cachés sous les couverture bien au chaud.
Il en prit deux et terminant le tour, en donna une à Brigide et en prit une pour lui.
Ils s'enroulèrent dans leur couverture, bien plus chaudement vétu, ils reprirent la route et, deux petites heures plus tard, Lervia se détendit enfin une fois que les sabot claquèrent sur les pavés de la rue principale dès leur passage sous la porte...