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[Rp] Salle de bal

Alban_d_azayes
Sa jeune cavalière semblait rire en elle même. Il avait du manquer quelque chose mais il ne savait pas bien quoi.

Ceci dit il avait légérement froid à l'arrière train. Un petit courant d'air mais léger hein !

Oups, il se sentit rougir d'un coup. Avait-il réellement les fesses à l'air ou c'était juste son esprit malade qui divaguait ?

Non non c'était son esprit !!
"appellez la garde ! y'a un fou dans la salle !!"

Ah non c'était pas lui il avait réellement les fesse à l'air. Cul nu le garçon !

Ahhhhhhhhhhhhhh

L'air de rien il se tourna et se mit dos à la table, histoire de chacher ce que la nature l'avait si bien lotie.


Al... alors bon ce vin ?
Elegie
Alban se met dos à la table tentant de cacher ce que Dame nature lui laissait comme seul habit. Le sourire d'Elégie s'élargit.

Excellent ce vin Messire ! On pourrait même dire, pour employer certains termes employés par nos échansons, qu' il a de la cuisse ! Un régal.

Voulez vous danser à nouveau ? ou la danse vous aurait elle fatiguée ?


Sourire à nouveau narquois démentant un regard désolé.
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Alban_d_azayes
Hihihi elle est marrante elle ! On se marre bien rien à redire.

"Oh bin oui j'vais montrer mon cul à tout le monde ! On ira prendre un verre après et on se tapera sur l'épaule !!!"

Géné :


Et bin euh... comment vous dire... disons simplement que j'ai un légé probléme de...

Rohhh
Mais dis lui carément : "vous m'avez déculoté ! manque plus que la fessé ! grrr"

Non pas possible ça...


Et bien disons qu'il semblerai que je reste indisponible à partir de maintenant. Une vielle douleur au... enfin sur la face caché de ma personne...
Elegie
Le rire se fait franc et cristallin. Mettant une main à sa bouche pour masquer un peu vis à vis de leurs voisins les accents légers du rire, Elegie reprend un air plus sérieux.

Défaisant le voile couleur d'azur accroché de chaque côté de ses épaules, elle le tend à son interlocuteur délicatement.


voulez vous porter mes couleurs Messire ?

Voilà qui est dit. Et délicatement dit. Faire semblant .. toujours .. de ne rien voir que ce qui est normal. Elle se rend compte de l'énormité de ce qu'elle vient de dire .. Porter SES couleurs ! sur son arrière train !

La jeune fille devient rouge de confusion. Ca m'apprendra moi .. à être généreuse !

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Finute
Les yeux de la Blanche parcouraient les lieux après les avoir détaché des couples de danseurs. La beauté de la pièce était envoûtante. Les couleurs, les armoiries.... tout brillait comme milles feux.
Le verre entre ses mains terminé, elle le posa sur un plateau qu'un valet apportait et en prix un autre. Mais cette fois-ci elle le gardait dans les mains sans le boire.... ou à très petite gorgée pour en savourer le nectar.

Regardant les armoiries françaises avec attention en s'amusant à les déchiffrer et à savoir à qui elles appartenaient, une attira son attention. Une armoiries qui la fit frissonner et avoir une bride de souvenir revenir en elle.
Elle se voit petite fille dans un domaine noble courant dans les vastes jardins en compagnie de trois personnes : l'un était un homme, les deux autres des femmes dont l'une d'elles était servante et une autre, la femme de l'homme.
Cette femme.... elle la connaissait pour l'avoir déjà croisée dans le Chateau de Périgueux...

La jeune femme retrouva vue sur la salle de bal, portant la main à son front comme si elle avait été prise de vertige. Mais à qui appartenait ces armes ?... elle devait en avoir le cœur net...


Vicomtesse, ma suzeraine... savez-vous à qui appartiennent ces armes ? demanda Ela en montrant les armes de la Rochefoucauld, mais elle ne le savait pas encore...
Il me semble les avoir déjà vu, mais je ne m'en souviens plus...

Son regard passait de sa suzeraine aux armes. Un poids venait de s'ajouter en elle, des questions qui ne resteront, elle l'espérait, sans réponses bien longtemps.
Alban_d_azayes
Surpris.

Rien d'autre à dire que surpris. Les yeux écarquillés il ne su quoi répondre.

Que voulais t-elle ? Savait elle ce que cela voulais dire ? Oui certainement puisqu'il l'avait déja vu en joute.

Et quoi donc ? Vouait-elle voir sa lance plus... personnel ? Non certainement pas.

Que dire ? Que répondre à cette proposition qui, venu d'une femme bien moins élevé, serait certainement grivoise ?

Heuuuu

Bien donc reprenons, cacher sa nudité par un bout de tissu n'était pas une si mauvaise idée. Réponse frivole puis reprise dans le droit chemin ?
Non peut-être pas...


Si vous entendez par là cacher la nuidité que vous avez si joliement induite je ne suis pas contre...

Pas mal ! Tu t'en sort bien bonhomme...
Riwan
Melior me répondit en parlant de l'aveugle et de son admiration à son égard.
Je répond, détachés:

Vous serez donc ravies je suppose, d'apprendre que c'est le favoris pour succéder à mon défunt grand-père et ainsi devenir le nouveau Souverain breton.

Puis nous entrons dans la salle de bal. Blanche revient sur l'incident:
Voyons, c'est normal. C'était même un devoir.

Après un salut, elle revient sur mon double deuil. Mon visage s'attriste.
Laissons cela, voulez-vous ? Mon deuil est terminés.
Puis, en souriant:
Souhaitez-vous danser ?
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Son Altesse Riwan Nathan De Brocéliande
Alatariel
La baronne était restée perplexe plusieurs minutes, attendant une réaction de Kilia. Mais rien... son amie était plongée dans une douce rêverie.

Elle se dirigea d'un pas lent dans la salle de bal. Elle reconnut peu de monde... seul Sebbe, au loin. Il avait lui aussi pris un petit coup de vieux. Et personne pour dévaliser le buffet de LLyr avec elle.

C'est donc seule que l'Angevine s'approcha de la table, le port de tête haut et fier, et qu'elle commença a se servir un verre, puis deux... Ah ! Llyr quel homme...

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Blanche_
Le ravissement n'avait pas gagné la princesse blonde, qui loin de partager l'admiration pour l'aveugle de la vicomtesse, avait manqué de s'étouffer aux mots prononcés. Ciel que c'était ennuyeux ! Qui encore allait lui rabattre les oreilles avec la potentielle future décadence de Breizh, due à la montée houleuse du binoclard sur le trône ? Encore fallait il qu'il trouver un moyen pour y asseoir son fessier tout arthrosé, chose moins aisée ; l'espoir perdurait il, encor ?
Lasse de les écouter parler, elle retourne à sa contemplation de la vaste salle. Pas mal, pas mal... On doit leur accorder un petit goût artistique, tout de même. Bien qu'ils soient loin d'égaler Reoz, cela va sans dire !
Toute à son observation, elle n'écoute que d'une oreille la réponse toute protocolaire du jeune Riwan. Déconcertante, la façon qu'il a de toujours être aussi indifférent... Cela l'énerve, l'exaspère même. Et tout à fait horripilée, elle voudrait lui répondre combien elle le déteste, lui et sa manie de la rabaisser, combien elle déteste sa famille, ses racines, ses ancêtres, ses manières... Mais elle ne le peut. Alors elle reste muette, effort surhumain mais nécessaire, si elle veut se contenir et stopper ses quenottes ne demandant qu'à mordre la noble main.

*Danser ? Est il fou ? C'est une blague, hein ?!? Et moi qui croyais que c'était juste une farce... Me v'la maligne, tiens. Plu-tôt-mou-rir !*
Mais l'évidence s'impose. On ne dit pas non à un Brocéliande. Même si on le hait. Encore moins à un prince, même si son sang est aussi bleu que le notre. D'autant moins à un Dug, à qui on a juré obéissance.
Et, alors que l'envie toute folle de lui écraser le pied, là, juste pour le fun, la prend soudainement, elle lui rend un sourire pincé et réglementaire, maudissant son éducation.

Si tel est votre bon plaisir...
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Riches, tenez bon !
Alatariel
Au deuxième verre, la Grand Maitre de la Garde robe se rappela qu'elle était officier Royal et qu'en la circonstance, elle ne pouvait pas se mettre à l'envers au Louvre, en présence du Roi.

Elle pose donc son verre, se promettant de piquer une bouteille avant partir. Le port de tête toujours altier, elle se tourna vers l'assemblée en quête de ragots. Son regard se fixa sur une jeune blonde, l'air princier et hautain, qui était en train de danser. La jeune femme ne s'était pas encore présentée devant le Roy, impossible donc de savoir son nom...

Aux manières, ce n'était pas une Penthièvre.
Au visage ni une Dénéré ni une Valrose, ou bien alors, une bâtarde.
Aux vêtements, il se pouvait que ce soit une d'Azaye... les femmes avaient bon gout dans cette famille
Une Dénéré ? Non elle en aurait entendu parler
Les manières, donc : la jeune fille était cassante, comme ses pédants de bretons. Une bretonne au Louvre ? Déjà qu'une robe pour la reine avec de l'hermine faisait sensation, alors une bretonne en chair et en os...

Alatariel piqua une chouquette sur le buffet, et continua son observation.

Blondinette, comme elle dans la suite de ce passage, n'avait pas l'air très à l'aise quoiqu'elle sût fort bien danser. En voilà donc une qui n'avait pas l'air d'apprécier son cavalier... il était plutôt joli garçon... enfin, à cet age là, on est toujours beau...

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Adrienne
Ayant tôt fait de dérider le Vicomte de Biron par sa ritournelle peu protocolaire, la brune l'entraîna ensuite dans son tourbillon dansant improvisé, se laissant griser par la sensation d'ivresse que cela lui procurait.

Oh vous faites vous aussi partie de l'Ordre des Emuvillains. Et bien aux dernières nouvelles, notre ami commun s'était sauvagement fait agresser par une armée helvète, mais je ne doute pas qu'il se remettra bien vite de ses blessures, il est coriace. Ainsi vous fûtes feudataire du Périgord comme je le fus en Flandres, voilà rencontre qui est pour me plaire, le Sud m'a toujours intrigué. C'est d'ailleurs en la bonne ville de Lyon que je réside désormais.

Envolées les doutes et incertitudes, dissipées les inquiétudes concernant la guerre ébranlant le centre-ouest du Royaume, le temps d'un Tourdion endiablé. Un pas à dextre, deux à senestre, un petit tour sur elle-même, elle claqua dans ses mains avant d'enchaîner la suite … Adrienne menait la danse, s'amusant comme une jouvencelle, s'ingéniant à accélérer la cadence pour mesurer l'endurance de son cavalier.

Celui-ci ne déçut guère ses attentes et par on ne sait quel miracle, trouva même le moyen de palabrer avec une noble Dame sans perdre le rythme pour le moins soutenu imposé par son impétueuse partenaire. Décelant une inimitié certaine entre ces deux-là, elle se garda bien d'intervenir, l'heure n'étant pas aux esclandres. Ainsi la noblesse insouciante de France festoyait alors que la guerre grondait non loin, mais pour un soir, un seul, elle voulait s'accorder un moment de liberté illusoire mais ô combien nécessaire pour notre magistrate-chef de cabinet royal-conseillère ducale qui ne s'accordait que si peu de loisir.

Les ménestrels avaient cessé de jouer et cette danse avait donné grand soif à la flamande dont nul n'ignorait son penchant pour la boisson. Elle s'inclina face à son cavalier, tout sourire :


Ma foi, il semble que vous ayez quelques talents bien cachés, vous semblez à peine essoufflé ! Je vous remercie pour cette danse et ce moment d'évasion, Vicomte et je cède volontiers ma place à Damoiselle Blanche … Sans doute aurons-nous l'occasion de faire plus ample connaissance au cours de cette soirée.

Voyant la Vicomtesse Melior s'adonner sans remord au pêché de gourmandise en compagnie du Duc de la Cuicetandre et n'osant pas la déranger dans son orgie alimentaire, elle saisit une coupe d'ambroisie et décida de s'éloigner du banquet pour aller fureter dans la Salle Aux Mille Lys qu'elle n'avait pas encore eu le privilège de découvrir, afin de voir où en étaient les présentations à Sa Majesté, mais la longue file aux portes d'entrée l'en dissuada et c'est vers la Salon des Nymphes qu'elle se dirigea finalement.
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Blanche_
Sentant un regard fixé sur elle, l'Hermine se retourna fort discrètement, caressant du bout des doigts le ruban qui nouait son collier de perles. Et alors que les doigts pâles glissent le long de sa nuque, épousant les sphères ivoires, elle jette un regard étonné à son observatrice indiscrète.
Une femme, dont l'âge lui paraît indéterminable. Et cependant, on sent dans l'aisance qu'elle a à se mouvoir dans un tel lieu, que l'avantage des années lui procure une maitrise parfaite du protocole.
Qui est-ce ?
Toujours au bras de son blondinet, elle cherche à se rappeler. Ne l'a t'elle pas déjà vu, plus tôt, alors qu'elle arrivait tout juste en ce Palais merveilleux ? C'est chose acquise, désormais : elle connait ce visage, l'a tout du moins déjà entre-aperçu parmi les tournoiements de robes et de pourpoints qui se pavanent. Petit pincement de lèvres, elle se concentre. La céphalée ne se présente point, que soudain la réponse lui revient en mémoire : une parente de la duchesse avec laquelle elle s'était entretenue peu avant.
Et comme les prunelles inquisitrices ne se mouvent pas, qu'elle se sent jugée par la silhouette qui lui fait face un peu plus loin, l'enfante intimidée esquisse un sourire innocent, prémisse d'une discrète révérence. Fâcheuse habitude qu'elle a, d'attribuer aux inconnus un monceau de qualité avant même de leur avoir adressé la parole ; mais peu importe. La risette s'intensifie, invitation à venir les rejoindre.
Puis, les yeux toujours rivés sur l'inconnue à la chouquette, la môme répond doucement à Melior
: "Aux liens qui se nouent..."
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Riches, tenez bon !
Elegie
la jeune fille regarda le rejeton d'Azayes d'un sourire narquois, sans répondre. Saisissant du bout de ses mains un pilon bien charnu, elle se mit à le mordiller ainsi qu'un oisillon picorant ce qu'on lui donne.

Sans abaisser son regard, elle se penche vers lui... et tenta de parler bas


Peu me chaud votre vêtement ! j'ai envie de danser ! ne trouvez vous pas qu'on s'ennuie ici ? Je ne vois que personnes inconnues .. sans doute .. surement .. de haut rang .. de Oran ? mais non je n'ai pas dit ça ! je ne connais pas Orange ! Le Roy doit dormir à force de présentations .. je le plains un peu.. d'être obligé d'attendre ainsi saluts de la France entière .. et en plus à ses pieds !

Si j'étais Roy j'abolirai cela ! et si j'étais reyne je les ferai passer en courant !

la jeune Balsac rit à cette idée imaginant le spectacle.

Ses yeux s'échappaient sur les dorures et autres décorations du lieu qu'elle n'avait pas admiré auparavant. Ses yeux de provinciale se chargeaient de ces images qu'elle voulait retenir. Examinant un tableau puis l'autre, se demanda si quelque artiste du Bourbonnais pourrait reproduire à Vaulmiers cette riche fresque. Les yeux émerveillés, elle tenta de détourner Alban de son habit déchiré


Et bien ! Messire d'Azayes ! c'est beau n'est ce pas ? je veux les même chez moi !

une aile de poulet plus loin, elle n'avait plus faim. Marquant du pied la mesure au rythme de la musique, Elegie piaffait telle la pouliche moyenne. S'il ne m'invite pas à danser .. je vais me planter devant le premier qui entre et l'inviter à danser ! au diable les conventions !
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The_undertaker
C'est avec son épouse à son bras que le couple Saint Pierre entra dans la salle de bal.

Tak toujours aussi mal à l'aise, mais heureux de faire plaisir à sa fée....

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Lysesl


Ils avaient suivi le mouvement et étaient passés, eux aussi, à la salle de bal.
Regard circulaire pour apprécier la décoration, ses yeux s'attardant quelques fois à un tableau, à une tapisserie.
Le plancher de danse accueillait déjà quelques danseurs alors que d'autres invités étaient au buffet.
Elle aperçut, de l'autre côté de la salle, la jeune Elegie avec, à ses côtés, un jeune homme qui lui paraissait plutôt inconfortable.
Elle se retourna vers son mari en souriant, lui tendant la main.


Vicomte, vous m'invitez à danser ?

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