Mariealice
Ah mais ah mais non....Du tout qu'elle sent ma botte, grossier personnage. En attendant tu n'as su léviter pour l'éviter la dite botte qui n'est pas de Nevers bien qu'elle soit bourguignonne. Mais visiblement le nez n'est pas ton atout majeur puisque tu n'arrives point à reconnaître les notes florales du délicate fleur.
Non mais oh. Et paf aurait-elle même pu appuyé à coups de chausse si sa besace avait été sous sa main. Il est des oublis comme de certaines personnes: fâcheux.
Et d'un coup voilà que les cartes changeaient de main non sans avoir été mélangées et la brune d'essayer de se repérer pour savoir qui, que, quoi, donc et où.
A ma droite une rouquine, non carmélite pourtant, en face à face un blondinet montagnard se prenant pour un chevalier blanc portant comme meuble héradilque une gousse d'ail sur fond de marmite. Pas très réglementaire que tout ceci en passant. Ah et dos à dos un un brun guyennais qui sans doute ayant aperçu un verre de vin de son duché lui fila un coup d'épaule et manqua de la faire s'étaler dans un magnifique plat ventre. Ah oui mais non là hein. C'est que la moutarde commençait à lui monter au nez à la bourguignonne. Remontant ses manches, le pied botté posé sur le bois, le second prenant appui à son tour pour répliquer. Sauf que ben.... Le plan sans accroc d'Ewaele commençait à prendre de la hauteur mais pas dans le bon sens, épée lâchée alors que Marie sautait sur la chaine en espérant la retenir. Mais il paraît que ce qui monte doit aussi redescendre et ce fut le cas de la Comtesse tandis que la Vicomtesse elle observait tout ceci d'en haut.
Profond soupir tandis qu'elle s'agrippait au métal comme Jane à sa liane.
Erf... Voici une fessée non méritée qui risque de se retrouver rendue sous peu je crois. En attendant si quelqu'un avait l'aimable bonté et charité de bien vouloir me faire regagner à défaut du plancher des vaches la table de la taverne, je lui serai infiniment reconnaissante.
Grand sourire, endormir l'adversaire, profiter du point de vue pour repérer quelques petites choses ici ou là. N'empêche ça sentait tout autant l'ail que le point concédé vu qu'elle ne pourrait se défendre d'une quelconque touche.
Non mais oh. Et paf aurait-elle même pu appuyé à coups de chausse si sa besace avait été sous sa main. Il est des oublis comme de certaines personnes: fâcheux.
Et d'un coup voilà que les cartes changeaient de main non sans avoir été mélangées et la brune d'essayer de se repérer pour savoir qui, que, quoi, donc et où.
A ma droite une rouquine, non carmélite pourtant, en face à face un blondinet montagnard se prenant pour un chevalier blanc portant comme meuble héradilque une gousse d'ail sur fond de marmite. Pas très réglementaire que tout ceci en passant. Ah et dos à dos un un brun guyennais qui sans doute ayant aperçu un verre de vin de son duché lui fila un coup d'épaule et manqua de la faire s'étaler dans un magnifique plat ventre. Ah oui mais non là hein. C'est que la moutarde commençait à lui monter au nez à la bourguignonne. Remontant ses manches, le pied botté posé sur le bois, le second prenant appui à son tour pour répliquer. Sauf que ben.... Le plan sans accroc d'Ewaele commençait à prendre de la hauteur mais pas dans le bon sens, épée lâchée alors que Marie sautait sur la chaine en espérant la retenir. Mais il paraît que ce qui monte doit aussi redescendre et ce fut le cas de la Comtesse tandis que la Vicomtesse elle observait tout ceci d'en haut.
Profond soupir tandis qu'elle s'agrippait au métal comme Jane à sa liane.
Erf... Voici une fessée non méritée qui risque de se retrouver rendue sous peu je crois. En attendant si quelqu'un avait l'aimable bonté et charité de bien vouloir me faire regagner à défaut du plancher des vaches la table de la taverne, je lui serai infiniment reconnaissante.
Grand sourire, endormir l'adversaire, profiter du point de vue pour repérer quelques petites choses ici ou là. N'empêche ça sentait tout autant l'ail que le point concédé vu qu'elle ne pourrait se défendre d'une quelconque touche.