Pastorale de Luc de Valmont II (ldvd ig)

Voici ce que je pense être les points les plus importants.

Iésu Christos qui était le deuxième prophète, il à fondé avec ses 12 disciples (6 femmes et 6 hommes), l'église Aristotélicienne il y a 1457 ans.
400 ans plus tôt, Aristote, un jeune philosophe Grec, a eu la première révélation, et apporta la première parole.

Aujourd'hui, les préceptes de l'église sont regroupés dans les 4 tomes du livre des vertues. Chaque tome raconte l'histoire de l'humanité, la vie des prophètes, l'histoire des saints et les règles liturgiques.

Le livre des vertues met en garde aussi contre la tentatrice, et les 7 princes démons.

Considérations générales

Dieu nous a créés à partir de Lui. Nous faisons donc partie intégrante de Lui et notre existence est vouée à le servir.

Ainsi, vivre dans la vertu consiste à vivre comme Dieu le veut. Vivre dans le péché consiste à nier la volonté divine et donc à nier notre propre nature divine. Cela revient donc à nous nier nous-même, à travers la négation de Dieu.

De ce fait, les humains sont naturellement des êtres sociaux, car vivre en communauté, c’est vivre en accord avec notre statut de composants de Dieu. C’est dans cette logique que se traduit la communauté Aristotélicienne, permise par le sacrement du baptême.

Dieu est parfait. Il réunit donc en Lui toutes les vertus, en leur donnant tout leur sens. Etant à la fois faits d’esprits et de matière, nous autres humains pouvons tendre vers cette perfection, mais jamais l’atteindre. Un saint (ou une sainte) se définit donc comme une personne qui se rapproche de la perfection par la vertu, pas comme une personne qui l’a atteint, car nous ne sommes pas Dieu.

Le péché absolu serait la négation totale de la nature de Dieu. Comme tout fait partie de Dieu, cet état de péché absolu est impossible à atteindre, car ce serait la négation totale de ce que nous sommes. Personne, pas même Dieu, ne peut atteindre cet état, bien que notre nature d’être imparfait nous rend capables d’y tendre.

La vertu parfaite, de nature divine, est divisée en sept vertus, afin que nous puissions plus facilement nous en rapprocher: l’amitié, la conservation, le don de soi, la tempérance, la justice, la plaisir et la conviction. A chacune d’elles s’oppose un péché: (respectivement) l’avarice, la gourmandise, l’orgueil, la colère, l’envie, l’acédie et la luxure.

Tout être, excepté Dieu, se trouve donc entre chacun de ces extrêmes. Ainsi, tout être excepté Dieu se trouve entre l’amitié et l’avarice. Il ne peut jamais les atteindre. Seul Dieu est de parfaite vertu et personne n’est de pur péché.

Nous ne devons donc pas espérer atteindre la perfection dans une ou plusieurs vertus, car cela est impossible et donc péché d’orgueil. Nous devons plutôt rechercher le Juste Milieu entre chaque vertu et chaque péché.

Le Juste Milieu ne signifie pas un milieu mathématique, à égale distance de ces deux extrêmes, mais une tendance à se diriger vers la vertu en étant conscient de l’impossibilité de l’atteindre.

Tout bon Aristotélicien devra donc tendre vers la vertu, tout en sachant qu'il ne l'atteindra jamais en perfection.

Des vertus et des vices correspondants

L’amitié est la faculté de se préoccuper du sort d’autrui. Elle est empathie, charité, entraide, réciprocité des rapports sociaux, amour du prochain… A l’amitié correspond l’avarice, qui est le vice de l’être dont l’égoïsme n’a d’égal que le mépris de l’autre.

La conservation est la faculté d’œuvrer à sa propre survie. Elle est la conscience de ses besoins premiers en nourriture, en eau, en sommeil. A la conservation correspond la gourmandise, qui est l’abus du plaisir des besoins premiers, vice de ceux qui n’ont pas la mesure des nécessités de leurs subsistance.

Le don de soi, est la faculté de se sacrifier au profit de la communauté aristotélicienne et de la république, abstraction faite de sa propre individualité. Elle est la conscience de faire partie d’un tout. Au don de soi correspond le vice de l’orgueil, qui est le sentiment de pouvoir vivre hors de la communauté, ou d’être capable d’atteindre le statut de divin.

La tempérance est la faculté de se modérer, de suivre la voie du juste milieu qu’exige sa condition de croyant, de faire preuve de compréhension à l’égard de ses semblables. A la tempérance correspond la colère, qui est le vice de celui qui s’abandonne à sa haine de l’autre, ou qui de toutes ses forces tente de lutter contre sa condition.

La justice est la faculté de l’être à faire preuve de magnanimité, à reconnaître la valeur de l’autre, à identifier l’intérêt d’autrui. A la justice correspond l’envie, qui est le vice de celui qui désire bénéficier des justes récompenses attribuées à autrui, ou de celui qui convoite les biens ou le bonheur de son semblable.

Le plaisir est la faculté qu’a l’homme d’œuvrer à réunir les conditions de son propre bonheur. Elle est la conscience de soi, de son corps, de son âme, et des besoins de ceux-ci pour rendre son existence heureuse et facile. Au plaisir correspond l’acédie, qui est le vice de celui qui entre en dépression spirituelle, qui reste passif, qui n’a plus goût à la vie, et qui ignore sa propre satisfaction.

La conviction est l’espérance en un avenir plein de promesses. Elle est plus largement la conscience des besoins et des intérêts futurs de la communauté des croyants, des nécessités de la conservation de l’espèce (donc de la reproduction). A la foi correspond la luxure, qui est le vice de celui qui se complait dans l’abus des choses de la chair et dans le nihilisme le plus total.



Travail à faire
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L'existence des hommes et vouée à servir Dieu, car nous somme une parti de lui.

Dieu veut que nous vivions dans la vertu. Vivre dans le péché revient à nous nier nous même, étant donné que ça va à l'encontre de notre essence.

Par le baptême nous entrons dans la communauté de Dieu, ainsi nous somme en accord avec notre nature d'être sociaux.

Nul ne peut égaler Dieu car il est parfait, même un saint ne peut être aussi vertueux que Dieu.

Le péché total est impossible à atteindre car ce serait nier sa propre existence.

Il y a sept vertus, et sept péchés les opposants. Les homme flotte entre les deux cotés.

Il faut vivre en essayant de trouver un équilibre entre la vertu et le péché, car la perfection dans la vertu ne peut être atteinte.

Les vertus et leur opposés les vices:

• L'amitié est l'ouverture vers les autres, alors que l'avarice entraine l'égoïsme.
  
• La conservation est indispensable à une vie saine, alors que la gourmandise entraine vers l'excès.
  
• Le don de soi est la preuve d'une vie communautaire, alors que l'orgueil vous fait croire que vous pouvez égaler Dieu.
  
• La tempérance permet de garder une bonne ligne de conduite, alors que la colère vous éloigne de la communauté à cause de la haine.
  
• La justice permet de tolérer les autres, alors que l'envie n'apporte que jalousie.
  
• Le plaisir permet de trouver la Paix de l'âme, alors que l'acédie n'entraine que tristesse et noirceur de l'esprit.
  
• La conviction est essentiel à la survie de l'humanité et à son évolution, alors que la luxure ne ce soucis que de l'instant présent sans penser au lendemain.

Juge de notre âme à l'heure de la mort.

il a créé le paradis, qui est dans le soleil, mais pour les autres, il a créé les enfers, lieux maudits ou se retrouvent les mauvaises âmes.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,

Il est mort dans le martyr pour nous sauver.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.