Shaka
[Ceci n'est pas un RP ouvert, merci de le respecter]
Pourtant habituellement sur de tout et sur de lui, Shaka était en ce moment perturbé par certaines choses qui s'étaient passées.
Souvent en taverne depuis ces derniers jours, son humeur avait changé et c'est l'envie d'être seul qui avait remplacé sa "sociabilité" des derniers jours. Le besoin de réfléchir profondément à tous un tas de choses se faisait sentir.
Ainsi, après avoir vaqué à ses occupations habituelles en mairie, sur le marché, au QG de campagne du RPB, en halle et en gargote, il ne pris pas la direction des tavernes mais il suivit le petit chemin qui aboutissait au lac de Sémur.
Il y avait bien longtemps qu'il ne s'y était pas rendu et, à son arrivée, rien n'avait changé. L'hiver avait fait son uvre, les arbres étaient nus, le ciel était gris, tout semblait tourner au ralenti.
Shaka s'arrêta devant le lac, se vidant tout d'abord l'esprit, restant immobile, les yeux fixés sur la surface d'huile de l'eau que la très légère brise ne parvenait pas à troubler.
Il resta ainsi pendant une dizaine de minutes, fermant par moment les yeux afin de se laisser envahir par la quiétude du lieu.
Puis, il commença à marcher lentement, très lentement sur la berge, les yeux balayant l'horizon. Ainsi, il arriva auprès d'un vieux chêne usé par les années mais dont le tronc et les racines en faisaient un siège de premier choix pour s'y reposer. Il s'assit alors, étendant une jambe et gardant l'autre repliée contre sa poitrine. Le regard toujours dans le vide, les évènements de ces derniers jours revinrent dans ses pensées. Il y réfléchit, en tira les conséquences et se dit que cela ne devait pas se reproduire, qu'il devait prendre des décisions et agir.
Le temps était venu.
Il resta quelques heures encore, la tête vide mais calme et serein puis il se leva et reparti d'un pas lent vers sa maison.
_________________
Pourtant habituellement sur de tout et sur de lui, Shaka était en ce moment perturbé par certaines choses qui s'étaient passées.
Souvent en taverne depuis ces derniers jours, son humeur avait changé et c'est l'envie d'être seul qui avait remplacé sa "sociabilité" des derniers jours. Le besoin de réfléchir profondément à tous un tas de choses se faisait sentir.
Ainsi, après avoir vaqué à ses occupations habituelles en mairie, sur le marché, au QG de campagne du RPB, en halle et en gargote, il ne pris pas la direction des tavernes mais il suivit le petit chemin qui aboutissait au lac de Sémur.
Il y avait bien longtemps qu'il ne s'y était pas rendu et, à son arrivée, rien n'avait changé. L'hiver avait fait son uvre, les arbres étaient nus, le ciel était gris, tout semblait tourner au ralenti.
Shaka s'arrêta devant le lac, se vidant tout d'abord l'esprit, restant immobile, les yeux fixés sur la surface d'huile de l'eau que la très légère brise ne parvenait pas à troubler.
Il resta ainsi pendant une dizaine de minutes, fermant par moment les yeux afin de se laisser envahir par la quiétude du lieu.
Puis, il commença à marcher lentement, très lentement sur la berge, les yeux balayant l'horizon. Ainsi, il arriva auprès d'un vieux chêne usé par les années mais dont le tronc et les racines en faisaient un siège de premier choix pour s'y reposer. Il s'assit alors, étendant une jambe et gardant l'autre repliée contre sa poitrine. Le regard toujours dans le vide, les évènements de ces derniers jours revinrent dans ses pensées. Il y réfléchit, en tira les conséquences et se dit que cela ne devait pas se reproduire, qu'il devait prendre des décisions et agir.
Le temps était venu.
Il resta quelques heures encore, la tête vide mais calme et serein puis il se leva et reparti d'un pas lent vers sa maison.
_________________