Nsaymar
Loréne.24.10.1457
Doté dun climat océanique dune influence continentale. Cette province présente une forte activité minière et une forte attirante de peuple venant de toute part. A chaque vague, il y avait de nouvelles personnes qui sy présentaient et mêlait dautres couleurs dans cette province.
Nsaymar, jamais ne manquait de voir de nouvelle têtes et cette fois, bien que malgré son âge, quil cachait si bien, car il ne voyait nulle raison de le dire, il jetait presque souvent un regard vers la jeunesse.
Un groupe de jeunesse se ramena en lorraine pour sy installer, certainement pour de raisons précises. Il ne sen préoccupait guère, mais gardait toujours un il. Il est souvent bien facile de croire que tout est prévue et souvent, on fait cette impression de déjà vu, alors quau fond, nous sommes touchés et statufier à prendre la réalité en face.
Sorti dune situation dramatique, il passait son temps à de vaines occupations, histoire de refaire les idées et la politique qui lui préoccupait lesprit, il navait plus un temps à lui.
Bien souvent, lorsquil arriva en Lorraine, il fit un tour complet, chose quil prit lhabitude de répéter, jusquau jour de son chapardage, cest à ce moment, quil prit du repos.
Et bien, cette fois, il reprit cette activité, quil avait renoncé, il la reprit pour oublier bien de choses qui le troublaient jusqualors, ce fut un moment de libération, car il passait son temps à noter et réfléchir.
Il marcha lentement dans les rues de la ville, un livre ouverte à la main. Son regard était complètement figé sur le livre et les mots quil y trouvait. Se répétant parfois plusieurs fois une même phrase, tant pour mieux lapprendre que pour mieux la comprendre. Cependant, sa passion pour son livre, si elle ne lavait jusqu'à lors jamais causé le moindre souci sur la route liant les deux grands bourgs de Loréne , était quelque peu plus dangereux dans un lieu si habité que Nancy. Et, continuant sa marche aveugle à lintérieur même des murs, ne se rendit pas vraiment compte que des personnes était face à lui.
Ce fut le pas de trop. Totalement déconcentré, il percuta la carriole dun éminent messire, se faisant complètement tomber en arrière. Son livre volant dans les airs pour ne retomber que plus durement, une fois Nsaymar bien à terre, en pleine face.
Doucement, il se réveillait. Avec un énorme mal de crâne, mais il se réveillait. Ouvrant timidement les yeux, il se sentit redressé sans savoir ce quil faisait dans cette position. Nsaymar observa alors rapidement autour de lui et vit lhomme et la dame qui semblait laider à se redresser. Le reste, il essaya de le faire seul.
Le choc avait été assez violent, mais plus de peur que de mal. Comment peut-on se prendre une carriole ? Décidément, Nsaymar ne manquait pas dinnover lorsquil sagissait de limpéritie. Pour le moment, il essayait de replacer ses souvenirs en bon ordre, de se souvenir de tout... ce fut choses rapidement faites.
Une fois remis debout, bien quil ait toujours cet intense mal de crâne dont il ignorait la cause nayant pas vu son livre saint lui tomber dessus, il sinclina devant les deux personnes. « Seigneur, Damoiselle, veuillez bien vouloir excuser ma maladresse. Jaurais dû regarder où je mettais les pieds... Pourtant, une carriole semble si facile à éviter... Je vous prie de bien vouloir mexcuser, pour ce dérangement. » Il prononça là de sincères excuses ne comprenant pas vraiment comment cela avait pu être possible. Il fit quelques pas pour reprendre son livre, puis se retourna de nouveau face aux deux personnes. « Je vous remercie pour cette aide. »
_________________
Doté dun climat océanique dune influence continentale. Cette province présente une forte activité minière et une forte attirante de peuple venant de toute part. A chaque vague, il y avait de nouvelles personnes qui sy présentaient et mêlait dautres couleurs dans cette province.
Nsaymar, jamais ne manquait de voir de nouvelle têtes et cette fois, bien que malgré son âge, quil cachait si bien, car il ne voyait nulle raison de le dire, il jetait presque souvent un regard vers la jeunesse.
Un groupe de jeunesse se ramena en lorraine pour sy installer, certainement pour de raisons précises. Il ne sen préoccupait guère, mais gardait toujours un il. Il est souvent bien facile de croire que tout est prévue et souvent, on fait cette impression de déjà vu, alors quau fond, nous sommes touchés et statufier à prendre la réalité en face.
Sorti dune situation dramatique, il passait son temps à de vaines occupations, histoire de refaire les idées et la politique qui lui préoccupait lesprit, il navait plus un temps à lui.
Bien souvent, lorsquil arriva en Lorraine, il fit un tour complet, chose quil prit lhabitude de répéter, jusquau jour de son chapardage, cest à ce moment, quil prit du repos.
Et bien, cette fois, il reprit cette activité, quil avait renoncé, il la reprit pour oublier bien de choses qui le troublaient jusqualors, ce fut un moment de libération, car il passait son temps à noter et réfléchir.
Il marcha lentement dans les rues de la ville, un livre ouverte à la main. Son regard était complètement figé sur le livre et les mots quil y trouvait. Se répétant parfois plusieurs fois une même phrase, tant pour mieux lapprendre que pour mieux la comprendre. Cependant, sa passion pour son livre, si elle ne lavait jusqu'à lors jamais causé le moindre souci sur la route liant les deux grands bourgs de Loréne , était quelque peu plus dangereux dans un lieu si habité que Nancy. Et, continuant sa marche aveugle à lintérieur même des murs, ne se rendit pas vraiment compte que des personnes était face à lui.
Ce fut le pas de trop. Totalement déconcentré, il percuta la carriole dun éminent messire, se faisant complètement tomber en arrière. Son livre volant dans les airs pour ne retomber que plus durement, une fois Nsaymar bien à terre, en pleine face.
Doucement, il se réveillait. Avec un énorme mal de crâne, mais il se réveillait. Ouvrant timidement les yeux, il se sentit redressé sans savoir ce quil faisait dans cette position. Nsaymar observa alors rapidement autour de lui et vit lhomme et la dame qui semblait laider à se redresser. Le reste, il essaya de le faire seul.
Le choc avait été assez violent, mais plus de peur que de mal. Comment peut-on se prendre une carriole ? Décidément, Nsaymar ne manquait pas dinnover lorsquil sagissait de limpéritie. Pour le moment, il essayait de replacer ses souvenirs en bon ordre, de se souvenir de tout... ce fut choses rapidement faites.
Une fois remis debout, bien quil ait toujours cet intense mal de crâne dont il ignorait la cause nayant pas vu son livre saint lui tomber dessus, il sinclina devant les deux personnes. « Seigneur, Damoiselle, veuillez bien vouloir excuser ma maladresse. Jaurais dû regarder où je mettais les pieds... Pourtant, une carriole semble si facile à éviter... Je vous prie de bien vouloir mexcuser, pour ce dérangement. » Il prononça là de sincères excuses ne comprenant pas vraiment comment cela avait pu être possible. Il fit quelques pas pour reprendre son livre, puis se retourna de nouveau face aux deux personnes. « Je vous remercie pour cette aide. »
_________________