RP libre: Le Vago "desjuli & Folépi" debarque a cahors!!!

(HRP, tout le monde est invité a participer a ce RP avec grand plaisir, laissez libre cours a votre imaginantion et n'ayez peur de rien!!!)

Ils étaient arrivés au petit soir. un petit vent soufflait et attia avait déja sorti son chale bigarré dont elle s'était recouverte. Le plus important, trouver un endroit pas trop froid et ou le vago serait à l'abri des malveillants et leur offrirait assez de confort. Ils s'étaient arrêtés non loins des portes de la ville a proximité du verger.
Detacher Dagui le bel ane gris et le laisser taper causette avec Abyss le fier cheval qui semblait copiner malgré une distance naturelle due a sa noblesse de race.
Attia sourit en se prenant a essayer de deviner ce que pouvaient se raconter les betes, l'une qui braillait comme le vilain a qui il devait son doux nom et l'autre qui de temps à autre hénissait pour demander le calme certainement. La gitane sourit.

Elle regarda du coté de sa soeur qui parlait avec les hommes.
Le soir tombait doucement et il fallait preparer a manger. Elle retroussa ses manches de cantinière et sourit. ça faisait trop longtemps qu'ils se depensaient dans les auberges, elle allait se remettre aux fourneaux.

elle requisitionna son cher Nico pour lui allumer le feu pendant que folépi et son blond sortaient du vago les quelques vivres qu'ils avaient pensé à rapporter d'Albi.

La gitane ramena ses cheveux en chignon en arriere et s'atela a sortir la petite pièce de viande dont ils allaient devoir se contenter. En faisant cela elle pensait au potentiel que pouvait etre la ville de cahors. Se remettre en activité, reouvrir ses connexions celestes et reapprendre à l'epi a onduler des hanches pour renflouer les bourses... enfin les caisse de l'affaire familiale.

Elle rigola toute seule en regardant l'épi taquiner son blond qui le lui rendait bien.

-Hey vous deux z'avez pas bientot fini de vous amuser? trouvez quelque chose à faire. Pendant que j'y pense il nous faut deux trois bricoles et il faudrait que nous nous renseignions sur la ville. Pour l'heure ne vous dépensez pas, rangez le vago pendant que je nous prépare a grailler.

Elle ne leur laissa pas le loisir de la couper et sourit avant de se mettre a l'oeuvre chantonnante et admirative du tres beau feu que venait d'allumer nico.
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Amaury faisait tranquillement sa ronde autour de sa ville chérie, quand elle aperçut aux portes un campement.
Elle s'en approcha et se présenta a une des femmes......

Bonjour, Je suis Amaurydumans, chef douanière de Cahors , ville fruitière.
J’espère que votre voyage s’est bien passé. Si vous avez rencontré des problèmes en route, je vous conseille d’ adresser un courrier à notre lieutenant Messire Boucanier

Elle regarda autour d'elle et sourit aux visiteurs.Elle tendit un parchemin à la femme

Tenez voici des renseignemens sur notre ville pouvant vous etre utile. Passez dans la journée en douane pour signer le registre.
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Attia regarda de loin l'épi qui se posait oisivement sur une boite. Elle eut une petite moue suivie d'un sourire et d'un haussement d'épaules de dépit. Elle était de trop bonne humeur pour lui crier apres.

Elle se releva et vit alors arriver tour a tour une dame puis un homme.
Lorsque la dame se présenta Attia sut tout de suite de qui il s'agissait, le commis aux portes de la ville lui ayant remis la missive de la douanière.
Elle sourit en acceptant le parchemin que lui remettait la dame.

- Bien le merci dame. Je suis Attia, avec ma soeur Bysance et nos compagnons nous sommes en visite a Cahors. Nous avons fait bonne route depuis Villefranche et nous ne nous plaignons de rien pour le moment. merci de votre accueil.

Elle fronça legerement les sourcils.

- Un régistre?

Elle n'avait jamais aimé les régistres, laisser une trace... Elle sourit néanmoins et hocha la tete en signe d'agrément.

Elle se retrourna vers le messire qui avait une allure de soldat.Elel l'ecouta se présenter. Un lieutenant de police. Hum... elle eut un furtif regard vers l'épi avant de sourire a nouveau.

- Messire Boucanier, je suis Attia, avec ma soeur Bysance et nos compagnons nous sommes en visite a Cahors.

Elle rit intérieurement de la redondance de ses mots. Le messire semblait bien préssé et c'est sans plus rien ajouter qu'elle le laissa s'en aller. ils se verraient sans doute en taverne et pour l'heure il lui fallait terminer le diner.
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Il ignorait la belle sœur râleuse pour changer, continua son numéro devant sa belle ne la quittant pas des yeux ravi qu’il soit l’objet de son attention. Le poids de la charge lui semblait si léger lorsqu’elle l’admirait…
Alors que la demande de la frangine venait de perturber quelques peu les plans de nos deux amoureux, il regarda Bys amusé par sa bouderie…

Au moins on sait quoi manger...

Il posa la caisse près de Bysance, la souleva sans prévenir alors qu’il perçu une voix qu’il avait maintes fois entendu…Il se retourna, Bysance dans ses bras…

Amaury ! Comment vas-tu ?? Depuis le temps…
Un homme l’accompagnait
Enchanté messire…

Il avait vécu ici un bout de temps connaissait tous ceux qui venaient de Bergerac…un soupçon de nostalgie vint l’étreindre sans le préserver. Ce lieu n’était pas anodin, le verger, où Mythe avait passé un temps incalculable à lui expliquer comment bien cueillir, sa fameuse bataille de pommes pourries avec Vlady…que de souvenirs si lointains déjà…Il posa Bysance à terre lentement alors que ses pensées l’emmenait dans un passé bien révolu.

Puis une autre voix,
Latchos dives !
Bien le bonjour, mesdames.
il sourit…

Tiens ! Notre berrichonne amochée..mais venez donc, approchez vous…
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Entendant son nom , amaury se retourna , elle n'en cru pas ses yeux !!!!!!

Az !! c'est toi ?
Les larmes de bonheur lui montérent aux yeux en même temps que la montagne de souvenirs toujours très liée à sa chère amie perdue défilérent en cascade ? Bergerac, son arrivée, son amitié avec mythe , leurs soirées en taverne , leurs arrivées à cahors .......
Elle prit Azkaban dans ses bras [/i]

Que je suis heureuse de te revoir !! si je vais bien , mais je vais plus que bien maintenant . J'ai milles questions à te poser , tu penses bien.
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Il serra Amaury amicalement, heureux de la retrouver, tout en se reculant de quelques pas pour mieux la regarder, il lui dit :

-« Je te trouve splendide, et puis n’hésites pas à poser toutes les questions qui te sembleront opportunes… »

C’est alors que l’éclopé l’interpella
Coucou mes bras... J'venais voir votre campement, et les fruits que vous avez cueilli pour moi, Az..
Tiens. Cadeau pour réussir à m'supporter et avoir été au verger à ma place.

Il lui sourit en lançant voyant la bouteille tendue :
- « Attendez de voir la récolte avant ! »

Très ému par les retrouvailles il fit volte face pour se tourner vers Bysance :

-« Ce sont des amies, l’une très ancienne, Amaury, nos souvenirs peuvent nous mener très loin dans le temps, puis l’autre : c’est Amberle rencontrée en taverne depuis peu."

Tout en regardant les visiteuses :

-« je vous présente : Bysance qui m’accompagne partout, sa sœur Attia et un ami, Nico, nous avons pris les routes pour voir du pays »
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-mon blond beau frère, ton amie se joindra t'elle a nous pour diner?

Le ton de cette interrogation le ramena bien vite à la réalité, son esprit ne fit qu’un tour pour se dire qu’il y avait confusion quelque part…Attia connaissait sa soeur, avait perçue avant lui son embarras.
Son regard se posa sur Bysance pour y marquer un temps d'arrêt, son éloignement soudain le troubla, que pouvait bien penser son épi ? Il chercha à capter son regard pour comprendre...
Des mots de trop ? Des gestes mal perçus…les femmes sont si compliquées parfois !
Il brisa le silence pour éviter de piétiner sur des malentendus, tout en se rapprochant de sa belle, sa réponse fut ouverte.

Et bien, chère belle sœur, je crois que notre hospitalité pourrait bien aller jusque là…Bysance qu’en penses-tu ?

Alors que sa main vint entourer sa taille, il espérait qu’elle s’apaise un peu pour enfin vivre le moment avec la plus grande distraction.
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Décidemment,depuis qu'elle était avec Az,l'épi n'etait plus la meme.
Elle était mal a l'aise dés que son blond rencontrait ses connaissances féminines.
Elle ne savait jamais si c'etait une simple amie, une maitresse..
Et ne pas savoir l'embeter;
Bizarrement au plus elle l'aimait et au moins elle se sentait libre.

Mais elle aurait vite repris son jolie sourire,
si Az qui avait il est vrai,fait rapidement les présentations en l'incluant n'avait pas sortie cette phrase.

-« je vous présente : Bysance qui m’accompagne partout, sa sœur Attia et un ami, Nico, nous avons pris les routes pour voir du pays »

Bysance qui m'accompagne partout..Bysance qui m'accompagne partout...
La bonne grace que l'épi allait mettre dans la rencontre s'envola illico,
Attia avait bien entendu capter que l'épi ne serait pas ravie et le ton qu'elle employa pour parler a Az avait effet de mise en garde...

Trop tard...Bysance tenter de se contenir,de ne pas offrir une image d'elle qui n'était qu'une facette parmis d'autres,
et certainement pas celle qui la représentait le mieux.
Un sourire glacial ,
elle regarda Az droit dans les yeux et defit le bras qui entourait sa taille. elle s'avança vers les dames,
fit une révérence appuyée devant celles ci.

-Ravie mes Dames, je suis effectivement Bysance,Romni de mon état, Toujours sur les routes avec ma chére soeur, heu....petite amie de ce blond que je ne suis absolument pas partout,je n'ai point encore de queue a balancer et bien que je puisse le mordre...je n'aboie pas...


Le regard dur vers le blond elle prit une inspiration pour se calmer et offrit un sourire aux dames.
Certes grimaçant ,mais de bonne foie.

Et...je suis la route que le vent m'indique...derriere mon ane que je dirige...

Relevant la tete,le menton hautain elle tourna le dos a Az.
Bien qu'elle en soit amoureuse...elle se demandait souvent pourquoi...surement ses sublimes fesses qu'il cachait sous son mantel....ou ses yeux...ou....Elle chassa ses idees de la tete.

-Attia!! va falloir depecer des niglos pour ces bouches supplementaires non?
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Attia lança un regard amusé a la brunette eclopée. Elle apréciait son impudence et sa desivolture contrastant avec les comportements polissés qui l'exaspéraient. Elle sourit largement.

- Mais je vous en prie Amberle, mettez vous a l'aise, c'est de bon coeur que nous partageons ce repas avec vous. Avez vous deja eu l'occasion de gouter le niglo? Vous verez c'est excellent! La soupe ce sera pour un autre jour, les hommes on besoin de viande pour reprendre de la force!

Elle eut un petit rire en tendant l'oreille vers la tirade de l'épi. Fière de la verve de sa petite soeur elle s'approcha de l'épi.

- mon épi il y a des niglo séchés dans le vago, on va les preparer en sauce avec du pain ce sera parfait.

Elle rit encore un peu avant de se retourner poliment vers la dame douanière.

- Encore une fois je vous remercie de votre accueil. Soyez certaine qu'en cas de besoins nous saurons trouvez votre demeure.

Elle lui sourit avec bienveillance avant de retourner a sa casserole qui frémissait doucement.
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Une révérence ! On venait de lui faire une révérence ... Mazette! Première fois qu'Amberle voyait quelqu'un la saluer ainsi. Les mirettes écarquillées comme deux soucoupes émeraudes, sourcils en circonflexes qui font de paire avec cette expression du visage, la brune est attentive face à la scène. Très (trop?) protocolaire de base... Révérence, bonjour, 'chantée, vlà mon nom.. avant de changer de cap' en une fraction de seconde.

Se mordant la lèvre pour ne pas éclater de rire devant la tirade de la blonde, Amberle se concentre sur autre chose, tout en gardant la Roms dans son champ de vision. Bah vi, elle a beau être une mi-mercenaire, son éducation lui a appris le savoir vivre. On écoute et regarde les gens quand ils s'adressent à nous. Le regard se pose donc sur Byzance, ou plus exactement la branche d'arbre qui est juste derrière la blonde. La comparaison avec un clebs élargit son sourire... Ne pas rire, nan, elle risquerait de mal le prendre. Amberle s'focalise sur l'oiseau qui s'pose sur la branche. Mais les mots sont portés par le vent .. et d'une brune se marre. Un clebs et un âne! Vlà un joli couple.

Vous devriez le mordre plus souvent, c'te âne bâté. Les hommes aiment cela, allez comprendre pourquoi.

La douanière lève les soupcons éventuels en se présentant... Ne la connaissant que par courriers échangés, Amberle écoute et apprend les fonctions de la garde-frontière-recenseuse-de-voyageur... Pas très adepte des douaniers, la brune, comme tout voyageur averti d'ailleurs. Les pigeons foncent tellement rapidement sur les nouveaux venus en ville qu'à force, cela en est lassant. Mais celle ci, Amaury, était gentille. Elle s'était même souciée de son état de santé dans son pli...
Adjointe au maire, la classe... cheffe douanière et maréchal en plus.. Tudiou. Que des fonctions où la brune n'aurait pas sa place.

Vlà qu'elle repart, aussi sec. M'enfin ?! Pas un mot, pas un regard, envers l'éclopée. A la croire transparente. Les mots couchés sur le vélin n'étaient donc que pure politesse ? Tsss. Un murmure s'échappe, inaudible pour les autres.

Courge molle ou bigleuse ?

Les jurons fleuris attendront, Amberle est happée de ses pensées par les voix des gitans. Et les grommèlements s'évaporent, le sourire est de retour. La douanière était certainement trop submergée par ses émotions et le fait de revoir un ami... Moui. Autant croire cette hypothèse.

Regard sincère et bienveillant envers Attia et Nico. D'un coussin qui vient se caler sous ses fesses, crénom, elle ne s'attendait pas à tant de gentillesse de leur part.

Quand j'étais plus jeune, une Romni m'avait appris les bases de votre langage. Mais aujourd'hui, il ne me reste plus que le mot gadjo, et l'bonjour.. J'ai oublié comment on disait merci... mais le coeur y est !
Se tournant vers Attia, toujours aux fourneaux

Le niglo ? Nan, j'connais pas ce plat... Rhaaaaa j'ai envie de me lever pour vous aider et voir ce qu'il y a dans vot' casserole, mais le corps ne suit pas.

Grimace pas cachée du tout de la brune qui se sent prisonnière de son corps. Soupire de dépit, Amberle se penche vers le feu, laissant les flammes lui chatouiller les menottes.
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Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente ... Ou pas.
"Y a Amberle, une vraie perle"
---- Rajoutez le "e" final à Amberle pleaze ----

Tchuck avait croisé Attia et Byse le soir avant de reprendre la route vers Ville Franche. Il ne les avaient vu que quelques temps en taverne, mais suffisamment pour avoir été heureux de les retrouver et de rire a nouveau avec eux.
Et c'est donc de bonne humeur qu'il reprit la route ce soir la vers Ville Franche en compagnie de Dame Merenwenn, femme qu'il escortait jusqu'en Bourbonnais....

Mais, alors qu'ils avançaient dans la nuit noire après s'être reposé quelques heures, il entendit des cris puissant jaillir des buissons et vit alors des ombres se jeter sur eux.
Son épée avait était fendu de sa dernière attaque il y avait de cela a peine 2mois et il venait a peine de reprendre ses forces pour un nouveau voyage.
Puis lorsqu'il entendit ces cris il ne put s'empêcher de crier "Et ME*DE.... pas encore!!!"
Il aperçut alors ce qui pouvait ressembler à une armée, à la seule différence qu'elle ne brandissait pas d'étendard. Elle était pourtant en faction a Ville Franche, mais ne semblait pas répertoriée....bref...

Il prit alors Merenwenn et la cacha derrière lui puis se protégea d'avec son bouclier, esquivant quelque coup des assaillants. Il donna quelque coups de bâton aux assaillants, de toutes les forces qu'ils pouvait, sentant déjà ses bras lacérés sous l'attaque des lames. Puis son bouclier a nouveau se rompit et vola en éclat. Au même moment qu'il donnait un violent coup de bâton a son assaillant, ce dernier laissa sa lame pénétrer une fois de plus dans l'abdomen de Tchuck....

Une fois de plus cette sensation qu'il avait vécu à peine deux mois auparavant le réhabitat , sentant la froideur du métal l'envahir rapidement, sa respiration haleter et ses yeux se clore alors... Cependant il vit la femme qu'il avait tenter de protéger asséner un violent coup de bâton à l'attaquant.

Meren!!! Prends mon cheval!!! Fuis!!!! Vite!!!!

Puis il la regarda obéir et galoper rapidement vers Ville-Franche tandis que lui, une fois de plus s'écroulait à terre, un voile noir s'immisçant devant ses yeux.

Il rouvrit cependant les yeux plus tard. Le jour semblait se lever doucement, et la rosée du matin l'avait un peu rafraichi. Il se tourna sur le dos dans un long cri de douleur, pis regarda une fois de plus sa chemise grandement tâchée de sang. Il entreprit alors de se rediriger a nouveau vers Cahors, ce qui lui semblait le plus proche.
Mais il eu du mal a se relever. Il s'appuya contre un arbre, arracha sa chemise et s'en servi pour faire un pansement de fortune autour de son abdomen qui saignait toujours.

Il marcha lentement vers Cahors, agonisant encore sous la douleur. Le soleil se couchait déjà et il apercevait a peine le village au loin. Il continua tant bien que mal. Au bout de quelques heures, il aperçut le vago d'Attia et Byse, et se dirigea vers lui.
Arrivé au pas des marche il appela à l'aide et s'écroula une fois de plus à terre
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(desolée pour le petit d'arret d'hier, merci a Ljd boucanier pour sa comprehension...)

Attia sourit a amberle et lui fit signe de la main de rester assise. La casserole frémissait déja et elle la surveillait de pres. Elle eut un clin d'oeil complice a Nico qui se souciait de son confort. Elle appréciait beaucoup sa présence qui était rassurante et reconfortante.

- Le niglo dame amberle c'est une viande raffinée pour nou sles gitans, il convient de bien l'epicer pour en tirer toute la saveur.

Elle sourit et regarda l'épi qui avait son air desinvolte pendant que la dame douanière prenait congé d'eux. Elle souleva le couvercle de la casserole et huma l'odeur qui s'en dégageait.

Elle fronça les sourcils et regarda autour d'elle.

- Hum si je pouvais trouver un peu de romarin ou une herbe dans le genre...

Elle reposa le couvercle et fit le tour du vago espérant trouver des hermes aromatiques sauvages. Elle s'eloigna doucement du vago scrutant le sol avant qu'il ne soit trop sombre pour ça.

Elle eut un petit cri de sursaut. Une masse sur le sol qui ressemblait a un homme. Eh bien quel malheureus avait tant bu pour s'ecrouler la? Elle sourit et s'approcha.

Le sourire s'effaça de ses levres lorsqu'elle vit du sang.
- oh mon Dieu...

Elle s'elança vers le bléssé et se mit a genoux essayant de le retourner, de degager sa chevelure. Elle y arriva en faisant bien attention, et lorsqu'elle vit son visage elle porta sa main a sa bouche.

- THUCK!!!

Elle l'empoigna au col et lui tapota la joue.

- Thuck parle moi dis quelque chose...

Affolée et terrorisée du pire elle colla son oreille a sa poitrine priant pour entendre le bruit rassurant de son coeur. Elle perçut un poul faible qui la rassura. Il était en vie.

Elle se releva et retroussa ses jupons.

- BYBY! VIIIIITE VIENS TOUT DE SUITE! C'EST TCHUK!!!!

Elle se remit a genoux et degagea sa poitrine. Il était salement bléssé. Elle sentit les larmes lui venir. Elle degagea les cheveux de son visage .

- On va s'occuper de toi...
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L'epi qui lache une phrase qui lui serre le coeur. Non il n'est pas mort, c'est ce qu'elle lui fait comprendre par un sihne de la tete. Mais il était dans un sale état et il faudrait s'occuper de lui. Mais il fallait laisser les emotions pour plus tard, la il convenait de faire le necessaire pour essayer de limiter les degats de ses blessures. Elle respira un grand coup et se releva laissant l'epi a genoux tenant la tete du pauvre tchuk.

- Reste la je vais chercher les hommes...

Elle retroussa ses jupons et courrut au vago la mine sombre. Une fois aupres des autres elle s'avança vers le feu.

- Az, et nico! Thuck est bléssé la bas! Il faut aller le chercher et le ramener ici, vite s'il vous plait!!!

Elle retira rapidement la casserole contenant leur diner et la posa de coté. Un regard inquiet lancé vers la brunette toujours assise.

- Le niglo ce sera pour plus tard ...

Elle jetta quelques morceaux de bois dans le petit feu et courut chercher un peu d'eau dans la barge qu'elle avaient sur le vago. Elle mit une petite marmite d'eau au dessus du feu.

Sans perdre une seconde, elle entra a l'interieur du vago pour degager assez de place et trouver de quoi faire des bandages.
Elle fouilla bien dans une de leurs malles. Trouver ce bocal que Maka leur avait donné il y a longtemps. Elle fouilla nerveusement avant de trouver. Elle l'ouvrit , l'odeur de l'herbe amère, mais qui avait des vertus soignantes . Pour les blessures serieuses qu'il avait dit le Dat.
Tremblante, elle sortit du vago, posa le bocal sur une des caisses et comença a dechirer le bout de drap qu'elle avait trouvé. Il fallait faire le necessaire pour donner les premiers soins a leur cher ami.
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Son approche fut ratée, Bysance semblait peu réceptive à ses marques de tendresse, un peu abasourdi il sourit bêtement quand Amaury vint le saluer en lui chuchotant l’interdiction qu’elle semblait vouloir ignorer…

Oui, il savait depuis le début la menace latente qui planait au dessus d’eux mais savait pertinemment qu’avec lui il n’y aura aucune incartade…

Il regarda son amie s’éloigner tout en laissant son attention sur les paroles de Bysance, l’épi donnait bien l’impression d’être un peu agacée, lorsque celle-ci passa du chien à l’âne il resta sans voix…Et à la brune diminuée d’enchérir en soulignant la stupidité du bourricot exprimant aussi leur amour des morsures…Ah lala les femmes…que de fantasmes….Un sourire vint remplacer son désarroi.

Les deux sœurs s’affairant à la tambouille, il commença à conter pour la petite brunette le début de leur voyage, les frasques de l’âne Dagui, surement celui dont sa blonde voulait parler tout à l’heure…
Leur discussion fut interrompue lorsqu’Attia arriva, leur demandant de l’aide.

Az, et nico! Thuck est blessé la bas! Il faut aller le chercher et le ramener ici, vite s'il vous plait!!!

Sans dire mot, Az se précipita vers la voix de sa douce…le nom tournait dans sa tête…Tchuck…Tchuck. Au détour du vago, une masse dans la peine ombre, Il se jeta près d’eux :

On va s’occuper de lui…

Un bref regard pour tenter d’évaluer les blessures, il avait rarement eu à faire à ce genre de situation mais se voulait rester lucide. Az couvrit leur ami de son mantel.

Laisse Bys. il prit la place de sa main continua la pression puis ajouta :

Parle lui, tente de le garder en éveil…Très inquiet, il empoigna Tchuk pour commencer à le relever.

Il faut le mener à l’intérieur, aide moi
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Tchuck était allongé a terre et il entendit quelqu'un arriver. lorsqu'il entendit la voix de la demoiselle, il reconnu directement celle d'Attia. Elle le retourna et il ouvrit la bouche pour crier de douleur mais aucun son n'en sorti. Il senti l'air froid caresser son visage alors qu'elle dégageait ses long cheveux de celui ci.

Quelques secondes après il entendit l'Epi arriver. Mais ses yeux ne s'ouvrait toujours pas. Elle posa sa tete sur ses genoux et déjà Attia était repartie chercher de l'aide. Alors qu'il tentait d'ouvrir la bouche pour dire quelque chose, le son n'arrivait a sortir de ses lèvres et il sentait déjà les larmes de Byby tomber goutte a goutte sur son visage. Elle compressa son bassin pour essayer de ralentir l'hémorragie. La douleur était de nouveau intense mais toujours aucun son ne sortait de sa bouche.
Que se passait-il? Pourquoi n'arrivait-il pas à parler? à crier?

Il essayât tant bien que mal de bouger sa main et la leva lentement vers Bysance, essayant de s'accrocher à elle alors qu'elle lui racontait avec sa voix tremblante les souvenirs qu'ils avaient ensemble. Un sourire se dessina sur ses lèvres essayant de prendre la place de la douleur.

Puis une voix qu'il reconnu s'approcha. Il ne l'avait entendu qu'une seule fois. Un jour prés du feu où toute la famille s'était rejoint a Agen. Le compagnon de Byse. Il l'empoignât, appuya un peu plus sur sa blessure pour tenter de la stopper et l'entendit dire qu'il fallait le soulever pour le mettre a l'intérieur.
Il savait que la douleur serait a nouveau intense, mais il ne pouvait rien dire. Il n'y arrivait pas. Son sourire s'effaça alors rapidement laissant place de nouveau à une grimace déformant son visage en pensant a la douleur qu'il allait bientôt ressentir.
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Par chance,Az arriva assez vite,suivi de prés par Nico.
Vite il prit les choses en main,sa belle l'écoutait esperant qu'il sache quoi faire.
Elle regardait les hommes qui soulever Tchuck,tout en continuant de parler a tchuck,
lui expliquant chaque gestes fait.
Sous la peur elle ne vit pas la brunette arriver prés d'eux,
ce n'est que lorsqu'elle parla que l'épi se rendit compte qu'elle avait claudiquer jusqu'a eux.

Mhm.Je sais et peux recoudre les plaies... ou Dame Songe pourrait l'aider, au dispensaire. B'soin d'eau, pour nettoyer la plaie.

-De l'eau? tout de suite...vous...vous savez?

Sans attendre sa réponse l'épi la prit par le bras, l'aidant a se mouvoir plus vite,pour suivre les hommes au vago.

-Vous allez le faire, maintenant, pas le temps d'appeler quelqun...c'est c'est tchuck...

Dans sa tourmente, l'épi ne laissait pas de choix a Amberle,
seuls ses sentiments la guider et il etait aisé de voir qu'elle n'avait pas conscience de sa brusquerie.
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Happée par la tornade blonde qui l'entraine vers le feu à grande vitesse, Amberle en lâche ses béquilles de surprise. Grommèle et peste contre ces fichus bâtons.

Laissant Attia calmer Byzance, Amberle fouille dans sa besace et en ressort deux objets. De la mirabelle, toujours de la mirabelle pour soigner, et une pince. Débouche la flasque, s'en prend une gorgée, afin de se donner du courage, et saisit un pan de sa manche. Imbibe d'alcool sa houppelande, et s'en sert pour désinfecter la pince.

Le regard se tourne vers les deux dames.

Attia, vous serez mes bras pour les soins ... Mais avant cela, laissez moi nettoyer la plaie. Ca reste dans mes forces actuelles. Vous avez bien des herbes de cuisine dans votre vago ? Ramenez en. Sauge et thym en priorité. Prenez tout c'que vous avez sous le bras. On avisera.

Byzance, inspirez et expirez... Votre soeur a raison, vous devez vous ressaissir et tentez d'être calme. Parlez lui, racontez lui votre vie, faites qu'il garde un lien avec le présent ... Mais calmement ... pas d'affolement... Idem pour vous, messieurs... Il a besoin de vous... tous.


Assez causé. Elle a déjà perdu assez de temps.

Amberle prend l'éponge des mains de Attia, d'office et continue de nettoyer la plaie, trempant l'objet dans la bassine d'eau tiède régulièrement. Se mordre la lèvre, et se rappeler exactement les moindres faits et gestes de Mentaig, d'Hiji.
Nettoyer la plaie, sans omettre une seule parcelle du trou béant, cautériser avec un baume, coudre. Revoir les scènes avec Aphélie, et se rappeler toutes les conneries à ne pas faire. Un sourire en coin qui s'amorce sur son visage, Amberle se penche vers l'oreille du mourant. Tchuck qu'il parait ... Va pour l'nom.

Faites pas l'con, Tchuck, t'nez bon.
Promis, j'n'oublierais pas une bobine de fils à l'intérieur de vous.

L'humour, même dans des situations sombres, afin de dédramatiser et calmer les esprits.
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Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente ... Ou pas.
"Y a Amberle, une vraie perle"
---- Rajoutez le "e" final à Amberle pleaze ----

Attia se laisse bousculer par dame Anberle qui lui prend l'eponge des mains. Elle se sait impuissante et essaie de contenir la panique en elle. Elle se pousse pretant une attention meticuleuse aux moindres gestes de la brunette entre les mains de la quelle la vie de tchuck était.
Faire confiance a une étrangère, voila ce a quoi elle étaient forcées, mais si elle reussissait, elle lui en serait eternellement reconnaissante. Elle regarda l'epi parler a tchuk et sourit faiblement, son pouls saccadé resonnant dans sa poitrine.
Elle regardait chacun des gestes de la brunette retenant le maximum, un jour elle n'aurait plus besoin de se confier aux mains du hasard.
Elle sourit a amberle qui trouva le moyen de faire une boutade. Elle allait bien opérer, il fallait qu'elle le fasse bien. Tchuk survivrait et s'en sortirait mieux.

- Byby, s'il ... s'il souffre trop, donne lui a boire, cela l'aidera peut etre. La liqueur qui est la est tres forte ça devrait bien marcher.

Se retrounant vers Amberle, elle lui tendit le bocal de baume.

- Je pense que ceci fera l'affaire, je n'ai plus rien dans le vago, mais d'apres mon pere, se baume est for efficace pour les plaies serieuses, il est préparé a base des meilleures plantes, utilisons le...

Elle prit une respiration avant de passer un doigt hésitant sur la joue de Tchuck.

- Reste la avec nous, beau reve...

Elle ne sut pourquoi elle avait employé ces mots, mais une larme roula sur sa joue a ce moment avant de disparaitre dans le sillon de sa joue.Regardant amberle le regard brillant elle retroussa ses manches.

-Je ferais tout ce que vous me direz...
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C'est comme si elle n'était pas la, comme si son corps se raccrochait malgré la detresse qui la gagnait. Il ne fallait penser qu'a une chose, sauver Tchuck, le tirer des griffes de la mort avant qu'elle arrive au petit matin.

La voix de la brunette qui resonne dans sa tete et la salive qu'elle avale a grande peine. Recoudre, c'est elle qui allait recoudre... Bien sur elle en avait deja eu des travaux de couture, mais la il s'agissait de la peau de Tchuk. Elle avait pas de temps pour reflechir que deja Amberle retenait la peau a l'aide de sa pince la poussant a commencer son oeuvre.

Elle ferma les yeux un quart de seconde essayant de retenir le tremblement de sa main lorsqu'elle enfonça l'aiguille dans la chair beante, sans vouloir etre consciente de la douleur qu'elle infligeait au pauvre Tchuck.

La sueur perlait sur son front et a la lueur du feu au fur et a mesure qu'elle oeuvrait sous les directives et la voix bienveillante d' Amberle.
Point apres point les sutures étaient posées et elle finit par en voir le bout, fremissant de terminer enfin, de finir de recoudre la plaie en espérant que cela serve. Le sang tachait ses mains blanches et bizzarement elle le sentait jusque dans sa bouche, cette odeur, ce gout de sang. Elle avala a nouveau avec peine tout en faisant le noeud final sur le fil de couture.

Amberle qui donne les dernieres indications avant de vaciller. Attia lache rapidement l'aiguille pour venir en aide a leur bienfaitrice.
Comment faire avec deux blessés sous les bras?

- Amberle!

Regardant Nico et Az le regard implorant elle leur demanda.

- Elle est exténuée, emmenez la dans le vago, je vais terminer de soigner Thcuk et on le rentrera aussi...

Elle ferma les yeux pour contenir la nervosité qui montait en elle.
Ne pas fléchir, Tchuck comptait encore sur elle.

- continue de lui parler byby, ça va aller maintenant...

Essayant de se convaincre elle meme, elle ouvrit le bocal de baume, en prelevant une quantité assez importantes qu'elle passa le long de la plaie suturée.

- Va certainement y avoir une vilaine cicatrice....

Elle sourit, tout en exagerant sur la quantité de baume, avant de saisir les bouts de drap.

- byby va falloir que tu m'aides, avec az, a le retourner pour passer le bandage.

Elle posa un morceau de gaze sur la plaie avant de saisir les lambeaux de drap plus longs, pour en enrouler le torse de Tchuck en veillant a ne pas serrer trop fort.

Cela prit un peu de temps mais l'effort paierait certainement. Attia se laissa aller a pousser un grand soupir alors qu'elle faisait le dernier noeud.

- Il nous reste plus qu'a prier...
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