Burrich
Il sa réponse, les Sentinelles. Il y connait pas grand chose à cette compagnie là, à part le nom qu'il entend souvent. Des bouquets de Berrichons? Comme il y va, héhé...
Rassuré sur le sérieux du gosse, le sourire qui lui fend la poire s'étire et se transforme en un grossier ricanement aviné quand il en vient aux chaudasses auvergnates et note au passage qu'il doit probablement venir de ce duché.
C'est sur qu'c'est pas la vertu qui les étouffe là bas... Faut croire qu'ils sont pas avares pour tout .
Il acquiesce aux explications du gosse sans parvenir à dénicher sa réelle motivation dans ses paroles. L'a pourtant pas l'air d'un gosse des rues, l'a le vers facile donc forcément une éducation. Pas non plus un de ces habituels gosses d'Aristo qui croit que tout lui est dû. Qu'est ce qui a bien pu amener un gosse pareil à la guerre...
Hochement de tête négatif à la mention d'un Jazon.
J'ai joué ma carcasse pour le Limousin, Memento Mori. Mais j'suis pas du coin moi, j'viens d'Gascogne.
Il évite de mentionner qu'une greluche de l'ost a réussi à lui racler l'épaule d'un coup de lame dès le premier soir et qu'il a du revenir deux jours après quand tout était presque fini. Foutue guere qui l'a laissé sur sa faim...
La mine s'assombrit un instant et Burrich finit par avaler sa tranche de jambon qui lui rappelle le pays avant de faire glisser le tout en sifflant une dernière gorgée de sa chope qu'il repose lourdement. La bière aidant, les langues se délient et le Gascon détend sa posture, vouté sur le comptoir.
Et j'ai juste fait Châteauroux, on a déblayé l'chemin aux Tourangeaux en gros..
Il se doute que la pointe de sarcasme qu'il a dans la voix ne manquera pas de faire tiquer son interlocuteur qui a probablement du entrer avec les armées de Touraine mais il s'en réjouit intérieurement et poursuit.
Ensuite on a été obligé d'revenir en Limousin pour traquer des fuyards au lieu d'rester à Bourges pour l'final. 'Fin bon, les ordres sont les ordres quoi...
Le brun hausse les épaules, pas vraiment d'humeur à partager avec le môme ses maigres faits d'armes en Berry qui sont de l'ordre de l'étripage de solitaires pour la plus grande partie mais souhaitant néamoins poursuivre la discution.
Sinon, ça s'est passé comment à Bourges? L'avez pénétré comme une catin cette saleté d'capitale ou z'avez eu la chance qu'la résistance s'fasse sentir? Parc'que j'avoue que j'ai pas eu énormément d'écho d'la bataille...
Un nouveau regard en attendant la réponse du Gandelin, mais cette fois ci plus discret en direction d'Alcyone. La comtesse carmin parait en bien piteux état. D'abord il pense qu'il s'agit d'un moyen de garder sa couverture dans ce bouge. Mais son expression légèrement crispée et surtout son bras qu'elle place à la manière d'un animal blessé lui rappelle la confrontation de cette dernière avec Gmat. Et surtout que son objectif à présent est d'en faire un animal mort de celui ci. La vengeance sera double, avec les intérêts.
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Rassuré sur le sérieux du gosse, le sourire qui lui fend la poire s'étire et se transforme en un grossier ricanement aviné quand il en vient aux chaudasses auvergnates et note au passage qu'il doit probablement venir de ce duché.
C'est sur qu'c'est pas la vertu qui les étouffe là bas... Faut croire qu'ils sont pas avares pour tout .
Il acquiesce aux explications du gosse sans parvenir à dénicher sa réelle motivation dans ses paroles. L'a pourtant pas l'air d'un gosse des rues, l'a le vers facile donc forcément une éducation. Pas non plus un de ces habituels gosses d'Aristo qui croit que tout lui est dû. Qu'est ce qui a bien pu amener un gosse pareil à la guerre...
Hochement de tête négatif à la mention d'un Jazon.
J'ai joué ma carcasse pour le Limousin, Memento Mori. Mais j'suis pas du coin moi, j'viens d'Gascogne.
Il évite de mentionner qu'une greluche de l'ost a réussi à lui racler l'épaule d'un coup de lame dès le premier soir et qu'il a du revenir deux jours après quand tout était presque fini. Foutue guere qui l'a laissé sur sa faim...
La mine s'assombrit un instant et Burrich finit par avaler sa tranche de jambon qui lui rappelle le pays avant de faire glisser le tout en sifflant une dernière gorgée de sa chope qu'il repose lourdement. La bière aidant, les langues se délient et le Gascon détend sa posture, vouté sur le comptoir.
Et j'ai juste fait Châteauroux, on a déblayé l'chemin aux Tourangeaux en gros..
Il se doute que la pointe de sarcasme qu'il a dans la voix ne manquera pas de faire tiquer son interlocuteur qui a probablement du entrer avec les armées de Touraine mais il s'en réjouit intérieurement et poursuit.
Ensuite on a été obligé d'revenir en Limousin pour traquer des fuyards au lieu d'rester à Bourges pour l'final. 'Fin bon, les ordres sont les ordres quoi...
Le brun hausse les épaules, pas vraiment d'humeur à partager avec le môme ses maigres faits d'armes en Berry qui sont de l'ordre de l'étripage de solitaires pour la plus grande partie mais souhaitant néamoins poursuivre la discution.
Sinon, ça s'est passé comment à Bourges? L'avez pénétré comme une catin cette saleté d'capitale ou z'avez eu la chance qu'la résistance s'fasse sentir? Parc'que j'avoue que j'ai pas eu énormément d'écho d'la bataille...
Un nouveau regard en attendant la réponse du Gandelin, mais cette fois ci plus discret en direction d'Alcyone. La comtesse carmin parait en bien piteux état. D'abord il pense qu'il s'agit d'un moyen de garder sa couverture dans ce bouge. Mais son expression légèrement crispée et surtout son bras qu'elle place à la manière d'un animal blessé lui rappelle la confrontation de cette dernière avec Gmat. Et surtout que son objectif à présent est d'en faire un animal mort de celui ci. La vengeance sera double, avec les intérêts.
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