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De capes et d'épées

Mariealice
Ah mais ah mais non....Du tout qu'elle sent ma botte, grossier personnage. En attendant tu n'as su léviter pour l'éviter la dite botte qui n'est pas de Nevers bien qu'elle soit bourguignonne. Mais visiblement le nez n'est pas ton atout majeur puisque tu n'arrives point à reconnaître les notes florales du délicate fleur.

Non mais oh. Et paf aurait-elle même pu appuyé à coups de chausse si sa besace avait été sous sa main. Il est des oublis comme de certaines personnes: fâcheux.

Et d'un coup voilà que les cartes changeaient de main non sans avoir été mélangées et la brune d'essayer de se repérer pour savoir qui, que, quoi, donc et où.

A ma droite une rouquine, non carmélite pourtant, en face à face un blondinet montagnard se prenant pour un chevalier blanc portant comme meuble héradilque une gousse d'ail sur fond de marmite. Pas très réglementaire que tout ceci en passant. Ah et dos à dos un un brun guyennais qui sans doute ayant aperçu un verre de vin de son duché lui fila un coup d'épaule et manqua de la faire s'étaler dans un magnifique plat ventre. Ah oui mais non là hein. C'est que la moutarde commençait à lui monter au nez à la bourguignonne. Remontant ses manches, le pied botté posé sur le bois, le second prenant appui à son tour pour répliquer. Sauf que ben.... Le plan sans accroc d'Ewaele commençait à prendre de la hauteur mais pas dans le bon sens, épée lâchée alors que Marie sautait sur la chaine en espérant la retenir. Mais il paraît que ce qui monte doit aussi redescendre et ce fut le cas de la Comtesse tandis que la Vicomtesse elle observait tout ceci d'en haut.

Profond soupir tandis qu'elle s'agrippait au métal comme Jane à sa liane.

Erf... Voici une fessée non méritée qui risque de se retrouver rendue sous peu je crois. En attendant si quelqu'un avait l'aimable bonté et charité de bien vouloir me faire regagner à défaut du plancher des vaches la table de la taverne, je lui serai infiniment reconnaissante.

Grand sourire, endormir l'adversaire, profiter du point de vue pour repérer quelques petites choses ici ou là. N'empêche ça sentait tout autant l'ail que le point concédé vu qu'elle ne pourrait se défendre d'une quelconque touche.

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Duel gagné: 1 (Mackx)
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Guillaume_de_jeneffe a écrit:
Par contre, pour ce que tu dis, Marie, je plussoie à 100%. Ca aussi, tu peux l'encadrer^^.

Pour le souvenir de l'irl à Bruges, faut montrer les deux faces nan mais!
Argael
Le combat se débridé, et débridé semblait pour le moins ce que l’on pouvait dire. La ou l’on aurait pu imaginer des coups bas de tavernes, des volées de marrons les Licorneux faisaient montre d’un dextérité et d’un panache admirable.

Si le temps c’était en cet instant figé qu’aurions nous pus voir en détail.
Deux sœurs les gambette en l’air pour les deux, un séant sur le sol en pierre froide, et une tête non loin d’un plafond pour l’autre.
Deux frères, l’un se permettant chose vexante de toucher le séant d’Ewaele de sa lame tandis que le montagnard déclamé un chant vantant les qualités d’un chevalier laissant ses sœurs dans leur détresse propre. Il y avait pour le coup quelque chose de cocasse quoi que l’immortalité de la scène en cet instant aurait pu faire pensait à une pièce de théâtre.

Levant la tête Argael Devirieux, sourit à voir ainsi sœur Marie Alice suspendue.


Est-ce ainsi que vous faites sécher vos pieds Sœur, il manque semble t’il a votre Munster un petit plus que je vais m’empresser d’ajouter.

Moulinets avec ses gousses d’ails, venant s’enrouler autour du pied de l’infortuné et sourire devant la fureur à grande peine dissimulé par Marie Alice.

Fromage à l’ail voici qui est des plus appréciable, ajouter à cela un peu de vin et, nous serions alors des gens chanceux. Mais j’y songe maintenant qu’à mon tour je vous ais touché, peut être voudriez vous descendre Sœur. Je suis coupable de négligence j’en ai bien peur, et je vous propose une réception dans mes bras. Je gage que vous n’avez guère le choix, ceci pour ne point vous mettre mal à l’aise de vous retrouver de la sorte avec moi.

Frère Alexandre peut être la bienséance maintenant serait elle de permettre à Sœur Ewaelle de se relever en l’aidant, ne penses tu point. Je gage que la manœuvre était habille mais que le sort à souhaité donner un coup de pouce non nécessaire du côté de la barbe symbole de supériorité et de toute puissance.


Dissimulant à grande peine son hilarité naissance à ces propos dont il n’en pensait rien mais qui savait, énerveré les sœurs, il jeta un coup d’œil furtif à Alexandre.

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Ewaele
Morte coui… Il avait osé. Toujours pendue à la chaine elle tournait et le guyennois en avait profité pour faire sa touche sur son séant. Pour sûr il ne s’en sortirait pas à aussi bon compte. Et c’est sans mal que les deux lascars pouvaient continuer le duel et se moquer d’elles… Ewa réussit enfin à poser les pieds sur la table, n’osant lâcher ce qu’elle tenait dans ses mains de peur de voir Marie s’écrabouiller au sol. Elle regardait le spectacle de la brune suspendue et, si elle n’avait pas eu peur des représailles à venir, elle aurait bien rit de la situation tant elle avait l’air coquine à ce moment là. Bon pas le choix car à part rire et avancer le fait de les aider, aucun des deux hommes ne prenait la situation en main… Fin si mais pour marquer subtilement des points mais cela on ne le dira pas hein, profiter de la facilité des touches, quand deux femmes en détresse ne peuvent répondre aux coups! Tsss bien des mâles cela! Elle retint la chaine autant qu’elle pouvait sans se bruler les mains non revêtues de ses gants et aida Marie à retrouver le plancher des vaches ou plutôt de la taverne. Elle sauta de la table et alla rejoindre son amie, une concertation entre bretteuses était nécessaire. Elle prit la brune par le coude, récupéra son épée et l’attira à l’écart pour trouver un plan d’attaque adéquate et faire pencher le duel en leur faveur. Derrière le comptoir, bah oui pourquoi pas, sortir une bouteille à l’intention de leurs acolytes, faire boire pourrait peut être les déstabiliser à moins qu’il ne faille montrer plus. Elle haussa les sourcils et regarda Marie avec un air malicieux.

Alors étudier à nouveau la taverne. Le plafond elles avaient testé, nul n’était besoin de recommencer. Tortillage de nez, table, banc, tabourets oui, mais voilà cela aussi elles connaissaient et pas grand-chose n’avait fonctionné à part la botte de Marie. Fallait-il croire qu’user de leurs atouts leur réussirait mieux que de se battre d’une manière traditionnelle. Elle se pencha vers son amie posant les coudes sur le comptoir et regardant les deux hommes qui arboraient des sourires qui en disaient long.


Bon ma belle il va falloir trouver moyen de leur mettre leur déculotté me semble.

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Alexandre*
Alexandre savourait le spectacle se retenant de rire, enfin non il ne se retenait pas du tout...
Fallait il aider ces faibles femmes ? hummmm !!! Ce n' etait que l' apparence. Le jeune Guyennois savait déjà , par experience, qu' il fallait se méfier des femmes.
Et puis apres tout, c'était elles qui s'étaient mis seul dans cette situation ridicule.
C' est vrai que la touche fut facile, mais tellement plaisante qu' Alexandre en avait profité.

Mais voilà que son frère en profitait lui aussi à son tour...La vengeance des deux femmes serait surement à la hauteur de l' affront.

Regarde Frère Argael, nos soeurs se débrouillent trés bien sans nous. Et puis se serait injure que de les aider, car elles ne pourraient crier victoire, enfin peut etre, sans qu'on les ait aider.

Alexandre éclata de rire.

Les deux femmes retrouverent le plancher des vaches, du moins de la taverne , et se regrouperent autour du comptoir afin de comploter leur prochaine attaque envers les deux hommes. Mauvais signe !!!!

L' ecuyer fit signe à son frère de se placer chacun d' un coté de la taverne, elles ne pourraient ainsi les attaquer ensemble. Alexandre qui était toujours sur la table en descendit et prenant un tabouret en main, il le lanca à la rouquine.

Ma soeur prend donc un siege si tu veux discutayer chiffons avec Mariealice.

Alexandre lui sourit malicieusement

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Mariealice
Ben voilà, c'était fait. Le ridicule ne tuait pas. Tant mieux vu que la touche venait d'être marquée par une gousse d'ail.... Non là vraiment, parfois, le Très Haut avait un sacré sens de l'humour. Elle ne put donc qu'en rire de cette situation. Pensez. Une brune pendue au plafond par une chaine dans une taverne en plein duel d'entrainement et tout ça pour en arriver à perdre un point à cause d'un condiment.

Bref elle finit par retrouver d'abord la table puis le plancher des vaches en se faisant entrainer par une rousse déterminée à avoir un conciliabule entre femmes. Bon. Et derrière le comptoir. En plus. De là à se retrouver avec une réputation d'alcoolique il n'y avait qu'un pas que Marie déconseillait fortement à qui que ce soit de s'amuser à franchir. Hochement de tête à l'assertion d'Ewa.

Ouais. Il faut. Seulement faut aussi se méfier, je les sens en train de prendre de l'assurance.

D'ailleurs, pour confirmer ses dires, un tabouret fut lancé en direction de sa vassale et la Vicomtesse se baissa juste à temps pour éviter de se le prendre en pleine tronche.

Non mais faudrait voir à ne pas nous assommer non plus hein. Parce que ça ne vous fera pas gagner ce duel.

Regard vers son acolyte puis vers les bouteilles et les tonneaux. Les vides de tonneaux. Ceux qui n'avaient pas encore été rangés. Petit sourire à l'encontre de son amie. Tu penses ce que je pense semblait-il dire.

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Duel gagné: 1 (Mackx)
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Guillaume_de_jeneffe a écrit:
Par contre, pour ce que tu dis, Marie, je plussoie à 100%. Ca aussi, tu peux l'encadrer^^.

Pour le souvenir de l'irl à Bruges, faut montrer les deux faces nan mais!
Alexandre*
Tabouret volant n'avait duré qu'un moment...Il fallait occuper les soeurs afin qu' elles ne puissent affiner une stratégie d'attaque contre eux.
Alexandre savait que les femmes étaient plus sournoises que les hommes en duel. Il fallait absolument bouger et se tenir prêt à une réplique qui serait à la hauteur de l'affront que venaient de leur faire leurs frères.

L' ecuyer croisa les regards des deux femmes, et vit le mot vengeance écrit dans leurs yeux.

Ba bon signe du tout se dit Alexandre. Dieu sait qu' en Guyenne, des coups tordus il en avait subit, mais là il savait que les deux soeurs n' étaient pas nées de la dernière pluie.

Voyons ma soeur ne me dites pas que vous vous seriez laisser surprendre par un pauvre tabouret bien innoffensif pour deux femmes de votre trempe.

Alexandre leur sourit malicieusement. Provocateur il était encore...Mais il savait que cela allait forcément les amener à réagir.

Regard de Mariealice vers Ewaele, vers les bouteilles, puis les tonneaux...Il fallait bouger là maintenant...

Alexandre monta sur un banc, la table , s' élanca vers le comptoir passa rapidement sur le comptoir prés des soeurs, botta dans les bouteilles qui se dispersérent avant qu' il ne saute à terre pas trés loin de son frère

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Alexandre*
Face à lui Mariealice, dont le regard se perd un instant sur les bouteilles qui s'éparpillent et se cassent en tombant.

Alexandre main gauche sur la hanche et épée pointée vers sa soeur de la main droite tente une attaque pensant la prendre de vitesse en avancant de quelques pas pour finir par croiser le fer de leurs épées.

Quelques passes pour trouver la bonne ouverture, mais finit acculer contre le mur. Mariealice savait se servir d'une épée et le Guyennois avait fort a faire. Il tente une touche à la cuisse gauche après une tentative sur le flan droit.

Mais Alexandre n' a que trop peu d'espace pour se positionner correctement et laisse du coup son côté droit à la merci de sa soeur. Le verra t'elle ? De toute évidence le plus rapide gagnera la touche. il essaye de la distraire sournoisement.

Vous avez l' air assoiffé ma soeur, peut etre souhaitez vous une bonne biere, que je vous offrirai avec joie ?

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Mariealice
Mais il la cherchait qui plus est avec son inoffensif tabouret. Et en plus il venait exploser les bouteilles sous leur nez. Ah non mais non! M'enfin c'était quoi ces façons de faire. A voir l'alcool qui se répandait elle pria intérieurement que René n'arrive pas là tout de suite sinon ils devraient tous courir très vite et l'éviter pendant une très longue période s'ils voulaient éviter les ennuis.

Froncement de sourcils, épée levée et en avant. Cliquetis des lames se croisant, un pas en avant, deux en arrière, un sur le côté, tout ceci pouvait presque faire penser à une danse et quelque part l'escrime en était bien une après tout. Pour un peu elle aurait pu chercher des yeux les troubadours mais n'exagérons pas, la brune savait bien qu'il n'y en avait pas. Alors elle se mit à chantonner un air entrainant, se retenant de faire de petits sauts de cabri. Par contre d'un coup de pied pousser un banc, d'un autre une bouteille qui avait échappé au massacre.

Droite, gauche, toujours pas de touche pour Alexandre, petit sourire en coin alors qu'elle avait paré les deux attaques et que son regard se portait sur une magnifique ouverture sur le côté droit de son adversaire. Seulement cela n'aurait point été amusant de gagner cette touche aussi facilement. Elle fit mine de rien ou du moins de ne l'avoir vu justement mais le garda acculé contre le mur après avoir d'un coup du poignet fait voler l'arme de son adversaire.

Soif moi? Hum possible mais je pense que c'est toi, cher frère, qui commence à avoir le gosier voire plus de desséché.

De la pointe du pied droit elle rapprocha la bouteille non loin, la ramassa, d'un coup de dent la déboucha et, tout sourire, l'aspergea de calva.

Je pense que ceci comptera comme notre seconde douche.. Euh pardon touche.

Et de boire une gorgée tant qu'à faire.

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Duel gagné: 1 (Mackx)
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Guillaume_de_jeneffe a écrit:
Par contre, pour ce que tu dis, Marie, je plussoie à 100%. Ca aussi, tu peux l'encadrer^^.

Pour le souvenir de l'irl à Bruges, faut montrer les deux faces nan mais!
Alexandre*
un , deux, trois, un deux , trois...s'en fallait de peu que la soeurette l' entraine dans une danse à trois temps tout en chantonnant. L' agilité de celle ci était évidente. Voilà qui était bien déstabilisant pour le guyennois peu habitué aux salons du Louvre.

Elle ne saisit pas l'occasion que lui offrait Alexandre. Arfff bien sur offrir n' etait surement pas le bon terme, car si elle avait vraiment voulu, nul doute qu' elle n'aurait eu aucun mal.

Dans une aussi mauvaise posture, elle avait le choix de la touche. il essaya bien d'echapper à ce mur qui le bloquait. Il tira son épée en avant pour la faire reculer, mais cette fois elle en profita pour le désarmer de son épée qui aprés un double looping vint se planter sur la table.

Et ne satisfaisant pas de la situation, Mariealice l'aspergea de calva. Idée bien stupide au lieu de lui verser un verre, c' est vrai qu' il avait une tite soif l' écuyer...

Je te la concéde, mais un verre ou deux aurait largement suffit...

Alexandre lui fit une révérence en guise de reconnaissance et lui piqua la bouteille des mains pour en boire une grande goulée.

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Ewaele
Ahem, bien, bien, on en était où du combat… La rousse avait dû avoir une absence, car pour le coup elle ne savait plus qui faisait quoi ou qui en était où, elle s’attendait toujours à voir Marie à ses côtés et c’est surprise qu’elle la vit avec Alexandre et euh… Une bouteille! Mais ils faisaient quoi? La conversation en sirotant au goulot… La rousse avait l’impression d’être dans un mauvais rêve. Hum… Elle secoua la tête, tapa des talons sur le sol pour être sure de bien être réveillée et suivit machinalement de ses yeux son bras jusqu'à sa main pour s’apercevoir qu’elle tenait elle aussi une chopine… Non quand même pas? Elle n’aurait pas bu pendant un duel au point de ne plus se souvenir des quelques minutes qui venaient de s’écouler où elle avait été… Absente. Oui on va dire cela ainsi… Absente. Elle ne s’était pas rendue aux latrines car elle s’en souviendrait aussi puis elle était toujours derrière ce foutu comptoir avec des bouteilles… Elle tortilla du nez, pas rassurée de la situation. Puis elle se souvint du tabouret qui avait volé en leur direction, elle avait tourné la tête vers Marie mais elle qu’avait-elle fait exactement… Elle passa une main sur son front voir si elle n’avait pas une fièvre qui la faisait délirer et se rendit compte qu’elle avait une corne… Euh non une bosse qui pointait le bout de son nez. Serait-il possible qu’elle fut touchée sans s’en apercevoir par l’attaque de l’assise à trois pieds ? Elle haussa les épaules et essaya de regarder où et comment étaient placés les autres. Il y avait du verre partout, de l’alcool qui recouvrait comptoir et sol, décidément elle avait été plus qu’inattentive à ce qu’il venait de se passer sous ses yeux. Elle sauta sur le comptoir, histoire de voir de plus haut et d'avoir une vue d’ensemble. Apparemment Marie avait réussi à tenir Alexandre à un verre, euh non ‘fin bon vous aurez compris hein…

Eviter les bouteilles renversées, marcher sur la pointe des pieds pour ne pas glisser en posant un talon dans un liquide à fort degré et qui lui aurait sans doute valu… Et vlan pas le temps de finir ses pensées que la rousse se retrouvait sur le fondement en train de tremper ses braies dans un liquide plutôt gluant et de ne pas arriver à se relever… Mouarfff, manquait plus que cela au tableau! Se pencher en avant, poser les mains collantes sur chaque côté du comptoir, s’agripper au bois, plonger la tête en avant et relever son arrière train de la façon la plus discrète possible en sachant que c’était la seule partie visible d’elle alors qu’elle essayait dans un ultime effort de se redresser sans repartir lamentable se casser le museau. Non, non, non, elle n’allait pas piquer du nez cette fois et s’aplatir de tout son long au milieu des contenants et du contenu alcoolisé qui la mettait plus à mal que ses adversaires! Et pourtant la rousse repartit sans le vouloir caresser de son corps l’emblématique comptoir qui avait l’air de l’apprécier plus qu’elle n’aurait aimé. Perte d’équilibre, épée qui vole mais dans quelle direction elle n’aurait su le dire! Serait–il possible qu’elle vienne chatouiller un de ses frères et faire une touche chanceuse sans que la Boesnière ait à lever le petit doigt? Mouais en même temps vu la position dans laquelle elle se tenait il aurait été difficile pour elle de faire plus ou mieux ! Mais ou était donc partie son arme? Et avait-elle réussit un coup sans le savoir? Cela aurait été la meilleure mais après tout il n’y a de la chance que pour les …. Tsss Ewa voyons !

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Argael
Et bien et bien, pour sur les tournures observées étaient toutes sauf académique. Les Sœurs inspirées comme jamais faisaient valoir leur intuition et leurs folies du moment, tandis que les deux frères au contraire se lâcher plus difficilement dans l’improvisation préférant manier l’épée avec précision et sûreté enlevant ici tout le superflu et la beauté de la passe d’arme.

Tandis que non loin l’échange se finissait au calva, un sacrilège de le sacrifier de la sorte, la rousse sembla un temps déboussolé, mais cela n’était que pour mieux revenir à la spontanéité qui faisait son charme et le charme de ce combat en général. Il devait bien l’avouer, jusqu’à présent elles avaient manqué de réussite dans leurs entreprises audacieuses.

Attentif à ses mouvement, la voyant aimé ce comptoir au point de venir le caresser de son corps, il baissa cependant un peu sa garde. Lorsque persévérant elle vint de nouveau embrasser le mobilier, un franc sourire se proposa sur son visage. Nouveauté ici, l’épée ne lui resta pas en main et se mit a voler dans la pièce puis retomber sur le sol plusieurs pieds plus loin.

En gentilhomme, il profita de l’occasion nouvelle pour faire entendre raison aux sœurs. A vrai dire un adversaire désarmé était bien souvent un adversaire mort dans la réalité voici ce qu’il faudrait retenir en portant la dernière touche qui ferait victorieux les hommes.

Excès de confiance cependant n’est jamais signe de victoire facile. N’oubliant point Marie Alice non loin, il lui faudrait agir avec célérité et touché de pointe, ce qu’il se prépara à faire en s’assurant mouvement de pieds rapides et surs.

Allongeant le bras donc l’épée se dirigea vers Sœur Ewaele, tandis que sa voix porta ces propos.


Dieu, qu’il fait soif sœur je pense que vous seriez en droit de nous offrir un breuvage. Et puis votre silhouette est bien de nature à dessécher la gorge d’un homme dans les positions utilisées pour déstabiliser.

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Mariealice
Ewaële

Humpfff !

Pas le temps de regarder si sa position était déstabilisante à dessécher le gossier d’un homme… Action, réaction elle avait une épée qui se pointait pour la toucher et il ne serait pas dit qu’elle se laisserait faire. Tout en essayant de récupérer un peu de tenue elle se mit à crier.


MARIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIE !

Sans oublier de trouver une réplique cinglante à faire à son frère qui se délectait de ses atouts féminin !

Marie

N'était-il pas mignon ainsi trempé et dégoulinant de calva. Il faut dire que Marie n'aimait pas cette boisson. Sacrilège auraient pensé les normands mais après tout pas sa faute. Alors non ce n'était pas gaché mais bien employé. Hop.

Elle allait répliquer qu'un verre ou deux n'avait absolument rien de suffisant mais un cri strident lui fit tourner la tête pour voir Argael pointant son épée sur Ewaele désarmée et allongée sur le comptoir dans une position....

Euh... Je reviens.

Ewaële

Ne se démontant pas pour autant la rousse, un oeil sur la pointe de l'épée qui arrivait pour la titiller et l'autre sur son amie pour voir si elle accourait ou non à son secours, afin de prendre les dispositions nécessaire... Regard louchant, strabisme divergent, grimaces ou yeux qui roulent leurs billes... Ewa dût se concentrer sur ce qui était et pas ce qui allait être... Mais surtout elle cherchait toujours quoi répondre à son frère qui n'avait pas les yeux dans sa poche... Et la phrase tomba!

Charmant. En gros ma silhouette donne envie de se plonger dans la boisson. Décidément il n'y a pas à dire Argael, tu sais parler aux femmes quand il s'agit de les faire fuir.

Marie

Marie retint un éclat de rire à la réplique de la rousse. Et paf pensa-t-elle. Non mais oh c'était quoi ses allusions?! Regard en coin sur Alexandre avant de bondir vers l'autre duo, épée et bras tendus en direction de celle du montagnard. Viser la lame sans aller trop loin pour ne pas toucher son amie. Et puis ne pas glisser sur l'alcool au sol.

Fer contre fer juste à temps pour faire dériver la touche qui n'eut pas lieu du coup tandis qu'elle posait son pied en plein dans une des flaques qu'elle avait tenté d'éviter, glissade en bout de course pour venir s'affaler sur le dos d'Argael. Erf.....


Ewaele

Mouvement enclenché alors qu'une Marie vint passer sous son nez pour riposter à l'attaque d'Argael... La rousse roula pour descendre de ce maudit comptoir qui lui aura joué bien des tours. Sa cible? L'épée d'Alexandre plantée dans une table non loin. Bah oui quoi elle se sentait nue, désarmée et cela aurait pu lui coûter cher. Avait-elle eu à peine le temps de se redresser de son roulé-boulé, pour se retrouver les pieds sur un sol plus ou moins meuble, tendre la main pour la poser sur la garde que v'la ti pas une Marie glissant allégrement dans un aller sans retour sur son frère. La Boesnière dans un moment de lucidité malgré le drame qui se jouait sous ses yeux tira et retira l'épée du bois ne sachant plus très bien quoi faire entre : aller secourir son amie qui l'avait tiré d'un mauvais pas ou ... Ben elle n’savait pas pour le coup.

Un pas en avant un pas en arrière, belotte et re-belotte inversée, la rousse piétinait en tortillant du nez. Regard sur le sol qui faute d’être givré était alcoolisé, retour sur les deux licorneux, légèrement mais très légèrement l’un sur l’autre, situation comique si elle n’avait pas été… Ahem.


Foutre dieu, mais ce n’est pas possible ça on joue de malchance ou nous sommes maudites, si ce n’est pas l’une c’est l’autre, nos frères vont finir par croire que nous sommes des catastrophes ambulantes.

Marie

Elle se releva, épée toujours à la main, grimaça, un peu rouge et toussota avant de dire.


Hum... Tu as les os durs toi hein... Je sens que je vais avoir des bleus...

Retour sur la rousse.

Nous ne sommes pas des catastrophes mais des artistes de haut vol, je suis certaine que nos Fréres savent reconnaitre notre talent à sa juste mesure.

De mauvaise foi elle? Ah non du tout. Mais fallait reconnaitre que faire une touche à coup de calva, cela avait un certain panache hein. A coups de gousse d'ails aussi pourriez-vous lui répliquer. Et bien tout dépendait si vous souhaitiez qu'elle vous découpa en morceaux.... Ou pas. Ceci dit, elle était donc prête à attaquer à son tour. Coup d'oeil à sa Soeur, façon tu choisis lequel toi?

Ewaele


Mouais tu sais quand je vois ce que vient de dire Argael de moi, j’ai peur qu’il ne puisse penser qu’on sait facilement lever la jambe… ‘fin bref passons où bien il va encore en profiter pour z’yeuter mes cuissardes!

Esquissa un fin sourire à sa suzeraine et prit la pose rapidement pour réfléchir à sa question.

Bah j’aime bien la fausse facilité tu vois et puis tu es si près d’Argael que je ne vais pas t’enlever le plaisir de lui affliger une de tes fameuses bottes… Se retient de rire en se souvenant de la première touche. Donc cela sera Alexandre le désarmé pour moi à moins qu’il puisse me prouver qu’il est malin, agile et peut récupérer mon épée qui est... Bah elle est où elle d’ailleurs ?

Rousse qui cherchait du regard son arme et qui la voyant sur le sol assez éloigné du blondinet se mit à sourire allégrement et à chantonner un poil moqueuse.

Marie


Hum... Et bien soit. Ce sera donc la rousse contre le blond. La Bourgogne contre le Lyonnais Dauphiné.

Elle fit une révérence, se pliant vers l'avant après avoir fait tournoyer sa lame, il ne manquait que le feutre à plume pour parfaire la scène.

Monseigneur, si vous voulez bien me faire l'honneur....

Redressée, en garde la plus académique qu'il soit, 20 sur 20 chez n'importe quel maître d'armes, réfléchir et vite à la façon de marquer la prochaine touche. Froncement de nez. Observation de la scène.

Et si.... Sourire taquin et fente vers l'avant pour rentre la monnaie de sa pièce à Argael, c'est-à-dire une fessée du plat de la lame.

Ewaele

Roulement de mécanique pour l’irlandaise qui s’approchait dangereusement d’Alexandre avec un sourire narquois, pensant : mon petit père tu es prit au piège!


Alors Garçon? Prêt à en découdre?

Pointant la lame de son épée vers son torse, le narguant de petits mouvements de poignet essayant de l’endormir, comme un pendule qui se balancerait sous son nez.

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Duel gagné: 1 (Mackx)
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Guillaume_de_jeneffe a écrit:
Par contre, pour ce que tu dis, Marie, je plussoie à 100%. Ca aussi, tu peux l'encadrer^^.

Pour le souvenir de l'irl à Bruges, faut montrer les deux faces nan mais!
Argael
Intervention inopinée, de Sœur Marie qui pour le coup, si son art du maniement d’une lame n’était plus à démontré, manquait de pratique pour ce qui toucher à l’équilibre.

Hum... Tu as les os durs toi hein... Je sens que je vais avoir des bleus...

Dieu que voici un souvenir des plus médiocre de ma personne, Marie je gage que je serais me montrer plus doux en d’autres occasions, les os seuls ne forment point un montagnard je te l’assure.

Nous ne sommes pas des catastrophes mais des artistes de haut vol, je suis certaine que nos Fréres savent reconnaitre notre talent à sa juste mesure.


Sourire un brin amusé, pour un moment peu ordinaire. Un moment simple hors norme que le temps lui avait apprit à apprécier. Je note une volonté évidente et un talent certains, voudriez vous de la peinture pour vos visages, et des balles de jonglages.

Dent visible, un brin provocateur, non vraiment en son fort intérieur il les remerciait de lui apporter un peu de plaisir et d’oublis en ces temps pour lui troublés.


Sœurs si d’aventure vous réussissiez la ou Icare à échoué, promettez moi de m’inviter, devant la peine que vous vous donner je vous souhaite pleine réussite.

Mouais tu sais quand je vois ce que vient de dire Argael de moi, j’ai peur qu’il ne puisse penser qu’on sait facilement lever la jambe… ‘fin bref passons où bien il va encore en profiter pour z’yeuter mes cuissardes!


Sœur je n’y puis rien si vos chevilles s’offrent de manière inopinée à notre vue, je ne vais pas risquer de perdre la passe d’arme pour avoir détourné les yeux. Ne vous déplaise donc je me dois et il s’agit d’un devoir de vous détailler plus avant.

Bah j’aime bien la fausse facilité tu vois et puis tu es si près d’Argael que je ne vais pas t’enlever le plaisir de lui affliger une de tes fameuses bottes…. Donc cela sera Alexandre le désarmé pour moi à moins qu’il puisse me prouver qu’il est malin, agile et peut récupérer mon épée qui est... Bah elle est où elle d’ailleurs ?

Hum... Et bien soit. Ce sera donc la rousse contre le blond. La Bourgogne contre le Lyonnais Dauphiné.

Monseigneur, si vous voulez bien me faire l'honneur....


Révérence exagérée la tête descendant bien bas au niveau des chevilles en retour. Puis surprise, il lâcha son épée, montrant la paume de ses mains.


Devant tant de beauté je suis à mon grand damne désarmé, sœur je suis cependant à vous près à répondre au mieux à cette échange.

Mais déjà l’attaque fut rapide et précise, et d’un mouvement habile vit la lame se diriger vers son postérieur. Voici une botte des plus secrète et déstabilisante.

D’un mouvement du bassin à la manière d’un matador habile, son fessier esquiva la lame de manière certes un peu chanceuse mais efficace. Dans le même temps avec célérité il se déplaça pour venir enserrer le poigner de Marie Alice.


A vous l’allonge à moi la mobilité sans arme. Me voici dans votre garde

Et ceci disant sa main libre se dirigea vers le séant de la Vicomtesse pour une touche, que d’autre pourrez assimiler à une fessée.

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Alexandre*
Voilà une bien mauvaise posture pour le blondinet de Guyenne. Mais était il le seul? Il semblait bien qu'une des soeurs préféra une position sur le comptoir qui aurait pu être fort excitante si ...enfin quoique finalement Alexandre en fut émoustillé. Mais surtout bien nu sans son épée que la rousse venait de s'emparer .

Donc cela sera Alexandre le désarmé pour moi à moins qu’il puisse me prouver qu’il est malin, agile et peut récupérer mon épée qui est... Bah elle est où elle d’ailleurs ?

L'ecuyer chercha du regard l' épée qu' avait perdu sa soeur Ewaele...Arfff elle était loin, malin et agile avait elle dit...Sauf que la rousse lui barrait le passage et s'approchait de lui dangereusement prenant Mon épée pour un moulin à vent. Que faire, Que faire ...

Elle jouait avec les nerfs d'Alexandre en le narguant

Alors Garçon? Prêt à en découdre?

Pret , prêt ? ba non pas prêt du tout meme. Facile de faire la fiere quand on a une épée en main face a un advesaire qui lui n'en a pas. Que lui répondre ? Lui faire croire qu' il a perdu espoir, ou au contraire la provoquer

Ewaele je suis ton homme si tu veux en découdre, mais faisons cela de manière plus agréable, sans arme, sans rien...
J' ai vu que le comptoir t'attirait peut etre que nous pourrions ...

Alexandre lui fait un sourire charmeur , lui laissant comprendre qu' il n' etait pas insensible à son fessier sur le comptoir. Un moment déstabilisé par l'attitude soudain bien cavaliere du Guyennois, il profite de l'occasion pour grimper sur la table qui se trouve sur son côté . La rousse essaye tant bien que mal de lui donner un coup d'épée mais Alexandre dans un bon met le pied dessus, l'empechant de la retirer.

Ma soeur tu vois bien que nous ferions mieux de passer à des pratiques bien plus agréables

Le blondinet descend de la table, après avoir poussé de sa botte la rousse en arriere ce qui lui fait tater le sol apres avoir laissé tomber l'épée. Il se trouve maintenant à ses côtés et en profite pour récupérer Son épée et la pointe vers sa soeur un peu moins fiere désormais , pret à toucher la rousse.

Je vous l'avais dit ma soeur d'autres jeux sont moins , comment dire... Alexandre rigola et regarda son frère

Frère Argael, je crois que ces dames nous ont sous estimés...

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Ewaele
Les mots résonnaient dans sa tête, elle aurait pratiquement pu en pouffer de rire tellement la situation était comique ‘Ewaele je suis ton homme’ euh ben oui s’il voulait hein. Aurait-il un faible le blondinet? Sourire et étincelles dans les prunelles de la rousse un poil malicieux mais faire fi des propos tenus, mimiques à foison qui se pointaient en écoutant la suite… ‘Des pratiques plus agréables’, nan mais on était partis où là? Tssss ces hommes. Et à la parole il adjoignit un sourire qui en disait long. Mouarfff la rousse devrait peut-être faire attention à ses attributs quand elle se ramassa en beauté, on dirait que cela émoustillait quelques museaux. Ne pas faillir et suivre ses mouvements, car malin comme il était, bien sûr il profitait de la situation et se faisait agile comme un cabri sautant sur la table et elle tentant de la pointe de son épée de l’intercepter. Loupé, il était plus rapide et son pied arrêta et bloqua la lame.

Joli.

Pas le temps de reprendre son souffle que son fondement était à nouveau mis à mal et allait caresser le sol de la taverne. Elle avait juste eu le temps de voir une botte arriver sur elle mais pas de l’éviter, décidément les pratiques étaient bien peu courantes dans ce duel et de bleus elle serait couverte si ils continuaient ainsi. Et comme un malheur n’arrivait jamais seul, surprise par l’élan de volonté du guyennois, Ewa en lâcha sa garde et perdit l’épée qu’elle avait piquée peu de temps avant à Alexandre. Côté à côte, cherchant de ses émeraudes comment éviter la touche alors qu’il récupérait déjà SON arme et s’apprêtait à la toucher, tout en clamant encore que d’autres jeux seraient plus… Ah il voulait jouer et bien rirait bien qui rirait le dernier, il n’y avait pas de raison de se démonter et puis de toute façon il l’aurait bien cherché, on verrait qui des deux aurait le dessus pour finir.

Profitant du fait qu’il s’adressait à Argael, la rouquine toujours à ses côté le chevaucha venant s’asseoir sur son ventre et le désarma en bloquant l’épée sous le talon de sa cuissarde et la faisant glisser au sol, l’obligeant par la même à desserrer ses doigts qui l’emprisonnaient et de rien pouvoir faire pour la récupérer. Elle se dépêcha de bloquer ses mains par les siennes en basculant sa poitrine et l’obligeant à s’allonger complètement sur le sol.

Alors tu disais d’autres jeux hum? Tu peux m’en dire plus, cela à l’air d’être fort intéressant. Du moins tu as l’air…

Elle se mordit la langue pour ne pas aller plus loin se rendant compte de la position dans laquelle ils se trouvaient maintenant tous les deux. Elle regarda l’autre couple de duelliste du coin de l’œil pour voir l’évolution de leur combat…

Bon Marie j’en fais quoi de ce joli cœur là Tu crois que s’y je le découpais pour en faire du jambon cela serait mangeable…

Elle esquissa un sourire innocent à l’intention de son frère qu’elle maintenait toujours sur le plancher de la taverne, ne doutant pas qu’elle payerait sans tarder gestes et propos. Puis comme il fallait une attaque et qu’elle était démunie d’armes pointues, elle se décida d’attaquer avec les moyens du bord et approcha sa bouche dangereusement de l’épaule du blondinet pour le mordre. Ben quoi on fait avec ce qu’on a hein!

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