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Les appartements de "Marche"

---fromFRAnn
Si elle avait pu soupirer là dessous, nul doute que la Princesse l'aurait fait.. mais elle retient du bout des lèvres le souffle. Les contractions se font de plus en plus rapprochées et l'heure de la délivrance approche.

Oui Neb..; je vois le dessus d'un petit crâne lisse et quelques cheveux clairsemés dessus...
Continue à pousser...


Jusqu'à présent, tout se passe bien, et la Princesse remercie d'une prière muette Sainte Illinda. A tatons, elle se saisit d'un autre draps, qu'elle passe sous la tête du bébé et entreprends de le soutenir ainsi.

Le bouquin survit? Et ne t'arrêtes pas de pousser!

La Princesse avait oublié que la Comtesse ne pouvait répondre! Elle devrait peut-être accoucher plus souvent finalement...
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Transat en cours de réféction
Nebisa
Pousser... pousser... c'est facile à dire ça ... On voit bien que c'est pas elle qui se déchire de l'intérieur depuis presque vingt quatre heures... Bon sang mais c'est un bébé ou un boulet de canon que je dois expulser ?

Haletant et gémissant, Neb s'agrippe aux draps pour se redresser et pousser encore, encore et encore... Ses ongles ripent sur le tissus et s'enfonce dans ses paumes, lacérant la peau au passage, sans qu'elle le sente ou prête attention, la tête vide, guidée seulement par ce meitmotiv ...

Les épaules sont enfin dégagées, premier hurlement. Alban qui se redresse à ce moment pour tomber sur la vision d'une comtesse accouchant, une princesse sous les jupons de la dites comtesse et la moitié du corps d'un bébé sortant de la dites comtesse, dira plus tard qu'il n'a jamais rien entendu d'aussi horrible de toute sa vie "on aurait dit une bête en rage" et même s'il le niera, au moment ou tombe à nouveau dans les pommes, il semble sur de ne jamais céder au péché de chair, plutot que de revivre cet effroyable instant...

Le reste du corps du nouveau né suit rapidement et alors qu'Ann officie, Neb retombe sur la couche en gémissant et se penche pour chercher à voir son enfant.


Oh bon sang... co... comment... pourquoi est ce que je n'entend pas pleurer ? AAAANN ! POURQUOI ?
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---fromFRAnn
Le bébé est expulsé avec une rapidité surprenante que nombres de femmes enviraient. Voilà la pauvre Ann bien soulagée. Et recueillant le petit corps au creux de le serviette, elle sourit, l'essuit avec douceur et le retournant, tappote avec douceur les petites fesses rebondies, dégageant voies respiratoires et bronches. Un petit hoquet accompagne son geste et des pleurs stridents mais si rassurants accompagnent le geste.
Pour un bébé né avec un mois d'avance, il paraît bien portant et la Princesse adresse un sourire rassurant à Nebisa


Je te présentes ton fils...

c'est cet instant précis, alors qu'Ann pose l'enfant sur le sein maternel, qu'Alban relève la tête et poussant un cri s'effondre à nouveau par terre. A t'on idée aussi. Une Comtesse jupons retroussés, et ensanglanté. Une petite chose braillarde et encore un peu sanglante et une Princesse blanche, portant deuil, et pourtant rouge de sang!
alors que l'enfant rejoint sa mère, Ann reprends sa dague dans le feu, certaine ainsi de limiter les risques infectieux et tranche le cordon, avant de tirer dessus... mais le placneta ne vient pas... Haussement de sourcils. Tirage de cordon... Haussement de sourcils... Tirage de cordon...


Neeeebounette.... Tu prends ta respiration et tu pousses d'accord?

Large sourire qui semble dévoiler plus de dents que ne peut en avoir un être normalement constitué.
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Transat en cours de réféction
Nebisa
Mon fils...


Le visage encore chiffoné de son fils l'accaparant, Neb ne prête pas vraiment attention aux agissement de son amie, le coupage de cordon et ce qui s'en suis est banal alors que le petit être dans ses bras est exceptionnel... exceptionnellement beau bien sur... l'émotion l'étreint et elle caresse la petite joue alors qu'en un réflexe instinctif, le bébé cherche son sein.

Cependant une sensation bizarre s'empare de son corps... son ventre se tord à nouveau... Neb se fige...


Ann... j'ai... pourquoi... pourquoi j'ai encore une contraction ?

La lumiére se fait dans l'esprit de Neb, décidément trés perspicace ... elle comprend soudain pourquoi elle a tellement gonfflé ces derniers mois, pourquoi son dos était si douloureux... pourquoi elle a encore des contractions et un nouveau cri s'échappe de sa gorge...

AARRGH...
par la barbe d'aristote et le cors au pied de sainte Runégonde... par les engelure de saint Gudélon ... Mais qu'est ce que j'ai fait au ciel... Et je t'interdis de rire Ann de Bellac !!!

Le sourrire d'Ann n'a d'égale que le désoroi de Neb... se remettre à pousser aprés l'effort intense déjà fourni... plus facile à dire qu'à faire... Mais la boule de chaleur sur son coeur lui procure une force nouvelle...
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---fromFRAnn
Gudélon! C'est joli!

Ne pouvant résister, la princesse fait risette au petit garçon et murmure

Bonjour petit Gudélon... comme tu es joli. Oh oui... Bon d'accord Gudélon, c'est pas top, mais je suis sûr que tu arriveras à le porter... de toutes façons avec une mère comme la tienne faut bien s'assumer hein...pis l'assumer aussi!
Hein l'accouchement? Ah oui...


Souriante, elle retourne entre les jupons et tapotte sur la cuisse de Neb. Elle retient difficilement un rire tout de même, mais son sourire en dit long

Allez pousse! Allez, allez.

La tête sort bientôt. Accouchement revé... Elle se rappele du sien. Lorsqu'elle avait accouché d'Hughes, la sage-femme avait du sortir les forceps parce que le bébé se présentait mal...
A nouveau le même rituel. Récupérer le bébé, tappoter les fesses Bonjour Runégonde, le regarder pleurer avec un air d'admiration béate, couper le cordon en le mettant sur l'autre sein maternel (heureusement il y a de la place), bander les deux nombrils, tirer sur le placenta...


Oh Neb...non je plaisante!
Ils sont beaux tes garçons, mais Rudégonde c'est pas terrible pour un petit gars, si? Enfin, c'est comme tu veux...


Sourire large tandisqu'elle se nettoie les mains et qu'Alban ouvr eun oeil pour le refermer aussi vite "plus jamais, plus jamais"...
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Transat en cours de réféction
Nebisa
Occupée à pousser avec hargne, Neb se contente de jeter à son amie un regard qui ferait frémir plus d'un page. D'ailleurs Alban qui se reléve en bavant, l'oeil hagard et la lévre tremblante n'ose même pas s'évanouir à nouveau et et c'est le visage révulsé par l'horreur qu'il assiste à l'arrivée parmis les hommes du petit dernier de la fratrie Malemort...

Un enfant sur chaque sein, la nature est tout de même bien faites... heureusement que les triplés sont rares parce qu'un troisiéme sein ça gacherait un peu l'harmonie et... euh... les pensées nebisienne reviennent se fixer sur les deux petits anges...

Des jumeaux... parfaitement identiques, un peu chétifs sans doute et si miniscules... Mais aprés tellement d'épreuves, ils sont bien là et une fois n'est pas coûtume, la mére remercie le ciel de l'avoir faites de solide constitution... Elle a moins de difficulté à mettre un enfant au monde qu'à garder le coeur et la présence du pére...


Quoi ? Un troisiéme ? Non mais tu plaisantes ! Oh... tu plaisante... Ann je ne t'aimerai pas autant... je t'étranglerai volontiers ! Tu veux bien garder le placenta dans un linge ? Je veux le rammener en Limousin...


Tandis qu'Ann la nettoie et achéve les détails peu ragoutants de l'accouchement, Neb sourrie de ravissement, ses craintes effacées, sa peine disparrue pour l'heure... Plus de deuil ou de désespoir dans ces instants ou la vie vous bénie...

Ann... mes fils ne s'appellent pas Gudélon et Rudégonde ! Pourquoi pas Saturnin et Aristophane tant qu'à y être ! Tsss ! Je ne sais pas comment les appeler... Je... n'ai pas d'idée !

Avisant Alban qui pleure doucement dans le fond de la piéce, la comtesse s'empresse de refermer ses jambes en rougissant d'indignation.

EEEHH ! C'est pas une exposition des bijoux de la couronne ici ! Non mais qu'est ce que ce voyeur fait là ! Au lieux de jouer au poervers, vas t'en donc me trouver des langes et du linge pour nouveau né et deux berceaux et je les veux avant une heure sinon tu devras m'en répondre !

L'Alban soulagé de quitter enfin cet enfer disparait dans le couloir, s'arrêtant quelques portes plus loin pour tomber à genoux et prier de toute son âme Aristote d'effacer ces images horribles de son esprit. Enfin peut être pas tout... les bijoux de la Comtesse...

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Guilhem*
Guilhem secoue la tête, sorti de ses pensées par l’arrivée imminente. Sur son cheval , en route pour l’appartement de sa marraine adorée. La tête tourbillonnant de pensées, plus ou moins sombre, plus ou moins compliquées. En ce moment, ce n’était pas trop cela niveau décision.

Bah , maintenant il allait avoir des choses plus agréables auxquels penser. Sa marraine était sur le point d’accoucher quand il avait reçu « l’invitation » il s’était donc précipité a la rencontre ; pour être le premier a féliciter sa marraine adorée et faire connaissance de ses filleuls.

Rangeant son cheval dans une écurie prévue a cet effet, le descellant, en prenant soin de lui. Cela fait, il epouste un peu ses vêtements, a peine taché par la chevauchée. Vérifiant qu’il est a peu près présentable et puis se met en route.

L’appartement de la marche … L’appartement de la marche … mais c’est plutôt compliqué a trouver ça … après une heure de recherche dans le coin , au travers des odeurs peu ragoûtante, des labyrinthe , etc … c’est un peu compliqué. Ha , ça doit être ici ?!



Ha bah non … c’est reparti pour un peu de marche. Au bout d’un moment, par chance, ou guidé par on ne sait quel esprit peiné pour l’errance de ce pauvre jeune homme dépité, il arrive enfin a sa destination.

Il passe une mains dans ses cheveux roux qui sont un peu en bataille a cause du chemin, soupirant légèrement. Il s’arrête sur la porte en la voyant s’ouvrir a la volée et sortir en trombe un serviteur a l’air affolé.

Se demande ce qu’il se passe, pourtant une alerte retentit dans un coin de son esprit en se disant que ce n’est peut être pas terminé, mais il préfère l’ignorer ; se disant que non porté par l’innocence de la jeunesse sur ses choses la. Chassant son trouble, il frappe la porte doucement. Patientant, mais n’ayant pas de réponses … normal le serviteur est parti en courant on ne sait ou.

« Euh … Bonjour, c’est moi Guilhem ? je peux entrer ? »
Nebisa
La toute nouvelle accouchée reposait, sereine et sourriante, sur ses coussins, nettoyée et raffraichie, toute trace de sang aant disparrue et les bébés reposant, emmaillotés et endormis contre leur mére, quand on frappa à la porte.

Voyant entrer son filleul préféré, unique et adorée, Neb retint un cri de joie ... il avait encore grandi et embelli et comme à chaque fois qu'elle le croisait, elle sentie son coeur se gonffler d'une bouffée de tendresse pour ce jeune homme qu'elle avait vu grandir ...


Mon Guilhem adoré ! Quelle joie de te revoir ! Viens par là que je t'embrasse, tu m'excuseras de ne pas me lever... ordre de la sage femme !


Sourriant innocement à Ann qui se remettait aussi de ses émotions, elle tendit les bras vers Guilhem

Merci d'être venu... je n'osais t'espérer si vite !
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Guilhem*
Guilhem sourit joyeusement en voyant sa marraine adorée et sa maman qui se repose dans un coin, il va étreindre légèrement sa maman l’embrassant sur la joue

« Bonjour maman »


puis va étreindre avec encore plus de douceur sa marraine, l’embrasse doucement sur le front, se mettant dans ses bras tendus faisant attention a ne pas la bouger et en faisant très attention au deux nouveaux-nés

« Bonjour ma marraine, j’ai fait aussi vite que j’ai pu … je comprend bien que vous ne pouvez pas bouger, au moins cela vous force a ne rien faire. C’est une grande joie de vous revoir aussi ma marraine.

Toutes mes félicitations … je ne soit pas quoi dire d’autre , mais je suis si heureux pour vous… »


Le jeune homme sourit légèrement, il contemple un peu hébété, ne s’habituant les deux nourrissons, peu habitué a cela. il les contemples un instant , sans rien dire; presque d'un air béat, admirant la calme sérénité des nourissons reposant sur leur mére. Il murmure doucement

« Et me voilà parrain … je n’en reviens toujours pas … »
---fromFRAnn
Gudélon Saturnin et Runégonde Aristophane de Malemort... oui pourquoi pas?

Avec un sourire rayonnant, elle enveloppe le placenta d'un linge immaculé (plus pour très longtemps), se demandant bien ce que Nebisa va en faire. Puis elle s'essuit sur les mains sur sa robe qui de ttes façons n'est plus à ça près et pose un regard protecteur sur la mère et les deux enfants.
Bon... pour quelqu'un qui ne s'y attendrait pas, il est certain qu'elle fait plutôt bouchère dans sa longue robe blanche ensanglantée, les mains rougis, une traînée de sang sur le front, les cheveux désordonnés et un linge qui s'imbibe progressivement de pourpre. Mais son sourire... son sourire... et ses yeux ne mentent pas... il y a de la tendresse là dedans. Posant le placenta sur un meuble, elle se laisse alors tomber dans un fauteuil, ramenant ses jambes sous elle dans une position quasi foetale. La discussion avec Neb continue à voix basse pour ne pas réveiller les enfants, lorsqu'un flamboyant rouquin fait irruption dans la pièce, jeune homme qu'elle identifie immédiatement comme son fils.
Un large sourire illumine son visage, mais comme toujours elle a un petit pincemet en coeur en constatant la frappante ressemblance avec son père. Par Aristote qu'il lui manque... qu'il leur manque. Presqu'inconsciement sa main se crispe légérement sur le fauteuil mais elle rends son baiser à son fils avec une tendresse toute maternelle. Si fière de ce qu'il est devenu.
Et se snetant presqu'intruse, elle se tait face à ce débordement d'affection.

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Transat en cours de réféction
Lothaire_de_cassel
Lothaire était pourvu de tous ces atours, il était là, devant les appartements de Nébisa, allias "Blanche" ou "Marche" et faisait les 100 pas en récitant à mi voix :

« D'amour mourir me font, belle Comtesse, vos beaux yeux » … ça ne va pas, plutôt: « Vos yeux beaux d'amour me font, belle Comtesse, mourir »… mouais, je suis sûr qu’il y a mieux, comme : « Mourir vos beaux yeux, belle Comtesse, d'amour me font » ... là elle va rien comprendre , pour sûr ... Je peur dire aussi « Me font vos yeux beaux mourir, belle Comtesse, d'amour », de pire ne pire, elle va me prendre pour un fol … c’est sûr … Bon une dernière fois .. ça nous fait : « Belle Comtesse, vos beaux yeux me font mourir d'amour » ; Voilà, ça c’est bien : « Belle Comtesse, vos beaux yeux me font mourir d'amour »

Lothaire continuait de faire les cents pas devant les appartements de la comtesse de Ségur. Il avait dans sa main un petit paquet de papier. Il s’arrêta subitement et dit :

Saperlotte !!! c’était quoi déjà qu’il fallait dire ? C’est fort ça, j’ai oublié ..

Ah oui :« Belle comtesse … nanana … mourir d’amour » …Ca fait pas un peu lourd ça ?

Lothaire continua a parler seul pendant un petit moment dans les couloirs de l’Hôtel Saint Palu, en attendant, non pas Godot, mais Nébisa, en espérant qu’elle viendras, elle (puisque Godot, lui, on l’attend toujours)
Nebisa
Votre Grandeur... Loin de moi l'idée de contrarier votre seigneurie... mais si Ma Dame pouvait convenir qu'il est pour le moins mal séant de ...

Silence Alban... J'ai déjà pris ma décision et puis ce tissus était de trop bonne facture pour que j'hésite ! Être à Paris sans alller faire le tour des tissernads serait idiot... Nous la capitale de l'élègance aprés tout... Et ce Yves Sainct Laurent ira loin !

Mais ... Ma Dame je...

Chut ! Tu enfilera cette robe le temps que j'en fasse l'ourlet... Tu sais bien que je ne peux prendre de chambriéres ici, c'est trop petit !

Oui Comtesse...

Alors qu'Alban soupire à fendre l'âme devant cette comtale lubie, tous deux arrivent devant la porte et Neb manque, qui marche d'un pas décidé, manque de renverser Saint Michel...


Oh... Messire... excusez moi, je ne vous avais point vu ! Je m'en reviens de faire quelques emplettes figurez vous !

Sourriant largement elle désigne le pauvre Alban dont l'extrémité du crane dépasse d'un assemblage de paquets, quolifichés et autres sacs...

Vous logez dans ce couloir vous aussi ou bien me faisiez vous la joie d'une visite impromptue ? Je n'ai jamais croisé de collégues à l'hostel depuis le temps...

Faut dire que depuis le mémorable accouchement comtal et les cris asssociés ont parait-il rendu cette aile de l'hostel assez impopulaire... Pourtant les jumeaux ne pleurent que lorsqu'ils ont faim... A peine toutes les 5 heures ! Les gens sont vraiment facilement perturbables ! Toujours est-il que la Comtesse acceuille avec aise cette rencontre.
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Lothaire_de_cassel
Lothaire était tout sourire devant la comtesse, sourire idiot dont il n’arrivait a se défaire, il fit un baise main à sa comtesse en lui soufflant :

Ce n’est rien voyons, vous m’avez l’air forte occupée …

Lothaire ne prit pas la peine de saluer le domestique et dit :

J’ai moi aussi fait quelques emplettes il y a peu, j’ai était dans un nouveau magasin … Comment s’appelle t’il déjà ? Bigre, j’ai la mémoire qui défaille, ha oui : La coste, sûrement un féru des océans, nonobstant il fait des chemises et gilets de bonne facture.

Je viens en effet en visite de courtoisie, vous apporter un modeste présent issu des terres de mon frère, la bière, dont nous avions parlé, j’en ai u,ne bouteille pour vous … Simple présent de … remerciement pour … euh


Lothaire chercha un alibi, il avait pensé à tout sauf à ça …

Pour …. Vous remercier … d’avoir …. Euh … dit du bien de sainct Michel !

Il espérait que cela passerais ….

Je viens aussi pour vous dire que si vous ave besoin de quelque chose, j’ai prit des appartements non loin des vostre, je les ai demandé icilieux, parcque … c’est un joli endroit ce me semble. Dailleurs, pour vos enfants , si vous avez besoin, j’ai une domestique qui pourrait s’en occuper, il faut bien qu’elle touche ses gages pour quelques chose, si on les écoutaient ces petites gens, en plus de leurs gages, il ne devraient travailler que 35 heures par demi semaine et des « congés », on croit rêver, c’est de pire en pire…

Enfin …


Lothaire se demanda si il n'ennuyait pas la comtesse a force de parler. Et lui dit :

Dans tous les cas, vous estes fort en beauté en ce jours … comme d'habitude je doit dire
Nebisa
Cédant sa main à baiser au héraut, Neb esquisse un sourrire

Oh ... Sainct Michel, vous me flattez... je suis affreuse, sans doute couverte de poussiére et ma robe froissée est digne d'une paysanne ...

Elle épousette machinalement ses jupes, se félicitant d'avoir choisie de porter ce modéle parisien de couleur rubis qui sied particuliérement à son teint et dont les dentelles fines ornent élégement son généreux décolleté
Vous êtes un ange ! Je dépérissais de soif ! Figurez vous que le Maréchal Lyrr posséde seul la clés des caves de Sainct Antoynes ! Et j'ai beau faire des pieds et des mains, on me refuse le droit légitime d'une inspection sanitaire afin de veiller à la bonne conservation de ces trésors ! J'ai beua dire, rien n'y fait !

Soupir affligé de la Comtesse assoiffée tands qu'Alban, qui voit la séance de mannequinat s'évanouir ouvrer la porte de l'apartement de Marche pour laisser passer les nobles gens qui dévisent sur le palier...

J'accepte votre présent, si vous me faites la grâce de le partager sénace tenante avec moi car enfin, je n'ai rien dit qui ne soit vrai aprés tout... Et mes petits anges sous la vigilance de votre domestique, celà m'oetra le soucis de les laisser avec Alban, il est piétre nourrice, vous ne pouvez imaginer !

Lui faisant signe de la suivre , tous deux pénétrent dans le salon, piéce principale de "l'apartement"... toujours ce probléme d'espace... une piéce de réception et une chambrette voilà tout ce qui est attribué même si la comtesse entretient réguliérement l'intendant de l'Hostel pour avoir double apartement puisqu'elle a double charge... Tsss...ces gens sont d'un butés !

Trente cinq heures par semaines ? Mais c'est une abberation ! Et pourquoi des jours de récupérations si jamais ils dépassent aussi ! Le petit personnel n'est plus ce qu'il était je vous le dis... Quand j'étais jeune, j'ai souvent vu des domestiques roués pour un haussement de sourcils inconvenants, maintenant c'est à peine s'ils ne nous épargnent pas leur conseil ! Figurez vous que ma gouvernante ose même me faire des remarques sur mes vétures ! Comme si mes décolletés la regardaient !


Faisant signe à Alban de porcéder au service, elle s'installe sur une banquette, invitant SaintMichel à faire de même...
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Lothaire_de_cassel
Lothaire dit à la baronne dans un grand sourire :

Partager cette bouteille avec vous sera un réel plaisir, que dit-je un rêve ...

Puis il lui fit signe d'entrer la première.

Apres vous chère amie, vous permettez que je vous appelle ainsi ?

Pour la cave je vous propose de nous en faire une ... Entre le vin fin de Champagne, vostre prune et ma bière, nous auront de quoi faire, cela vous dit il ? On pourras toujours demander quelques bouteilles à Dauphiné, Bourgogne et au futur Guyenne ...
Une cave, certes en communauté, mais que Touraine jalousera ...

Mais trêve de bavardage, avez vous des verres, que nous puissions goutter ce nectar des Dieux, à la mousse épaisse et au corps vigoureux ?


Lothaire fit un énième sourire à la comtesse, c'était le moment de sortir sa phrase.

Belle ...

Derrière lui un vacarme monstre se fit entendre, vacarme qui en plus d'interrompre Lothaire, le fit sursauter. C'était le domestique de Nébisa qui avait fait tomber quelques plateaux.
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